De l’ignominie  humaine en général

 

Si vous pensiez que le docteur Mengele était champion du monde de l’horreur… revoyez vos notions

 

 

 

 

Les massacres de Serbes pour prélever leurs organes n’ont pas débuté au Kosovo

 

 

Grey Carter Oriental Review – 5.8.2019

via Saker Italia

Traduction Raffaele Ucci

 

 

 

 

 

Contrairement à la croyance générale, le trafic le plus sanguinaire de l’histoire, celui d’organes de Serbes du Kosovo enlevés et emprisonnés, n’a pas commencé au Kosovo. Comme cela a été rapporté par les médias serbes lors du procès intenté par la mission EULEX au Kosovo, « un des accusés a avoué avoir participé à la vente d’organes humains ».

 

Driton Jiljta s’est déclaré coupable d’« abus d’autorité et (de) pratiques médicales illégales ». Cette affaire faisait partie d’un procès plus large, où sept Albanais et deux étrangers avaient été incriminés de trafic d’organes, de criminalité organisée et de prélèvements d’organes décrits comme « activités médicales illégales », à l’hôpital Médicus de Pristina. Selon l’accusation, cet hôpital avait effectué, en 2008, trente transplantations de reins illégales, alors que, selon l’enquête, des pauvres de Turquie, de Russie, de Moldavie et du Kazakhstan affluaient à la clinique, attirés par la fausse promesse de 15.000 € pour leurs organes.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/les-massacres-de-serbes-pour-leur-prelever-des-organes-nont-pas-commence-au-kosovo/

Source : http://sakeritalia.it/europa/jugoslavia/le-uccisioni-di-massa-di-serbi-per-espiantargli-gli-organi-non-sono-iniziate-in-kosovo/

Source d’origine : https://orientalreview.org/2019/08/05/mass-killings-of-serbs-for-organs-started-in-croatia/

Traduction en italien par Raffaele Ucci pour SakerItalia

Traduction en français : c.l. pour Les Grosses Orchades

 

 

 

 

 

…et européenne en particulier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour sur Srebrenica…

 

Stephen Karganović interviewé par Le Saker

 

Saker.is – 30.6.2019

via SakerItalia

 

 

 

 

Le Saker : Peux-tu, s’il te plaît expliquer qui tu es, et quelles sont tes activités politiques passées et présentes ?.

Karganović : Je m’appelle Stephen Karganovic. Mes oprigines sont serbes, russes et polonaises. Du côté de mon père, j’ai pu retrouver des racines familialnes dans la ville de Khmelita, district de Smolensk. Dans la première moitié du XIXe siècle, Yuri Karganović y remplissait la fonction probablement obsolète de стольник (stolnik) au chef-lieu régional d’Isokorosten. Peut-être à cause de mes antécédents œcuméniques, je préfère me définir simplement comme un chrétien orthodoxe. Je suis diplômé en jurisprudence et j’ai aussi une licence en philosophie. Je n’ai jamais eu d’actualités politiques en tant que telles. Ce qui m’intéresse, ce sont les questions qui ont une dimension morale, et s’il se trouve qu’elles empiètent sur la politique, ainsi soit-il.

Le Saker : Tu es un des meilleurs « spécialistes de Srebrenica » en circulation. Donc, pourrais-tu, s’il te plaît, avec tes propres mots, décrire pas à pas ce qui s’est effectivement passé à Srebrenica, à partir du moment où les Bosniaques musulmans ont fait irruption dans les villages serbes autour de Srebrenica, moment où a été lancée la grande opération psychologique stratégique du « génocide » ?

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/stephen-karganovitch-interviewe-par-le-saker/

Source : http://sakeritalia.it/interviste/il-saker-intervista-stephen-karganovic/

Source d’origine : https://thesaker.is/the-saker-interviews-stephen-karganovic/

Traduction en italien : Raffaele Ucci pour SakerItalia

Traduction en français : c.l. pour Les Grosses Orchades

 

 

 

 

 

 

 

Israël en Palestine

 

 

 

 

Relayé par principe.

Même si c’est trop tard pour l’appel au rassemblement du 31/8 à Paris

 

 

CAPJPO EuroPalestine

 

 

Chères amies, chers amis,

L’été aura été terriblement difficile pour le peuple palestinien :  bombardements sur Gaza, assassinats et blessés lors des marches pour la liberté qui ont continué tous les vendredis, démolitions de maisons à Jérusalem-Est, attaques de la Mosquée Al-Aqsa, arrestations d’enfants et interrogatoires (comme vous le savez, ils ont même convoqué un enfant de 4 ans pour l’interroger !), répression et agressions physiques d’opposants israéliens, expulsion par Israël ou interdiction d’entrée pour tous les témoins gênants, du directeur de Human Rights Watch aux deux élues américaines Ilhan Omar et Rashida Tlaib, en passant par des universitaires internationaux venus pour enseigner dans des universités palestiniennes.

A l’approche des élections législatives israéliennes, la surenchère des candidats dans la brutalité, le racisme et la persécution des Palestiniens bat son plein, et permet de faire oublier que certains, comme Netanyahou pour ne pas le nommer, sont impliqués jusqu’au cou dans des affaires de corruption.

Pour faire bonne mesure, les dirigeants de ce régime va-t-en guerre multiplient les agressions militaires dans tout le Proche-Orient, au Liban (attaque de drones contre un centre du Hezbollah dans le sud de Beyrouth), comme en Syrie et en Irak, sous prétexte de contrecarrer l’Iran, alors que Trump lui-même semble se détourner d’un affrontement avec ce pays.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/israel-en-palestine/

 

 

 

 

 

 

La honte !

La Croix : un journal qui a choisi son camp, celui de l’occupant

 

 

 

 

 

 

… ailleurs…

 

 

Affaire Epstein, l’humeur reste Mossad et Robert Maxwell a bien été assassiné.

 

Jacques-Marie Bourget – LGS – 28.8.2019

 

 

 

 

Le sex-people autour de l’affaire Epstein, après l’avatar Wenstein, n’a aucun n’intérêt pour qui ne remonte le passé. Celui de Ghislaine Maxwell, décrite aujourd’hui comme rabatteuse d’adolescentes pour le plaisir du millionnaire pédophile et celui de ses amis puissants. Intérêt encore si on remonte aussi dans la vie de son père, Robert Maxwell, tycoon de presse, mort par noyade aux Canaries le 5 novembre 1991.

La carrière de Robert Maxwell – un Tchèque de confession juive – commence en 1940 quand, parvenant à échapper à l’Holocauste, il se réfugie à Londres pour devenir interprète de l’armée britannique. Cette jeune carrière va bientôt le conduire à Prague et sur le front de l’Est, là où se rencontrent deux lames des forces de libération du nazisme : celle des Occidentaux et celle des Soviétiques. Le plus souvent l’ambiance vécu par le jeune traducteur ressemble à celle décrite dans le film « Le Troisième Homme » : espionnage, trahison, double jeu. L’habile Maxwell, devenu citoyen britannique, sait se faire l’ami et le confident de certains as du KGB. A Berlin, dans une ville qui n’est plus qu’une ombre, il lance de petits réseaux de marché noirs. Avec cet argent il peut prendre la main chez l’éditeur allemand Springer Verlag, spécialiste des publications scientifiques, mais interdit d’exercice après son engagement nazi. C’est le début d’une aventure qui va, en 1985 alors qu’il a été élu député travailliste, le conduire à la tête du groupe britannique « Mirror » journal « de caniveau » (mais « de gauche ») qui publie le « Daily » et le « Sunday » Mirror.

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Source : https://www.legrandsoir.info/affaire-epstein-l-humeur-reste-mossad-et-robert-maxwell-a-bien-ete-assassine.html

 

 

 

 

 

Pour ceux qui essayeraient de se faire croire que l’affaire Epstein est exceptionnelle…

 

 

De Dutroux et Outreau à Epstein : flash-back sur la pédocriminalité, arme suprême de biopouvoir

 

Un entretien avec Frédéric Lavachery

 

Fausto Giudice – Tlaxcala – 27.8.2019

S’il existe une conspiration autour de l’affaire Jeffrey Epstein, c’est bien celle de l’aplatissement : l’ensemble des grands médias et des faiseur·ses d’opinion du monde démocratique ont présenté à ce sujet un parfait encéphalogramme plat. Autant l’affaire Weinstein avait remué ciel et terre, autant l’affaire Epstein ne remue rien du tout. On s’est contenté de rapporter des faits supposés, allégués ou établis, et surtout d’en minimiser la portée.

Dans le monde francophone, la palme du voilage de face et du refus de creuser revient sans conteste à Arnaud Leparmentier, correspondant du Monde à New York, dont le dialogue en ligne avec les lecteurs est une très riche anthologie de perles médiamensongères et de réductions ad minimum (lire ici).

Comment est-il possible que le dossier Epstein n’ait pas mobilisé le ban et l’arrière-ban du journalisme d’investigation à l’exception notable du Miami Herald ? Pourquoi cette absence d’appels, de hashtags, de metoo ? L’hypothèse la plus vraisemblable tient sans doute au profil des victimes et des bourreaux : d’une part des très jeunes filles anonymes, d’autre part des hommes puissants comme « clients ». L’implication de services de renseignements – CIA et Mossad principalement – est sans doute l’autre facteur de refroidissement des ardeurs.

Comment briser l’omertà ? Eh bien, en commençant par réfléchir à partir de l’expérience historique du dernier quart de siècle en matière de lutte contre la pédocriminalité. J’ai donc posé quelques questions à un vieil ami, Frédéric Lavachery. Avant de s’assumer comme fils naturel de Haroun Tazieff et de se lancer dans la volcanologie dans les monts d’Auvergne, Frédéric, exilé en Belgique après Mai 1968, a été actif dans le mouvement qui a fait suite à l’explosion de ce qu’on a appelé l’affaire Dutroux. Il nous livre ici une sorte de bilan d’expérience, propre à alimenter la réflexion nécessaire. –FG

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Source :  http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=26829

 

 

 

 

 

 

Anniversaire

 

La France ou du moins certains Français fêtent ce mois-ci non seulement la saint Napoléon (si, si, ça existe, c’est le 15 août et que la Sainte Vierge aille se rhabiller !), mais aussi le 250e anniversaire de la naissance de Bonaparte, qualifié par d’aucuns de « grand homme d’État ».

Nous, on préfère Staline. Question de classe.

 

 

« J’ai besoin, vous dis-je- de me débarrasser de soixante-mille hommes ! »

 

 

Allez, coupons la poire en deux…

 

Vive Koutouzov !

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 31 août 2019

 

 

 

One Responses

  • jean chérasse

    Le livre le plus décapant sur Napoléon Bonaparte a été écrit par Henri Guillemin qui l’avait surnommé « le petit chacal ». Je recommande vivement la lecture de cet ouvrage de salubrité publique à toutes celles et à tous ceux que l’on a abusés et enfumés avec le mythe de « l’Empereur », cet homme dit « providentiel » qui est responsable du massacre de centaines de milliers d’Européens.

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