Fauci en Dark Vador des Guerres du Covid

 

 

Une critique du livre de Robert F. Kennedy Jr « Le véritable Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique ».

 

 

Pepe EscobarAsia Times –  25 .11.2021

 

sous le titre : Fauci as Darth Vader of the Covid wars

via invesbrain.com

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

 

 

 

Le livre de Robert F. Kennedy Jr Le véritable Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique devrait faire la une de tous les médias d’information aux États-Unis. Au lieu de cela, il a été accueilli par un silence assourdissant.

 

Les détracteurs qui cherchaient à faire passer Kennedy pour un cinglé profitant d’un nom célèbre semblaient avoir marqué un point en février dernier, lorsqu’Instagram a supprimé définitivement son compte, pour avoir – disaient-ils – fait de fausses déclarations sur le coronavirus et les vaccins. Néanmoins, le livre, publié il y a quelques jours seulement, remporte déjà un succès indiscutable de public et de critique sur Amazon.

 

RFK Jr, président du conseil d’administration et conseiller juridique en chef de Children’s Health Defense, entreprend de déconstruire une nouvelle normalité qui nous envahit tous depuis le début de 2020. Dans mon livre Raging Twenties, publié début 2021, j’ai appelé cette force le techno-féodalisme. Kennedy la décrit comme « un totalitarisme croissant », avec « une propagande et une censure de masse, la promotion orchestrée de la terreur, la manipulation de la science, la suppression du débat, la diffamation de la dissidence et le recours à la force pour empêcher toute protestation ».

 

En se concentrant sur le Dr Anthony Fauci comme point d’appui du plus grand scandale du 21e siècle, RFK Jr réussit à peindre un tableau complexe de la militarisation planifiée et, surtout, de la monétarisation de la médecine, processus toxique cornaqué par Big Pharma, Big Tech et le complexe militaro/services d’espionnage – et dûment promu par les médias dominants.

 

Tout le monde sait maintenant que les grands gagnants ont été Big Finance, Big Pharma, Big Tech et Big Data, avec une niche spéciale pour les mastodontes de la Silicon Valley.

 

Pourquoi Fauci ?

 

RFK Jr. fait valoir que pendant cinq décennies, Fauci a été essentiellement un agent de Big Pharma, nourrissant « un réseau complexe d’enchevêtrements financiers entre les sociétés pharmaceutiques et l’Institut National des Allergies et des Maladies infectieuses (NIAID) et ses employés, qui a transformé le NIAID en une filiale sans faille de l’industrie pharmaceutique ». Fauci justifie sans complexes son intime relation avec l’industrie pharmaceutique en l’appelant « partenariat public-privé ».

 

On peut dire que les tenants et les aboutissants de cette histoire très alambiquée n’ont jamais été examinés de cette manière, de façon aussi documentée et avec une telle profusion de liens. Fauci n’est peut-être pas un nom très connu en dehors des États-Unis, surtout dans les pays du Sud. Pourtant, c’est ce public planétaire-là qui devrait s’intéresser le plus à son histoire.

 

RFK Jr accuse Fauci d’avoir poursuivi des stratégies infâmes depuis le début de Covid-19 – allant de la falsification de la science à la suppression et au sabotage de produits concurrents qui produisent des marges bénéficiaires inférieures.

 

Son verdict est sans appel : « Tony Fauci ne fait pas de la santé publique ; c’est un homme d’affaires, qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires pharmaceutiques et étendre la portée de l’influence qui a fait de lui le médecin le plus puissant – et le plus despotique – de l’histoire de l’humanité ».

 

Il s’agit d’une accusation très grave. C’est aux lecteurs qu’il reviendra d’examiner les faits et de décider si Fauci est une sorte de Dr Folamour médical.

 

 

Pas de vitamine D ?

 

La première place revient à la modélisation privilégiée par Fauci (qui a surestimé de 525 % les décès dus au Covid), élaborée par le fabricant Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, dûment financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. C’est ce modèle, démystifié par la suite, qui a servi à justifier l’hystérie du confinement dans toute la planète.

 

Kennedy attribue au Dr Jessica Rose, chercheuse canadienne sur les vaccins, l’accusation selon laquelle Fauci était en première ligne pour effacer la notion d’immunité naturelle, alors même que tout au long de l’année 2020, les CDC et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont admis que les personnes ayant un système immunitaire sain couraient un risque minime de mourir du Covid.

 

Le Dr Pierre Kory, président de la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance, a été parmi ceux qui ont dénoncé le modus operandi de Fauci, privilégiant le développement de vaccins technologiques tout en ne laissant aucune place aux médicaments efficaces contre le Covid : « Il est absolument choquant qu’il n’ait recommandé aucun soin ambulatoire, pas même de la vitamine D ».

 

Le cardiologue clinicien Peter McCullough et son équipe de médecins de première ligne ont testé des protocoles prophylactiques utilisant, par exemple, l’ivermectine – « nous disposions de données formidables provenant d’équipes médicales au Bangladesh » – et ont ajouté d’autres médicaments tels que l’azithromycine, le zinc, la vitamine D et la vitamine C par voie intraveineuse. Et cela alors que dans toute l’Asie, l’utilisation de lavages nasaux salins était généralisée.

 

Le 1er juillet 2020, McCullough et son équipe ont soumis leur premier protocole révolutionnaire à l’American Journal of Medicine. Il est devenu le document le plus téléchargé au monde pour aider les médecins à traiter le Covid-19.

 

McCullough a déploré l’année dernière que Fauci n’ait jamais, à ce jour, publié quoi que ce soit sur la façon de traiter un patient Covid. Il a en outre affirmé : « Quiconque tente de publier un nouveau protocole de traitement se retrouve bloqué hermétiquement, par les revues qui sont toutes sous le contrôle de Fauci ».

 

Il y a eu pire. McCullough : « L’ensemble de l’establishment médical a essayé de faire disparaître les traitements précoces et de faire taire tous les médecins qui parlaient de réussite. Une génération entière de médecins a tout simplement cessé de pratiquer la médecine ». (Un contradicteur pourrait dire que McCullough s’est laissé emporter et qu’un million de médecins américains – le nombre approximatif de praticiens à ce moment-là – ne pouvaient quand même pas tous être dans le coup).

 

Un des arguments du livre est que l’absence de recherches originales sur la façon de lutter contre le Covid s’explique par le fait que les universitaires américains – même et surtout les plus réputés – dépendent des milliards de dollars accordés par le National Institute of Health (NIH) et qu’ils sont terrifiés à l’idée de contredire Fauci.

 

Kory et McCullough, spécialistes de première ligne contre le Covid, auraient affirmé que la suppression par Fauci des traitements précoces et des médicaments hors brevet est responsable de 80 % des décès attribués au Covid aux États-Unis.

 

 

Comment tuer la concurrence

 

Le livre donne un aperçu détaillé d’une offensive présumée de Big Pharma pour tuer l’hydroxychloroquine (HCQ) – avec des mercenaires de la recherche financés par l’axe Gates-Fauci qui auraient mal interprété et mal rapporté des résultats négatifs en utilisant des protocoles défectueux.

 

Selon Kennedy, en 2020, Bill Gates contrôlait pratiquement tout l’appareil de l’OMS en sa qualité de plus grand bailleur de fonds après le gouvernement américain (avant que Trump ne retire les États-Unis de l’OMS), et qu’il a utilisé l’agence pour discréditer totalement l’HCQ.

 

Le livre aborde également le Lancetgate – lorsque les deux plus grandes revues scientifiques du monde, The Lancet et le New England Journal of Medicine, ont publié des études frauduleuses provenant d’une base de données inexistante appartenant à une société jusqu’alors inconnue.

 

Quelques semaines plus tard seulement, les deux revues, profondément embarrassées et voyant leur crédibilité si durement acquise mise en péril, ont retiré ces études. Mais il n’y a jamais eu d’explication quant aux raisons pour lesquelles elles s’étaient impliquées dans ce qui peut être interprété comme l’une des fraudes les plus graves de l’histoire de l’édition scientifique.

 

Mais tout cela avait un but. Pour Big Pharma, dit Kennedy, tuer le HCQ et, plus tard, l’Ivermectine (IVM) étaient des priorités absolues. L’Ivermectine est un concurrent peu rentable d’un produit de Merck, le molnupiravir, qui est essentiellement une imitation, mais qui peut être vendu au détail à un prix rentable de 700 $ par traitement.

M. Fauci s’est montré très enthousiaste d’une étude prometteuse sur le remdesivir de Gilead – qui non seulement n’est pas efficace contre le Covid mais est de facto un poison mortel… à 3 000 $ le traitement.

 

Le livre suggère que Fauci aurait pu vouloir tuer l’HCQ et l’IVM parce que, selon les règles fédérales américaines, la reconnaissance par la FDA du HCQ et de l’IVM aurait tué automatiquement le remdesivir. Or, la Fondation Bill et Melinda Gates détient une participation importante dans Gilead.

 

Un point essentiel pour Kennedy est que les vaccins étaient le Saint Graal de Big Pharma.

 

Il explique en détail comment ce qu’on peut considérer comme une alliance Fauci-Gates a investi « des milliards de dollars, provenant des contribuables et déduits des impôts, dans le développement d’une plateforme ARNm pour les vaccins qui, en théorie, allait leur permettre de produire rapidement de nouveaux “boosters” pour combattre chaque “variante échappée” ».

 

Les vaccins, écrit-il, « sont l’un des rares produits commerciaux qui multiplient les profits quand ils sont défaillants….. La bonne nouvelle pour Pharma était que l’humanité entière allait être en permanence dépendante de rappels semestriels, voire triennaux ».

 

Toute similitude avec notre réalité actuelle des rappels [« boosters »] n’est pas une coïncidence.

 

Le résumé final des données de l’essai clinique de Pfizer va faire lever d’innombrables sourcils. L’ensemble du processus n’a duré que six mois et il s’agit du document que Pfizer a soumis à la FDA pour obtenir l’approbation de son vaccin. Il est incroyable que Pfizer ait pu obtenir l’approbation d’urgence de la FDA [Food & Drug Administration] alors qu’il était démontré que le vaccin pouvait prévenir un (seul) décès dû au Covid (c’est moi qui souligne) sur 22.000 personnes vaccinées.

 

Peter McCullough : « Puisque l’essai clinique a montré que les vaccins réduisent le risque absolu de moins de 1 %, ces vaccins ne peuvent pas influencer les courbes épidémiques. C’est mathématiquement impossible ».

 

 

La matrice Gates

 

Bill Gates – protégé au Teflon par la quasi-totalité des médias occidentaux dominants – décrit la philosophie opérationnelle de sa fondation comme du « philantrocapitalisme ». Il s’agit plutôt d’un auto-philantropisme stratégique, car le capital de la fondation et sa valeur nette ont enflé de façon spectaculaire (de 23 milliards de dollars, rien que pendant la période de confinement de 2020).

 

La Fondation Bill et Melinda Gates« une organisation à but non lucratif qui lutte contre la pauvreté, la maladie et l’inégalité dans le monde » – investit dans des multinationales pharmaceutiques, alimentaires, agricoles, énergétiques, de télécommunications et technologiques. Elle exerce un contrôle de facto considérable sur les agences internationales de santé et d’agriculture ainsi que sur les médias dominants – comme l’a montré la Columbia Journalism Review en août 2020.

 

M. Gates, qui n’a pas de diplôme d’études supérieures, ni même de diplôme de médecine (comme, d’ailleurs, l’auteur M. Kennedy, qui a reçu, lui, une formation d’avocat), ce qui ne l’empêche pas de dispenser sa sagesse dans le monde entier en tant qu’expert en santé. Sa fondation détient des actions et des obligations de Pfizer, Merck, GSK, Novartis et Sanofi, entre autres géants, et occupe des positions importantes dans Gilead, AstraZeneca et Moderna.

 

Le livre examine avec minutie comment Gates contrôle l’OMS (dont il est le plus grand  bailleur de fonds direct, avec 604,2 millions de dollars en 2018-2019, derniers chiffres disponibles). En 2011 déjà, Gates avait ordonné : « Les 193 États membres, vous devez faire des vaccins l’axe central de vos systèmes de santé ». L’année suivante, l’Assemblée mondiale de la santé, qui fixe la feuille de route de l’OMS, a adopté un Plan Mondial pour les Vaccins conçu par – devinez qui  ? – la Fondation Bill et Melinda Gates.

 

La Fondation contrôle également le Groupe Consultatif Stratégique d’Experts (SAGE), principal groupe consultatif de l’OMS sur les vaccins, ainsi que la décisive GAVI (anciennement Alliance Mondiale pour les Vaccins et la Vaccination), qui est le deuxième plus grand bailleur de fonds de l’OMS.

 

GAVI est un « partenariat public-privé » de Gates qui, pour l’essentiel, organise la vente en gros de vaccins par les grandes entreprises pharmaceutiques (Big Pharma) aux pays pauvres. Il y a moins de trois mois, le Premier ministre britannique Boris Johnson, a proclamé que « GAVI est le nouvel OTAN ». Le siège mondial de GAVI se trouve à Genève. La Suisse a accordé à Gates une immunité diplomatique totale.

 

Peu de gens savent, à l’Est ou à l’Ouest, que c’est Gates qui, en 2017, a choisi le le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, sans diplôme de médecine et avec un CV plutôt douteux.

 

Le Dr Vandana Shiva, principale militante indienne des droits de l’homme (et régulièrement accusée bien sûr d’être anti-vax), a résumé la situation : « Gates s’est emparé de l’OMS et l’a transformée en un instrument de pouvoir personnel qu’il manie dans le but cynique d’augmenter les profits pharmaceutiques. À lui seul, il a réussi à détruire l’infrastructure de la santé publique dans le monde. Il a privatisé nos systèmes de santé et nos systèmes alimentaires pour servir ses propres objectifs ».

 

 

Jouer avec les pandémies

 

Le chapitre 12 du livre, intitulé « Jeux de microbes », est sans doute le plus explosif, car il se concentre sur l’appareil américain d’armes biologiques et de biosécurité, avec une mention spéciale pour Robert Kadlec, qui pourrait revendiquer le leadership de la logique – contagieuse – selon laquelle les maladies infectieuses constituent une menace pour la sécurité nationale des États-Unis, nécessitant ainsi une réponse militarisée.

 

Le livre affirme que Kadlec, étroitement lié aux agences d’espionnage, à Big Pharma, au Pentagone et à divers entrepreneurs militaires [lisons « marchands d’armes », NdGO], est également lié aux investissements de Fauci dans des expériences de « gain de fonction » capables de créer des superbactéries pandémiques.

 

Fauci nie fermement avoir promu de telles expériences. En 1998 déjà, Kadlec avait rédigé un document stratégique interne pour le Pentagone – quoique pas pour Fauci – qui faisait la promotion du rôle des agents pathogènes pandémiques en tant qu’armes furtives ne laissant aucune trace.

 

Depuis 2005, la DARPA, qui a inventé l’internet en construisant l’ARPANET en 1969, finance la recherche sur les armes biologiques. La DARPA – appelons-la l’investisseur providentiel du Pentagone – a également développé le GPS, les bombardiers furtifs, les satellites météorologiques, les drones sans pilote et ce prodige du combat qu’est le fusil M16.

 

Il est important de rappeler qu’en 2017, la DARPA a fait transiter 6,5 millions de dollars par l’EcoHealth Alliance de Peter Daszak pour financer des travaux sur le « gain de fonction » au laboratoire de Wuhan, en plus des expériences sur le « gain de fonction » menées à Fort Detrick. EcoHealth Alliance est l’organisation par laquelle Kadlec, Fauci et la DARPA ont financé ces expériences de gain de fonction.

 

Peu de gens savent que la DARPA a aussi financé la technologie-clé du vaccin Moderna, depuis 2013.

 

RFK Jr relie impeccablement les progrès des Jeux de Microbes, en commençant par Dark Winter en 2001, qui mettait l’accent sur la volonté du Pentagone de développer des vaccins contre les armes biologiques (le nom de code a été inventé par Kadlec) ; l’attaque à l’anthrax trois semaines après le 11 septembre ; Atlantic Storm en 2003 et 2005, axé sur la réponse à une « attaque terroriste » déclenchant la variole ; Global Mercury 2003 ; et Lockstep en 2010, qui développait un scénario financé par la Fondation Rockefeller où nous trouvons cette perle.

 

Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont exercé une autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de température corporelle à l’entrée d’espaces communs comme les gares et les supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance accrus des citoyens et de leurs activités se sont maintenus, voire intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus globaux – des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la pauvreté croissante – les dirigeants du monde entier ont exercé une emprise de plus en plus autoritaire sur le pouvoir.

 

RFK Jr brosse un tableau dans lequel, à la mi-2017, la Fondation Rockefeller et les agences de renseignement américaines ont pratiquement intronisé Bill Gates, financier principal, à la tête de l’entreprise de simulation de pandémie de l’armée et des services secrets.

 

C’est alors qu’est apparue la simulation MARS (Mountain Associated Respiratory Virus) au cours du G20 de 2017 en Allemagne. MARS concernait un nouveau virus respiratoire qui se propagerait à partir de marchés très fréquentés dans une région montagneuse d’une nation qui n’était pas nommée mais qui ressemblait beaucoup à la Chine.

 

Les choses deviennent de plus en plus curieuses quand on apprend que les deux modérateurs de MARS étaient très proches de la Fondation Bill et Melinda Gates, et que l’un d’eux, David Heymann, siégeait avec le PDG de Moderna au conseil d’administration de la Fondation Mérieux USA. Il se trouve que BioMerieux est la société française qui a construit le laboratoire de Wuhan.

 

 

Big Pharma embrasse les services secrets occidentaux

 

Après cela est venu le SPARS 2017 au Johns Hopkins Center for Health Security. La Fondation Bill et Melinda Gates est l’un des principaux bailleurs de fonds de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. SPARS 2017 simulait une pandémie de coronavirus entre 2025 et 2028. Comme le note RFK Jr, « l’exercice s’est avéré être un prédicteur sinistrement précis de la pandémie de Covid-19 ».

 

En 2018, l’expert en armes biologiques Peter Daszak a été intronisé comme le connecteur clé par lequel Fauci, Kadlec, la DARPA et l’USAID – qui était autrefois une couverture de la CIA et qui relève désormais du Conseil de Sécurité Nationale – ont fait circuler des subventions pour financer la recherche sur les gains de fonction, notamment au laboratoire de biosécurité de l’Institut de Virologie de Wuhan.

 

L’opération Crimson Contagion [« contagion cramoisie » ; NdT], supervisée par Kadlec après huit mois de préparation, s’est déroulée en août 2019. Fauci participait à l’autodécrit « exercice fonctionnel », représentant le NIH, aux côtés de Robert Redfield du CDC et de plusieurs membres du Conseil de Sécurité Nationale. Le jeu de guerre s’est déroulé en secret dans tout le pays. Le Rapport Post-Action de Crimson Contagion n’a été publié que sur demande expresse, en vertu de la FOIA [Loi d’accès à l’information, NdT].

 

Mais la star du spectacle pandémique de Gates a été sans aucun doute l’Event 201 [« Événement 201 »] en octobre 2019, qui s’est tenu pas plus de 3 semaines avant que les services secrets U.S. soient capables – ou non – de soupçonner que le Covid-19 circulait à Wuhan. L’Event 201 portait précisément sur une pandémie mondiale de coronavirus. RFK Jr soutient de manière convaincante que l’Événement 201 a ressemblé autant qu’il était possible à une simulation « en temps réel ».

 

Le chapitre du livre intitulé « Jeux de Microbes » amène en outre le lecteur à constater ce que les médias dominants ont tout simplement « oublié » de rapporter : l’implication omniprésente des services d’espionnage américains (et britanniques) et leur présence dominante – quoique secrète – dans l’ensemble de la réponse au Covid-19.

 

Un très bon exemple est le Wellcome Trust – la version britannique de la Fondation Bill et Melinda Gates – qui est une émanation de GlaxoSmith Kline, l’entreprise de Big Pharma. Elle incarne le mariage entre Big Pharma et les services secrets occidentaux.

 

La présidente du Wellcome Trust, de 2015 à 2020, était une ancienne directrice générale du MI5, Dame Eliza Manningham-Buller. Elle était également présidente de l’Imperial College depuis 2001. Le « Dr Fauci anglais », Neil Ferguson, à l’origine des tristement célèbres modèles erronés et mortels qui ont conduit à tous les confinements, était un épidémiologiste travaillant pour le Wellcome Trust.

 

Ce ne sont là que quelques-unes des idées et des liens tissés dans le livre de RFK Jr. Dans le cadre du service public, l’ensemble de ce livre devrait être mis à la disposition du public dans le monde entier. Les questions dont il traite concernent l’ensemble de la planète, en particulier les pays du Sud.

 

Le prix Nobel Luc Montagnier a noté que « tragiquement pour l’humanité, il y a beaucoup, beaucoup de contrevérités émanant de Fauci et de ses sbires ».

 

Plus tragique encore est ce qui émane de ses maîtres.

 

Source : https://invesbrain.com/escobar-fauci-as-darth-vader-of-the-covid-wars/

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/fauci-en-dark-vador-des-guerres-du-covid/

 

 

 

 

Décembre 2021

 

 

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