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Poutine est-il cul-et-chemise avec les globalistes ?

 

 

Riley Waggaman alias Edward Slavsquat

sur Substack – 12.10.2023

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Publié par The Unz Review sous le titre :

Is Putin in cahoots with the globalists?

Interview with Riley Waggaman

MIKE WHITNEY • OCTOBER 12, 2023

 

[N.B. Autant savoir :

Elvira Nabiullina (banquière centrale de Russie très discutée, qui vient d’être reconduite dans ses fonctions par le président Poutine) est la bête noire de Riley Waggaman. On ne sait pas s’il a raison, mais rien ne prouve qu’il ait tort. Rappelons que Nabiullina n’est pas seulement diplômée de l’Université de Moscou, mais qu’elle a également été sélectionnée par l’Université (US) de Yale, comme un des « 18 leaders émergents » dans le cadre de son programme « World Fellows ». Elvira Nabiullina n’est pas la seule, en Russie, à promouvoir des décisions technocratiques prises au G7 et autres lieux globalistes. On aimerait être des petites souris et assister, incognito, à des échanges de vues entre Vladimir Poutine et Sergueï Glazyev. Par exemple.]

 

 

La Russie adoptera le passeport digital de Moscou en cas de confinement contre le coronavirus

 

 

Bonjour amis et ennemis de l’internet,

Alors que j’exécutais des corvées villageoises du côté de Novgorod, j’ai eu l’immense privilège d’être interviewé par Mike Whitney.

En fait, j’étais occupé à nourrir des chèvres et à déplacer du fumier, mais je promets que les Questions-&-Réponses (mes très élégants et si séduisants abonnés payants en ont posé des tas d’étonnantes) seront publiées au plus tard lundi [16, NdT].

Des reportages exclusifs sur le village russe où je suis seront aussi publiés prochainement.

Merci encore à Mike et à la Unz Review. Je vous souhaite un excellent vendredi 13.

– Riley

 

 

Question 1– Dans de nombreuses régions du monde, Vladimir Poutine est admiré pour son franc-parler et sa défense de la souveraineté nationale. Mais sur le plan intérieur, de nombreuses politiques de Poutine semblent s’aligner sur celles des mondialistes occidentaux. Comme on l’a noté dans un de vos récents billets sur Substack, Poutine vient de « signer un décret sur la création d’un passeport intrieur « numérique » », dont beaucoup pensent qu’il ouvrira la voie à une tyrannie technocratique. Est-ce que j’exagère les risques de la carte d’identité numérique ou est-ce que cette évolution constitue une sérieuse menace pour la liberté individuelle ?

Riley Waggaman – Imaginez que les États-Unis commencent à délivrer des permis de conduire numériques susceptibles d’être utilisés comme pièce d’identité officielle. Quelle serait la réaction ? Je parie que beaucoup d’Américains se sentiraient « inquiets », faute d’un meilleur terme. Et non sans raison.

Le système de passeport numérique en train d’être mis en place en Russie mérite le même scepticisme.

Pour commencer, un peu de contexte : La Russie dispose d’un « passeport intérieur » qui fait office de carte d’identité nationale. Vous utilisez votre passeport intérieur pour ouvrir un compte bancaire, quand vous avez affaire à la bureaucratie locale, etc. etc. C’est un document important dont vous avez besoin pour accomplir des tâches ordinaires, quotidiennes.

Le passeport numérique a été présenté comme une copie électronique du passeport intérieur, accessible par smartphone (via le portail des services de l’État, Gosuslugi). Le gouvernement est encore occupé à décider dans quelles situations/scénarios le passeport numérique sera accepté comme pièce d’identité valide.

Les partisans de ce document numérique affirment qu’il est plus pratique qu’une pièce d’identité en papier, et ils ont peut-être raison. Le problème, bien sûr, c’est que les commodités modernes peuvent entraîner toutes sortes de désagréments et, le temps passant, ces désagréments peuvent même devenir « normaux ».

 

 

 

 

Le fait que cet identifiant (ID) soit lié au portail des services de l’État (Gosuslugi) est assurément une source d’inquiétude, et il est facile d’imaginer comment le gouvernement russe – ou tout autre gouvernement, d’ailleurs – pourrait user (et abuser) de ces « passeports » . Tout cela au nom de la plus grande facilité.

Bien sûr, les autorités promettent que les cartes d’identité numériques ne seront jamais rendues obligatoires. Je suis assez vieux pour me souvenir du temps où le gouvernement russe a promis que la vaccination contre le Covid serait à 100 % volontaire…

 

Question 2 – La Russie semble être le fer de lance de la transition vers les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) avec sa création du « rouble numérique ». À votre avis, quels sont les pièges potentiels d’un tel plan ?

Riley Waggaman – Si on exclut la possibilité d’imposer un goulag numérique à spectre complet, le rouble numérique ne présente pas d’avantages évidents. Je dirais la même chose de toutes les CBDC, bien sûr.

Certains prétendent que le rouble numérique est un moyen nécessaire, prudent et brillant de contourner les sanctions occidentales. C’est faux. La Banque de Russie dispose d’un système de messagerie financière (SPFS) entièrement fonctionnel, qui opère indépendamment de SWIFT. Voici quelques titres de RT.com pour votre information :

Mars 2017 : « Le système bancaire russe est prêt pour l’alternative SWIFT »

Février 2018 : « Les banques russes sont prêtes à abandonner SWIFT – officiel »

Octobre 2019 : La Russie, la Chine et l’Inde vont mettre en place une alternative au système de paiement SWIFT pour connecter 3 milliards de personnes »

Tous ces articles concernent le SPFS et ont été publiés bien avant que la Banque de Russie n’annonce son intention de développer le rouble numérique en octobre 2020.

Je me demande pourquoi tant d’Occidentaux qui prétendent comprendre les dangers des CBDC pensent que le rouble numérique est en quelque sorte « différent ». La CBDC de la Banque de Russie a été presque unanimement condamnée par les commentateurs les plus éminents du pays dans l’espace médiatique alternatif/ conservateur. Même des médias grand public comme Tsargrad ont publié des critiques cinglantes du rouble numérique.

Entretemps, dans les « médias alternatifs » de langue anglaise, nous sommes gratifiés des abyssales postulations de profonds penseurs tels que Simplicius, qui, dans une prose pourpre à faire mal aux tétons, nous expliquent à quel point la Banque de Russie est étonnante et antimondialiste, et pourquoi le rouble numérique est cool et super branché.

Je ne comprends tout simplement pas pourquoi les commentaires en anglais (tous les commentaires non russes, en fait) sont si éloignés de ce que les Russes patriotes vivant en Russie disent de leur propre pays, en russe.

Soit dit en passant, la Banque de Russie est déjà revenue sur sa promesse de ne jamais « colorer » les roubles numériques de manière à ce qu’ils ne puissent être utilisés que pour l’achat de certains articles. Le vice-président de la banque centrale a récemment déclaré que l’imposition de restrictions sur la manière dont les roubles numériques peuvent être dépensés est une possibilité réelle, une possibilité qui sera étudiée à l’avenir. (lien) Le rouble numérique n’a même pas encore été mis en circulation que la Banque de Russie est déjà prête à « explorer » la manière dont ce nouvel outil amusant de contrôle total, approuvé par Davos, le FMI, le G20, etc. etc. peut être utilisé pour juguler l’élémentaire dignité humaine.

 

Question 3 – La Russie se rapproche-t-elle de la vaccination obligatoire ? (Note : Voici une citation tirée d’un de vos récents articles :

Le ministère russe de la Santé souhaite modifier le calendrier national de vaccination préventive afin que la vaccination COVID puisse être rendue obligatoire pour les « catégories vulnérables de citoyens » chaque fois que les bienveillantes autorités sanitaires du pays estimeront que la « situation épidémiologique » justifie une nouvelle série d’injections coercitives……

Bien entendu, tout nouveau décret de vaccination obligatoire s’appliquerait également aux employés de l’État, en ce compris les enseignants, les médecins, le personnel militaire, etc. Edward Slavsquat, Substack

Riley Waggaman – Si l’entreprenant ministère russe de la Santé – qui travaille sans relâche pour préserver la santé publique – décide un jour que le « Covid » se « propage » à un rythme inacceptable, diverses catégories de citoyens devront choisir entre se faire vacciner ou perdre leur emploi. Il s’agit bien sûr toujours d’une vaccination volontaire, puisque les Russes pourront choisir s’ils veulent avoir un emploi ou se laisser injecter une poudre de perlimpinpin génétique non prouvée, développée en coopération avec AstraZeneca.

De nombreux intellectuels très intelligents – comme Aussie Cossack – continuent de prétendre que la Russie n’a jamais eu de vaccination Covid obligatoire, ce qui est très courageux si on considère qu’en janvier 2023, des centaines de Russes étaient encore interdits de travail parce qu’ils refusaient de se laisser injecter le vaccin.

Le Centre Gamaleya continue de « mettre à jour » son vaccin Covid, et le gouvernement russe continue de refiler aux enfants cette cochonnerie dangereuse plus ou moins testée. La question de savoir si le vaccin Covid deviendra aussi omniprésent et « normal » que le vaccin annuel contre la grippe (qui est lui-même enfoncé tous les ans dans les petits bras des enfants russes; je le sais parce que j’ai dû signer un document interdisant à l’infirmière du jardin d’enfants de l’injecter à mon fils de 6 ans) n’est pas tranchée. Mais il faut être d’une crédulité de compétition pour avaler que le gouvernement russe souhaite que la vaccination Covid reste une affaire purement volontaire. La bureaucratie russe de la Santé n’a pas de bons antécédents quand s’agit de dénoncer les escroqueries de Big Pharma et de l’OMS. Saviez-vous que vous deviez subir un test de dépistage du SIDA (une vieille arnaque de Fauci datant des années 80) pour obtenir un permis de travail en Russie ? Eh bien, maintenant vous le savez

 

Question 4 – Voici un extrait d’un de vos récents billets qui surprendra les nombreux lecteurs qui pensent que le président Poutine s’oppose vraiment à la foule de Davos et à son programme mondialo-globaliste :

« Pour vaincre le mondialisme, Moscou adopte à contrecœur, mais de manière responsable, l’ordre du jour mondialiste….

ll n’y a aucun moyen d’arrêter le « progrès » technologique promu par Davos, le G20, le FMI, la Banque mondiale, l’ONU et l’OMS, c’est pourquoi Moscou doit collaborer étroitement avec toutes ces organisations mondialistes afin de maintenir une parité mondialiste avec l’Occident collectif, sinon la Russie ne pourra pas se protéger des mondialistes ».

Et voici d’autres informations tirées d’un autre billet :

 « …presque chaque déclaration commune signée par Moscou (qu’il s’agisse d’une déclaration du G20, d’une déclaration des BRICS ou simplement d’une salade de mots rédigée avec l’aide de Pékin) contient un passage louant les rôles vitaux de l’Organisation Mondiale de la Santé, de l’Organisation Mondiale du Commerce et du Fonds Monétaire International… ». Cela semble être une information pertinente.

Le gouvernement russe a déclaré de façon répétée qu’il n’a pas l’intention de se retirer de l’OMS, de l’OMC ni même du FMI. Il serait bon que Cerise mette à jour son article pour refléter cette réalité indéniable. Edward Slavsquat, Substack

Vous semblez dire que, même si la Russie combat l’oligarchie occidentale en Ukraine, elle marche toujours du même pas que les mondialistes sur les questions de politique sociale. Pouvez-vous nous en dire plus là-dessus ? Et quelle est la place de Poutine dans tout cela ? Est-il un complice involontaire ou un enthousiaste participant ?

Riley Waggaman – Moscou combat-elle l’oligarchie occidentale en Ukraine ? Gazprom n’a pas cessé de pomper du gaz à travers l’Ukraine depuis le premier jour de l’Opération Militaire Spéciale. Et ce n’est pas la seule ressource naturelle que les « entrepreneurs » russes font désespérément transiter par le territoire ukrainien.

J’attends encore de lire qu’un oligarque ukrainien soutenu par l’Occident ait vu sa maison pulvérisée par un missile russe. En fait, il est peu probable qu’un seul oligarque occidental, où que ce soit, ait été incommodé par l’OMS [« Opération Militaire Spéciale » , NdT]. Au contraire. Cette opération a été une formidable occasion de gagner de l’argent, y compris pour les oligarques russes.

Mais pour répondre à la seconde partie de votre question : Quiconque suit les médias en langue russe sait que Moscou est presque totalement en phase avec l’Occident lorsqu’il s’agit de technocratie écrasante et d’autres formes de progrès societal « sûr et commode ». En fait, un observateur objectif reconnaîtrait que la Russie est très en avance sur l’Occident pour la mise en œuvre de la « numérisation » tant vantée par Davos et d’autres organisations antimondialistes célèbres.

Poutine n’a rien fait de significatif pour ralentir ce processus. En fait, en permettant à de glorieux patriotes comme Herman Gref d’être les fers de lance de l’IA (Intelligence Artificielle, NdT], de la biométrie, du marquage du bétail humain par code QR, des systèmes de reconnaissance faciale, du « développement durable » et d’autres « améliorations » technologiques à la mode en Russie, Poutine se fait le complice inconditionnel de toutes les folies peu recommandables qui assaillent la Russie et tous les autres pays.

Soyons sérieux : il vous suffit de voir comment le gouvernement russe traite les écoliers (comme du bétail malade et suspect !) et vous commencerez à comprendre où va ce pays. Les enfants sont l’avenir, après tout !

 

Question 5 – Pouvez-vous résumer votre point de vue sur le vaccin Covid-19 ?

Riley Waggaman  –  Il est mauvais.

 

Question 6 – Vous dites que « les Russes ne sont pas très enthousiastes à l’égard d’Elvira Nabiullina, chef de la Banque centrale de Russie ». Selon vous : « Les socialistes, les monarchistes, les néo-soviétiques, les conservateurs, les militaires purs et durs – à quelques exceptions près… – méprisent tous Elvira et ses roubles numériques.

Plus loin dans votre article, vous dites : « (Elvira) Nabiullina symbolise la poursuite d’une politique économique contraire aux intérêts de la Russie ».

C’est une critique plutôt dure. Pouvez-vous expliquer ce qui se passe ? Pourquoi Poutine reconduit-il à un poste aussi important une personne qui, de l’avis de tellement de gens, exécute un programme mondialiste ?

Riley Waggaman – La seconde citation provient en fait de Nakanune.ru, un média de gauche indépendant basé à Ekaterinbourg. À l’exception des médias financés par l’État, tous les organes d’information de Russie détestent Elvira Nabiullina et pensent qu’elle est un larbin des mondialistes qui travaille activement à la destruction de la Russie. Les conservateurs, les orthodoxes purs et durs, les communistes, les néo-bolcheviks, les nationalistes : tous détestent Nabiullina. C’est un fait et pourquoi ce fait n’est jamais communiqué aux consommateurs d’« informations alternatives » non russes est un énorme mystère.

Je n’ai pas la moindre idée de la raison pour laquelle Poutine a nommé cette Yale World Fellow pour un nouveau mandat de gouverneur de la Banque de Russie, alors qu’elle est affreuse et que personne ne l’aime. Ça fait probablement partie de l’ingénieuse stratégie de Poutine pour vaincre les mondialistes grâce à une CBDC programmable contrôlée à 100 % par une banque centrale inféodée au FMI et fonctionnant indépendamment de l’État russe.

 

Question 7 – Dans notre dernière interview, vous avez fait une synthèse passionnante de notre époque actuelle en disant :

« Je me rappelle souvent cette phrase dérangeante d’Alexis de Tocqueville : « Je remonte d’âge en âge jusqu’à l’antiquité la plus reculée ; mais je n’en trouve aucun parallèle à ce qui se passe sous mes yeux : le passé a cessé d’éclairer l’avenir, l’esprit de l’homme erre dans l’obscurité ».

À chaque jour qui passe, il semble que nous soyons un peu plus coupés par la force de notre propre passé. On nous « recycle » à accepter un nouveau modèle de civilisation. Cela se passe au niveau local, régional, national et mondial. Les familles sont mises en pièces.

Je suis persuadé que nous sommes confrontés à un mal qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de l’humanité ». Edward Slavsquat Substack

À en juger par les réponses, je pense qu’un grand nombre de gens pensent la même chose que vous… Ma dernière question est celle-ci : Êtes-vous toujours aussi pessimiste que vous l’étiez alors ?

Riley Waggaman – Mike, je voudrais vous remercier (encore une fois) pour cette interview, qui reste l’article le plus lu de mon blog. Comme vous vous en souvenez probablement, les réalités des politiques de « santé publique » de la Russie manquaient de « précision » (j’essaie d’être charitable ici) en 2021, et je pense que notre échange sur Internet a ouvert la voie à une discussion plus factuelle et plus nuancée sur la « réponse Covid » de la Russie.

En fait, je suis plutôt optimiste dans le sens où j’ai accepté le fait qu’il n’y a pas de compte Twitter omnipotent à 5 dimensions qui va me sauver des satanistes occidentaux, et que je vais devoir me sauver moi-même – ce qui est en fait relativement indolore, facile, et même amusant. Je décrirais même mon état d’esprit actuel comme plein d’espoir.

Mais je comprends parfaitement le pessimisme de quelqu’un qui en a assez du gouvernement U.S. ou de n’importe quel gouvernement occidental ; de quelqu’un qui considère avec envie le gouvernement russe ressenti comme une alternative. Le problème, avec cette curieuse façon de penser, c’est que, d’après les données officielles, 30 % des Russes environ vivent avec moins de 10 dollars par jour, que la Russie est confrontée à une crise démographique catastrophique (il est difficile d’imaginer une mesure plus fondamentale pour évaluer la santé d’une nation), et que le gouvernement russe est un partisan fanatique de politiques qui s’appliquent à éroder les derniers vestiges de la dignité humaine de base. Il est vrai que le gouvernement russe n’est pas d’accord avec le programme des transsexuels ; c’est une jolie note de bas de page dont se vanter, alors que le taux de natalité de la Russie est en train de s’effondrer.

Mais encore une fois, je suis optimiste. J’ai pu entrer en contact avec des individus qui partageant mes idées, ici même, en Russie et dans le monde entier, et ma vie s’en est trouvée grandement améliorée. Je peux même vivre la vie que je veux vivre sans avoir à faire d’obscènes excuses pour de l’inexcusable.

Nous devrions tous avoir pour guide le besoin de vérité, d’amitié et d’amour, et la raison pour laquelle ceux qui se disent « médias alternatifs » sont si obsédés par le besoin d’apporter de l’eau au moulin de gouvernements qui n’offrent au monde rien d’autre que (la tristesse) qu’ils combattent, n’en finit pas de me stupéfier. Mais il suffit. Nous avons tout ce dont nous avons besoin.

 

 

Chant populaire russe : « Dans la forêt sombre »

 

Source : https://edwardslavsquat.substack.com/p/is-putin-in-cahoots-with-the-globalists?utm_source=profile&utm_medium=reader2

 

 

Riley Waggaman

est un écrivain et journaliste U.S. basé à Moscou. Il écrit actuellement sous le nom d’ « Edward Slavsquat » sur Substack, notamment sur le Covid 19 en Russie et les « vaccins » Sputnik V.

 

Auto-description :

 « Je suis originaire de Californie, mais j’ai passé mon adolescence et mes regrettables années d’études dans le Massachusetts. J’ai ensuite déménagé à Washington, DC, pour y poursuivre une carrière d’écrivain. Ce fut une grave erreur.

Au bout d’un an, j’étais complètement lessivé et prêt pour quelque chose de nouveau. Pour quelque chose d’un peu différent. J’ai atterri en Russie vers 2013 et je vis maintenant à 25 km de Moscou, d’où j’écris un blog appelé Edward Slavsquat. La vie ne traîne pas à vous tomber dessus.

Avant de me lancer en solo, j’ai travaillé pour Russia Insider, puis j’ai obtenu un poste de correspondant à Moscou pour PressTV. J’ai ensuite passé environ quatre ans en qualité de « rédacteur en chef » à RT (je n’étais qu’un simple rédacteur ; je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle on m’a donné un titre aussi ronflant, mais je continuerai à me qualifier de « rédacteur en chef ». RT devrait peut-être revoir ses protocoles de dénomination des postes) »

 

Avant de se retrouver sur Substack, il a travaillé pour :

 

 

Ce qu’il ne dit pas, c’est que RT l’a lourdé pour avoir refusé de signer quelque chose qu’il n’approuvait pas. L.G.O.

 

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/poutine-est-il-cul-et-chemise-avec-les-globalistes/

 

 

 

 

Octobre 2023

 

 

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