Les fils de la marionnette cassent :

Washington laisse entendre que Zelensky doit partir

 

 

Gerry Nolan – TheIslanderNews – 3.4.2025

 

 

 

 

 

 

Lorsque la patience du joueur d’orgue de Barbarie est à bout, il jette le singe et c’est exactement ce qui se passe avec la marionnette en or de Washington, Vladimir Zelensky. Après l’affrontement désastreux de vendredi à la Maison Blanche, où Trump et Vance l’ont traité en enfant insupportable, le conseiller américain à la Sécurité nationale, Mike Waltz, évoque désormais ouvertement l’impensable : Zelensky devrait peut-être céder sa place à quelqu’un capable de négocier la paix au lieu de chercher à obtenir encore plus d’argent pour la guerre.

 

Le masque tombe, plus vite que les sondages sur la popularité de Zelensky, et l’Empire en est à se demander si son comédien favori devenu seigneur de la guerre ne ne serait pas plus un handicap qu’un atout.

 

Il n’a jamais été question de démocratie, de souveraineté ni de liberté pour l’Ukraine, mais de transformer un fief corrompu en pion sacrificiel de l’OTAN, en un ralentisseur géopolitique destiné à saigner la Russie et à servir les hallucinations hégémoniques de Washington. Zelensky, dans son arrogance cocaïnée et olivâtre, a commencé à croire à sa propre propagande, s’imaginant être un personnage churchillien, alors qu’il n’est  qu’un Saakashvili au rabais, un garçon de courses jetable (la cravate en moins) dont l’utilité est dépassée.

 

Qu’est-ce qui a déclenché ce dernier changement ? C’est simple. Trump et Vance veulent la paix. Non pas par amour pour la Russie, mais parce que l’empire américain est épuisé, qu’il saigne par tous les orifices et qu’il ne peut pas se permettre de financer des guerres sans fin pendant que la patrie s’effondre. Zelensky, dans son rôle de victime perpétuelle, avec ses pleurnicheries, son arrogance et son refus total d’accepter la réalité, est désormais le dernier obstacle à l’accord le plus humiliant que Washington puisse conclure pour sauver la face.

 

La vanne « vous n’avez pas les cartes en main » n’était pas qu’une simple réplique lapidaire. Elle a sonné le glas de tout le régime Zelensky. Washington sait que les lignes de front s’effondrent. Le Pentagone voit les images satellite. L’illusion d’une « résistance ukrainienne héroïque » est morte, remplacée par des campagnes de mobilisation forcée désespérées, des « volontaires » de l’OTAN qui meurent dans les tranchées de Kharkov et une corruption rampante si caricaturale qu’elle fait rougir l’Afghanistan.

 

La vérité : la sale vérité impériale, c’est que Zelensky n’était pas censé survivre aussi longtemps. Son travail consistait à jouer son rôle, à pratiquer l’escalade, à provoquer, puis à quitter la scène avant que quiconque ne se soit avisé que l’Ukraine avait été découpée en morceaux, que ses ressources avaient été promises aux oligarques occidentaux, que sa souveraineté avait été dissoute dans les lignes de ravitaillement de l’OTAN et que son peuple avait été réduit à l’état de chair à canon et de main-d’œuvre réfugiée.

 

Mais comme toute marionnette qui commence à se prendre pour un roi, Zelensky a pris la patience de son manipulateur pour de la loyauté. Aujourd’hui, même Lindsey « Forever War » Graham, qui avait fait de Zelensky son allié de rêve, appelle ouvertement à un changement de régime à Kiev. .

 

Et n’oublions pas la véritable raison de leur panique : l’accord sur les minerais. Zelensky était censé céder le lithium, les terres rares et les ressources naturelles de l’Ukraine aux conglomérats américains sur un plateau d’argent, un dépeçage colonial déguisé en aide économique. Lorsqu’il n’a pas réussi à sceller l’accord et qu’il a préféré piquer une crise, les couteaux sont sortis.

 

C’est ainsi que fonctionne l’Empire. Il vous construit, vous trace vos lignes, finance votre guerre, puis se débarrasse de vous dès que vous menacez l’ensemble du jeu. Et maintenant, le jeu passe de « saigner la Russie » à « conclure un accord avant que tout le château de cartes de l’OTAN ne s’effondre ». Il n’y a pas de place dans ce scénario pour Zelensky, clown tragique sous cocaïne, dont la performance n’amuse plus..

 

La costumade Bandera est terminée.

 

L’arnaque est à sec. L’Empire est à la recherche d’une nouvelle marionnette, d’une qui ait juste assez de conscience de soi pour savoir quand il faut s’agenouiller.

 

Pendant ce temps, la Russie continue de gagner méthodiquement, patiemment, inexorablement, sachant que chaque trahison de l’Occident ne fait qu’accélérer son effondrement.

 

Zelensky n’a jamais été le héros d’une histoire il n’a été qu’un atout occidental parmi d’autres, dont la date de péremption est dépassée.

 

– Gerry Nolan

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Mars 2025

 

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