La Nef des fous, version 2022
Crise des missiles bis ?
Et quoi d’autre quand les obtus obtusent à tours de bras ?
Cha cha cha à Cuba
Observatus Geopoliticus – Chroniques du Grand jeu – 13.1.2022
Alors que l’OTSC surprend le monde en mettant déjà fin à son intervention clinique au Kazakhstan – vini, vidi, pacifi -, laissant pantois les « analystes » qui prévoyaient avec des trémolos dans la voix l’occupation du pays par l’abominable Poutine des neiges, Moscou et Washington ont engagé leur bras de fer sur l’Ukraine.
Toute la problématique est, évidemment, l’entrée dans l’OTAN et/ou l’installation de bases US aux portes de la Russie. Nos chers plumitifs feignent de se perdre en conjectures sur le sexe des anges alors qu’un enfant de 8 ans serait capable de comprendre la situation : une grande puissance a toujours refusé, refuse et – tuons le suspense – refusera toujours de voir une grande puissance rivale dans son étranger proche.
Le parallèle qui vient immédiatement à l’esprit, sauf dans les salles de rédaction apparemment, est la crise cubaine de 1962. Ce temps chaud de la Guerre froide consistait en l’installation de missiles russes sur la belle île caraïbe pour répondre, on l’oublie souvent, au déploiement de missiles américains en Turquie. La résolution de cette crise qui ébranla le monde n’est pas une victoire de Kennedy comme le voudrait la légende urbaine, mais un retrait mutuel (de Cuba et de Turquie), chacun s’abstenant de menacer directement le territoire de l’autre.
Bis repetita soixante ans plus tard, le Dniepr ayant juste remplacé le Bosphore…
Tandis que les discussions s’engagent difficilement, l’ours sort de sa fourrure la menace d’un possible déploiement militaire à Cuba et au Venezuela si sa ligne rouge ukrainienne est franchie. Vous voulez jouer dans notre arrière-cour, nous allons jouer dans la vôtre.
Rien que de très logique, mais pas du goût de l’empire qui, en bon adepte du deux-poids deux mesures, pique soudain une crise de nerfs et promet une « réponse décisive » (laquelle ?) en cas d’immixtion russe. Ne craignant visiblement pas la contradiction, Washington parle par ailleurs de « fanfaronnade ». Les voies de tonton Sam sont impénétrables.
Toujours est-il que le Kremlin n’est pas du genre à parler pour ne rien dire et l’on sait qu’il y a déjà comme qui dirait de la friture sur les ondes du côté de Cuba, avec quelques mystérieuses antennes subrepticement apparues au milieu des cannes à sucre.
Et ce ne sont pas les Martiens d’el inolvidable Tito Rodríguez qui les ont installées…
Source : https://www.chroniquesdugrandjeu.com/2022/01/cha-cha-cha-a-cuba.html
La Russie acte l’impossibilité d’un accord avec l’OTAN et s’apprête à agir unilatéralement
Pas d’agenda commun entre la Russie et l’OTAN, déclare Moscou à l’issue des pourparlers
Le Cri des peuples – 13.1.2022
Les discussions étaient « directes » et « sincères », mais ont révélé des différences fondamentales de points de vue. La Russie a annoncé qu’elle allait déployer des mesures militaires et techniques réciproques pour contrer la présence de plus en plus menaçante de l’OTAN à ses frontières.
Source : https://lecridespeuples.fr/2022/01/13/la-russie-acte-limpossibilite-dun-accord-avec-lotan/
Comme les pourparlers n’ont mené à rien, la Russie va être obligée de réagir
Moon of Alabama – Le 12.1.2022
Wayan – Le Saker francophone – 13.1.2022
Les négociations de lundi entre les États-Unis et la Russie sur les demandes de sécurité de la Russie ont été, comme prévu, un échec.
La principale demande de la Russie, à savoir mettre fin à la poussée de l’OTAN vers ses frontières en excluant l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie, a été rejetée. Un article du NYT, pour une fois réaliste, n’a même pas essayé de cacher le désastre :
Les pourparlers sur l’Ukraine. Les États-Unis et la Russie bloquent sur l’expansion de l’OTAN.
Le vice-ministre des affaires étrangères, Sergei A. Ryabkov, principal négociateur de la Russie, a insisté après la réunion sur le fait qu’il était « absolument obligatoire » que l’Ukraine ne devienne « jamais, au grand jamais » membre de l’OTAN.
Son homologue américaine, la secrétaire d’État adjointe Wendy Sherman, a répété que les États-Unis ne pourraient jamais prendre un tel engagement car « nous ne permettrons à personne de claquer la politique de la porte ouverte de l’OTAN », et elle a déclaré que les États-Unis et leurs alliés ne resteraient pas inactifs si la Russie cherchait à modifier les frontières internationales « par la force ».
Et si on faisait le point avant d’aller plus loin ?
Qu’il soit bien clair que tout homme ou toute femme qui, abusant de sa fonction, quelle qu’elle soit, maintient son pays dans l’ORGANISATION TERRORISTE DE L’ATLANTIQUE NORD, se rend coupable, envers sa patrie et ses compatriotes, du crime de haute trahison et doit se préparer à, tôt ou tard, en rendre compte.
Dans des circonstances telles que celles que nous traversons, ce n’est pas perdre son temps que s’informer de tous les points de vue honnêtes (ceux des fauteurs de guerre exceptés, dont on ne sait que trop quels buts ils poursuivent).
2022 : On rejoue la crise des missiles de Cuba… En plus sérieux !
Boris Karpov – RusReinfo – 13.1.2022
Pour ceux, nombreux sans doute, n’ayant pas suivi la situation de près, voici un résumé pour expliquer la tension entre la Russie et les américains. Je ne compte pas les européens puisqu’ils ne sont que les pantins de Biden.
À la chute de l’Union Soviétique, les américains et l’OTAN s’étaient engagés à ce que l’OTAN ne s’élargisse pas « à l’est ». Engagement oral, ce qui a suffit à Boris Eltsine dans son euphorie alcoolique! Or aujourd’hui force est de constater que non seulement l’OTAN est bien plus « à l’est », mais aussi que des pays non (encore) membres de l’OTAN bénéficient de matériel et d’encadrement de l’Alliance Atlantique, comme par exemple l’Ukraine.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/2022-on-rejoue-la-crise-des-missiles-de-cuba-en-plus-serieux/
Êtes-vous attentifs ? La Russie demande l’annulation de l’ordre mondial « fondé sur des règles »
La Russie continue de signaler à l’OTAN ses « lignes rouges » en matière de sécurité, tandis que les États-Unis annoncent qu’ils sont prêts à négocier avec la Russie au sujet des préoccupations de cette dernière. Mais tout retour en arrière par rapport à la politique actuelle s’apparente à une hérésie pour les États-Unis.
Alastair Crooke – Al Mayadeen – 26.12.2021
Zineb – Le Saker francophone – 13.1.2022
« Tout le monde comprend parfaitement, l’heure de vérité arrive dans les relations entre la Russie et l’OTAN. Vous ne pouvez pas constamment frapper les points faibles de la Russie… La conversation doit être sérieuse… sinon, l’alternative est une réponse militaro-technique et militaire de la Russie », a déclaré lundi le chef de la délégation russe aux négociations sur le contrôle des armements à Vienne.
Il faisait référence à deux documents publiés par la Russie le 17 décembre. Ces deux documents décrivent en détail ce que Washington doit faire pour éviter le conflit inévitable et imminent lié à l’expansion de l’OTAN vers l’est, jusqu’aux frontières de la Russie. Pour l’essentiel, ils exigent que les forces de l’OTAN se retirent là où elles se trouvaient en 1997 (c’est-à-dire à l’intérieur des frontières de l’Allemagne). Les documents abordent également d’autres aspects de la désescalade, tels que le retrait de toutes les armes nucléaires américaines du territoire étranger et le confinement des forces américaines dans des eaux et un espace aérien à partir desquels elles ne peuvent menacer le territoire de la Russie.
Il ne s’agit pas ici d’un remaniement et d’un réajustement mineurs des déploiements de forces. Il s’agit d’un cadre pour une révolution géopolitique, rien de moins. En substance, la demande porte sur l’« annulation » de l’ordre mondial américain fondé sur des règles (façonné autour des intérêts et des valeurs des États-Unis).
La Russie dit à l’Amérique que le Conseil de sécurité des Nations unies est, et doit désormais être, la seule source de lois internationales. La Russie exige non seulement le recul stratégique des États-Unis en Europe, mais aussi que tous les futurs accords de sécurité soient rédigés sous forme de traités juridiquement contraignants – et que Washington cesse ses programmes unilatéraux de changement de régime et de révolutions de couleur.
Oh, mais, on n’en a pas fini avec le Kazakhstan…
Analyse militaire des attaques contre le Kazakhstan
Valentin Vasilescu – Réseau Voltaire Roumanie – 10 .1.2022
L’attaque que le Kazakhstan vient de subir, le 2 janvier 2022, impliquait deux groupes principaux indépendants reliés au même commandement étranger. Il impliquait environ 20 000 combattants, à la fois étrangers et kazakhs. Ce personnel avait été formé au jihad en Syrie ou en Afghanistan selon les cas. Les armées kazakh et russe ont été prises par surprise, mais sont parvenues en une semaine à reprendre le contrôle de la situation.
Vidéo
Un mystérieux Front de libération du Kazakhstan a annoncé vouloir libérer le pays de l’influence russe. On est loin des manifestations pacifiques contre la hausse du prix du gaz de 13%.
La première étape pour résoudre le problème a consisté à comprendre quel type de forces les autorités du Kazakhstan ont dû affronter.
Dauren Abaev, chef adjoint de l’administration présidentielle du Kazakhstan, a déclaré que les manifestations dans le pays avaient commencé pacifiquement et que tout était soudainement passé sous le contrôle des provocateurs. L’utilisation de communications secrètes par les manifestants a été essentielle dans la coordination simultanée des actions violentes visant des objectifs préétablis. C’est-à-dire l’utilisation de stations de réception gérées par des serveurs de pointe situés à l’extérieur du Kazakhstan. Communications que les services secrets et l’armée nationale n’ont pas pu intercepter. Un centre de commandement unique a coordonné la préparation et l’orientation de toute l’action terroriste. Le président kazakh Kassym Jomart Tokayev l’a reconnu, dans un discours à la nation le 7 janvier [1]. Il a déclaré que « les forces de l’ordre et l’armée n’ont pas tenu leurs promesses ». « Il est devenu clair que nous manquions de forces spéciales, d’équipements spéciaux et de moyens spéciaux ».
Les militants comptaient dans leurs rangs des spécialistes des PsyOps (opérations de guerre psychologique), capables de manipuler les attitudes des gens. Ils ont donné la priorité à la transmission en direct de désinformations déjà préparées depuis les studios de télévision. Heureusement pour les autorités, les terroristes qui ont occupé le bâtiment de la chaîne de télévision Mir n’ont pas été en mesure de contrôler la tour de télévision Koktobe à Almaty, où se trouve l’antenne de diffusion. En conclusion, l’incapacité à saisir les médias à Almaty a joué un rôle énorme dans l’échec du coup d’État.
Source : https://www.voltairenet.org/article215244.html
… dont la suite est programmée :
Montée des tensions (2)
Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie
Thierry Meyssan – Réseau Voltaire, France – 11.1.2022
Les événements qui se déroulent depuis une semaine au Kazakhstan sont le cinquième volet d’un plan de la RAND Corporation, dont le sixième se déroulera prochainement en Transnistrie. Les quatre épisodes précédents ont eu lieu ces deux dernières années en Ukraine, en Syrie, en Biélorussie et au Nagorno-Karabagh. Il s’agit d’affaiblir la Russie en l’obligeant à se sur-déployer militairement.
Les troupes de l’OTSC ont commencé à se déployer au Khazakhstan.
© Ministère russe de la Défense
Cet article fait suite à :
« La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
Le président états-unien, Joe Biden, a répondu à la proposition de la Russie d’un Traité garantissant la paix sur la base du respect scrupuleux de la Charte des Nations unies et de la parole donnée [1], lors d’une conversation téléphonique avec son homologue russe, Vladimir Poutine, le 30 décembre 2021. Sans surprise, il n’a pas répondu au fond de la requête russe, se contentant d’évoquer un possible arrêt des opérations US en Ukraine.
La RAND Corporation a imaginé un plan pour provoquer un sur-déploiement des forces armées russes et affaiblir ainsi ce pays.
Simultanément, le Conseil national de Sécurité des USA a déclenché plusieurs actions contre la Russie. Il ne s’agit pas de renverser des gouvernements ou de lancer de nouvelles guerres, mais d’obliger Moscou à intervenir hors de ses frontières de manière à l’épuiser. La Fédération de Russie dispose en effet déjà d’un gigantesque territoire qu’elle ne parvient pas à exploiter avec une population de seulement 150 millions d’habitants.
Source : https://www.voltairenet.org/article215221.html
Ah, tiens…
L’étrange nouveau gouvernement kazakh
Réseau Voltaire – 14.1.2022
Le président Kassym-Jomart Tokayev a désigné un nouveau Premier ministre et un nouveau gouvernement. Onze ministres sur vingt conservent leurs fonctions. Neuf sont des nouveaux.
La surprise a été créée par l’accession de l’ancien ministre adjoint à l’Information au poste de ministre plein. Le pro-Turc Askar Umarov (photo) est connu pour ses déclarations anti-Russes qu’il qualifiait d’« alcooliques » et de « colonisateurs ».
La presse russe s’indigne de cette nomination après la mission de l’OTSC pour sauver le Kazakhstan. Yevgueni Primakov Jr. (le petit-fils de l’ancien Premier ministre et actuel directeur de l’Agence fédérale pour le Commonwealth des États indépendants, les compatriotes vivant à l’étranger et la coopération humanitaire internationale « Rossotrudnichestvo »), a immédiatement déclaré qu’il ne travaillerait pas avec une « ordure russophobe ».
Source : https ://www.voltairenet.org/article215329.html
À suivre…
Mais ne nous oublions pas dans ce wargame, puisque nous y sommes jusqu’aux cheveux :c’est sous nos pieds qu’ils les mettront, les bombinettes. C’est sous nos pieds que les Russes, pour se défendre, devront les viser…
L’art de la guerre
Green pass nucléaire : en mai, la Bombe sort pour l’Italie
Manlio Dinucci – il manifesto – 11.1.2022
Via Réseau Voltaire
Traduction : Marie-Ange Patrizio
Les États-Unis commenceront en mai la production à la chaîne de leurs nouvelles bombes atomiques B61-12. Ils prévoient de les disperser dans leurs bases européennes.
Dans quatre mois, en mai, la production à grande échelle de la nouvelle bombe nucléaire B61-12 commence aux USA : l’annonce est faite par l’Administration pour la sécurité nucléaire nationale, NNSA, faisant partie du Département US de l’Énergie (U.S Department of Energy’s National Nuclear Administration). Au fur et à mesure qu’elles sortiront de fabrique, les nouvelles bombes nucléaires seront remises à l’US Air Force, qui les installera dans ses bases en Italie et dans d’autres pays européens à la place des B61.
La B61-12 est une nouvelle arme nucléaire polyvalente qui remplace trois des variantes de l’actuelle B61 (3, 4 et 7). Elle a une tête nucléaire avec quatre options de puissance, à sélectionner en fonction de l’objectif à détruire. Elle n’est pas larguée à la verticale comme la B61, mais à distance de l’objectif sur lequel elle se dirige guidée par un système satellite. Elle peut pénétrer dans le sous-sol, explosant en profondeur pour détruire les bunkers des centres de commandement afin de « décapiter » le pays ennemi lors d’une première frappe (first strike) nucléaire. Pour cette attaque l’US Air Force dispose aussi de la quatrième variante de la B61, la B61-11 pénétrante, modernisée en 2001. La B61-12, confirme la NNSA, peut être lancée soit par le bombardier furtif B-2A et par le futur B-21, soit par des chasseurs à double capacité conventionnelle et nucléaire. Parmi eux il y a les F-16C/D états-uniens basés à Aviano et les Tornado italiens PA-200 basés à Ghedi. Plus adaptés encore à l’attaque nucléaire sont les F-35A, déjà opérationnels aussi dans l’armée de l’Air italienne.
La NNSA communique que « toute la production nécessaire de B61-12 » sera achevée au cours de l’année fiscale 2026. Le programme prévoit la construction de 500 bombes, avec un coût d’environ 10 milliards de dollars (chacune se trouvant ainsi coûter le double de ce qu’elle coûterait si elle était construite entièrement en or). Leur nombre effectif reste cependant secret, comme reste en grande partie secret leur déploiement géographique. Cela constitue le facteur déterminant de la capacité offensive des bombes nucléaires B61-12. Si elles étaient toutes déployées en territoire états-unien, prêtes à être transportées avec les bombardiers stratégiques, cela ne constituerait pas une modification substantielle des dispositifs stratégiques actuels. Les B61-12 seront par contre déployées dans d’autres pays au bord surtout de la Russie, prêtes à être transportées et lancées par les F-35 et d’autres chasseurs.
Les bases d’Aviano et Ghedi ont été restructurées pour accueillir les chasseurs F-35 armés des nouvelles bombes nucléaires. À Ghedi 30 chasseurs italiens F-35A peuvent être déployés, prêts à l’attaque sous commandement US avec 60 bombes nucléaires B61-12. Il n’est pas exclus qu’elles soient déployées aussi dans d’autres bases sur le territoire italien. Il n’est pas exclus que, en plus d’être déployées en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas, elles soient aussi déployées en Pologne, dont les forces aériennes participent depuis des années aux manœuvres Otan de guerre nucléaire, et dans d’autres pays de l’Est. Les chasseurs Otan déployés dans les républiques baltes, au bord de la Russie, peuvent être eux aussi armés des B61-12. Il n’est pas exclus que les nouvelles bombes nucléaires puissent être déployées aussi en Asie et Moyen-Orient contre Chine et Iran. Bien qu’elles soient classées comme « armes nucléaires non-stratégiques », les B61-12, rapprochées des objectifs, ont des capacités offensives analogues à celles des armes stratégiques (comme les têtes nucléaires des missiles balistiques intercontinentaux). Elles sont ainsi des armes déstabilisantes, qui provoqueront une réaction en chaîne accélérant la course aux armements nucléaires.
Les 5 puissances nucléaires membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies – États-Unis, Russie, Chine, France et Royaume-Uni – affirment, dans une déclaration conjointe (3 janvier), qu’« une guerre nucléaire ne peut être gagnée et ne doit jamais être menée » et : « Nous demeurons déterminés [… à] poursuivre de bonne foi des négociations sur des mesures efficaces relatives à la cessation de la course aux armements nucléaires à une date rapprochée et au désarmement nucléaire ». Que les USA s’engagent alors à ne pas déployer dans d’autres pays, et mieux encore à ne pas produire, les nouvelles bombes nucléaires B61-12.
Source : https://www.voltairenet.org/article215280.html
En Hexagonie :
Jack Lang’s Colonial Attack on Arab Intellectuals : Hiding Complicity with Israeli Colonialism & Apartheid
PACBI – 13.1.2022
Dans sa critique du colonialisme français – et européen – en Algérie, en Afrique et dans de nombreuses nations des Caraïbes et du monde entier, Frantz Fanon décrit l’un des aspects les plus profonds de ce colonialisme comme « une négation systématique de la personne [indigène colonisée] et une détermination furieuse à lui refuser les attributs de l’humanité ».
Jack Lang, le président de l’Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris a récemment donné un écho à cette puissante formule quand il a qualifié de « moutons » plus de 250 personnalités intellectuelles et culturelles arabes qui ont signé une tribune condamnant les tentatives de l’Institut de normaliser le régime israélien de colonialisme de peuplement et d’apartheid dans la région arabe et dans la culture arabe.
Source : https://bdsmovement.net/Jack%20Lang-Colonial-AttackonArabIntellectuals
Covidholocauste
Le « Passe » sanitaire devient « Passe vaccinal ». Et après ?
En France, le ministre Véran préconise l’apartheid pour sécuriser l’élection présidentielle.
Il compte faire ça comment ?
Condamner les antivaxx à la déchéance de leurs droits électoraux ?
Ceci se passe chez les Zuniens.
Ailleurs ? C’est pareil.
Crimes contre notre pays
James Howard Kunstler – kunstler.com – 3.1. 2022
Hervek – Le Saker francophone – 13.1.2022
Cette année de psychose mondiale écœurante s’est terminée avec le Dr Robert Malone, virologue et spécialiste des vaccins, qui a bombardé Internet de trois heures de franc-parler sur la campagne des autorités sanitaires américaines visant à détruire la vie d’au moins un demi-million de citoyens américains (jusqu’à présent) et, en donnant l’exemple, à nuire à des multiples de ce nombre d’innocents dans toute la civilisation occidentale. Le podcasteur Joe Rogan a apporté son aide de manière habile grace à une interview qui fait enfin sortir le monde d’une transe de consensus épique.
Par autorités sanitaires, je n’entends pas seulement le Dr Anthony Fauci, le coordinateur national désigné pour le SRAS-CoV-2, ou ses complices des agences du département de la santé et des services sociaux, CDC, NIH, NIAID, etc., mais aussi l’establishment médical américain aveugle composé de médecins en pratique clinique, de chercheurs, d’administrateurs d’hôpitaux et de cadres pharmaceutiques qui ont agi avec une malveillance collective stupide jamais vue depuis que les crématoires de la bureaucratie nazie ont mis en œuvre leur solution finale.
Nous savons ce que vous avez fait. Vous avez conçu et breveté un virus à gain de fonction en même temps que vous conspiriez avec des entreprises pharmaceutiques pour concevoir et breveter des pseudo-vaccins, puis vous les avez lâchés sur le public. Vous n’avez pas seulement échoué à tester correctement les « vaccins » conçus par Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson, mais vous avez délibérément bâclé les essais et menti à ce sujet. Vous avez créé de riches incitations financières pour que les hôpitaux traitent mal les patients atteints de Covid en n’utilisant pas les antiviraux connus, sûrs et efficaces. Vous avez conspiré avec les médias sociaux et d’information pour supprimer les informations sur ces médicaments antiviraux courants qui auraient éclairé les décisions de nombreux patients et sauvé des milliers de vies. Vous avez traité des patients en phase terminale d’un trouble vasculaire induit par la Covid-19 avec le remdesivir, un médicament inefficace et toxique que le Dr Fauci avait développé sans succès pour une épidémie d’ébola il y a des années (les infirmières sont devenues si cyniques à l’égard du protocole remdesivir qu’elles l’ont surnommé « run-death-is-near / cours-la-mort-est-proche »). Vous avez incité les responsables gouvernementaux à confiner la société, à imposer le port de masques inutiles et, maintenant, à imposer la « vaccination » en menaçant de priver les citoyens de leurs moyens de subsistance.
Source : https://lesakerfrancophone.fr/crimes-contre-notre-pays
Triple dosé, le président du Parlement européen Davide Sassoli est mort d’un « dysfonctionnement du système immunitaire »
Olivier Demeulenaere – 11.1.2022
Le président du Parlement européen, le social-démocrate Italien David Sassoli, est décédé dans la nuit de lundi à mardi en Italie, à l’âge de 65 ans, a indiqué son porte-parole.
« David Sassoli est décédé le 11 janvier à 1h15 du matin au CRO (centre de référence d’oncologie) d’Aviano, Italie, où il était hospitalisé » depuis fin décembre, a annoncé sur Twitter Roberto Cuillo, le porte-parole de David Sassoli.
« La date et le lieu des funérailles seront communiqués dans les prochaines heures », a-t-il ajouté.
Lundi dans l’après-midi, son porte-parole avait annoncé l’hospitalisation de David Sassoli « en raison d’une complication grave due à un dysfonctionnement du système immunitaire » et l’annulation de ses activités officielles.
ASSURANCE-VIE ?
Décès d’un vacciné = SUICIDE !
Nap3tetelauree – 11.1/2022
À Paris, un homme très riche décède du vaccin. Il a une grosse, très grosse assurance vie pour ses enfants et petits enfants. La justice a décidé que se faire vacciner avec un vaccin en expérimentation constitue une prise de risque auquel il n’était pas contraint. Aussi son décès a été juridiquement assimilé à un suicide. La prime d’assurance vie ne sera donc pas versée.
Source : https://crowdbunker.com/v/QO2iIzvCnZ
CHIFFRES OFFICIELS DES DÉCÈS ET DES d EFFETS INDÉSIRABLES ADR
Reports de la S1 du 1er au 11 janvier 2022
L’agence européenne des médicaments appelle à « ne pas surcharger le système immunitaire par des vaccinations répétées »
France-Soir – 12.1.2022
Marco Cavaleri, responsable des menaces sanitaires biologiques et de la stratégie en matière de vaccins à l’Agence européenne des médicaments.
Depuis quelques semaines, plusieurs scientifiques multiplient les mises en garde contre des rappels vaccinaux contre le Covid-19. Mardi 11 janvier, lors d’un point presse tenu à l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament), les avertissements sur la dangerosité des rappels multiples sont venus de l’Agence européenne des médicaments.
Tandis que le rappel vaccinal a commencé depuis plusieurs semaines dans la très grande majorité des pays européens, aux États-Unis et en Israël, Marco Cavaleri, responsable des menaces sanitaires biologiques et de la stratégie en matière de vaccins à l’Agence européenne des médicaments, a fait connaître ses craintes sur les rappels vaccinaux trop fréquents. Des rappels tous les quatre mois pourraient finir par affaiblir le système immunitaire, insiste ce responsable de la vaccination qui s’inquiète également du risque de fatigue au sein de la population avec l’administration continue de rappels.
Traduction et doublage : Jeanne Traduction
Les rappels « peuvent être effectués une fois, voire deux fois, mais nous ne pensons pas qu’ils doivent être répétés en permanence », a déclaré Marco Cavaleri qui invite les pays à laisser plus de temps entre les programmes de rappels et conseille de les effectuer au début de la saison froide dans chaque hémisphère, en suivant le plan établi pour les stratégies de vaccination contre la grippe. Il invite également à réfléchir à la manière dont nous pouvons passer du cadre pandémique actuel à un cadre plus endémique.
Source : https://www.francesoir.fr/societe-sante/marco-cavaleri-ema-alerte-rappels-repetes
Nez en moins…
L’apartheid pour les non-vaccinés est à l’ordre du jour en France et les enfants seront offerts au Moloch.
En Belgique, c’est pire. Quoique Le Soir de Bruxelles ne figure pas ici parmi les zélotes, il prépare les cobayes volontaires à la 4e dose.
À suivre, bien sûr.
Mis en ligne le 14 janvier 2022
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