La grande peur

et autres fariboles

 

 

Continuons de relayer ceux qui nous paraissent avoir raison.

 

 

France : la peur devenue la variable d’ajustement de la gouvernance despotique

 

Khider Mesloub. – Les 7 du Québec – 31.3.2025

 

 

 

 

 

Comment entretenir un climat de psychose pour justifier et légitimer un nouveau durcissement autoritaire et une énième politique économique d’austérité, accompli avec des moyens de conditionnement psychologique hautement technologique, sinon par la fabrication hystérique de la menace existentielle russe ?

Comment justifier et légitimer la caporalisation des esprits, sur fond de la militarisation de la société associée à une stratégie de contrôle social électronique totalitaire, en vue d’enrégimenter les prolétaires dans l’imminente guerre généralisée, sinon par une puissante propagande de guerre, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter un état de sidération et de psychose collective ?

Comme le disait Hermann Göring, ministre sous le régime nazi et fondateur de la Gestapo : « Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez »

En France, gouvernée par des dirigeants vérolés par le microbe de la manipulation mentale et infectés par le virus du totalitarisme, la peur est devenue la variable d’ajustement de la gouvernance tyrannique.

Pour la énième fois, dans le sillage de l’épidémie de Covid politiquement instrumentalisée, le gouvernement Macron, pour les besoins du totalitarisme et de la guerre sociale menée contre le peuple travailleur, vient de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion informationnelle d’une énième menace existentielle, hier virale (Covid), aujourd’hui virtuelle (russe). Depuis plusieurs mois, les médias français stipendiés s’emploient à agiter en permanence la menace d’une invasion russe imminente. (sic)

On se souvient comment le gouvernement Macron effrayait la population française avec la grippe. Selon les metteurs en scène gouvernementaux macronistes, jamais à court d’imagination, le Covid, ce serial killer viral, menaçait le peuple français (hommes, femmes et enfants compris) de disparition. Le Covid allait décimer des millions de personnes, y compris les quadruples vaccinées. Preuve de l’inefficacité des vaccins ARN-m…patentés.

 

 

____________________

 

Voir nos articles portant sur la COVID, le confinement dément, le terrorisme médiatique et les vaccins patentés : Résultats de recherche pour « covid » – les 7 du quebec

______________________

 

 

 

La crise du Covid, politiquement instrumentalisée, avait constitué une expérience sociologique de soumission de la population par la peur, d’imposition de mesures coercitives et restrictives d’une dimension inégalée. Cette politique macronienne terrorisante aura permis d’imposer sans grande réaction populaire des mesures liberticides scientifiquement infondées et médicalement inefficaces.

 

En France la production de la peur a pris une dimension industrielle

Rebelote. Bis repetita. Alors que l’épidémie de Covid est, depuis deux ans, médiatiquement miraculeusement jugulée, le gouvernement Macron vient de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion anxiogène d’informations relatives au péril fantasmé russe, informations propagées sur un ton alarmiste et avec des accents militaristes.

A lire les médias qui manipulent l’opinion comme leurs maîtres du pouvoir manipulent les chiffres du déficit budgétaire, la France serait menacée d’une imminente invasion russe. Il vrai que la France et la Russie ont une longue frontière commune. Cette frontière poreuse effraie la France peureuse. A écouter les dirigeants français apeurés, les chars russes sont aux portes de Paris, voire occuperaient bientôt la place de la Concorde.

Que le peuple de Paris se rassure ! Grâce à la maire Anne Hidalgo, les vétustes chars russes ne pourront pas pénétrer dans Paris, car ils ne sont pas équipés de la vignette Crit’Air obligatoire pour circuler dans les zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) ! A plus forte raison dans les zones à fortes émissions propagandistes françaises, la France, ce pays du mensonge déconcertant, de la démocratie mensongère.

La France désindustrialisée, dont l’industrie de la terreur tourne à plein régime fasciste, s’est spécialisée dans la fabrication de la peur. Cette peur dont un poète antique, à cette époque reculée où les peuplades étaient terrorisées par les forces de la nature, disait qu’elle engendre des dieux.

En revanche, à notre époque contemporaine sécularisée mais point économiquement sécurisée, en France la peur engendre des diables gouvernementaux pour terroriser le peuple. Le règne de la peur est l’arme des puissants. La peur protège les classes dominantes.

En France, la production de la peur a pris une dimension industrielle, seule industrie à ne pas subir la crise. Au contraire, l’industrie de la terreur connaît une croissance exponentielle, elle tourne à plein régime (fasciste).

A cet égard, actuellement, pour entretenir et amplifier la peur, les médias français stipendiés, relayant le narratif gouvernemental macroniste, diffusent des reportages catastrophistes consacrés à la menace existentielle russe, informationnellement annoncée, mais non militairement démontrée.

Cet énième «virus russe» fantasmé, agité comme un épouvantail, comme avec le Covid, est assurément moins dangereux que tous les dirigeants français, ces serial killers sociaux complices par ailleurs des génocidaires néo-nazis israéliens, qui détruisent concrètement les conditions d’existence et de travail de millions de personnes, saccagent réellement l’économie, anéantissent effectivement la vie sociale et culturelle.

«L’ignorance préserve de la peur», a écrit un auteur contemporain québécois. Mais la peur empêche surtout de penser (intelligemment, lucidement, politiquement, révolutionnairement).  Aujourd’hui, la classe dominante française propage et l’ignorance et la peur. Les dirigeants français ont fait de l’ignorance une vertu cardinale. Et de la peur, la politique gouvernementale du capital.

Dans la France vérolée par le peste brune, comme dans de nombreux pays, l’ignorance et la peur, ces deux pandémies de notre ère décadente, sont devenues les principales armes de destruction massive intellectuelle et psychologique employées par les puissants pour pérenniser leur domination, instaurer efficacement, c’est-à-dire sans rencontrer aucune résistance, leur totalitarisme. Pour inoculer leur virus totalitaire à l’ensemble de la population et du prolétariat afin d’annihiler toute velléité de résistance, se vacciner contre toute tentative d’insurrection populaire, révolte sociale, révolution émancipatrice.

Source :  https://les7duquebec.net/archives/298853

 

L’auteur :

Khider Mesloub, né à Paris, est d’origine algérienne. Éducateur spécialisé durant dix-sept ans auprès des adolescents, il est depuis dix ans assistant pédagogique dans un lycée de Rouen. On trouve couramment ses articles dans Algérie patriotique et Les 7 du Québec .

Ses livres :

https://www.amazon.fr/Livres-Khider-Mesloub/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3AKhider%2BMesloub

Son blog :

https://blogs.mediapart.fr/khider-mesloub/blog

 

 

 

 

Ce qui devrait vous faire peur !

 

 

Lyme, LSD, peste noire, grippe espagnole, les expériences d’armes biologiques des américains

(Peronne/ Tremblais)

 

 

Avec deux vidéos. Allez-y voir, c’est ici :

https://les7duquebec.net/archives/292201 

 

 

 

 

 

Ce n’est pas la première fois que l’armée anglaise…

 

 

PLAN REJECTED BY OWN ARMY

 

 

 

Source : The Hindustan Times

 

Elle l’a fait aussi à Churchill, à la fin des années quarante, et dans les mêmes circonstances exactement : attaquer la Russie, pourtant « alliée » à l’époque, à coups d’armes interdites par toutes les lois internationales.

 

 

 

 

No lecteurs anglophones peuvent aussi regarder/écouter la récente interview de John Helmer (Dances with Bears) par Dimitri Lascaris (Reason2Resist) :

 

Why does the British elite hate Russia so much ?

https://youtu.be/GtIj2sGppDs?si=GTAphGXhGXBNBzfp

 

 

John Helmer qui,  soit dit en passant, est bien le seul à parler d’Héliogabale – Syrien et empereur, de ses 14 à 18 ans – alors que ce que vous vivons est l’absolue répétition de ce que l’empire (romain) a connu sous son règne.

 

 

 

 

Il n’y a pas que Starmer pour savoir s’adresser aux troupes

 

 

Le maître de guerre

 

Reportage : Mozinor – Le media en 4.4.2.  – 7.4.2025

 

 

Source : https://lemediaen442.fr/macron-maitre-de-guerre-fait-son-discours-aux-armees-envoye-special-mozinor/

 

 

 

Et pendant qu’on y est…

Parfait exemple de ce qu’il ne faut pas faire

https://lemediaen442.fr/lettre-aux-francais-qui-font-semblant-de-ne-rien-voir-le-coup-de-gueule-de-nicolas-vidal-contre-lindifference-politique/

 

Coup de gueule, coup de gueule…

Ânonner, plaider, pleurnicher, gesticuler.

Quand donc les blogueurs et le personnel politique iront-ils prendre quelques cours chez le premier prof d’art dramatique venu, pour acquérir un rien de maîtrise d’eux-mêmes, apprendre à s’exprimer avec un minimum d’autorité et ne pas gigoter comme des poupées de son en délire ?  Il ne sert à rien d’avoir raison, si personne n’arrive à vous prendre  au sérieux.

Regardez M. Poutine et M. Asselineau : ils ont appris, eux.

 

 

 

« Hélas, hélas, hélas ! »

 

« Il aurait été utopique de se battre contre la politique française et de garder cette langue »

 

Anthony Lefebvre – Sputnik Afrique « Zone de contact »  – 13.4.2025

 

Le Niger a rétrogradé récemment la langue française en tant que langue de travail, au même titre que l’anglais. Au micro de Sputnik Afrique, Anawar Abdoulaye, activiste panafricaniste nigérien, a commenté cette mesure prise par les autorités nigériennes.

« Il était normal que le français perde effectivement sa place de langue officielle parce que ça aurait été utopique effectivement de se battre contre la politique française et de garder toujours cette même langue », a affirmé Anawar Abdoulaye, activiste panafricaniste nigérien.

« Il était normal que les Nigériens et toute la communauté AES se réapproprient effectivement les langues locales, toujours dans un désir de patriotisme, de promouvoir effectivement les cultures locales », a-t-il ajouté.

 

Retrouvez également dans cette émission :

Alexandre Ivanov, le directeur de la Communauté des Officiers pour la Sécurité internationale, sur l’implication de l’Ukraine dans la déstabilisation de la situation sécuritaire en Afrique centrale.

 

Vous pouvez écouter ce podcast aussi sur les plateformes suivantes: Apple PodcastsDeezerCastboxOvercastPodcast AddictPocket CastsAfripodsSpotify

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250411/il-aurait-ete-utopique-de-se-battre-contre-la-politique-francaise-et-de-garder-cette-langue-1071793248.html

 

Commentaire des Grosses Orchades :

Certes, si le français est devenu, au XVIIIe siècle, la langue diplomatique par excellence, c’est en grande partie parce que la France était un empire, et même un empire colonial, auquel le Pays de Liège allait finir par être asservi après avoir versé son sang pour elle, avant qu’une partie considérable de l’Afrique le soit.

MAIS…

Cette langue est un outil, et de cet outil, un certain nombre de personnes, dans les colonies ou ex-colonies françaises – écrivains, femmes de lettres, femmes et hommes d’État – se servent aujourd’hui mieux que les habitants de la France, en  fussent-ils natifs, lesquels sont fiers d’ignorer et de mépriser leur langue maternelle, stupidement farauds de l’avoir remplacée par un pidgin mal maîtrisé (président de la République en tête !). Or, cette langue n’est pas seulement un outil, c’est une arme que le peuple français a mis des siècles à forger et dont il est extrêmement stupide de se priver quand on la possède. C’est un patrimoine à partager, pas un colifichet d’importation à jeter.

L’auteur de ces ignes se souvient d’avoir longuement voyagé en train, au début des années cinquante, vers l’Italie dont elle venait d’apprendre la langue, avec des immigrés rentrant pour la première fois en vacances dans leur pays, en ne comprenant rien à ce qu’ils lui disaient, jusqu’au moment où elle s’est rendu compte qu’ils lui parlaient son propre dialecte wallon… avec l’accent sicilien. C’était pour eux une acquisition, pas une perte. Ils ne savaient pas le français parce que leurs compagnons de travail, à Liège, ne le savaient pas vraiment non plus, bien que ce fût la langue officielle de leur pays. comme celle des Siciliens était l’italien toscan.

Les Africains ont payé assez cher la connaissance, voire la maîtrise, de cet outil incomparable, pour s’en priver aujourd’hui par un réflexe affectif immature. Alors qu’ils pourraient le porter encore plus loin qu’il n’est allé jusqu’ici. Que Césaire et Senghor et tous leurs disciples nous pardonnent !

Ils pourraient plutôt s’inspirer de M Sergueï Lavrov.

M. Lavrov parle russe. Il parle aussi, parfaitement, l’anglais, qu’il devrait haïr. Et nous sommes à peu près sûrs qu’il n’ignore pas du tout le français et s’en sert fort bien quand cela lui est utile. C’est, entre autres raisons, pourquoi on le dit « rock star de la diplomatie ».

Souvenirs-souvenirs : il y a quelques années, un  homme de radio français, en reportage au Vietnam, ex-Indochine, a demandé à ses hôtes ce que ses auditeurs pourraient leur envoyer qui leur ferait plaisir. Ils lui ont répondu « des livres ». L’un d’eux lui a même récité une page de Victor Hugo apprise à l’école au temps de la colonisation, qu’il connaissait encore par cœur.

Tout cela ne les a pas empêché de combattre la France colonialiste et de la vaincre, en conservant ce qu’ils avaient retenu de leur asservissement. La sombre ironie de l’histoire est que, au moment de ce reportage, des industriels français investissant au Vietnam, y recrutaient du personnel par annonces dans les journaux rédigées en anglais, sans même se rendre compte que les Vietnamiens ont combattu aussi et vaincu aussi, les colonialistes anglophones.

La colonisation est toujours une histoire de classe, pas de race.

__________________

PS : On se permet de recommander la lecture de Lilyan Kesteloot, ex-colonisée.

 

 

 

Et pour finir…

 

 

Tiens, puisqu’on parlait d’Héliogabale…

 

UN LIVRE

 

Robert Turcan

Héliogabale et le sacre du soleil

Alb in Michel, 1985, 2016

283 pages

Résumé :

Un descendant de Bédouins fixés à Emèse, en Syrie, passe pour le fils adultérin d’un empereur assassiné. Il sert passionnément le culte d’un aérolithe qui passe pour figurer le soleil : Elagabal. Il continuerait volontiers à danser devant l’idole si une grand-mère avide de régner sous son nom ne le faisait proclamer empereur. Loin de renoncer à sa vocation sacerdotale, l’empereur-prêtre, qu’on surnommera Héliogabale, prétend imposer à Rome et aux Romains, à la barbe de Jupiter Capitolin, l’adoration de la pierre noire, ramenée des confins du désert. Rome réagit mal à cette volonté. L’exotisme audiovisuel d’une liturgie barbare choque son sens de la dignité. De surcroît, l’adolescent joue de son pouvoir pour jouir et régner autrement que ses prédécesseurs. Les gamineries, les farces cruelles, la gourmandise inventive, la sexualité frustrée ou pseudo-érotique de ce prince immature ont alimenté la chronique scandaleuse de l’historiographie romaine, qui fait paradoxalement d’Héliogabale un précurseur du premier empereur chrétien.

Ce règne éphémère ressemble aux Saturnales d’une révolution manquée, le tout sur fond de complot familial, avec une aïeule inquiète de perdre sa position à la cour et une tante soucieuse de pousser son fils Sévère-Alexandre sur l’échiquier du pouvoir.

Le cadavre de l’empereur-prêtre sera jeté dans le Tibre, en pâture aux poissons qu’il aimait naguère servir à table.

L’auteur :

Ancien élève de l’Ecole normale supérieure, ancien membre de l’Ecole française de Rome, professeur à l’Université de Lyon, Robert Turcan s’est consacré à l’étude des religions du monde romain, en particulier à l’archéologie figurée du dionysisme et des cultes orientaux (Mithra, Cybèle et Attis).

 

Ce livre existe aussi dans d’autres éditions : 

notamment chez Olivier Orban, 1988  et  Payot, 1997.

 

 

 

 

C’est John Helmer qui a levé ce lièvre. Après avoir dit, dans un autre article dont il fut question ici, que, d’après des scientifiques US, le président Donald Trump aurait un vocabulaire d’écolier de 9-10 ans.

Et du coup voilà que le comportement du POTUS s’éclaire.

 

 

 

Car…

Quand celui qu’Antonin Artaud appelait « l’anarchiste couronné » a été bombardé empereur de Rome, il avait 14 ans; quoi qu’il fût « grand-prêtre du soleil », fonction qu’il semble avoir héritée de son grand-père (vérifiez), et fonction dont il s’acquittait avec une sorte de fanatisme poussé jusqu’au délire. Mais était-il anarchiste, fou, ignorant, sexuellement dévoyé ? Non. Ce qu’il n’était pas et ne serait jamais, c’est : adulte. Avec, du jour au lendemain, dans les mains pour en faire ce qu’il voulait, des richesses et un pouvoir illimités.

Lire la suite

URL de cet article :  http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/un-livre/

 

 

 

Le résultat des courses ?

 

(vous n’êtes pas obligés de lire)

 

 

… c’est que nous n’assistons pas à une guerre entre puissances politiques ou économiques, mais à une gigantesque guerre des classes – Israël/EAU même combat – qui n’a jamais cessé un instant dans l’histoire des hommes, mais où la partie dominante, qui avait subi quelques revers, est redevenue plus agressive que jamais à la fin  de la Deuxième guerre mondiale.

 

 

 

 

Quand on vous dit par exemple que les USA font la guerre à l’Europe, n’en croyez rien ! Ils la font aux peuples européens. Et au peuple américain, comme ils la font aux autres. Les dominants des USA et les dominants d’Europe sont aussi unis que des siamois soudés par la hanche, contre leurs peuples respectifs.

Ce dont il est question, dans cette empoignade ultime, c’est de dépouiller les classes populaires, laborieuses par définition, de ce qu’elles avaient réussi à arracher aux classes prédatrices, essentiellement parasitaires, surtout en Europe et surtout au cours des deux derniers siècles, d’abord en France et ensuite, de façon déterminante, en Russie. C’est pourquoi Delenda Russia est leur mot d’ordre : pas seulement parce que la Russie est le dernier Eldorado qui reste, mais aussi parce qu’elle est associée depuis 1917 à tout ce que les voleurs appellent ‘ « état providence » pour mieux diffamer : des salaires décents pour des travaux utiles ; une nourriture suffisante pour soutenir les efforts nécessaires ; les avancées de la science et les connaissances médicales mises au service de tous et pas seulement des plus riches ; le droit et même le devoir d’autant d’instruction que possible pour tous les enfants quels qu’ils soient ; etc.

 

 

 

 

Pour détruire ce monde dont ils ne veulent pas, les parasites se devaient de commencer par détruire les systèmes d’éducation – et pas seulement ceux des pauvres ! – chargés de transmettre les connaissances ; priver en outre, en commençant par le peuple américain, les déplorables et autres sans-dents de toute nourriture saine et suffisante, ce qu’on a fait – en commençant aussi par le peuple américain – en les gavant de produits toxiques et avariés, genre MacDo, beurre de cacahuètes, sucreries et Coca-Cola, mais aussi et surtout, en les soumettant à l’emprise de drogues diverses de plus en plus létales, méthode employée au siècle dernier contre les Chinois et faisant fureur désormais à la porte des écoles, bientôt des maternelles, afin de rendre tous ceux qui ne comptent pas dépendants et physiquement inaptes. Sans se priver du lavage de cerveau des classes qui ne sont malheureusement plus dangereuses, en leur rognant bec et ongles dès le berceau et en les dressant à tout accepter comme inévitable et même désirable.

Il s’agit maintenant d’asséner le coup de grâce et de faire même disparaître le souvenir d’un service de santé accessible à tous, indépendamment de ‘l’état de fortune de ceux qui souffrent. Mission accomplished ! Allez voir aux urgences de par chez vous et essayez d’avoir un rendez-vous avec un spécialiste du cancer avant six ou huit mois (juste le temps d’être mort avant d’y arriver). Ce qui n’empêche pas « la recherche » médicale de ronfler au seul bénéfice des plus riches, ni aux peuples les plus pauvres de mourir de bonne grâce en servant de cobayes, qu’au moins ils soient bons à  quelque chose, hein ? Demandez à Bill et Mélinda Gates, qui ont tant fait pour alléger la supopulation en Indc et en Afrique.

La Palestine sert aujourd’hui de laboratoire expérimental au reste du monde, et le reste du monde s’en fout. On l’a dressé à s’en foutre et il obéit. Bientôt, ce sera son tour, mais demain est un autre jour, pas vrai ?

Plus d’art, plus d’histoire (d’ailleurs l’enseigner est interdit), plus de langues cohérentes capables de transmettre du savoir aux générations suivantes. Quoi, quel savoir ? Ces choses-là ne sont pas pour vous.

Vous ne devez plus avoir, non plus, de contrôle sur vos vies. Ni sur celles de vos enfants. Nous ferons d’eux que nous voudrons et qui nous amusera. Si vous n’êtes pas d’accord, on vous les prendra et on vous collera au gnouf pour vous apprendre à récalcitrer.

En fait, nous voulons vous supprimer et vous remplacer par des robots.  Par de l’IA qui ne nous cassera plus les pieds à jaboter de justice, de liberté, d’égalité, de fraternité, tout ça. C’est pourquoi vous allez avoir droit à toutes sortes d’épidémies, assorties de vaccins aux petits oignons, comptez sur nous, qui se chargeront de vous éliminer en vous tuant dans le meilleur des cas, en vous inoculant, sinon, le plus possible de maladies aussi rapidement mortelles que possible. On n’y a pas réussi tout de suite. Raison de plus pour persévérer.

Soyez donc fiers d’être remplacés (« reset » en pidgin) par la nouvelle pierre philosophale : l’IA.

Seulement… (disent Les Grosses Orchades qui la ramènent) à quoi peut ressembler une intelligence artificielle produite par des intelligences naturelles aussi déficientes que les vôtres ?

Comme elles sont déficientes, elles ne se posent pas la question.

Les Chinois ont eu un surhomme pour les sauver du sort qu’on leur réservait, qu’on nous réserve.

Prions tous les dieux et tous les diables pour que ceux qu’il a sauvés ne l’oublient pas.

Et surtout n’oublient jamais comment il a fait.

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 14 avril 2025

par Les Grosses Orchades.

 

 

0 Comments

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.