À la croisée de beaucoup de chemins
D’après nos informations (vérifiez), il y a, dans la population totale des USA, 2% de juifs.
L’AIPAC – sioniste – en représente la moitié : 1%.
L’autre 1% NE COMPTE PAS pour les Américains qui comptent, soit le 1% qui vit en parasite des 99% d’autres.
QUE FAIRE ?
Cette question a déjà été posée par quelqu’un de très important.
Réponse : au moins énoncer le problème clairement.
C’est ce qu’essaie de faire aujourd’hui Scott Ritter, qui fait partie des 99% de citoyens US qu’il appelle ici blattes parce que c’est ainsi que le 1% de la soi-disant élite les voit.
Le sionisme, parasitoïde de l’humanité
(Zionism, the Human Parasitoid)
Scott Ritter – 18.4.2025
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Ampulex compressa, aussi appelee Guêpe émeraude
La minuscule guêpe bijou injecte un venin neurotoxique dans les ganglions des blattes*, transformant le gros insecte en un zombie qui se laisse volontiers transformer en un hôte vivant dont se nourrira la prochaine génération de guêpes bijou avant d’émerger dans le monde, prête à s’attaquer à d’autres blattes qui ne se doutent de rien. Israël est l’équivalent moderne de la guêpe bijou, un prédateur qui infecte son hôte au moyen d’un poison qui altère l’esprit afin qu’il supporte volontairement l’intrusion parasitaire dans son être, qui finira par lui ôter la vie. L’hôte, dans ce cas, ce sont les États-Unis. En permettant à Israël de transformer notre nation en une version zombifiée de ce que nos pères fondateurs avaient envisagé**, nous ne faisons que faciliter notre propre disparition collective.
La guêpe bijou (Ampulex compressa) est ce que l’on appelle un parasitoïde, un organisme qui, contrairement aux parasites plus conventionnels, finit par tuer son hôte, la blatte américaine (Periplaneta americana).
L’attaque de la guêpe bijou se déroule en plusieurs phases, la première consistant à piquer la blatte directement dans une partie de son système nerveux central appelée premier ganglion thoracique. Le venin de la guêpe contient de l’acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur qui éteint les neurones moteurs, paralyse temporairement les pattes de la blatte et, ce faisant, laisse l’hôtesse d’honneur sans défense pendant que le minuscule parasitoïde vert se positionne pour le coup de main, plongeant son dard à travers les membranes tendres de la gorge du cafard et dans son cerveau, transformant ainsi l’hôte potentiellement violent en un zombie docile.
Certains scientifiques supposent que l’injection de GABA dans le cerveau de la blatte déclenche un effet semblable à celui de la dopamine, la blatte se soumettant à son sort en raison du plaisir qu’elle ressent à l’injection du venin qui lui coûtera finalement la vie
Le sionisme est un mouvement nationaliste juif apparu en Europe à la fin du XIXe siècle, qui visait à établir une patrie pour le peuple juif en prenant le contrôle de la Palestine. Aujourd’hui, la vision du sionisme s’est élargie, passant d’un Israël défini par les frontières établies par le mandat des Nations unies en 1948 à ce qui est appelé « Grand Israël », un territoire correspondant plus ou moins à l’Israël biblique. Bien que le sionisme soit généralement associé au gouvernement d’Israël et à sa politique, le fait est que sa plus grande expression se trouve en réalité aux États-Unis, où des organisations sionistes américaines ont tenté de kidnapper le gouvernement américain et, par extension, le peuple américain, pour faciliter la création du Grand Israël.
Ouverture du Congrès sioniste mondial à Jérusalem, 1964
À bien des égards, l’attaque de la guêpe bijou sur le cafard américain ressemble à l’approche adoptée par les sionistes US pour transformer la nation américaine et son peuple en un hôte zombie, dans le but de soutenir les objectifs odieux de ce mouvement. Au lieu d’un venin dopaminergique, les sionistes ont utilisé comme arme l’Holocauste, le génocide perpétré par l’Allemagne nazie sur les Juifs d’Europe. Norman Finklestein, fils d’un survivant de l’Holocauste, décrit ce phénomène dans son livre The Holocaust Industry : Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering (« L’industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance juive »). Finkelstein soutient de manière convaincante que l’establishment juif américain– une extension du sionisme – a exploité l’Holocauste nazi à des fins politiques et financières et pour promouvoir les intérêts des sionistes israéliens.
De cette manière, l’Holocauste devient l’équivalent du GABA, infectant le cerveau de l’hôte américain et, en le déboussolant avec la fiction qu’Israël est l’héritage logique et légitime de l’Holocauste, paralyse le peuple américain en l’empêchant de rejeter cette fausse association, et en le mettant en état de subir ce qui va suivre.
Scott discutera de cet article et répondra aux questions du public dans l’Episode 256 de l’émission Ask the Inspector.
Le peuple américain protège de manière possessive ce qu’il appelle ses droits souverains, en particulier ceux qui se rapportent aux libertés contenues dans les dix premiers amendements de la Constitution américaine (la Déclaration des droits). L’Holocauste-GABA, injecté dans le cerveau du peuple américain par les sionistes, altère le fonctionnement du cerveau collectif du peuple américain, émoussant sa réponse à des stimuli qui, autrement, déclencheraient une réaction de défense viscérale. Bref, l’injection d’Holocauste-GABA effectuée par le parasitoïde sioniste neutralise les neurones de l’hôte américain, de sorte qu’ils sont moins actifs et moins réactifs, ce qui conduit à l’abandon volontaire de souveraineté et à l’acceptation de se laisser dévorer vivant.
La guêpe bijoutière pique un cancrelat US
L’injecton du venin GABA-Holocauste dans le cerveau américain par la guêpe sioniste entraîne plusieurs comportements qui devraient être facilement détectés par toute personne ayant échappé à cette injection comme étant de nature éminemment autodestructrice. Le premier et le plus important est l’attaque contre la liberté d’expression. En assimilant l’Holocauste à la légitimité de la mission sioniste, le venin GABA-Holocauste permet la suppression de la liberté d’expression, droit américain le plus fondamental. La critique du sionisme devient une critique de l’Holocauste, qui est alors catégorisée comme intrinsèquement antisémite, ce qui conduit à la conclusion que la critique du sionisme est en soi un acte antisémite.
Le parasitoïde sioniste s’emploie ensuite à criminaliser cet antisémitisme revu et corrigé par ses soins en faisant de tout soutien à ceux qui s’opposent au sionisme un acte criminel passible d’arrestation et, si l’on n’a pas la chance d’avoir la citoyenneté américaine, d’expulsion. Le parasitoïde sioniste a émoussé la sensibilité des Américains qui, normalement, se rallieraient à des causes qui définissent l’essence même de la liberté civile américaine, telles que la liberté d’expression et le respect de la légalité, au point que nous applaudissons des voyous masqués et bottés, déguisés en agents fédéraux, qui arrachent des gens à leur domicile et à la rue, les jugent dans des tribunaux fantoches et les expédient hors du pays, au mépris total de l’État de droit.
Des agents de l’ICE enlèvent, dans la rue, Rumeysa Ozturk, doctorante de l’université de Tufts
C’est la mort de l’Amérique.
Et c’est le parasitoïde sioniste qui l’a rendue possible.
Le venin GABA-Holocauste ne fait cependant qu’émousser les mécanismes de réponse de l’hôte. Il ne les abolit pas complètement. À condition de recevoir suffisamment de stimuli appropriés, l’hôte américain peut encore agir dans son propre intérêt. Cela s’est récemment manifesté lorsque le parasitoïde sioniste a cherché à faire en sorte que les USA se joignent à Israël dans une attaque militaire contre l’Iran. Malgré les pressions considérables exercées par le parasitoïde sioniste sur l’administration du président Trump, les négociations avec l’Iran ont été choisies comme voie privilégiée.
La paix plutôt que la guerre.
Mais l’hôte américain n’est pas encore hors de danger. Le parasitoïde sioniste a planté dans le corps de l’hôte américain un œuf connu sous le nom d’American Israeli Public Affairs Committee (AIPAC). Laissé à lui-même, l’AIPAC cherchera à prendre le contrôle total du fonctionnement de son hôte américain, le dévorant de l’intérieur tandis que le peuple américain subira avec délices l’effet dopaminergique du venin GABA-Holocauste que le parasitoïde sioniste lui a injecté dans le cerveau.
L’hôte américain a été suffisamment conscient pour reconnaître le danger d’être entraîné dans une guerre avec l’Iran par le parasitoïde sioniste connu sous le nom d’Israël.
Nous devons maintenant reconnaître que l’AIPAC est le venin mortel injecté par le parasitoïde sioniste.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’exprimant au cours de la conférence annuelle de l’AIPAC, 2018.
Avant de pondre son œuf dans son cafard hôte, la guêpe bijou le pique trois fois : la première pour le paralyser et une deuxième pour prendre le contrôle de ses neurones moteurs. Mais il existe une troisième piqûre, essentielle au processus de ponte, qui est délivrée dans une partie spécifique du corps de l’hôte, en y injectant une substance connue sous le nom d’acétylcholine qui active des motoneurones spécifiques, lesquels amènent l’hôte à étendre de lui-même la patte centrale du côté que la guêpe bijou a choisi pour y pondre son œuf. Lorsque la patte centrale de l’hôte est repliée, la guêpe ne peut pas explorer la surface avec ses poils sensoriels pour trouver l’endroit idéal où pondre son œuf. En prenant le contrôle du circuit neuronal qui provoque l’extension de cette patte médiane, la guêpe bijou surmonte la dernière défense dont disposait l’hôte pour ne pas devenir un zombie. Sans l’extension de la patte, l’œuf ne prendrait pas et le cafard éviterait de devenir un hôte vivant de ce qui doit finir par le tuer.
Certaines blattes agissent passivement lorsqu’elles sont confrontées à une guêpe bijou, ce qui permet aux trois piqûres de se produire sans problème, assurant l’extension de la patte médiane et la ponte de l’œuf. D’autres, en revanche, choisissent d’affronter la guêpe bijou et permettent ainsi leur survie, même si les deux premières piqûres ont eu lieu. Certains cafards conservent suffisamment de capacité de réaction aux stimuli dangereux pour non seulement garder leur patte médiane repliée, mais aussi se rebiffer contre la guêpe à bijoux, ce qui finit par la faire décamper à la recherche d’une cible plus docile.
Le peuple américain a été piqué deux fois par le parasitoïde sioniste. Mais nous avons, jusqu’à présent, évité la troisième piqûre, celle qui est fatale. On en a eu la preuve quand l’administration Trump a résisté à la pression de l’Israël sioniste pour lui faire attaquer l’Iran.
Nous devons maintenant commencer à ruer contre le parasitoïde sioniste, à l’expulser de notre corps, à empêcher cette troisième fatale piqûre et à le priver de la capacité de faire en sorte que l’œuf de l’AIPAC prenne le contrôle de notre corps américain.
Une guêpe bijou fraîchement éclose émergeant du cadavre de son hôte, la blatte américaine.
J’ai récemment publié sur mon compte X que « l’AIPAC est un agent étranger non enregistré dont l’existence permanente constitue une menace existentielle pour la survie de l’Amérique ».
Il s’agit d’une déclaration aussi vraie et d’une articulation aussi vive de la menace que possible.
« Les Américains doivent se réveiller et agir avant qu’il soit trop tard », disais-je en guise de conclusion.
Le parasitoïde sioniste nous a déjà fait deux piqûres mortelles, qui ont infecté notre nation avec le venin GABA-Holocauste et qui nous ont poussés à détruire les défenses mêmes de la liberté d’expression et de la procédure régulière sur lesquelles nous comptons pour survivre en tant que démocratie libre et souveraine.
L’œuf de l’AIPAC attend dans les coulisses d’être inséré et de consommer toute notion de peuple libre et indépendant qui aspire à la promesse et à la vision deses pères fondateurs.
Nous devons commencer à ruer.
L’AIPAC est fatal à l’Amérique.
Et le parasitoïde sioniste est un ennemi du peuple américain.
Par parasitoïde sioniste, j’entends l’État d’Israël.
Il ne s’agit pas d’un trope antisémite.
Il s’agit d’un appel à l’action pour que les patriotes américains du monde entier sauvent notre grande nation.
Ne devenez pas des zombies sionistes.
Battez-vous.
Rendez à l’Amérique sa grandeur.
Avant qu’il soit trop tard.
____________________
* Les Blattaria, communément appelés coquerelles, ravets, cafards, blattes ou encore cancrelats, sont un sous-ordre d’insectes de l’ordre des Blattodea, dont font également partie les termites.
** Il y aurait beaucoup à dire sur ce que les pères fondateurs avaient envisagé, mais nous ne le ferons pas ici.
Après l’Amérique, l’Europe…
Dernière minute, Vidéo
(Durée : 1H30’)
EU/UK Paris Summit Plans Kiev Victory, Odessa Deployment, Defies US; Russian Advance On All Fronts
[Le sommet UE/RU de Paris prévoit la victoire de Kiev, un déploiement à Odessa, défie les USA ; la Russie avance sur tous les fronts]
Alexander Mercouris – The Duran – 17.4.2025
Vidéo impossible à sous-titrer et même à résumer, parce qu’abordant tous les aspects de la situation où se trouve l’Europe en ce moment précis : vendredi saint de 2025 pour les chrétiens.
La reine aragne au milieu de sa toile étoilée
Sachons juste que l’araignée nazie de Bruxelles (puisqu’on est dans les insectes, restons-y) qui a beaucoup de pattes et beaucoup d’yeux bureaucratiques et une grande toile étoilée, s’est débrouillée pour ramener, contre leur plein gré, les populations européennes au point exact où elles étaient le 31 juillet 1914.
Pour comprendre comment cela fut possible, il faut jeter un coup d’œil au Traité de Lisbonne du 13 novembre 2007, dont on se permet de vous rappeler qu’il n’a été ratifié que par 8 des 25 pays membres de l’époque – l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Hongrie, l’Italie, la Lituanie, la Slovénie et la Slovaquie – et massivement rejeté (par voie de référendum) en France et aux Pays-Bas.
Tout ce que fait l’araignée depuis 2007 est donc, selon toutes les lois internationales, non seulement abusif mais illégal.
Autrement dit, la « France », la Grande Bretagne et leurs petits croupions baltes n’ont aucun droit d’envahir militairement l’Ukraine sous le prétexte fallacieux de l’aider à « gagner » une guerre déjà perdue. Elles n’ont aucunement le droit d’augmenter de leur seul chef le nombre faramineux des morts ukrainiens ni d’empirer encore l’hécatombe en y ajoutant d’innombrables cadavres de leurs compatriotes, qui d’ailleurs les désavouent. Il s’agirait en l’occurrence d’un crime de haute trahison sur le plan national et d’un crime contre l’humanité sur le plan international.
Si les peuples concernés ne se lèvent pas, il faut que leurs armées le fassent.
Inutile de rappeler à quel point cet absolu dernier recours peut être dangereux.
Mais plus dangereux que l’irresponsable mafia prédatrice non élue de Bruxelles, qui se permet de leur donner des ordres ?
PS : On regrette qu’aucun organe d’information sérieux – à commencer par RT et SPUTNIK, n’ait jugé bon de reprendre les informations mises en ligne par le seul Eric Zuesse, sur The Duran :
An Example of a News-Report That’s Censored-Out in U.S.-&-Allied Countries
[Un exemple de reportage censuré aux États-Unis et dans les pays allies]
Eric Zuesse – The Duran – 13.4.2025
En anglais avec nos excuses
https://theduran.com/an-example-of-a-news-report-thats-censored-out-in-u-s-allied-countries/
Alors qu’une tentative de révolution colorée jette à Belgrade les sempiternels étudiants dans la rue, les vidéos de manifestations de masse en soutien au président Vucic reprises par Eric Zuesse sont tout simplement impossibles à ouvrir : CENSURE
Et les tauliers de The Duran ne se précipitent pas non plus pour en faire état. Comme s’il n’y avait que Trump au monde.
C’est le moment ou jamais
On ne lit (ou relit) jamais trop
Aleksandar Gatalica
À la guerre comme à la guerre !
Belfond (édition illustrée), 2015
570 pages
L’œuvre :
À la manière du Confiteor de Jaume Cabré, une fresque érudite aux dimensions épiques qui transcende l’espace et le temps. À la fois drôle et sombre, une folle prouesse littéraire, mêlant les voix de quatre-vingts personnages, réels ou fictifs : un roman total qui dévoile la Grande Guerre comme on ne l’avait encore jamais lue.
« Il y aura une guerre, une grande guerre » . Quelques mots, prophétiques, prononcés par un mort : l’archiduc François-Ferdinand lui-même.
Des rues de Paris où Cocteau se gave de pâté par peur d’être réformé, aux marchés d’Istanbul où le vieux Mehmed Yildiz voit ses trois apprentis bien-aimés partir au front, la mobilisation est lancée.
Depuis les profondeurs de l’Atlantique où des monstres terrifiants accompagnent un sous-marin jusqu’aux cieux méditerranéens où vole un peintre raté qui s’est juré de tuer Picasso, la folie meurtrière gagne les esprits.
Sur la scène d’un opéra en Allemagne, dans le palais du tsar, dans les cabarets londoniens, dans les villages arméniens, dans les tranchées de Verdun, la guerre s’insinue, partout.
Cinq années de guerre dans l’Europe tout entière, l’agonie d’une Belle Époque et l’avènement d’un monde nouveau, marqué par un doute : que l’humanité, désormais, ne soit plus capable que du pire.
L’auteur :
Né en 1964 à Belgrade, Aleksandar Gatalica est un des auteurs majeurs de la Serbie contemporaine. Il est également traducteur de nombreuses œuvres grecques classiques, critique musical et éditeur dans la presse. Il a publié six romans et autant de recueils de nouvelles ainsi qu’un guide de Belgrade pour les visiteurs étrangers. La musique, plus particulièrement le piano, est sa grande source d’inspiration. Il est aujourd’hui le responsable de la Fondation de la Bibliothèque Nationale de Serbie.
Ses livres :
https://www.amazon.fr/Livres-Aleksandar-GATALICA/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3AAleksandar%2BGATALICA
Mis en ligne le 19 avril 2025
par Les Grosses Orchades
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