Vous avez dit
« corruption structurelle » ?
Pour les centaines de milliers d’enfants disparus depuis,
d’Ukraine par les frontières de l’Europe,
d’Amérique Latine par les frontières des USA.
Et tous les autres d’Irak, de Libye, de Syrie,
… à Gaza
Nous avons reçu ceci :
Le 25 juin 1995, les petites Julie Lejeune et Mélissa Russo étaient enlevées à Grâce-Hollogne, pour être livrées par Marc Dutroux et ses complices aux réseaux de tortures et d’assassinats d’enfants. La Justice belge a très rapidement renoncé à instruire le fond du crime.
Nous savons depuis 1997 que l’État belge a rédigé des faux procès-verbaux pour ensabler toute la procédure. Ce sont désormais toutes les victimes de ce crime permanent contre l’Humanité dont le sort est entre les mains d’une solidarité inconditionnelle, sans compromis négociable avec les institutions.
COLLECTIF FRANCO-BELGE DUTROUX-OUTREAU
La mémoire, comment nous parle-t-elle, l’histoire, comment la raconte-t-on, l’oubli, comment nous arrange-t-il ?
Collectif d’action, de recherche et de solidarité, le CFBDO naît ce 25 juin 2025 pour le soutien matériel et psychique aux victimes de la pédocriminalité et pour la réflexion publique sur les pratiques judiciaires envers les victimes d’une criminalité masquée par le mode de fonctionnement des institutions publiques ou privées.
Si vous ne désirez pas figurer dans cette lise d’envoi, faites-le moi savoir.
Des informations vous seront envoyées, selon les urgences, l’actualité ou l’état de nos recherches.
Provisoirement, ce sera le compte bancaire du Centre Haroun Tazieff pour les Sciences de la Terre qui servira pour la constitution d’un fonds de solidarité.
Je précise qu’Haroun Tazieff et son épouse France ont très largement contribué financièrement à la solidarité avec les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo.
Frédéric Lavachery
Président fondateur du Centre Haroun tazieff pour les Sciences de la Terre.
Vous pouvez vous y associer
MANIFESTE DU 25 JUIN
Le 25 juin 1995, les petites Julie Lejeune et Mélissa Russo étaient enlevées à Grâce-Hollogne, pour être livrées par Marc Dutroux et ses complices aux réseaux de tortures et d’assassinats d’enfants. La Justice belge a très rapidement renoncé à instruire le fond du crime.
Nous savons depuis 1997 que l’État belge a rédigé des faux procès-verbaux pour ensabler toute la procédure. Ce sont désormais toutes les victimes de ce crime permanent contre l’Humanité dont le sort est entre les mains d’une solidarité inconditionnelle, sans compromis négociable avec les institutions.
COLLECTIF FRANCO-BELGE DUTROUX-OUTREAU
La mémoire, comment nous parle-t-elle, l’histoire, comment la raconte-t-on, l’oubli, comment nous arrange-t-il ?
Collectif d’action, de recherche et de solidarité, le CFBDO est né le 25 juin 2025 pour le soutien matériel et psychique aux victimes de la pédocriminalité et pour la réflexion publique sur les pratiques judiciaires envers les victimes d’une criminalité masquée par le mode de fonctionnement des institutions publiques ou privées.
Le respect de l’intégrité et de la dignité de l’enfant serait-il la clé de la résistance à la loi du plus fort ?
La personne la plus vulnérable de la planète, symboliquement, n’est-elle toujours un enfant ?
Les procès d’auteurs de pédocriminalité connus sous les noms d’affaire Dutroux, Nihoul et consorts (Arlon 2004) et d’affaire d’Outreau (Saint-Omer 2004, Paris 2005 et Rennes 2015) ont-ils délibérément occulté la réalité dans ces deux affaires de réseaux de trafic et de tortures d’enfants ?
Par la corruption, l’infiltration, l’intimidation et le chantage, les réseaux pédocriminels utilisent les services sociaux et judiciaires de protection de l’enfance comme source d’approvisionnement, parfois même dès la naissance comme cela arrive notamment lors d’accouchements sous X.
La raison d’État serait-elle une plante toxique invasive et sans remède, qui rôde sans opposition dans les coulisses de l’instruction de procès, par le contrôle de juridictions, de barreaux et de la presse ? Le crime d’État pourra-t-il jamais être instruit au nom de la Constitution ? Par qui donc pourrait-il être instruit, jugé, quelle réalité pourrait être condamnée et à quel genre de peine ?
La condition faite aux personnes les plus vulnérables sous la loi du plus fort est le point focal de l’action et de la réflexion relatives à l’État et aux institutions qui a déterminé la création du Collectif Franco-Belge Dutroux-Outreau (CFBDO).
Les dossiers judiciaires non ouverts sur les réseaux de trafics d’enfants dont la protection a été confiée à l’État par la Justice dans nos pays au cours du XXème et du XXIème siècles tracent dans la conscience collective de nos démocraties et dans l’histoire de nos institutions un épouvantable angle.
Le CFBDO est une initiative prise par des personnes pleinement engagées dans la solidarité inconditionnelle envers les victimes de la pédocriminalité, spécialisées dans l’examen des dossiers d’instruction, notamment de ces deux affaires, dans la prise en charge et l’étude du psycho-traumatisme des victimes, dans l’histoire comparée des institutions et de la criminalité organisée, dans la philosophie et l’histoire du droit ou dans l’étude des sources de la culture de l’Humanité.
Extrait de presse, mai 2025 :
« Violences sexuelles : après le jugement au procès de Gérard Depardieu, la notion de victimisation secondaire fait débat. Le tribunal de Paris a condamné l’acteur à verser 1000 euros à ses deux victimes au motif qu’elles avaient été exposées à une dureté excessive des débats à leur encontre du fait de la défense agressive de son avocat, Jérémie Assous. »
La défense très violemment agressive des mis en examen lors des procès de l’affaire d’Outreau a détruit des enfants d’Outreau reconnus victimes de viols et de proxénétisme et qui, adultes aujourd’hui, sont à la rue, contraints parfois de se nourrir dans les poubelles. Il arrive que certains d’entre eux soient emprisonnés parce qu’ils risquent de reproduire sur d’autres les graves sévices dont ils furent eux-mêmes les victimes dans leur toute petite enfance.
Cela peut-il s’expliquer autrement que par le crime de l’État envers l’enfance violée à Outreau, crime continu depuis la commission des faits jusqu’à la conduite des trois procès et au contrôle toujours actuel de la presse pour garantir le discrédit concerté de la parole des enfants martyrisés ?
En va-t-il de même en Belgique pour les « témoins X » des dossiers annexes de l’instruction de l’affaire Dutroux, Nihoul et consorts ? Certaines victimes se sont suicidées, d’autres sont en dépression profonde du fait de leurs témoignages et de leur lynchage judiciaire et médiatique.
Qui peut s’affranchir de tout rapport à l’État ? Comment s’y prendre pour sauver l’enfance et chaque victime du cancer d’une corruption structurelle ? Maladie auto-immune de nos Constitutions, la corruption devient un crime contre l’Humanité. La solution est devant nous, à condition de sonder le passé le plus profond de notre Histoire.
Le Collectif Franco-Belge Dutroux-Outreau y travaille.
Adresse de contact :
collectif.franco-belge@cfbdo.be
Mis en ligne le 26 juin 2025
par Les Grosses Orchades
0 Comments