Ce vendredi, les USA fêtaient leur 249e anniversaire.
Transcription – America This Week,
4 juillet 2025 : « La grande arnaque du renseignement américain »
Diddy acquitté, Russiagate dévoilé et Catch-22 bouclé.
Bon Anniversaire, Amérique !
Matt Taibbi et Walter Kirn – 5.7.2025
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Matt Taibbi : Bonjour à tous. Bienvenue dans America This Week. Je suis Matt Taibbi.
Walter Kirn : Et moi, je suis Walter Kirn..
Matt Taibbi : Et Walter et moi, comme vous pouvez le voir, ne sommes plus ensemble. Ce fut un moment éphémère dans l’histoire, Walter…
Walter Kirn : Ouais, ce fut vraiment le cas. Ouais. Sun Valley, cet endroit qui rassemble toutes les personnalités importantes du monde dans un étrange entonnoir. J’ai même eu l’impression, l’espace d’un instant, que nous faisions partie de la classe qui dirige les choses. J’ai vu des jets privés survoler des fêtes gigantesques, et j’ai cru un moment que je me trouvais… pas seulement au milieu d’oligarques, mais de gens du passé secrètement influents.
Matt Taibbi : Oui. Nous avons peut-être rencontré le Grand Gatsby.
Walter Kirn : Nous avons peut-être rencontré le Grand Gatsby, oui. Le Gatsby de l’État Profond. Mais c’était intéressant d’être là-haut, et intéressant de faire l’émission en direct sans être agressés par des commentaires injurieux comme c’est le cas quand nous diffusons sur X en direc
Matt Taibbi : Nous ne recevons pas que des commentaires injurieux. C’est juste que ce sont ceux-là que je remarque.
Walter Kirn : C’est vrai. Mais on n’en a eu aucun à Sun Valley.
Matt Taibbi : Exact.
Walter Kirn : Tu vois, c’est l’avantage de se trouver chez les classes supérieures. Ils se comportent de manière un peu plus polie que les commentateurs qui apparaissent à droite de mon écran quand nous diffusons en direct.
Matt Taibbi : J’ai un souvenir de Sun Valley que tu n’as pas, Walter : j’ai pris un selfie devant la camionnette « Pures races et bâtards » de chez Con et Supercon…
Walter Kirn : Ouah !.
Matt Taibbi : … qui était garée à Sun Valley parce que les frères Farrelly y habitent et qu’il y a un parking près de l’aéroport, qui est bourré de tires incroyables, dont quelques-unes des plus belles Porsche au monde. Mais la camionnette des chiens pure-race et bâtards s’y trouvait aussi. Donc, je vais poster mon selfie dans un coin ou l’autre. C’était plutôt cool, je trouve.
Walter Kirn : Mais, est-ce que ça n’a pas fini à Aspen dans les films ? La concurrence de Sun Valley, tu te souviens ?
Matt Taibbi : Oui, mais peut-être qu’Aspen était une espèce de substitut de l’endroit où ils se retrouvent vraiment. Je ne sais pas.
Walter Kirn : Intéressant.
Matt Taibbi : Mais bon, c’est un endroit sympa. J’ai pris le téléphérique, la télécabine. C’est est incroyablement beau, Sun Valley, si on a jamais l’occasion d’y aller.
Walter Kirn : En vérité, je tiens à remercier nos hôtes de nous y avoir fait passer un moment, de nous avoir hébergés dans un endroit si chic et d’avoir été si courtois, si serviables et stmpathiques. Alors, merci au Forum Politique de Sun Valley
Matt Taibbi : Absolument. Ouais. Et je comprends pourquoi Papa Hemingway était allé s’installer là. Ça m’avait toujours intrigué, mais maintenant, je sais pourquoi. Cela dit, en ce moment, nous nous trouvons dans des endroits différents. Je suis à Denver, et, Walter, on dirait que tu es rentré à Livingston.
Walter Kirn : Ouais. Hier, j’ai roulé six heures de nuit depuis Sun Valley, ce qui te fait passer par un des endroits les plus effrayants de l’Archipel américain de la Défense, qui s’appelle Idaho National Laboratory. C’est une grande partie déserte de l’Idaho. Et c’est là qu’ils construisent des réacteurs nucléaires pour les sous-marins et autres, et où ils font maintenant des recherches pour construire les petits réacteurs nucléaires qui vont alimenter notre avenir en matière d’IA.
Matt Taibbi : Mince.
Walter Kirn : Ouais, C’est au point que je pouvais sentir son rayonnement. Je me suis arrêté à Arco, dans l’Idaho, qui a été la première ville au monde à être alimentée par l’énergie nucléaire.
Matt Taibbi : Mince.
Walter Kirn : Ouais..
Matt Taibbi : Mince.
Walter Kirn : Qui vient de « Advanced Research Corporation ». Et j’ai…
Matt Taibbi : Le nom de la ville est un acronyme nucléaire ?
Walter Kirn : Oui. La ville est un acronyme nucléaire.
Matt Taibbi : J’adore.
Walter Kirn : Et j’y ai mangé le pire hamburger que j’aie bouffé depuis 50 ans..
Matt Taibbi : Et moi, j’ai mangé le pire hamburger que j’aie mangé de toute ma vie, je crois. On verra, nous comparerons nos notes plus tard.
Walter Kirn : OK. OK.
Matt Taibbi : Mais quoi qu’il en soit, super voyage. Aujourd’hui, pour ceux qui regardent, c’est le 4 juillet. Alors, joyeux 4 juillet à tous. Joyeux 4 juillet, Amérique !
Walter Kirn : Également connu comme le « Jour sans roi » .
Matt Taibbi : Ouais, le Jour sans roi, Exactement. Est-ce qu’ils vont faire ça demain ?
Walter Kirn: Oui oui. Ils vont refaire le Jour sans roi.
Matt Taibbi : Oh, mon Dieu. Basta pour aujourd’hui. Je comprends. Mais allez. Bon, d’accord. Il y a eu des nouvelles importantes. C’est drôle, au cours de la semaine, Walter et moi… Walter m’a envoyé un article de Miranda Devine du New York Post, qui sans doute est surtout connue du public pour avoir révélé l’affaire de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Mais cette fois-ci, elle a grillé tout le monde avec un nouveau rapport de la CIA sur le Russiagate, qui devrait faire la une partout, mais qui ne la fait pas, à cause d’une autre histoire qui fait actuellement la une à sa place. Il s’agit de l’acquittement de Sean Puff Daddy Combs. Je n’ai pas suivi cette affaire de très près, mais on va quand même en parler un peu. Les gens ne le remarquent peut-être pas, mais, en fait, il existe un lien entre ces deux affaires, à savoir la famille Comey. Le rapport sur le Russiagate éstt très méchant pour James Comey, mais encore plus méchant pour quelqu’un d’autre. Et le procureur qui a perdu dans l’affaire Puffy est sa fille. Comment s’appelle-t-elle déjà, euh ? Quel est le nom de sa fille ?
Walter Kirn: M’en souviens pas.
Matt Taibbi : Bah…
Walter Kirn : Son nom de famille est tellement remarquable que son prénom en est éclipsé.
Matt Taibbi : Oui. Il fait rutiler l’ensemble. Alors, voyons voir.
Walter Kirn : Pourraient-ils refaire la famille Addams en l’appelant famille Comey ?
Matt Taibbi : Oh, mon Dieu !
Walter Kirn : Et ils sont effrayants.
Matt Taibbi : Il est assez grand.
Walter Kirn : Oui, exactement : Lurch.
Matt Taibbi : Oui, hein ? C’est Lurch tiout craché. Si tu as déjà vu le type, la plupart des gens qui sont aussi grands que ça sont physiquement intimidants… lui, c’est le seul bonhomme de deux mètres à qui je trouve l’air d’une lavette.
Walter Kirn : Drôle de mec.
Matt Taibbi : Oui. Mais bon, c’est une affaire importante à plusieurs niveaux. J’ai vu plein de gens la comparer au verdict dans l’affaire O. J. Simpson. Ce n’est pas le verdict dans l’affaire O. J. Simpson. Nous verrons pourquoi ce n’est pas le verdict dans l’affaire O. J. Simpson. Donc, P. Diddy a été acquitté des chefs d’accusation les plus graves, pour lesquels il aurait pu être condamné à la prison à vie. Il s’agissait essentiellement d’accusations au titre de la loi RICO pour racket et…
Walter Kirn : Ma femme m’a demandé ce matin : « Qu’est-ce que le racket, Walter ? » Et comme je ne me sers pas de Grok, je lui ai sans doute donné une réponse insuffisamment détaillée. Mais que signifie « racket » ?
Matt Taibbi : Eh ben, le racket, c’est justement ce qui a donné son nom à notre site, « racket » , comme si nous avions une entreprise criminelle. Classiquement, un racket ; c est une organisation criminelle où toutes les personnes qui en font partie contribuent d’une manière ou d’une autre, à commettre un crime, même si elles ne le commettent pas personnellement : si l’organisation commet ce crime et que tu fasses partie de l’organisation, tu es un racketteur, tu es dans un racket. Le cas le plus classique est celui d’un racket de protection. Ainsi, si tu es un mafieux et que toutes les entreprises d’un périmètre de 10 pâtés de maisons doivent verser de l’argent à ta mafia pour sa « protection », il s’agit d’une entreprise de racket. Si tu n’es que leur comptable et que tu ne te rends pas sur place pour menacer les gens, tu es quand même condamnable. C’est ainsi que fonctionne la loi RICO. La loi RICO permet au gouvernement de poursuivre des gens pour des crimes, même si ces gens n’étaient pas présents lors des faits.
Walter Kirn: Des gens qui n’ont pas appuyé sur la gâchette, pour ainsi dire ?
Matt Taibbi: C’est ça.. Exactement.. Donc Diddy a été massivement sur-inculpé. De toute évidence, il y a eu des infractions individuelles spécifiquement commises contre… est-ce trois femmes ? Trois femmes, qui, je pense, étaient les principales plaignantes dans cette affaire, et certaines d’entre elles sont assez chamboulées. Si tu lis ces témoignages, regarde, tu peux voir à quel point toute cette histoire est horrible et révoltante. Mais la théorie du gouvernement dans cette affaire était que non seulement ces mauvaises choses se sont produites, mais que l’ensemble de son entreprise était une organisation criminelle dont le but était le trafic sexuel et les infractions sexuelles, ce qui est une théorie bizarroïde sur la façon dont tout ça s’est passé. Et la plupart des avocats qui ont réagi à ce qui s’est passé, et nous reviendrons sur leurs réactions, critiquent vivement les procureurs pour avoir choisi cette voie d’inculpation plutôt qu’une autre un peu moins sexy. En fait, il a été condamné en vertu de la loi Mann. Walter, quand as-tu entendu parler de la loi Mann pour la dernière fois ?
Walter Kirn : Je ne sais pas… dans « Shérif, fais-moi peur » ou quelque chose comme ça ? Il me semble que La loi Mann interdit le transport d’une personne mineure par-dessus la frontière d’un État à des fins de prostitution. C’est un des rares délits que je n’ai jamais commis accidentellement, et je pense que c’est injuste pour les gens qui vivent près des frontières d’un État. J’ai grandi près d’une frontière d’État, ce qui signifie que si j’étais allé de Taylors Falls, dans le Minnesota, à St. Croix Falls, dans le Wisconsin, avec des intentions louches, j’aurais été accusé d’un crime fédéral, mais que si j’avais fait la même chose dans l’autre sens, sur une distance de 8 kilomètre, je ne l’aurais pas été.
Matt Taibbi : Exactement. Oui. C’est bien ça. Il s’agit d’une loi qui a souvent fait la une des journaux aux débuts du FBI et aux débuts de l’application de la loi pénale fédérale. De nombreuses personnalités très célèbres ont été inculpées en vertu de la loi Mann, notamment Charlie Chaplin, Frank Lloyd Wright et Jack Johnson, le boxeur poids lourd.
Walter Kirn : Et il est intéressant de noter que, dans le langage courant…
Matt Taibb i : Chuck Berry.
Walter Kirn : …dans le langage courant, on appelait ça autrefois traite des blanc(he)s, contrairement à l’esclavage des noirs, L’esclavage blanc, c’était la prostitution, le proxénétisme et le transport de personnes d’un endroit à un autre à ces fins.
Matt Taibbi : Oui. Cette loi a été souvent utilisée pour arrêter quelqu’un qui avait simplement eu une relation consentie, mais qui avait fait traverser la frontière à sa petite amie et qui était, d’une manière ou d’une autre, un ennemi politique de l’État. Nous savons comment le FBI fonctionnait à l’époque. Mais je ne sais pas. Walter, quelle est ta première impression sur le verdict rendu dans l’affaire Diddy ? Car il y a quelques aspects intéressants que certaines personnes ne semblent pas avoir compris.
Walter Kirn : Eh bien, l’avantage de la sur-inculpation, c’est que quand tu finis par être condamné pour une chose qui, autrement, aurait paru sérieuse si elle avait été la charge principale, on a l’impression que tu t’en es tiré à bon compte. Techniquement, Puff Diddy ne s’en est pas tiré à bon compte. Il a été condamné pour un crime fédéral très grave, mais il n’a pas été condamné pour des crimes fédéraux encore plus graves. Par conséquent, relativement parlant, il s’en est bien sorti. En d’autres termes, c’est un peu une question d’optique ou de point de vue. Et ce que je pense, en général, du point de vue de Sirius ou avec un regard d’émouchet, c’est que Puffy a des amis haut placés quelque part, car je connais pas mal de gens chez les avocats, et que l’une d’entre eux en particulier, qui suit ce genre de choses avec beaucoup d’attention, qui suit les scandales gouvernementaux, la corruption, etc., et qui a une vision pessimiste du fonctionnement des choses en Amérique, a été capable de prédire, avant même que toute une série d’autres accusations ne soient abandonnées, sur laquelle il serait condamné.
Et sa théorie pour expliquer cette issue, était qu’il est, d’une certaine manière, une personnalité protégée. Il ne s’agit là que d’une spéculation de sa part, mais elle ne manque pas d’un certain poids, puisqu’elle lui a permis de formuler une prévision aussi précise.
Source : racket news
Un autre 4 juillet
Afghanistan
La Russie devient le premier pays à reconnaître officiellement le gouvernement taliban.
Le 4 octobre 2024, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov en compagnie du ministre des Affaires étrangères par intérim des talibans afghans, Amir Khan Muttaqi, à Moscou.
Une décision qualifiée de « courageuse » par Kaboul et saluée par la Chine, qui s’est engagée à « poursuivre une politique étrangère d’amitié envers le peuple afghan ».
Et ceci est le drapeau taliban de la République Islamique d’Afghanistan hissé pour la première fois à la fenêtre de son ambassade à Moscou.
Reconnaissance du pouvoir taliban par la Russie : les Afghans entre espoir et doutes
L’Orient–Le Jour – 5.7.2025
Les responsables russes et afghans se sont félicités de cette reconnaissance, affirmant qu’elle offrait la possibilité d’approfondir la coopération, notamment dans les domaines de l’économie et de la sécurité.
« Avec la situation actuelle en Afghanistan, avec tous les défis, tout le monde s’inquiète. Si le monde reconnaît l’Afghanistan, nous serons heureux, actuellement même la plus petite chose compte », souligne Gul Mohammad, 58 ans, à Kaboul. Bien qu’ayant un souvenir amer de l’invasion soviétique de l’Afghanistan en 1979, lorsqu’il avait « tout perdu » et trouvé refuge au Pakistan, il estime que les « priorités sont différentes à présent ».
Lequel de ces Messieurs a-t-il été quotidiennement torturé à Guantanamo pendant de longs mois, pour devenir ministre de la Défense d’Afghanistan à sa sortie ?
Pour protéger les Routes de la Soie qui passent par le Xinjiang limitrophe ?
Il serait question de pourparlers entre Pékin et Kaboul pour installer une présence militaire chinoise en Afghanistan
Wang Yi, ministre des Affaires étrangères de la RPC
Lors de la prise de pouvoir par les talibans, la Chine, contrairement à plusieurs puissances occidentales, avait maintenu ouverte son ambassade à Kaboul où son ambassadeur était resté présent, tout en rapatriant néanmoins 210 de ses ressortissants. La Chine, cependant, n’a pas reconnu officiellement le régime des talibans, attendant de voir sans doute la composition d’un futur gouvernement qu’elle espérait « ouvert, inclusif et largement représentatif ». Elle déclarait aussi attendre des talibans des garanties sécuritaires pour ses entreprises et ses ressortissants, avant d’investir dans le pays.
Les talibans se sont montrés réceptifs à ces mains tendues. Un de leurs porte-parole, Suhail Shaheen a qualifié la Chine de « pays ami de l’Afghanistan ». et un autre, Mohammad Naeem, a assuré que « le sol afghan ne sera pas utilisé contre la sécurité de quelque pays que ce soit ».
En juillet 2024, un accord économique a même été signé pour l’exploitation, par une compagnie chinoise, de la mine de cuivre afghane de Mes Aynak.
On en est là.
Mais… qu’ils soient ou non patronnés (payés et armés) par les USA, par le Sultan ou par d’autres, et qu’ils soient issus d’Afghanistan, du Pakistan ou d’ailleurs, les soi-disant djihadistes quoi-qu’il-en-soit terroristes font florès depuis plus de deux décennies, comme l’expérimente en ce moment même l’infortunée Syrie. Et on ne parle guère en Occident, où il n’y en a que pour les « malheureux Ouïghours », des assassinats répétés d’ingénieurs et de travailleurs chinois – sans parler du sabotage des travaux – dans le Xinjiang. Les routes de la soie doivent passer par là et ne pourraient qu’apporter de la prospérité aux populations traversées, mais il faut que le gouvernement chinois puisse être sûr de pouvoir protéger ses ressortissants tout autant que ses routes et il devrait pouvoir compter sur un gouvernement afghan sérieux, responsable et si possible amical.
Dans le fond, ces fameuses routes sont peut-être l’occasion inespérée d’un déblocage de la situation où se trouve la moitié féminine de la population afghane, qui se promenait vêtue de la sorte dans Kaboul, où il n’était pas encore question de jihad colorée, en 1979 :
Quand M. Zbigniew Brzezinski se vantait d’attirer l’URSS dans un bourbier qui lui serait fatal et s’en allait, quelques mois après cette photo, haranguer ses chers moudjahidines au Pakistan, il ouvrait la boîte de Pandore d’où allaient sortir al Zarkaoui, Ben Laden, Mokhtar Belmokhtar et aujourd’hui al Charaa, pour ne rien dire de ceux qui ont, pendant dix ans, mis la Tchétchénie à feu et à sang, laquelle n’a été sauvée que par l’héroïsme d’Akhmad Kadyrov et de ses alliés russes, aux côtés desquels son fils Ramzan a ensuite non moins héroïquement combattu les nazis d’Ukraine. Le combat a l’air d’être sans fin, et il a toujours les mêmes lointaines origines. On ne peut qu’espérer qu’elles s’autodétruiront bientôt.
Mis en ligne le 6 juillet 2025
par Les Grosses Orchades
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