Qu’il soit bien clair, une fois pour toutes, que pas un seul Américain vivant ne pourrait, même pour sauver sa vie, expliquer ce que signifie, le mot « gauche » en politique, ni ce qu’a été la seule « gauche » légitime, ni où.
Que la notion de gauche n’ait rien à voir ni de près ni de loin avec les USA va sans dire mais mieux encore en le disant.
Ce que les Zuniens désignent avec de plus en plus d’exécration par ce mot n’est autre que la clique du Parti Démocrate, laquelle n’est pas plus démocrate qu’elle n’est de gauche.
Abus de langage ignorant perpétré non seulement par les plumitifs des USA mais, ailleurs, par tous ceux qui servilement les imitent.
Au moins leur abus du mot « démocratie » fait-il grincer des dents aux Grecs.
Un seul homme, au XXe siècle, a parfaitement illustré l’expression française « de gauche », qu’il a remplacée dans son pays par le mot russe « bolchevique ».
Ceci date du mois de mars, et c’est toujours l’omertà partout.
Pendant que vous ne faisiez pas attention, l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden s’est avérée vraie et personne n’a eu à rendre de comptes.
Tyler Durden – Zero Hedge – 20.3.2022
Présenté par QTR’s Fringe Finance
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Il s’avère que le parti qui a passé quatre ans à accuser le président Trump de collusion avec les Russes s’est rendu coupable d’une dissimulation massive, au profit de Joe et Hunter Biden, alors qu’approchait le scrutin de 2020, dissimulation pour laquelle ils n’ont pas encore eu à rendre de comptes.
Cette malhonnêteté des médias dominants est devenue si courante, qu’elle fait partie des raisons pour lesquelles j’ai insisté sur le fait que les médias grand public sont en train de perdre le combat de leur vie en ce début d’année.
Leur prévisibilité devient si flagrante qu’il était facile de comprendre que le Covid ne serait plus un problème en 2022 et que nous vivrions ce que j’ai appelé « Le grand pivotement du Covid de 2022 ».
Et maintenant, nous faisons également marche arrière sur ce qui s’est avéré être d’autres fausses accusations de collusion avec la Russie. Formidable.
Je me souviens avoir parlé à mon père, à l’époque des élections, de l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden, histoire grâce à laquelle il fut découvert que ce portable du fils du candidat à la présidence Joe Biden contenait la preuve que le premier Biden avait vendu son influence à la Chine alors que son père, le second Biden, était vice-président des États-Unis .
Et en plein milieu d’une couverture médiatique de cette histoire, je me souviens aussi de lui avoir parlé de l’ancien partenaire commercial de Hunter Biden, Tony Bobulinski, qui venait de se manifester et de dénoncer les Biden au public.
Ce qui ne lui valut d’ailleurs qu’un peu de temps de diffusion par Tucker Carlson sur Fox News, et qu’il fut, cette exception mise à part, évité et ignoré par le reste des médias de gauche.
Source : Fox News
Nous avions, l’un et l’autre, regardé l’interview de Bobulinski et l’avions trouvé extrêmement crédible.
Je me souviens que mon père m’a dit alors que la dissimulation de cette histoire et l’histoire elle-même pourraient bien être, ensemble, le plus grand scandale politique de tous les temps. Cela m’a frappé car mon père, qui avait voté pour les démocrates et pour les républicains au cours de la dernière poignée d’élections, a vu passer pas mal de scandales.
Mais je comprends maintenant ce qu’il voulait dire. Vendre votre influence à la Chine alors que vous êtes candidat à la présidence, ce n’est pas une petite chose, mais que les médias occultent complètement cette histoire aux États-Unis en pleine élection la rendait encore plus grave.
Source : NBC News
Parce que si vous prenez du recul et examinez objectivement la question des transactions commerciales de Joe Biden en Chine, il devient évident qu’il était jusqu’au cou dans le type de conflit d’intérêts dont son parti a passé quatre ans à accuser le président Trump. Encore une fois, formidable.
Et puis il y a eu l’histoire de l’ordinateur portable. Après que le New York Post ait publié ce qui aurait dû lui valoir un prix Pulitzer, à savoir que le fils de Biden avait un ordinateur portable rempli de preuves de délits compromettantes (en plus de photos de sa bite prises en fumant du crack avec des prostituées), il s’est avéré que ces révélations ont été d’un seul mouvement mises sous le boisseau par tous les grands médias et qu’il n’en a été pipé mot nulle part, sauf dans les organes républicains.
En fait, les médias dominants n’ont même pas donné à cette énorme information la moindre chance d’être objectivement examinée. La moitié des médias libéraux y ont fait allusion en la qualifiant de « désinformation russe », et les autres n’en ont même pas parlé du tout.
Voici à quoi ont ressemblé les titres à l’époque :
L’information a été traitée par le ridicule à la télévision et rejetée avec dédain comme une espèce de théorie du complot.
Même les réseaux sociaux ont censuré les messages sur le sujet, alors que le New York Post en avait fait une information nationale.
Source : NPR
Et c’est alors qu’une drôle de chose s’est produite, quand la nation n’a pas eu accès à ce qui allait s’avérer être une information hautement crédible : Joe Biden a été élu président et, plusieurs mois plus tard, Politico a rapporté que certaines parties de l’ordinateur portable – y compris les e-mails « au centre de la controverse » – étaient crédibles, ce qui était vraiment très loin de faire du contenu du portable « de la désinformation russe ».
Source : Politico
En mars 2022, le New York Times a également admis que l’histoire du portable était authentique.
Dans un nouvel article publié en 2022, consacré à l’enquête en cours du ministère de la Justice sur Hunter Biden, en rappelant son article d’octobre 2020 qui avait mis en doute l’existence de l’ordinateur portable, le New York Times écrivait :
Des personnes au courant de l’enquête ont déclaré que les procureurs avaient examiné les e-mails échangés entre M. Biden, M. Archer et d’autres personnes, au sujet de la Birmanie et d’autres activités commerciales à l’étranger. Ces e-mails ont été obtenus par le New York Times à partir d’une cache de fichiers qui semble provenir d’un ordinateur portable abandonné par M. Biden dans un atelier de réparation du Delaware. Cet e-mail et d’autres contenus dans la cache ont été authentifiés par des personnes qui les connaissaient bien et qui sont au courant de l’enquête.
Pour un parti qui est toujours à caqueter de transparence et de démocratie – et un parti qui n’a pas cessé d’invoquer la liberté de la presse pendant toute l’administration Trump – les médias libéraux ont fait un travail exécrable en « ratant » ce qui aurait dû être, objectivement, une information du genre tremblement de terre avant une élection présidentielle.
Et cela vous dit tout ce que vous devez savoir sur l’intégrité des grands médias de ce pays en ce moment. Comme ma mère le dirait avec raison, « Chacun a sa feuille de route – ceux de gauche comme ceux de droite ».
Mais une feuille de route pouvait impliquer, pour MSNBC et CNN, de rendre compte de l’histoire du portable en penchant un peu en faveur de Biden ; pas d’observer un silence absolu sur l’histoire – comme s’il ne s’était jamais rien passé – juste avant une élection, vous ne croyez pas ?
Le pire, c’est que ce type de comportement, de la part des médias, ne se limite pas à cette seule histoire. Il n’est pas difficile de voir que tous les types de fable officielle sont protégés et que tous les faits réels sont censurés lorsqu’il s’agit de la pandémie. Par exemple, regardez le travail absolument crasseux que les médias hystériques ont fait en « informant » sur l’Ivermectine après que Joe Rogan ait attrapé le Covid. Des gens ont été bannis des réseaux sociaux et méprisés pour avoir suggéré que le virus pouvait provenir d’un laboratoire. Maintenant, c’est l’hypothèse principale des médias. Qui serait surpris de les voir tourner casaque aussi sur l’Ivermectine à présent ? Moi, je ne le serais pas.
Le fait est que l’histoire du portable était , en toute objectivité, une histoire incontournable, quel que fût le parti auquel on appartenait. À un certain moment, on aurait pu espérer que ses mérites propres allaient suffisamment faire bouger l’aiguille pour que même les médias de gauche lui accordent un semblant de couverture superficielle.
Au lieu de quoi ils ont fait quelque chose d’infâme : ils l’ont occultée.
Et alors que toute personne sensée vous aurait dit à l’époque que l’histoire de l’ordinateur portable était probablement vraie (car qui va s’amuser à fabriquer 200 photos du fils d’un candidat à la présidence en train de fumer de la méthamphétamine en sous-vêtements ?), l’admettre aujourd’hui, après coup, alors que le fils du Président parade un peu partout en vendant son « art » pour 500.000 dollars le clip, c’est à la fois une insulte à notre intelligence et une source de honte pour vos organes de presse respectifs.
Enfin, rappelez-vous qu’à chaque fois que la gauche essaiera de vous faire la leçon sur l’importance du journalisme et des responsabilités qu’il implique, vous pouvez lui demander gentiment de commencer par jeter un coup d’œil aux organes qui n’ont jamais eu à rendre de comptes pour avoir volontairement ignoré ce que mon père a appelé à juste titre « un des plus grands scandales politiques de tous les temps ».
C’est le moment idéal, pour les médias qui ont passé quatre années consécutives à pointer du doigt l’ex-président Trump à propos de tout et de n’importe quoi, de se rendre compte que trois doigts de plus pointent sur eux.
Comme beaucoup de gens à gauche, ils sont devenus ce qu’ils prétendent détester.
Maintenant, svp, lisez :
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Septembre 2022
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