Une fuite de courriels révèle que Soros était pro-nazi pendant la Deuxième Guerre mondiale
Eric Zuesse – TheDuran – 26.5.2022
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Voici le document dont le contexte et l’authenticité seront discutés ultérieurement ici :
https://archive.ph/o/Ykm4O/https://sneakystrawhead.co.uk/docs/jp0918-1.doc
Brexit et al.
1/ U.E.
L’ambassade de l’UE à Pékin a reçu une avalanche de documents d’information.
– Un accord de base est conclu avec le gouvernement britannique. Il y aura des problèmes lors de son passage dans le système parlementaire britannique. Par conséquent, à ce stade, nous ne devrions pas paraître trop optimistes.
– Le groupe conservateur qui soutient l’UE est convaincu que Mme May appellera à un second référendum pour renverser le premier. Elle s’attirera ainsi les voix de ceux qui souhaitent que le Royaume-Uni reste dans l’UE et obtiendra le soutien implicite des politiciens travaillistes qui soutiennent l’UE mais s’opposent à Corbyn. Les Lords Hague et Adonis et le Chancelier Hammond sont les principaux moteurs de ce mouvement. May y voit un moyen de survivre politiquement.
– Vous devriez porter le briefing du FMI concernant la situation financière du Royaume-Uni à l’attention des autorités chinoises, en précisant que l’UE ne soutient pas totalement les conclusions, le FMI s’étant souvent trompé.
– En interne uniquement. Le développement du vote à la majorité est en cours au sein du Conseil. Cela permettra d’éviter que des nations membres individuelles retardent ou bloquent l’unification fiscale.
2/ SOROS
Marybeth Du Pain et Alex Soros.
Mon demi-frère Marc Du Pain est marié à une Nigériane. Leur fille Marybeth Du Pain est vaguement mannequin aux États-Unis. Depuis plusieurs années, elle est une des petites amies d’Alex Soros, le fils de Soros par sa seconde épouse. Je lui ai un peu tiré les vers du nez sur Soros et le Brexit.
Pour commencer, petit historique sur Soros.
Les gens de sa famille étaient des juifs allemands, qui ont déménagé en Hongrie avant la Deuxième Guerre mondiale et changé leur nom en Soros pour mieux s’intégrer à leur nouveau milieu hongrois. Bien que juif, Soros affirme qu’il n’est pas de religion juive.
1) Soros a collaboré avec les Allemands en Hongrie pendant la Seconde Guerre mondiale. À l’âge de 14 ans, il a contribué à l’identification des Juifs qui avaient caché leur identité juive.
2) Après la Deuxième Guerre mondiale, l’armée soviétique a arrêté Soros pour collaboration avec l’ennemi. Il a alors accepté de travailler pour le GRU (Renseignement Militaire). Ses origines étaient idéales (juif hongrois) et dans les années 1950, il a réussi à s’échapper miraculeusement de Hongrie (en traversant plusieurs frontières fortement défendues, à l’intérieur du territoire soviétique) et est entré au Royaume-Uni comme réfugié. Il y a reçu une éducation universitaire gratuite aux frais des contribuables britanniques et a commencé à travailler dans le secteur financier. Il a utilisé ses racines « juives » pour persuader des banques financières gérées par des juifs de l’employer.
3) Ayant appris comment fonctionnait le système financier occidental, il a entrepris de l’attaquer systématiquement. Après la chute de l’Union Soviétique, il semble avoir fait allégeance aux groupes mondialistes de gauche [!!! NdE] et a gagné leur soutien après avoir causé de graves dommages à l’économie britannique.
Alex Soros dîne avec son père une fois par semaine. Il n’entretient pas avec lui une relation chaleureuse, lui en veut d’avoir divorcé de sa mère et, selon ses propres termes, « de s’être mis avec une bimbo ». Alex Soros est professeur d’université à temps partiel et vit dans un luxueux penthouse, dans un quartier branché de New York. Il dispose d’un revenu privé considérable provenant d’un trust familial. Il a souffert de problèmes de santé mentale et a été diagnostiqué comme souffrant d’une dépression grave. C’est un consommateur de drogues à usage récréatif reconnu.
Il emmène souvent Marybeth Du Pain à des dîners avec son père (ce dernier apprécie la compagnie des jeunes femmes).
Marybeth Du Pain décrit Soros senior comme « bruyant, grandiloquent et extrêmement opposé à écouter des points de vue qui ne sont pas les siens ».
Soros a fait en sa présence les commentaires suivants :
« On aurait dû châtrer Cameron pour avoir autorisé le référendum ».
« Dans un monde sain, on aurait tranquillement disposé de Farage avec un regrettable accident ».
« J’ai injecté beaucoup d’argent dans les campagnes des Rester. Ha, leurs règles idiotes sont si faciles à contourner ».
« Ils ne la quitteront pas [l’UE], nous injectons 800 millions directement et indirectement pour nous assurer qu’ils ne la quittent pas. S’ils la quittent quand même, nous démolirons leur économie ».
« Ha, les mecs en bleu (les députés du parti conservateur, selon elle) tiennent drôlement à leurs petits avantages, les prêts pas chers et les hypothèques que nous leur arrangeons, ce sont des hypocrites, mais utiles ».
« J’ai déchaîné les boys sur eux (Momentum USA, à son avis), un vrai tsunami de trolls pour les faire plier ».
« Tout ça a coûté beaucoup d’argent, j’ai déjà autorisé plus d’un milliard de dollars, j’en récupérerai l’essentiel de l’Europe ».
Elle dit que Soros senior semble éprouver une haine profonde pour le Royaume-Uni, mais ne sait pas pourquoi.
Ceci permet au moins de dresser le portrait du principal bailleur de fonds de Remain. Je doute d’en entendre davantage, car mon demi-frère a dit à sa fille de couper tout contact avec moi.
CONTEXTE HISTORIQUE GÉN֤ÉRAL :
Toute aristocratie comporte deux factions qui s’affrontent : L’une est conservatrice envers et contre tout, et se trouve totalement légitime, sans aucune obligation d’avoir à « justifier » sa richesse extraordinaire auprès de quiconque. L’autre est conservatrice à la noblesse-oblige ou « libérale », on pourrait l’appeler « conservatrice hypocrite », parce qu’elle veut que le public voie en ses membres des « philanthropes », c. à d. des gens qui se soucient du bien public – tout en évitant bien sûr les impôts autant qu’ils le peuvent – et, ainsi, en utilisant leurs « organisations caritatives » exonérées d’impôts pour « faire le bien », comme eux-mêmes – et PAS le gouvernement, NI le public, (c. à d. les gens qui paient réellement les impôts) –- le définissent.
En Amérique, les conservateurs purs et durs sont des Républicains ; en Grande-Bretagne, ce sont des Tories. En Amérique, les conservateurs hypocrites (« libéraux ») sont des Démocrates ; en Grande-Bretagne, ce sont des travaillistes du Labour (même s’ils font presque tout ce qu’ils peuvent pour maximiser les profits des investisseurs et minimiser les salaires des travailleurs).
En conséquence : dans chaque pays, les aristocrates se battent en permanence pour savoir lequel des deux groupes contrôlera le gouvernement. Tous les aristocrates, pour être acceptés par leurs « pairs », doivent être soit conservateurs, soit libéraux – aucun d’entre eux ne peut être progressiste, parce que les progressistes favorisent la démocratie (règle de la majorité), et sont donc forcément opposés à ceux de l’aristocratie (qui n’en finissent jamais de se battre entre eux pour décider lesquels contrôleront réellement le gouvernement – via leurs soutiens financiers, leurs médias dits « d’information », etc.)
George Soros a dépensé plus d’argent que n’importe qui pour imposer la règle de gouvernement des milliardaires libéraux ; il a été non seulement le plus grand bailleur de fonds du Parti démocrate américain au cours des dernières décennies, mais par ses nombreuses fondations et autres « œuvres de bienfaisance » il a largement contrôlé l’Union Européenne, et mené une guerre constante contre la Russie et contre toute nation en termes amicaux avec la Russie. Constamment, il affiche (mais nie avec vigueur) sa haine viscérale de la Russie, et il a été l’un des plus grands soutiens financiers du coup d’État de 2014 d’Obama en Ukraine visant à s’emparer de la Crimée (qui a déclenché la guerre de l’Ukraine contre la Russie et contre les Russes – la guerre chaude ukrainienne par procuration de l’Amérique contre la Russie).
Certains Juifs ont non seulement coopéré avec les nazis allemands, mais ils détestaient tellement la Russie qu’après la Deuxième Guerre mondiale, ils ont collaboré avec l’alliance Royaume-Uni/États-Unis pour conquérir la Russie, et ont continué à le faire après la fin de l’URSS en 1991. Le financier allemand/hongrois/britannique/américain George Soros est évidemment l’un d’entre eux.
Des preuves de haute fiabilité sont enfin disponibles indiquant que Soros – qui est personnellement en guerre contre la Russie depuis son enfance et même après la fin de l’Union Soviétique, de son communisme et de son Pacte de Varsovie-miroir de l’alliance militaire anti-russe américaine appelée OTAN – a activement soutenu en son temps la cause nazie. Ces preuves ont pour origine des membres conservateurs du Deep State, et font état de déclarations à charge de George Soros, qui est sans doute le premier aristocrate libéral du monde. Il est clair que les documents proviennent d’initiés appartenant à ce milieu ; on y trouve des allégations telles que « Le dossier de sécurité britannique sur Soros est traité comme ultra secret ». Ces documents proviennent en réalité de serviteurs de milliardaires, pas des milliardaires eux-mêmes. Mais ces serviteurs sont incontestablement des collaborateurs intelligents et actifs du Deep State des milliardaires, et ils communiquent ici entre eux en toute confiance. Il est extrêmement rare que de telles informations soient rendues publiques.
PREUVES RÉCEMMENT DIVULGUÉES :
Un ensemble de courriels confidentiels ayant fait l’objet d’une fuite (y compris celui qui ouvre le présent article) ont été publiés sur un site web qui a démarré ses activités le 19 avril 2022 et est hébergé à Manchester, Angleterre, comporte notamment de nombreux messages provenant de l’ordinateur d’une personne très active au sein d’un petit groupe de conservateurs (Tories) britanniques, qui a en son temps réussi à évincer la Première ministre Theresa May et à la remplacer par le Premier ministre Boris Johnson, parce que May visait un Brexit qui aurait maintenu les liens étroits de la Grande-Bretagne avec l’Europe, alors que Johnson, au contraire, était favorable à une rupture nette des liens européens du Royaume-Uni et à un accroissement d’une « Relation Spéciale » entre la Grande-Bretagne et les États-Unis, entraînant une participation au contrôle du gouvernement U.S. sur l’Europe, de manière à maintenir l’alliance existante au sommet de la compétition entre les aristocraties nationales, soit pour dominer le monde entier (en tant que tout premier empire global), soit pour participer à cette domination (en aristocratie vassale de l’empire).
Cet article du 19 avril était intitulé « Very English Coop d’Etat » (avec une faute d’orthographe à « Coup »). Il a été archivé pour la première fois le 22 avril 2022, et a donc été publié sur le Web entre le 19 et le 22 avril.
Le 19 mai, j’ai titré « La guerre secrète des États-Unis et du Royaume-Uni contre l’Europe » et j’ai décrit l’origine de l’« État profond » américano-anglais en remontant jusqu’à sa création en 1877 dans la tête de Cecil Rhodes. Ce que l’on voit dans cette fuite informatique d’avril est à 100% cohérent avec le plan de Rhodes expliqué dans mon article. Cette histoire rend compréhensible le discours, sur youtube – dont j’ai discuté et dont j’ai fait le lien dans cet article du 19 mai – discours donné en 2019 par le chef de cette opération visant à remplacer Theresa May par Boris Johnson, le professeur Gwythian Prins.
Le professeur Gwythian Prins, MA, PhD (Cantab), FRHS – Professeur émérite de recherche à la London School of Economics.
Comme Kit Klarenberg l’a rapporté dans son article du 15 mai 2022 « Operation Surprise : leaked emails expose secret intelligence coup to install Boris Johnson », [« Opération Surprise : des courriels divulgués exposent un coup secret des services de renseignement pour installer Boris Johnson »], Prins apparaît dans les mails comme le maître d’œuvre de l’opération « virer May/installer Johnson ».
Le 25 mai, l’agence Reuters (qui, elle-même entretient des liens étroits avec ce Deep State Rhodesiste) titrait « EXCLUSIF Des hackers russes sont liés au nouveau site web de fuites sur le Brexit, selon Google », et ouvrait sur : « Un nouveau site web qui a publié des fuites d’emails de plusieurs partisans importants de la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union Européenne est lié à des hackers russes, d’après un responsable de la cybersécurité de Google et l’ancien chef du Renseignement Extérieur britannique ».
Google fait bien entendu également partie de la portion américaine du Deep State UK-US. Reuters a tenté d’obtenir des commentaires de responsables britanniques sur l’authenticité ou non des e-mails. Aucun n’a répondu, mais les documents n’ont encore été publiquement démentis par personne. Tout porte à croire qu’ils sont authentiques. Bien entendu, Reuters présentait son article non pas dans le but de transmettre le contenu des documents, mais comme une prétendue preuve de quelque chose à l’encontre du gouvernement russe. Reuters n’était pas capable de vérifier de manière indépendante l’affirmation de Google concernant un lien russe avec le site web, mais Thomas Rid, un expert en cybersécurité à l’Université Johns Hopkins, a déclaré que le site « rappelait des opérations de piratage et de fuite passées attribuées à des pirates russes ». Pour être précis, Reuters a caché les preuves : elle n’a fourni aucun lien vers les informations divulguées (comme je le fais ici), parce que les informations divulguées sont trop hautement incriminantes pour le gouvernement britannique – autre preuve qu’il s’agit de tout sauf d’une démocratie, qu’il s’agit simplement de théâtre politique pour manipuler les masses. C’est ce que montraient les documents divulgués. Mais, parce que l’agence Reuters fait elle-même partie de cet État Profond, les opérations de cet État Profond ont été cachées – au lieu d’être rapportées – à ses lecteurs.
Pour pouvoir interpréter les documents qui ont fait l’objet de cette fuite, mon article du 19 mai pourrait être particulièrement utile, car j’ai fait remonter l’opération en cause jusqu’à la décision qui fut prise par Cecil Rhodes en 1877 et exécutée par la suite. Le 25 juillet 1945, le président U.S. Harry S. Truman a accepté les conseils des rhodésistes Winston Churchill et le général Dwight Eisenhower d’engager irrévocablement l’Amérique sur la voie d’un empire mondial suprémaciste. Soros, comme beaucoup d’autres milliardaires, est très activement impliqué dans les menées de ce même Deep State, mais celles de son côté libéral, contre celles de son côté conservateur. C’est pourquoi les documents récemment divulgués sont résolument hostiles à son égard. Mais soyons sûrs qu’aucun des deux côtés ne tolérera la démocratie.
Le prochain livre de l’historien d’investigation Eric Zuesse (en cours de publication) sera AMERICA’S EMPIRE OF EVIL : Hitler’s Posthumous Victory, and Why the Social Sciences Need to Change [L’EMPIRE AMERICAIN DU MAL : La victoire posthume de Hitler, et pourquoi les sciences sociales doivent être changées]. Ce livre explique comment l’Amérique a pris le contrôle du monde après la Seconde Guerre mondiale afin de l’asservir aux milliardaires américains et alliés. Leurs cartels s’approprient les richesses du monde en contrôlant non seulement tous ses médias « d’information » mais aussi ses « sciences » sociales – et ainsi dupent le public.
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Un seul commentaire :
Smoking Eagle
May 27, 2022
Soros looks both inhuman and inhumane. He always reminds me of Jabba the Hutt and what Han Solo called him: “a slimy piece of worm-ridden filth”.
[Soros a l’air à la fois pas humain et inhumain. Il me fait toujours penser à Jabba le Hutt et à la façon dont Han Solo l’appelait : « un morceau visqueux de saleté rongée des vers ».]
URL de cet article : Une fuite de courriels révèle que Soros était pro-nazi pendant la Deuxième Guerre mondiale. – Les Grosses Orchades, les Amples Thalamèges, le blog (lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr)
Juin 2022
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