Festivités du 1er mai
et d’après…
Il n’est jamais parti le temps du muguet (buccal)
Théophraste R – LGS – 1.5.2021
Le muguet buccal est une mycose de la bouche provoquée par le léchage des bottes (et je suis poli). Fréquent dans les sales (avec un seul « l » de réduction (avec un « u »), il se manifeste par des plaques blanchâtres sur la langue et des lésions à la commissure des lèvres, sur le palais et la muqueuse des joues. Le patient peut parfois ressentir une brûlure dans la bouche ou dans la gorge et (plus rarement) des rougeurs dues à un sentiment de honte.
On le soigne avec des décoctions de la Charte de Munich.
Théophraste R. Chanteur du 1er mai.
Source : https://www.legrandsoir.info/il-n-est-jamais-parti-le-temps-du-muguet-buccal.html
1er mai à Turin
https://francais.rt.com/videos/86220-1er-mai-guillotine-italie-turin
Italy 24 News n’aime pas ça :
https://www.italy24news.com/local/34807.html
1er mai à Bruxelles
Nous, on ne va pas sur ces trucs, mais il y en a qui y vont et qui y postent des vidéos :
Après la charge du cordon policier, les forces de l'ordre lance les autopompes. #laboum2 #boisdelacambre #bruxelles pic.twitter.com/EoMXKzHBYj
— France TV Bruxelles (@F2Bruxelles) May 1, 2021
1er mai à Lyon
1er mai à Paris
(Lille, Lyon, Marseille, etc.)
https://francais.rt.com/france/86158-1er-mai-manifestations-prevues-dans-plusieurs-villes-france
1er mai en Palestine
Le 1er mai 2021 pour les travailleurs palestiniens : souffrance permanente, colonisation, occupation et pandémie
Ziad Medoukh – Palestine Solidarité – 1.5.2021
Dans une conjoncture particulière et un contexte difficile, marqué notamment par une crise sanitaire sans précèdent aux conséquences économiques désastreuses, et le maintien de la colonisation et les mesures atroces de l’occupation que les travailleurs palestiniens célèbrent la journée mondiale du travail, ce premier mai 2021.
Les travailleurs palestiniens, en souffrance au quotidien à cause de la colonisation qui avale chaque jours les terrains appartiennent aux Palestiniens , de l’occupation et ses pratiques inhumaines et criminelles contre toute une population civile, célèbrent cette journée alors que règnent pauvreté, chômage, crise sanitaire et absence de perspectives, en Cisjordanie et plus encore dans la bande de Gaza.
En mai et jusqu’en juillet !
Présentation du cycle Haroun Tazieff de conférences en ligne, mai-juillet 2021
Le Massif central français, l’Ardèche, l’Hérault, la Catalogne, l’Italie centrale et méridionale, les collines allemandes de l’Eifel forment un vaste territoire…de volcans. Volcans actifs çà et là depuis plus d’un million d’années mais contemporains de l’homme. Des « Italiens » néandertaliens ont arpenté le volcan de Roccamonfina peu de temps après une éruption redoutable, c’était il y a environ 350.000 ans. À la même époque, les premiers Sapiens émergeaient au Maroc dans un paysage éruptif encore actif.
Au milieu du siècle dernier, c’est au cœur de l’Afrique des Grands Lacs qu’Haroun Tazieff a révolutionné les sciences de la Terre en démontrant qu’il était possible de se « promener » sur la lèvre d’un cratère en éruption. En 1994, Jean-Marie Chauvet, Eliette Brunel et Christian Hillaire découvraient dans les gorges de l’Ardèche le premier « Grand livre » intact de l’épopée humaine, les fabuleuses fresques de la grotte Chauvet, âgées de 36.000 ans.
Pour avoir découvert entre 2013 et 2015 de très probables représentations de volcans dans les fresques de Chauvet, je vous propose aujourd’hui en six conférences en ligne une exploration inédite des sources de la culture de l’Humanité par un itinéraire de volcans et de sites préhistoriques, sur les épaules d’Haroun Tazieff.
Les bénéfices de la plateforme Hermès Méditerranée qui produit ces conférences sont entièrement destinés au projet général de sauvegarde de l’œuvre d’Haroun Tazieff, oubliée, et qui n’est enseignée nulle part.
Cordialement,
Frédéric Lavachery.
Et il vous faut donc aller faire un tour sur :
https://www.hermes-mediterranee.fr
Musées
Attention ! Là, c’est seulement jusqu’au 1er juin…
mais, remarquez, ça reprend après.
Actuellement : 06.09.2020 – 01.06.2021
Expo : LES COUPS DE CŒUR : MPFAC – Nismes
En délocalisation : 24.04.2021 – 22.05.2021
Expo : Petite apologie du détail – Société Libre d’Émulation – Liège
Du 24 avril au 22 mai, la Société libre d’Émulation à Liège accueille une exposition intitulée Petite apologie du détail. Il s’agit d’un projet conjoint réalisé avec les Beaux-Arts de Liège / École supérieure des Arts de la Ville de Liège et le MPFAC qui hébergera un deuxième volet ayant pour titre Le sens du détail à partir du 3 juin prochain.
>En délocalisation : 24.04.2021 — 22.05.2021 : Maison de Renaissance de la Société Libre d’Émulation à Liège.
>> Pas de vernissage à cause des conditions sanitaires. Agenda des activités complémentaires et plus d’info : www.emulation-liege.be
>> Entrée libre mais réservation indispensable. Entrée gratuite.
>Prochainement au musée : 04.06.2021 — 19.10.2021 – «Le sens du détail»
> Réservation obligatoire.
Actuellement au musée
«Les petits formats sortent de leur réserve : LES COUPS DE CŒUR» —20 Biennales – 40 ans de collection—
> Réservation obligatoire au moins 24h à l’avance.
Le MPFAC
Le Musée du Petit Format d’Art Contemporain est un musée atypique situé à Nismes au sud de la Province de Namur, dans une région reconnue pour la beauté de ses sites naturels et le dynamisme de ses musées (Treignes, Village des musées).
Le MPFAC vous accueille dans une ambiance intimiste et vous invite à découvrir sa collection qui s’est constituée au fil des dons effectués par les artistes participant à l’événement phare et fondateur du musée : la Biennale internationale «Petit Format de Papier».
Cette collection répertorie quelques 4000 pièces dont une majorité d’œuvres sur papier de format inférieur au DINA4 d’artistes contemporains provenant du monde entier et offre un large panorama des techniques sur papier et des démarches artistiques actuelles.
Tous les deux ans, le MPFAC invite plus de 300 artistes du monde entier à échanger des propositions visuelles en petit formats de papier : en 2020 et 2021, nous fêterons l’anniversaire de la 20e Biennale internationale «Petit Format de Papier» et les «Petits Formats Numériques».
Bel of schrijf ons voor meer informatie in het Nederlands
Call or write us for more information in English
Source : https://www.museedupetitformat.be/blog/
Un « Musée du chat » à Bruxelles
Mais pas n’importe quel chat : celui de Philippe Geluck
Le 22 avril, la Région Bruxelles-Capitale a annoncé avoir octroyé le permis d’urbanisme en vue de l’érection du Musée du Chat consacré au personnage de Philippe Geluck : un ensemble de 4000 m2 disposé sur sept étages.
Il se situera sur le Mont des Arts, à proximité de la Bibliothèque royale de Belgique et des Archives générales du Royaume (voir ci-dessous, en bleu).
La région de Bruxelles se chargera de financer le futur bâtiment de près de 10 millions d’euros. Parmi les 4,5 millions d’euros nécessaires aux aménagements intérieurs, 3,5 millions sont d’ores et déjà promis par des mécènes. Pour le dernier million, Philippe Geluck compte sur son exposition itinérante de matous maous, visibles sur l’avenue des Champs-Élysées jusqu’au mois de juin. Les statues coûtent 300.000 euros et seize d’entre elles ont déjà été adoptées.
On notera en particulier le commentaire de M. Rudi Vervoort (Ministre-président de la région de Bruxelles-Capitale), qui qualifie la production de M. Geluck « d’incarnation de l’Esprit belge » et qui, à propos du futur Musée du Chat à Bruxelles, se félicite « de faire la part belle à la liberté d’expression ».
Tout le monde n’est pas content.
Il faut dire que depuis la fermeture du Musée d’Art moderne en 2011, seule, une partie des collections a été transférée au Musée Fin de siècle et, jusqu’à nouvel ordre, les collections du Musée d’Art Moderne (dont des Giorgio de Chirico et des Salvador Dali) sont destinées à rester dans les réserves [tiens, comme les Houdon en surnombre à Versailles…].
Le bâtiment flambant neuf dédié à la grosse créature de Philippe Geluck ainsi qu’au dessin d’humour, nécessitera 9,38 millions d’euros de travaux.
« Ainsi qu’au dessin d’humour »…
Ne nous dites pas que la récente embauche des dessinateurs d’humour par l’OTAN ou l’Armée française (on ne sait plus lequel des deux) a quelque chose à voir avec ces largesses ?
On notera aussi avec intérêt l’article du Figaro du 30 mars 2021, signé Léna Lutaud. Elle cite un propos du critique d’art et gestionnaire de musée Jean Loisy qui, en parlant du défilé des chats sur les Champs Élysées, dit : « Seule manifestation culturelle autorisée au temps des musées fermés : produits dérivés commerciaux du Chat de Geluck (…) ».
Quoi qu’il en soit…
Rengaine d’une idole des vitrines
Anatole Atlas – spherisme.be – 1er mai 2021
Jadis homo sapiens levait les yeux vers le ciel.
Désormais le technopithèque a conquis sa liberté, depuis que ses maîtres lui font ployer l’échine vers l’écran de sa prothèse portative où clignotent les fétiches du marché, dont la plus récente idole est un robot faisant des bonds de chat sur la planète Mars. Il fallait un avatar de Snoopy symbolisant la capitale de l’Alliance atlantique et de la bédé, selon les experts de la NASA : « l’incarnation de l’Esprit belge », appuya le ministre-président de la Région bruxelloise…
L’univers n’est plus un cosmos dont l’homme avait mission de penser les relations avec son âme et la cité, mais un chaos voué à la colonisation technopolistique des gadgets. Car on n’est pas sérieux quand on a 13 ans, l’âge mental à ne pas dépasser sous la gouverne de gamins psychopathes. Un totalitarisme peut-il s’imposer à des peuplades qui ne soient réduites à l’état prépubère ?…
Dans l’apparence d’innocence puérile avec laquelle prospèrent les impostures au service de la loi du profit, se reconnaît l’art suprême de cette société : le marketing. Pourquoi s’étonner si le Chat de Geluck se voit offrir un temple au sommet du Mont des Arts ?…
Un abîme plus vaste que les cieux tient lieu d’espace cultuel pour cette inversion carnavalesque où le pitre en chaire propage les dogmes de la profanation, répand le catéchisme du sarcasme, prêche l’évangile du sacrilège et dispense le sacrement du blasphème. Les foules hallucinées d’encens mortifères n’entonnent plus de chants liturgiques mais se trémoussent au rythme disco d’ordinateurs ordonnant l’ordination des grands prêtres qui communient sous les espèces de pilules psychotropes au son de cantiques techno dans le studio télévisé, nef de l’église médiatique où se concélèbre le talk show égayé de gags ecclésiastiques, dont l’un des pontifes méritait bien qu’on se prosterne devant son Chat. La plus modeste réplique de ce fétiche, colifichet décoratif, se vend au prix de 3.000 unités monétaires : le dixième d’une icône à son effigie, le centième des statues de bronze processionnant sur les Champs Élysées sous bénédiction des plus grandes marques. Innombrables sont les déclinaisons de ce nouveau commerce des indulgences, dans toutes les matières qu’autorise l’industrie de la superstition. Car l’extase entretenue par cette confession n’est plus mystique mais cynico-sceptique…
Le mouvement autonome du non vivant ne requiert pas d’autre foi, pas d’autre raison, pas d’autre imagination. D’où vient que l’escroc rafle toutes les mises. Quand l’art et la littérature sont bibelots d’inanité sonore, il suffit au bouffon d’emprunter une allure de clergyman pour usurper les attributs du génie créateur, du prophète et du philosophe. Ce qui postule, avec le progrès sans fin des moyens techniques d’accroître la domination de la valeur d’échange et du travail mort sur valeur d’usage et travail vivant, la régression des facultés de ressentir les mutilations, de penser la réification, d’imaginer une issue possible à cette aliénation…
Dans une époque oubliée de tous, Walter Benjamin examinait ce qu’il advenait de l’art à l’heure de sa reproductibilité technique. Il y voyait la perte de son aura, ce nimbe unique et singulier conféré par un fluide qui reliait l’œuvre aux plus lointaines origines. Source vive imprégnant les toiles cadenassées dans les caves du défunt musée d’Art moderne à Bruxelles. Nous n’en sommes plus là, quand sont sacralisés des petits mickeys conçus et fabriqués selon les normes de la reproduction en série. Geluck, sa bestiole et son barnum, illustrent donc au mieux ce qu’Isidore Ducasse nommait « une notable quantité d’importance nulle ». À ce titre (et sans parler de sa joint-venture avec la NASA), le Musée du Chat restera son meilleur gag involontaire en l’ère des bulles financières : son œuvre entière, négociée comme une bulle papale, engloutie dans une bulle de bande dessinée…
(Mais, l’éternelle querelle de l’empire et de la papauté décidant du destin de l’Occident, peut-être la primauté spirituelle de Geluck sur tous les pouvoirs temporels sera-t-elle consacrée pour clore une autre polémique, si la curie médiatique a l’inspiration d’adjoindre à Napoléon quelque bronze du Chat sous le dôme des Invalides.)
Source : http://www.spherisme.be/Texte/GeluckMuseeduChat.htm
Cet exercice de ce que j’appellerais un « aveuglement collectif délibéré et une hypocrisie totale » est une tache pour chaque pays, entité ou personne qui y participe. Honte à vous tous !
Le Saker (« Les options amphibies russes… »)
On a beau se dire que Nicolas Bonnal est un homme de droite et qu’il lui arrive de déconner à pleins tubes pour cause d’œillères sur les côtés et par devant (alors que les chevaux, c’est seulement sur les côtés qu’ils les ont), mais quand on voit ses amis les plus proches et les plus respectés dire adieu à leur intelligence et à leur dignité et vous en vouloir si vous refusez d’en faire autant, vous traiter de complotiste, de rebelle et autres couillonneries… ça fait quand même du bien de le lire pour se sentir moins seul.
(Les impardonnables notes invasives en rouge sont de nous.)
Psychologie des foules et religion vaccinale (par le Dr Gustave Le Bon)
Nicolas Bonnal – nicolasbonnal.wordpress.com – Avril 2020
via Le Saker francophone
Le virus et la peur induite vont nous réduire en esclavage et pire encore. Autant comprendre pourquoi nous allons crever alors, et toute l’histoire de la douce aliénation humaine en même temps. Relisons la Psychologie des foules qui, avec sa simplicité et son évidence, a inspiré les fascistes et les bolchévistes, bourreaux qui étaient à bien des égards plus nobles que nos tyrans milliardaires et démocrates du jour. Mais on a les tyrans et les malthusiens exterminateurs que l’on mérite.
Revenons-en à la légendaire Psychologie des foules alors. Gustave Le Bon est éternel, un peu comme le Tolstoï de Guerre et paix dont a parlé Alain, certes à un niveau moins élevé, mais bien utile quand même. Lisez chez nos amis québécois (classiques.uqac.ca) Psychologie du socialisme pour comprendre la mentalité écolo-gauchiste américaine ou française.
Mais voyons la Covid-19, les vaccins, le confinement, en attendant Grand Reset, paupérisation et dépopulation. Tout cela se fait comme à la parade. Et Le Bon d’expliquer en 1889 que malheureusement les humains adorent cela, être fanatisés pour des stupidités. Les humains sont devenus une seule foule, depuis que la télé a remplacé le séparé (Debord). Technique pour fabriquer la foule qui obtempère alors ?
Pour Gustave Le Bon il y a une première clé, l’affirmation :
L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité.
Affirmation ? Le virus tue, vous allez crever ; confinez-vous, vaccinez-vous, restez masqués à hauteur de six milliards d’imbéciles. On a un quart de vaccinés en France en trois mois, un milliard à l’échelle du monde. Et cela ne fait que commencer. Où je vis on dit plus bonjour, on demande si tu es vacciné.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/psychologie-des-foules/
Addendum de dernière minute :
(Deux Shamir d’un coup ? C’est parce que nous sommes en retard)
Nous parlions d’Héraclès, et voilà qu’Israël Shamir en parle aussi. Ce n’est pas que « les grands esprits se rencontrent », c’est que, quand les idées sont dans l’air, la Nature faisant bien les choses, elles pollinisent. Et, attention ! C’est un très important Shamir.
Les tueurs de géants s’attaquent à Google
Israël Adam Shamir – Entre la plume… – 4.5.2021
Gigantomachie, autel de Pergame
Les géants du numérique ont pris le contrôle du monde. Personne n’a jamais amassé autant de pouvoir. Hitler en crèverait d’envie si on lui montrait la grandeur de Google. Les protagonistes de Huxley et d’Orwell ne pouvaient qu’en rêve, Bezos et Gates font le boulot. Ces derniers ont renversé le président américain pour en installer un plus à leur goût, et pour cause. La valeur nette combinée des 100 premiers ultra-riches américains a grimpé en flèche de 195 milliards de dollars depuis l’entrée en fonction de Biden, selon les calculs de Bloomberg. Ces géants contrôlent l’esprit de milliards de personnes. Les nations mettent en gage leurs terres et leurs industries pour acheter leurs médicaments brevetés. Ces géants connaissent nos visages, nos noms, ils savent tout de nous, jusqu’aux cellules dont nous sommes faits, jusqu’à la dernière protéine. Les dieux ont été vaincus, le doux Christ et le puissant Sabaoth, sans oublier le colérique Allah. Est-ce là une chose dont on dit : « Voici, c’est nouveau » ? (Eccl 1:10) Non, mon ancêtre à l’esprit blasé avait raison – cela avait déjà été fait dans les âges qui nous ont précédés.
Il était une fois des géants qui avaient presque réussi à chasser les dieux hors de l’Olympe. Apollodore nous raconte que les dieux ne pouvaient pas gagner, jusqu’à ce qu’ils se souviennent de l’oracle selon lequel les géants ne seraient vaincus que si un homme mortel aidait les dieux. Seul l’homme peut faciliter la victoire des dieux sur les géants, devinaient les Grecs dans leur Gigantomachie, tout comme les chrétiens savaient que seul un Fils de l’Homme pouvait vaincre la Mort. Alors que les géants avaient presque vaincu les dieux, un homme mortel, Héraclès, avait franchi le pas, et c’est lui qui avait arraché la victoire des mâchoires de la défaite. Aujourd’hui, nous avons grand besoin d’un mortel courageux pour s’attaquer aux géants. S’il n’y a pas d’Héraclès, n’importe qui fera l’affaire ; mais les géants doivent être vaincus. Et voilà que justement, des tueurs de géants improbables se manifestent.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/les-tueurs-de-geants-sattaquent-a-google/
Vive le Preésident Ahmadinedjad ! Son pays a besoin de lui. Nous aussi.
(Il faut avoir lu Israël Shamir pour comprendre).
Mis en ligne le 6 mai 2021
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