Et l’ONU dans tout ça ?

 

 

Récemment, et par deux fois, le colonel US Lawrence Wilkerson a insisté, dans des podcasts où il était interrogé, sur le fait que, le caractère génocidaire des actions de l’entité d’Israël en Palestine étant avéré, la Charte de l’ONU, à laquelle ont souscrit tous les pays membres, fait à ceux-ci une obligation collective d’y mettre fin, y compris par les armes, dans la mesure de leurs ressources nationales particulières.

Sa question était  « Qu’est-ce que font tous les pays membres de leurs obligations ? ».

Un mail reçu hier de M. Dimitri Lascaris (Reason2Resist) pousse un peu plus loin la question, à propos d’un scandale judiciaire impliquant à la fois Israël et les USA, ou plutôt… Israël et le président Donald Trump.

En gros :

L’ONU a décrété le Hamas « organisation terroriste » en se fondant notamment sur des accusations de viols collectifs par ces combattants, allégués par Israël.

Or, le scandale que dénonce M Lascaris (et d’autres, dont Max Blumenthal, de The Grayzone) implique que le viol collectif – y compris à l’intérieur de Tsahal, à l’encontre des collègues féminines – est une pratique enracinée dans la « Terre Promise » (arbitrairement créée par la Grande Bretagne et la France) qui prétend représenter « tous les juifs ».

La vidéo qui suit (en anglais, évidemment) met fortement en cause le président Donald Trump, qui a nommé à un important poste judiciaire, une binationale Irsraelo-US violemment raciste et génocidaire, qui a facilité l’évasion vers Israël d’un pédocriminel  arrêté, si l’on ose dire la main dans le sac, et dont les fonctions semblent aussi avoir été, de surcroît, d’espionner les USA au bénéfice du Mossad.

En plein déni de l’affaire Epstein, Donald Trump semble donc en outre de plus en plus protéger de dangereux délinquants avérés, au détriment de la Sécurité Nationale.

Qu’en est-il des soldats violeurs du Hamas ?

Vous avez, comme l’ONU, la parole de Benjamin Netanyahou.

 

 

 

 

 

La « Terre Promise » aux prédateurs sexuels

 

Dimitri Lascaris – 21.8.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Début août, les forces de l’ordre américaines ont arrêté un haut responsable israélien de la cybersécurité dans le cadre d’une opération visant les prédateurs sexuels d’enfants.

Le pédophile s’appelle Tom Alexandrovitch. Il est âgé de 38 ans. Alexandrovitch est à la tête de la division de défense technologique de la Direction nationale israélienne de la cybersécurité.

Alexandrovitch a, depuis, été inculpé pour avoir attiré un enfant à des fins sexuelles à l’aide d’un ordinateur. En vertu de la législation US, il s’agit d’un crime extrêmement grave.

Après avoir été arrêté et interrogé par la police de Las Vegas, mais avant qu’une plainte pénale n’ait été déposée contre lui, Alexandrovitch a versé une caution de 10.000 dollars et a fui le pays. Il se trouve désormais en Israël.

La procureure générale par intérim du Nevada est une Israélo-Américaine, et ses publications sur les réseaux sociaux ne laissent aucun doute sur son racisme génocidaire. Elle s’appelle Sigal Chatta.

Dans la dernière diffusion en direct de Reason2Resist, Rami Yahia et moi-même examinons les circonstances choquantes qui ont entouré la fuite d’Alexandrovitch des USA.

Nous discutons également de la longue et sordide histoire d’Israël en tant que « Terre Promise » pour les prédateurs sexuels.

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous pouvez aussi voir sur Instagram et sur X,

où nous n’allons pas,

 ce qu’en rapporte Max Blumenthal,

de The Grayzone

 

Ainsi que ce qui en est dit ailleurs :

https://skwawkbox.org/2025/08/19/israeli-official-charged-with-child-sex-offence-met-fbi-dhs-and-nsa-before-being-allowed-to-escape-to-israel/

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 22 août 2025

par Les Grosses Orchades

 

 

 

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