« Vos preuves ! »

Robert Faurisson meurt sur la brèche.

 

 

Hommage : Robert Faurisson aura combattu jusqu’au bout contre la falsification de l’histoire

 publié le 22 octobre 2018 par DOC MetaTV

 

 

Le 20 octobre 2018, le Pr. Robert Faurisson donne une conférence à Shepperton, UK

 

Je regrette d’avoir à vous informer que mon frère le Professeur Robert Faurisson est décédé hier dimanche 21 octobre vers 19 heures. Comme il venait de passer la porte d’entrée de sa maison à Vichy au retour d’un voyage à son lieu de naissance à Shepperton (UK), il s’est effondré probablement à la suite d’une violente crise cardiaque.

Il y avait eu des rencontres avec des amis qui furent interrompues à deux reprises violemment par les opposants à ses vues. Une vidéo de bocage-info se trouve ci-dessous. Je l’accompagnais à cette occasion.

Son 90ème anniversaire devait avoir lieu le 25 janvier prochain.

Jean Faurisson

 

Toutes nos pensées à sa famille, sa femme Anne-Marie, son frère Jean, ses proches et tous ses camarades de lutte en ce jour de deuil.

Le Professeur Robert FAURISSON revenait d’une conférence à l’hôtel Anchor dans son village natal, Shepperton, situé dans la banlieue ouest de Londres, organisée par Lady Michèle Renouf et Peter Rushton, avec la participation également de Vincent Reynouard, réfugié à Londres pour échapper à l’acharnement de la « justice française ».

Lors de cette conférence, qu’il a donnée entièrement en anglais, il a résumé ses travaux et pointé notamment les reculs des historiens « officiels » (!), lesquels reconnaissent les mensonges de l’histoire officielle.

La conférence a été brutalement interrompue suite aux pressions de l’organisation antifasciste, soit-disant anti-haine, « Hope not Hate » fondée et dirigée par l’activiste Nicholas Lloyd Lowles, malgré la totale légalité de la recherche révisionniste au Royaume-Uni.

MAJ : 9h39 : ça y’est, les hyènes commencent à pointer le bout de leur nez, le torchon France-Soir ouvre le bal en ressortant la litanie habituelle, reprise de l’AFP, qui va immanquablement se retrouver à l’identique, dans la journée, sur tous les médias aux ordres : http://www.francesoir.fr/politique-france/robert-faurisson-est-mort-le-chantre-du-negationnisme-n-est-plus
10h05 : Comme une trainée de poudre, remarquez comme tous ces « journaux » recopient quasiment tous les même lignes avec la même photo, le même tweet de la Fondation Shoah et la même faute de frappe non corrigée : https://www.google.com/search?q=Robert+Faurisson&tbs=qdr:d&tbm=nws&filter=0&biw=1920&bih=923&dpr=1 (Le Dauphiné Libéré, L’Alsace.fr, Le Républicain Lorrain, Le JSL, Bien Public, Le Parisien : une bande de clones, et de clowns, Russia Today se démarque peu et source chez Conspiracy Watch)

Cet homme intrépide aura combattu jusqu’à son dernier souffle, en dépit des menaces incessantes, de la vindicte de la République, des agressions subies.

 

 

Récit d’une conférence privée organisée le 20 octobre dernier dans la ville natale du professeur Faurisson. Ce dernier y participait avec Vincent Reynouard. C’était compter sans la dictature du « politiquement correct ». Suite à des menaces, la conférence s’est terminée au milieu des cris et de la sirène d’incendie… Une belle leçon de « tolérance » dans un pays où le révisionnisme est légal…

 

 

Ils auront toute leur vie sur la conscience d’avoir persécuté sans relâche le professeur, malgré le fait que, ou plutôt justement parce qu’il les avait placés face à leurs mensonges et leurs contradictions.

Une grande perte pour la recherche de l’exactitude historique, mais son travail colossal perdurera.

Le jeudi 20 septembre 2018 encore, le professeur Robert Faurisson comparaissait au Tribunal de grande instance de Cusset dans la banlieue de Vichy dans un procès intenté par la LICRA de Strasbourg pour ses écrits sur la prétendue chambre à gaz homicide du camp du Struthof-Natzweiler.

Le 8 février 2018 il bataillait contre le journal de propagande Le Monde qui persiste plus que jamais à tenter de le diffamer.

 

 

Son ami Joe Fallisi témoigne et rend hommage au Professeur Robert Faurisson.

Je suis encore sous le choc et je ne peux pas m’endormir. En revenant de l’aéroport de Bari il y a quelques heures, on m’a assené la terrible nouvelle : Robert Faurisson n’est plus. Dès son retour chez lui à Vichy, il s’est effondré, mort. Son grand cœur avait cessé de battre. Nous nous sommes rencontrés hier après-midi à Shepperton, dans un hôtel, l’hôtel Anchor, qui restera dans l’histoire pour avoir accueilli l’ultime conférence du Professeur. Nous y avons éprouvé, une fois encore, à quel point l’intimidation du politiquement correct, conséquence d’une dictature judaïque très perverse, pèse sur toute l’Europe. Robert est né dans cette ville il y a presque quatre-vingt-dix ans. En marchant, il m’avait confié, toujours lucide et indomptable, qu’il était très, très fatigué : il pressentait que sa fin était imminente. En réalité, cet homme, plus que courageux, avait tenu à bout de bras l’immense cause révisionniste. En plus du harcèlement judiciaire et moral qu’il a dû subir, il a été agressé physiquement plus de dix fois par des personnages odieux et anonymes, qui voulaient l’empêcher de s’exprimer, de vivre. Il a toujours su résister et se relever, sans dévier d’un millimètre dans sa recherche intrépide de la vérité. Un jour, il sera célébré comme un héros de la libre pensée.

W ROBERT FAURISSON !

 

Il n’aura eu de cesse de tenir, face aux pire épreuves, montrant l’exemple à tous :

Le 16 septembre, j’ai omis de rappeler que, ce jour-là, nous « fêtions » le 29e anniversaire d’une agression dont j’avais été la cible dans un parc de Vichy, en 1989, à l’âge de soixante ans. Ma sixième agression. 

Jusqu’à présent, je n’en ai subi que dix : deux à Vichy, deux à Lyon, quatre à Paris et deux à Stockholm.

Cette agression a eu de graves conséquences, d’abord sur le moment et dans les mois qui ont suivi, puis dans mes vieux jours avec l’apparition inattendue de séquelles qualifiables d’« excruciantes » et propres à vous arracher des cris ou des larmes. 

Mon « sauveur », sans l’intervention duquel je pense que je serais mort, a déclaré le lendemain, en apprenant mon nom, qu’il regrettait de m’avoir sauvé la vie. http://robertfaurisson.blogspot.com/2018/09/en-septembre-1989-en-france-une.html

 

Agression de Robert Faurisson le 16 septembre 1989

 

 

Une conférence de Robert Faurisson, réalisée par la télévision canadienne

 

 

 

Il y a 28 ans, le 13 juillet 1990, la liberté d’expression était assassinée en France

 

 

Je mets ici cette vidéo de dix minutes à la disposition permanente du lecteur, contournant ainsi l’inévitable intervention des censeurs sur les diverses plateformes utilisées par son auteur.

Elle est due à notre héroïque Vincent Reynouard et à son équipe. Je leur adresse mes félicitations.

Dès que j’en trouverai le temps, je reviendrai sur cet hommage rendu 1) à mes travaux, 2) à mon principal avocat d’alors, Me Eric Delcroix, 3) ainsi qu’à l’ensemble des révisionnistes, en particulier à Germar Rudolf, pour leurs si nombreuses et si importantes publications.

Sur le sujet des prétendues chambres à gaz hitlériennes, il nous faut sans trêve ni repos rappeler que, dès le 26 avril 1983, la Première Chambre de la Cour d’appel de Paris, section A (MM. Grégoire, président, Fouret et Le Foyer de Costil), avait été obligée de reconnaître 1) qu’elle n’avait trouvé dans mes propres recherches et conclusions aucune trace soit de légèreté, soit de négligence, soit d’ignorance délibérée, soit de mensonge 2) et que, par conséquent, en la matière, « la valeur des conclusions défendues par M. Faurisson relev[ait] donc de la seule appréciation des experts, des historiens et du public ».

http://robertfaurisson.blogspot.com/2018/07/il-y-28-ans-la-liberte-dexpression.html

Source : https://meta.tv/hommage-robert-faurisson-aura-combattu-jusquau-bout-contre-la-falsification-de-lhistoire/

 

 

Le grand Robert entre dans la grande histoire

Maria Poumier – Entre la plume et l’enclume22.10.2018

 

 

 

Robert Faurisson,  invité à Shepperton, la bourgade exquise où il était né, au bord de la Tamise, a une nouvelle fois rendu fous les menteurs professionnels qui veulent absolument nous enfermer dans leur délire tyrannique. Recevant des pressions, l’hôtel où se tenait la réunion privée organisée en son honneur  déclencha une sirène d’alarme qui retentit pendant une bonne heure et demie. Robert Faurisson était effectivement un incendiaire, et nous avons bien l’intention de propager le feu de la vérité qu’il a semé obstinément, pendant 40 ans de combat acharné. Voir et entendre ici ce qui s’est passé le 21 octobre 2018 à Shepperton (cette vidéo a déjà été censurée sur youtube, mais d’autres ont su contourner le problème). Et on dispose aussi de la version anglaise correspondante.

Il  aurait eu 90 ans l’année prochaine. Comme par un pressentiment, ses amis anglais n’avaient pas voulu attendre pour lui organiser un hommage, dans sa ville natale. Il y fit honneur et insista, dans son allocution, sur un aspect de son travail d’historien, le côté policier enquêtant sur la scène du crime, et relevant, aussi minimes  fussent-ils, les moindres indices matériels. Oui, il a si bien débusqué les mensonges et les tours de prestidigitation pour les occulter, qu’il nous a fait découvrir un crime colossal, à plusieurs étages: celui qui est résumé dans sa célèbre « phrase de 60 mots« , prononcée devant le micro d’Ivan Levaï, la dernière occasion publique qu’il eut de s’exprimer librement, en 1980. 

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Octobre 2018