De la nécessité de combattre et d’oublier

 

 

Strategika 51 – 4.7.2022

 

 

 

 

 

 

Dans quinze ans, les études actuelles ayant établi une solide corrélation entre l’amnésie et l’usage de téléphones portables seront confirmées.

Le lien entre l’usage intensif d’un smartphone et la survenue de symptômes apparentés à ceux de la maladie d’Alzheimer a été décelé, mais selon les rares études disponibles à ce sujet, il est trop tôt pour affirmer un lien de causalité direct.

 

Il faudra attendre quelques décennies pour observer l’augmentation exponentielle des cas de démence et la survenue de la maladie d’Alzheimer chez les générations nées entre 1990 et 2005.

Les études ayant mis en exergue les effets des micro-ondes sur la santé sont délibérément marginalisées. Si ce sujet n’est pas aussi tabou que l’immense casse-tête du nucléaire (classé ironiquement dans la catégorie des énergies dites « vertes », peut être pour illustrer la nausée d’un irradié à son insu), il n’en demeure pas moins que de plus en plus d’études scientifiques sur des sujets aussi sensibles sont captées et financées par l’industrie et sont donc orientées. 

Il faut savoir détourner son regard et voir le bon côté des choses: le PDG de Pfizer a dernièrement été récompensé d’une sorte de prix Nobel israélien pour ses immenses services rendus aux actionnaires plutôt qu’au bien être de l’humanité. Une humanité sauvée des griffes (des spikes mais passons) d’un méchant coronavirus dont on ne se débarrassera jamais.

Et comment s’en débarrasser puisqu’il a contribué au retour en force des assassins corrompus de John F. Kennedy et autres faiseurs de fausses guerres ?

Fermons un peu les yeux et imaginons un monde où la dénommée Elisabeth Cheney, fille de Dick Cheney, l’un des plus puissants vices-présidents US (2001-2009) mais aussi le plus impopulaire est nommée à la tête des la Maison Blanche ? Un cauchemar dystopique qui s’est mis en place dès la venue de la dynastie corrompue des Bush au pouvoir en tant que vitrine d’un État Profond préférant diriger et manipuler dans l’obscurité a mené le monde à une guerre mondiale, d’abord hybride, puis totale. C’est donc un régime de faillite et de destruction.

Un tel régime qui ne dispose plus de jokers ou d’agitateurs ne peut être viable. Le choix d’un Trump fait partie de la panoplie de manipulation et de l’ingénierie politique mais celui-ci s’est avéré inconstant et volatile. Le choix de Biden, un dinosaure fossilisé du monde politique sclérosé et fermé est une catastrophe sans nom.

Le monde est dirigé par des mafias. Des oligarchies pour demeurer dans le politiquement correct. Mais certaines mafias sont plus insupportables que d’autres. Certains chefs d’État comme le président turc Erdogan, ont utilisé la mafia avant de se retourner contre elle une fois au pouvoir. Et a survécu à cette lutte. D’autres ont eu moins de chance et l’ont payé de leur vie. D’autres enfin donnent leur pays en pâture aux différentes mafias rivales se partageant le territoire ou s’ils savent dancer sur une seule jambe tentent de concilier les uns et les autres avec un « en même temps » tout en laissant tranquille une délinquance qui rapporte mieux à l’économie que bien des patrons d’industrie.

Le monde est ainsi. Mais une Cheney désignée par népotisme comme présidente des États-Unis est un pas de trop. Sa présidence de la Commission des incidents du 06 janvier à la Chambre des Représentants des États-Unis est un premier adoubement de l’État Profond US dans ce sens. La présidence des États-Unis comme celle de beaucoup d’autres pays n’est qu’un simulacre de représentation dénuée de tout pouvoir réel. Cependant la symbolique est suffisante pour démontrer que le régime veut non seulement survivre mais revenir à ses illusions d’hégémonie totale et au verrouillage de l’histoire sur sa supposée victoire.

Ce scénario du pire nous a mené à un conflit mondial dans lequel le monde et en train de régresser dans tous les domaines. Les théâtres Europe, Asie-Pacifique et Afrique du Nord de ce conflit global calquent dangereusement la cartographie militaire de la Deuxième Guerre mondiale

Un tel régime est intenable et insupportable. Il suscite des vocations insurrectionnelles même à l’intérieur de l’Empire. Il ne peut être que combattu avec tous les moyens possibles. Y compris au prix d’une guerre thermonucléaire globale.

Les survivants oublieront tout cela très vite. L’oubli est une des constantes de l’humanité.

Source : https://strategika51.org/2022/07/04/de-la-necessite-de-combattre-et-doublier/

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Juillet 2022

 

 

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