Le premier de six porte-avions chinois en cours de construction

 

 

 

 

 

 

L’Odyssée chinoise

De Mao Tse Toung à Xi Jinping

 

 

 

Il s’en passe des choses à La Réunion !

Salim Lamrani interroge Bruno Guigue.

 

 

De la chute de l’Empire en 1911 à l’émergence de la Chine comme puissance mondiale au XXIᵉ siècle, quelles ont été les grandes étapes de cette transformation spectaculaire ?

Bruno Guigue, Professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud, est l’invité, ici, de Salim Lamrani, Professeur en Histoire de l’Amérique Latine à l’Université de La Réunion.

Ensemble, ils retracent l’effondrement de la dynastie Qing, la fondation du Parti communiste chinois, la révolution socialiste de 1949, la construction d’un État socialiste, les grandes réformes économiques et l’essor contemporain de la Chine. Ils abordent également la lutte contre la pauvreté, les inégalités sociales et les choix stratégiques qui ont permis à la Chine de devenir un acteur majeur sur la scène internationale. Un échange captivant pour découvrir les grandes dynamiques qui ont façonné la Chine moderne.

 

 

 

 

 

 

Source : https ://www.canal-u.tv/chaines/universite-numerique-de-la-reunion/les-causeries-histoire-la-chine-1-l-odyssee-chinoise-de

 

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur les deux intervenants :

 

Salim Lamrani  :  est un enseignant-chercheur, historien et essayiste français, auteur de livres traduits dans plusieurs langues. Il est maître de conférences en civilisation hispano-américaine à l’université de La Réunion, chercheur au CRIMIC de Sorbonne Université et au GRIHAL de l’université de Versailles Saint-Quentin. Il a aussi été chargé de cours à l’université Paris Sorbonne. On trouve couramment ses articles sur Mondialisation.ca et sur Investig’action

 

Bruno Guigue, né en 1962 à Toulouse, est un ancien haut fonctionnaire, chercheur en philosophie politique et analyste politique français.  Normalien, énarque et chroniqueur en géopolitique, Bruno Guigue est un intellectuel de la vraie gauche et un combattant de la lutte internationale contre l’impérialisme. Auteur de cinq ouvrages et de nombreux articles traduits en huit langues, il enseigne la philosophie et les relations internationales dans divers pays, dont, justement, La Réunion et la Chine. En 2008, il a été exclu de la haute fonction publique (il était sous-préfet de Charentes Maritime) par Michèle Alliot-Marie alors P.M. pour avoir  « manqué à son «devoir de réserve ». En quoi faisant ? En dénonçant à titre privé, dans la revue Ouma.com, les exactions de l’armée israélienne, c’est-à-dire en exerçant son droit fondamental de Français théoriquement souverain. Devoir de réserve ? Notre cul ! Un des nombreux tours de passe-passe plutôt bas mais d’usage courant chez les diverses factions de la bourgeoisie d’argent (pléonasme !) vendue à l’étranger depuis bien avant Thermidor. Bref, M. le sous-préfet a été viré de ses hautes fonctions par un coup de téléphone du CRIF à Mme la Première ministre.

Notons que qualifié de « spécialiste du Proche-Orient » par Le Figaro, Bruno Guigue s’est fait taper sur les doigts pat L’Humanité pour n’avoir pas respecté son devoir machin. Ben, oui, ainsi vont les hauts et les bas de l’Histoire nationale française

 

N.B. : cette première partie des conférences sur la Chine a également été mise en ligne par Commun-Commune, sous le titre L’odyssée chinoise : de Mao Zedong à Xi Jinping – Partie 1  

 

 

 

 

 

 

À lire :

 

Bruno Guigue

L’Odyssée Chinoise

de Mao Zedong à Xi Jinping

Éd. DELGA – Janvier 2025

400 pages

 

 

 

 

 

 

À lire aussi :

 

 

 

 

 

 

En attendant la suite, nous ne pouvons manquer d’y ajouter une vidéo de la plus brûlante actualité, qui consiste en un entretien accordé à Danny Haïphong par Brian Berletič de The New Atlas

 

 

Danny Haiphong et Brian Berletic sur la guerre US à la Chine, d’où elle vient, en quoi elle consiste :

 

 

Brian Berletic : What China Just Did to Taiwan & Philippines SHOCKS U.S. Military, Trump Pushes War

 

 

 

 

 

 

Bien sûr, c’est en anglais

 

 

 

 

Nous vous traduisons le commentaire d’un internaute, paru sur le site Newsletter of a sceptic [Glenn Diesen’s Substack]  le 26.2.2025  (2 replies Klonda56Klonda56 1d)

 

 

  Si on veut mettre fin aux guerres, le danger le plus réel est le système d’enfumage mis en place par les (mauvais) dirigeants européens cooptés, en collaboration avec les médias et les entreprises technologiques.

En ce moment même, ils conspirent pour tenter d’intensifier leur guerre ratée en Ukraine en envoyant des troupes européennes dans la zone d’affrontements.

L’outil d’enfumage, ici, c’est « troupes de maintien de la paix ».

Comment les pays qui ont saboté les négociations de Minsk et ensuite bloqué un accord négocié, puis envoyé des armes et entraîné des troupes de combat ukrainiennes, en les aidant en outre à cibler leurs adversaires … –  pourraient-ils devenir des « garants de la paix »  en Ukraine ?

Ce n’est pas possible.

C’est une arnaque pour faire croire à un cessez-le-feu, juste le temps de rassembler des troupes, puis prétendre que la Russie a « violé » l’accord pour pouvoir reprendre les combats. Mais aujourd’hui, avec les Européens pour aller mourir et les USA exigeant qu’ils le fassent pour protéger les « minerais rares des USA », en exigeant probablement aussi que l’Europe leur sacrifie ses premiers-nés en échange d’un prêt pour acheter des armes qu’elle n’a pas… elle va où ?

C’est de l’enfumage et un BIEN PLUS GRAND danger pour la paix en Europe que les pires sacs de noeuds mondiaux. »

 

 

 

 

 

Pendant qu’on y est….

 

On ne va pas se priver d’un des derniers Pepe Escobar sur les – justement – facéties européennes.

 

 

La kakistocratie européenne enfermée dans une guerre sans fin contre la Russie

 

 

Pepe Esvobar – The Unz Review – 23.5.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

 

 

 

 

N’interrompez jamais votre ennemi lorsqu’il est en train de se suicider en série. À l’inverse du style gore américain, où le tueur en série ressuscite toujours, dans le cas de la kakistocratie européenne, l’autodestruction en série est toujours sûre et n’en finit jamais de monter en flèche

Donc, les EUrocrates de Bruxelles viennent d’adopter leur 17e série de « sanctions » contre la Russie – leur limite, c’est le ciel – visant près de 200 pétroliers de la prétendue flotte fantôme russe. Le paquet, approuvé par les États membres de l’UE, comprend bien entendu les proverbiales dizaines de mesures de gel d’avoirs et d’interdiction de visas.

Le tandem UE-UK est, de même, en train de réfléchir à la manière d’abaisser le plafond des prix du pétrole russe jusqu’à 50 dollars le baril, dans le but, évidemment, de « nuire » aux revenus énergétiques de la Russie.

Juste cequ’il fallait pour déclencher un pipeline de rigolade dans le Sud mondial, surtout en Inde et en Chine. Comme si ces Pieds Nickelés allaient pouvoir mettre à l’arrêt les navires de la flotte fantôme ou comme si l’OPEP+ allait tenir compte d’un malheureux petit plafond unilatéral de prix du pétrole imposé par l’UE.

Lire la suite…

 

URL de cet article : https://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/la-kakistocratie-europeenne-enfermee-dans-une-guerre-sans-fin-contre-la-russie/

 

 

 

 

Mis en ligne le 27 mai 2025

par Les Grosses Orchades

 

 

 

One Responses

  • semimi

    Qu’est-ce qui donne le droit, donc l’autorité, à un ramassis de minables États européens, dirigés par des individus plus médiocres les uns que les autres, d’émettre des « sanctions » contre un État indépendant, petit ou grand, non soumis à leur juridiction interne. Pour sanctionner, encore faut-il avoir le pouvoir de faire respecter ses décisions.
    Un exemple de mimétisme d’une bande de médiocres du comportement tout aussi illégal de leur maître. Ils oublient que les sanctions américaines reposent sur leurs missiles et sur les punitions financières.
    Un exemple comique : leur 18è paquet de « sanctions » contre la Russie repose sur l’atteinte aux hydrocarbures. Ils décident, dans la moyenne région de l’air, alors qu’aucun de ces minus ne produit une goutte de pétrole, que le baril « devra » se vendre non pas 60 $, mais 50 $ et même 45 $. Poutine va pleurer.
    Le problème de ces ignorants est que cette décision, si elle existait un jour, affecterait surtout … les États-Unis. L’exploitation des gisements US et ceux de gaz de schiste ne sont rentables qu’avec un baril à 65 $.. C’est Trump qui va être content de la décision d’Ursula. Caramba, encore raté.

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