On tue des femmes en Irak. Parce qu’elles sont des femmes ?

Le meurtre de Tara Fares marque une recrudescence des activités des P2OG-Mossad, pas de « l’extrémisme »

Jonathan Azaziah – FortRuss – 17 octobre 2018

 

 

Allons, nous serons francs. Si vous ne savez pas ce qu’est le Groupe d’Opérations Proactif Préemptif (en abrégé P2OG), vous n’avez AUCUN titre à vous mêler de proposer le moindre mot de commentaire sur l’Irak et sur ce qui est en train d’affecter son tissu social. Les meurtres récents de plusieurs irakiennes en vue marquent une recrudescence des activités du P2OG, de concert avec son partenaire, le Mossad de l’entité usurpatrice sioniste, pas de « l’extrémisme », comme le diagnostiquent à l’envi les médias archi-menteurs, archi-insidieux, archi-judaïsés du mainstream. La populaire modèle irako-libanaise et chrétienne Tara Faras, l’esthéticienne en vogue Rasha al-Hassan, la chirurgienne esthétique Rafeel al-Yassari et la militante féministe bien connue Suad al-Ali ont toutes été assassinées au cours des deux derniers mois, dans des circonstances excessivement mystérieuses.

Et voilà qu’à présent, Miss Irak 2015 Shimaa Qasim Abdulrahman et l’influenceuse Instagram Israa al-Obaidi reçoivent à leur tour des menaces de mort. Abdulrahman pour sa part a dit que les femmes sont en train de se faire «  massacrer comme des poulets ». Mais elle, comme la chambre d’écho médiatique des sionistes, est dans l’hystérie totale. Les femmes, comme les hommes, se font « massacrer comme des poulets » en Irak, depuis que les USA ont envahi leur pays pour le compte du régime illégitime « israélien », en mars 2003. Massacrés sont indifféremment les sunnites et les chi’ites, les chrétiens et les Ezadis, les Arabes et les Turkmènes, les Kurdes et les Assyriens, enfants, vieillards et handicapés inclus. Tous les milieux, de tout l’Irak, ont été et continuent d’être « massacrés comme des poulets », et ce sont toujours les mêmes mains qui répandent notre sang. Les mises à mort des personnalités féminines citées ci-dessus n’y font pas exception.

Malgré quoi les libéraux, les « féministes » et les medias saoudiens, qataris et émirati (ces parangons de défense des droits des femmes), dénoncent à qui mieux mieux, l’écume aux lèvres, « l’extrémisme chi’ite » et bien sûr « l’islamisme khomeiniste », sans oublier « la société irakienne meurtrièrement conservatrice », depuis que la nouvelle de l’exécution par balles de Tara Faras dans sa Porsche fait le buzz sur les réseaux sociaux. La haine putride et pathétique jetée après sa mort à la tête de l’influenceuse des médias sociaux par un quarteron de sombres brutes, tant en ligne qu’à la TV irakienne, n’ont rien fait pour dissiper cette fable. Mais ne vous y trompez pas : cette fable en est bien une. Et un fait gênant s’ajoute à cette analyse : même si un « groupe extrémiste » s’avère matériellement coupable de l’assassinat de chacune de ces femmes, en particulier de celui de Tara Faras, comme l’a déclaré il y a quelques jours le ministre de l’Intérieur irakien Qassem al-Araji, tout n’aura pas été dit. Ce qui nous ramène là où nous avons commencé : au P2OG.

Fondé par le criminel de guerre juif sioniste William Schneider, alors chef du Comité de Défense occulte (Defense Science Board) du Pentagone, et supervisé par Paul Wolfowitz et Richard Perle, les architectes psychopathes juifs sionistes de l’annihilation de l’Irak, le P2OG infesté de néocons est une petite agence ès faux-drapeaux – une petite agence qui dispose de milliards de dollars. Elle tue des sunnites et s’arrange pour faire croire qu’ils l’ont été par des chi’ites. Elle tue des Kurdes et fait croire que les tueurs sont des Arabes. Et vice versa. Et cætera. Elle pose des bombes. Elle sabote. Elle orchestre des kidnappings. Sans oublier sa tactique la plus notoire : le flingage de sang-froid, à moto, par des tireurs cagoulés. Si vous vouliez jouer aux détectives, vous pourriez repérer ce modus operandi et le suivre à la trace depuis la République Islamique d’Iran, où il a été utilisé par le Mossad pour assassiner plusieurs scientifiques iraniens du nucléaire. Et votre perspicacité vous aurait fait mettre dans le mille, car… eh, oui… P2OG travaille main dans la main avec les escadrons de la mort « israéliens », pour maintenir coûte que coûte l’Irak dans la tourmente.

Un des hauts faits particulièrement sanguinaires de cette intéressante petite agence est la création du groupe terroriste « chi’ite’ connu sous le nom d’armée Zulfiqar, qui a tué tant de sunnites en 2005 et 2006, comme, d’ailleurs, des flopées de chi’ites – soit la majorité de la société irakienne qui s’est battue avec Jaich al-Madi et a rejeté l’autorité du régime installé par les occupants – en 2007 et 2008. L’Armée Zulfiqar, comme le P2OG lui-même, en dépit du changement de la garde entre Bush et Obama, puis entre Obama et Trump, n’a jamais été dissoute. Le meurtre impitoyable de Tara Fares et des autres victimes correspond à la lettre aux stratagèmes habituels du P2OG.

Des personnalités remarquables. Un point de pression sociétal (le genre). Une situation politique critique (en plein milieu d’une élection chaudement controversée). Des exécutions en plein jour, avec juste le degré de négligence qui permette d’égarer les enquêteurs. Une campagne médiatique orchestrée instantanément pour camoufler bien à fond l’affaire. Le P2OG a pressé tous les boutons et tiré toutes les ficelles qu’il fallait pour atteindre son but. Quel pourrait être ce but, demanderez-vous ? Simple. Les « islamistes chi’ites », que haïssent si fort Sion et ses goyim pro-Shabak islamophobes, sont hors-jeu.  Les « centristes », c. à d. la marionnette occidentalo-sioniste Adel Abdul Mahdi al-Mountafiqi sont aux commandes. Autrement dit : le P2OG a frayé, à coups d’assassinats, la voie à un Premier ministre docile.

Nous observons par ailleurs que les assassinats de femmes en vue ont commencé au moment où les manifestations de Bassorah – autre acte de déstabilisation criblé d’empreintes P2OG-Mossad – se calmaient. En vérité, les deux événements sont liés de façon très importante, et alors que les androphobes « je suis une femme, tu m’entends rugir ? » démarrent au quart de tour le doigt sur la gâchette, nous ne manquons pas de bonnes raisons de dire que nous nous en fichons éperdument : Suad al-Ali était tout sauf innocente. Elle était au centre des manifestations de Bassorah et coordonnait ses mouvements avec le consul général US à Bassorah, Timmy Davis, un suppôt de confiance de la criminelle de guerre Hillary Clinton et ex-officier supérieur de surveillance du Centre d’Opérations du Département d’État, ce qui signifie selon toutes les formes de la vraisemblance qu’il est de la CIA aussi. Elle faisait donc partie des pions du P2OG et peut très bien avoir été assassinée par les Monstres, pour effacer leurs traces en remettant les compteurs à zéro une fois leur loup Mountafiqi introduit dans la bergerie [Version moyen-orientale de l’affaire Charlie Hebdo ? ndt].

Tragique ? Bof ! Pas moins que le meurtre du pion des services secrets US-UK-sionistes et porte-parole des Ikhwanji-Takfiri Jamal Kashoggi, prétendument assassiné par un escadront de la mort saoudien assisté des israélo-égyptiens. Couchez avec des chiens, vous vous lèverez avec des puces. Couchez avec des juifs et vous resterez couché quand vous aurez été truffé de balles par les P2OG-Mossad. C’est la nature de ces sales affaires. On pourrait se rappeler aussi que Tara Fares vivait à Erbil, capitale du « Kurdistan », que les Irakiens appellent « Israel al-Asghar (Petit Israël) » parce qu’elle regorge d’Israéliens. Curieuse résidence, soit dit en passant, pour une chrétienne irako-libanaise. Avec près de 3 millions de « followers » sur Instagram, en contact avec les grosses boîtes de produits de beauté propriétés de la Juiverie Organisée, un regain d’attention de la part des médias et enfin étant donnés les liens intimes qu’entretient « Israël » avec la ville qu’elle appelait son foyer, nous sommes fondés à nous poser la question : le sachant ou pas, faisait-elle partie du personnel du P2OG et de ses réseaux ? Et l’ont-ils utilisée comme agneau sacrificiel, dans leur poursuite de la déstabilisation de l’Irak ? Elle ne serait certainement pas la première reine de beauté irakienne – c’est de vous qu’on parle, traître Sarah Idan – à avoir servi des intérêts sionistes. Mais, avec le régime corrompu qui règne à Bagdad, sans doute ne le saurons-nous jamais.

Quoi qu’il en soit, l’impact des meurtres a aidé le sionisme mondial à continuer sa guerre à l’Islam de manière spectaculaire, à le dépeindre comme « arriéré » et « incompatible avec les droits des femmes », sans oublier de dénigrer les Irakiens dans la foulée comme « barbares misogynes » à la « masculinité fragile », tout simplement « pas capables de manier » des foules de « nouvelles femmes irakiennes ». Inepte radotage libéral, c’est sûr. À la Soros, même…. Mais du fait de l’absence de toute analyse sensée démasquant les forces malfaisantes qui haïssent l’Irak et ont fait tout ce qu’elles pouvaient pour renvoyer notre pays à l’âge de pierre et l’y maintenir depuis des décennies, c’est ce radotage qui prospère. Personne ne bénéficie de ce que des femmes irakiennes soient prises pour cibles, si ce n’est l’empire, qui veut que l’Irak continue de saigner d’un millier de blessures et ne puisse, ainsi, jamais se reconstruire ni se joindre à la lutte contre l’hégémonie sioniste. Oubliez vos émotions et regardez bien la foule des heureux marchands marqués de l’étoile à six branches en train de vous rire au nez. L’« extrémisme islamique » n’a pas tué Tara Fares, Rasha al-Hassan, Rafeef al-Yassiri et la proxy des Américains Suad al-Ali. C’est la P2OG-Mossad-connexion qui l’a fait. Ce même gang d’« élus » qui nous tourmente depuis quinze ans. Combien d’autres femmes (et hommes) d’Irak devront encore être assassinés, avant que vous vous décidiez à voir dans tout ceci le criminel plan Yahviste que c’est ?

 

Les autres victimes :

 

Rasha al-Hassan

 

Dr. Rafeef al-Yassiri

 

Souad al-Ali

 

Les suivantes ?

 

Shimaa Qasim Abdulrahman

 

Israa al-Obaidi

 

Source : https://www.fort-russ.com/2018/10/murder-of-tara-fares-reflects-uptick-in-p2og-mossad-activity-not-extremism/

Traduction : c.l. pour Les Grosses Orchades

 

 

Url de cet article :  http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/?page_id=157&preview=true

 

 

Mis en ligne le 22 octobre 2018

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