Les Guardianistas sur l’ordinateur portable de l’enfer – Voici à quoi ressemble le gaslighting (1)

 

 

TheDarkMan – TheDuran – 7.9.2022

 

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

[Le gaslighting renvoie à un long processus de manipulation abusive, qui s’apparente au lavage de cerveau. C’est une forme de harcèlement qui vise à introduire du doute chez la victime. « Cette dernière se questionne sans arrêt et a l’impression qu’elle est folle » indique Dana Castro, psychologue.]

 

 

Croyez-le ou non, The Guardian était autrefois un journal honnête, bien que de gauche.  Fondé en 1821, il publiait au début des années 90 quatre éditions quotidiennes – deux à Manchester, deux à Londres.  Il a en fait débuté sous le nom de Manchester Guardian, et a un journal frère, The Observer, publié le dimanche. Ces deux journaux ont été à l’origine des journaux à grand tirage.

 

Comme la plupart des journaux, The Guardian a plus souffert que bénéficié d’Internet, mais contrairement à la plupart des journaux, il est subventionné par Bill Gates, à hauteur de trois millions et demi de dollars sur une période de trois ans à partir de septembre 2020.

 

Il reste à voir si Gates ou tout autre milliardaire peut acheter une bonne presse ou supprimer des articles, mais il est curieux, n’est-ce pas, que les socialistes aient beau professer leur haine des super-riches, ils ne se lassent jamais de prendre leur argent ? Ce qui nous amène à la question suivante : qui paie les critiques du journal pour qu’ils déversent leur mépris sur Mon fils Hunter, ou sont-ils simplement malhonnêtes par nature ?

 

L’idiote féministe Emma Brockes a publié sa critique le 1er septembre ; Charles Bramesco a publié la sienne le 6 septembre.  Les deux critiques se basent uniquement sur le clip de promotion de Breitbart. Qu’ont-ils à dire ?

 

Brockes commence par dénigrer Laurence Fox et dit : « les mecs, arrêtez d’essayer de faire arriver les théories complotistes sur Hunter Biden ». Elle fait allusion à un autre film sur un « complot de l’État Profond pour saper la candidature de Trump », laissant entendre qu’il s’agit d’une autre théorie du complot.

 

Elle concède cependant que « les histoires concernant l’ordinateur portable ont été supprimées par les entreprises technologiques pendant la période précédant l’élection, même si certaines d’entre elles étaient vraies » et qu’il comportait « des trucs sexuels que je n’arrive toujours pas à comprendre ».

 

Bramesco est plus direct, affirmant que le film est destiné aux « cinglés marginaux » et que « le contenu du fameux ordinateur a été prouvé non scandaleux ».

 

OK, c’est plus que suffisant pour continuer.

 

Les histoires concernant l’ordinateur portable de l’enfer ont non seulement été supprimées, mais 51 membres de l’État Profond (dont on nous dit qu’il n’existe pas) ont publié une lettre avertissant qu’il présentait « toutes les caractéristiques de la désinformation russe ».

 

Bien qu’il soit difficile de croire que même un cinglé sous l’emprise du crack ou de la cocaïne ait pu laisser non pas un, mais trois ordinateurs portables « endommagés par l’eau » dans un atelier de réparation d’ordinateurs, puis les y oublier, le témoignage de John Paul Mac Isaac – un véritable héros américain – ne peut être réfuté. Et même les puissants font parfois des idioties. Dans le fond, il semble inconcevable qu’un président en exercice ait pu recevoir une fellation d’une stagiaire échauffée dans le Bureau Ovale de la Maison Blanche et pourtant c’est arrivé. Plus thématiquement, en 1997, la star du rock glamour Gary Glitter a apporté un ordinateur portable cassé dans un atelier de réparation d’ordinateurs de Bristol, et cet ordinateur contenait plus de quatre mille images de pornographie enfantine. À cette époque, l’Internet tel que nous le connaissons n’existait pas ; il n’y avait pas de Facebook, pas de YouTube, Google était encore en développement, et même Yahoo avait moins de quatre ans. Alors, comment avait-t-il seulement pu obtenir une si grande collection d’images dépravées ? La réponse est qu’il existe, et qu’il existait déjà à l’époque, des réseaux d’individus dépravés qui les distribuent et, bien pire encore, qui les créent. La pornographie de cette nature étant illégale partout sur la terre, ces individus doivent nécessairement travailler en secret. Mais qu’en est-il des autres individus qui, même s’ils sont moins odieux, agissent autant qu’eux dans l’illégalité mais sont protégés par ceux qui sont censés faire respecter les lois ?

 

Source : Guardianistas On The Laptop From Hell — This Is What Gaslighting Looks Like (1) – The Duran

 

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Les Guardianistas sur l’ordinateur portable de l’enfer – Voici à quoi ressemble le gaslighting (2)

 

 

TheDarkMan – TheDuran – 7.9.2022

 

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Nous savons que ce genre de choses arrive, et il est vrai que le FBI possède un coffre-fort public de documents relatifs à des activités clandestines visant toutes sortes de groupes, aux deux extrémités du spectre politique. Foutre, la CIA a même publié un manuel d’assassinat ! Alors ne parlons plus de théories du complot, ho, ho, ho, et regardons les faits bien documentés sur, à la fois, la famille du crime Biden et la conspiration contre Donald Trump.

 

Avant même que celui-ci entre à la Maison-Blanche, Hillary Clinton a lancé une théorie du complot ridicule et totalement infondée, selon laquelle Donald Trump était à la solde des Russes ou dans leurs griffes. Pour donner quelque corps à cette affirmation, elle avait même engagé un ressortissant étranger qui devait l’aider à créer un soi-disant dossier sur les activités imaginaires de Trump. Pour dissimuler ses paiements à Christopher Steele, elle a blanchi l’argent par l’intermédiaire d’un cabinet d’avocats.

 

Des personnes puissantes au sein du FBI, y compris son directeur, ont apporté leur soutien à ces calomnies. Des espions ont été placés au sein de la campagne de Trump, dont un universitaire chevronné. Des documents ont été falsifiés pour faciliter cette conspiration, et un avocat du FBI a même été reconnu coupable d’avoir falsifié un courrier électronique, dans le cadre de cette conspiration.

 

De nombreux avocats des deux côtés de l’Atlantique ont été radiés de leurs Barreaux respectifs et ont purgé des peines de prison pour des délits moins graves, mais Kevin Clinesmith n’a reçu qu’une petite tape sur les doigts et est aujourd’hui autorisé à pratiquer le droit comme si de rien n’avait été.

 

Que faisait Hunter Biden à cette époque, à part se défouler sur les drogues ?

 

Avant d’aller plus loin, mettons une chose au clair. Les personnes qui deviennent dépendantes de n’importe quelle drogue, qu’il s’agisse d’alcool, de médicaments sur ordonnance ou de substances vraiment dures comme l’héroïne et la cocaïne, méritent la sympathie. C’est quelque chose qui pourrait arriver à n’importe lequel d’entre nous, et qui arrive. Mais il y a des limites. Malgré des séjours en cure de désintoxication, Biden Jr s’est vautré dans la dépravation plutôt que la combattre. En 2013, il a rejoint la réserve de l’U.S. Navy à l’âge de 43 ans, à un poste d’état-major plutôt que de service actif. Le mois suivant, il a échoué à un test de drogue de routine et a été expulsé.

 

En 2014, il est entré au conseil d’administration d’une entreprise ukrainienne, qui lui a payé l’équivalent d’une rançon de roi. Alors que son père était vice-président des États-Unis, il l’a accompagné à de multiples reprises dans ses voyages à l’étranger, mais Joe Biden a nié avoir jamais évoqué avec son fils les relations d’affaires de celui-ci.

 

En 2018, Hunter a été impliqué dans un incident bizarre, au cours duquel son arme de poing a été jetée dans une poubelle. Cela a conduit à une dissimulation de la part des services secrets. L’affaire a néanmoins été rapportée par Politico, site web pourtant peu favorable à Trump. Le gros problème ici, c’est que lorsqu’il avait acheté l’arme, Hunter avait menti sur le formulaire de déclaration officiel en niant avoir une dépendance à la drogue. Aucune mesure n’a été prise à son encontre.

 

Mais la principale accusation portée contre Hunter – étayée par une abondante documentation et un témoin irréprochable – est que, comme les Clinton et leur fondation, il faisait du trafic d’influence, en vendant l’accès à son père. Une fois de plus, la gauche, qui professe tant haïr le capitalisme, regarde ailleurs pendant que les capitalistes de la pire espèce gagnent beaucoup d’argent en acceptant des pots-de-vin sans jamais faire quoi que ce soit de productif.

 

Si un des enfants de Donald Trump avait fait la moitié de ces choses, il y aurait eu des inculpations contre toute la famille, mais pour Hunter et Joe, c’est « circulez, il n’y a rien à voir ».

 

Enfin, à l’intention de notre critique féministe qui prétend que l’ordinateur portable contenait « des trucs sexuels que je n’arrive toujours pas à comprendre », voici les trucs sexuels en question : Hunter fumant du crack avec une prostituée. Hunter payant une prostituée 10.000 $. Ok, des crimes sans victime quoi qu’en dise la loi, mais qu’est-ce que vous dites de ça ?

 

Hunter a eu une liaison avec une femme beaucoup plus jeune que lui. Quand Lunden Roberts est tombée enceinte, elle a décidé de garder le bébé, et comme on peut le voir sur les photos, elle a clairement pris la bonne décision. Quand elle a annoncé la chose à Hunter, a-t-il été extatique ou simplement heureux de redevenir père ? Pas du tout, il a même nié la connaître. Ce n’est pas une manière de traiter une femme, même une qui a gagné sa vie comme danseuse exotique. 

 

Bref, ce n’est que lorsque le tribunal a ordonné un test de paternité que Hunter a avoué. Et a payé. Au moins la pension alimentaire, mais il a toujours des problèmes d’impôts. Seul un idiot prétendrait que le portable de l’enfer est une théorie du complot ou n’a pas d’importance vitale. Pendant ce temps, le père de Hunter ou celui qui tire ses ficelles est en train de transformer l’Amérique en un état policier, a encouragé des millions d’immigrants pauvres à traverser illégalement la frontière sud, gens qui seront un fardeau pour l’économie du pays sans mentionner dans certains cas un risque pour le public. Il a saccagé l’économie et préparé le terrain à une inflation massive en distribuant des milliards de dollars aux intérêts spéciaux contre lesquels Donald Trump s’insurgeait en 2016. Et nous n’avons pas mentionné le désastre afghan ou la folle guerre par procuration avec la Russie. Il doit s’agir d’un acte délibéré, d’une conspiration, car aucune personne chargée de diriger le pays ne pourrait être aussi stupide.

 

Source : Guardianistas On The Laptop From Hell — This Is What Gaslighting Looks Like (2) – The Duran

 

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Septembre 2022