Oui et non
Mais si, quand même.
Échange d’impressions avec « Commune de Paris », suite à leur mail de commentaire à « Si les Gilets Jaunes… »
a/s de Théroigne – L.G.O. – 10.6.2020
Depuis, au mail cité dans notre précédent post, ils ont ajouté ce qui suit :
Aussi pour bien comprendre notre propos il convient de lire nos deux essais :
« Manifeste pour la société des sociétés »
(https://resistance71.files.wordpress.com/2018/05/manifeste-pour-la-societe-des-societes.pdf )
et sa suite logique :
« Résolution de l’aporie d’anthropologie politique de Pierre Clastres »
Le pourquoi Pepe, qui a toute notre sympathie, ne peut rester que dans une formule restreinte, y est contenue.
De plus Pepe bosse pour l’Asia Times, les Chinois sont ses payeurs en quelque sorte, il ne saurait être totalement objectif et ses écrits encensant la « route de la soie » et le « modèle économique » qui en découle en fait aussi un critique naïf (ou pas ?..) du monde moderne.
Il est difficile pour nous de nous engager dans toute discussion de fond avec des personnes qui n’ont pas lu ou ne veulent pas lire nos deux essais, car ils sont l’essence même de notre réflexion sur le monde et la société humaine. Il n’y a rien qu’on puisse dire qui n’est pas contenu dans ces deux textes… Merci de garder cela en considération et de poster les liens pour tout lecteur voulant discuter.
On ne connaît pas encore leurs deux essais, mais comme c’est sur des principes aussi qu’on répond, notre argument fera peut-être quand même avancer le schmilblic, ne fût-ce qu’en nous situant plus précisément.
Chers camarades,
(remplacez par autre chose si vous n’aimez pas),
D’accord, oui, si on veut, mais pas tout à fait et même loin de là.
Parce que, quand je vois implicitement critiquer les grands hommes et quelques-uns peut-être moins grands mais qui ont fait ce qu’ils pouvaient et continuent, là où il y en a, j’ai de plus en plus tendance à me dire : mais qu’est-ce qui les empêche de faire mieux à leur mode ? Que Poutine, que Xi Jinping aujourd’hui. Que Mao, que Staline et que Lénine avant-hier. Que les Castro et Guevara hier ? Que Marat, Robespierre et Saint-Just avant eux ? (Je vous passe tous les autres, et il y en a, de Lumumba à Maduro-Moralès, de Bouhired à Davis et Devlin.)
La critique est aisée et l’art est difficile (sagesse des nations). Je crains fort qu’on soit toujours le réformiste de quelqu’un.
Qu’est-ce qu’il attend « Nous le Peuple » (dans le temps, on disait « le Souverain ») pour montrer ce qu’il sait faire et surtout ce qu’il veut ? Le problème, c’est justement qu’il ne semble pas vraiment vouloir quelque chose mais seulement ne pas vouloir quelque chose. Qu’on ne veut pas non plus, mais ne digressons pas.
Quand je dis Nous le Peuple ou Le Souverain, je parle ici de sa partie émergée en France : les Gilets Jaunes, puisque c’est d’eux qu’il était question.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/echange-dimpressions-avec-commune-de-paris/
On voulait s’en tenir là pour aujourd’hui. Mais l’actualité a pris le mors aux dents d’une façon qui continue à ne pas nous nous plaire du tout.
Nous ne serions même pas surpris que tout ceci – meurtre de Floyd inclus – « ne soit qu’un test », (comme l’a dit Pepe Escobar de la pandémie), destiné à renseigner les zélites sur les limites de leurs capacités manipulatoires.
Au moment où, avec un parfait synchronisme, un nombre indéterminé mais élevé de villes se met à déboulonner, un peu partout dans le monde, des statues ou des plaques honorant des personnages du passé qui n’ont pas suffisamment fustigé de leur vivant « l’esclavage » (lequel ? il y en a eu tant)…
… Israël Shamir vient de sortir un de ses textes les plus importants. Personne ne perdra son temps à le lire attentivement et à regarder autour de soi pour constater qu’il ne se trompait pas
La Révolution du masque
Israël Shamir – Entre la plume… – 9.6.2020
Traduction : Maria Poumier
Qui aurait imaginé que les manifestations pour Floyd seraient le meilleur vaccin contre le Coronavirus? Les mêmes qui nous avaient averti que le virus serait un fléau mortel et que la seule solution était de rester à la maison, nous ordonnent maintenant de faire des marches, tous au coude à coude contre la police ! Ils ont donc sous leur commandement l’épouvantable pandémie, et le pouvoir de dire : la voilà qui arrive, ou bien non finalement. Toutes les manifs n’ont pas le même potentiel curatif : il est très dangereux de manifester contre le confinement, mais il est parfaitement hygiénique de manifester contre la police, disent-ils.
On aura rarement vu un tel retournement de veste tout en souplesse. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque !
Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires. Le Covid, c’est la nouvelle normalité; il est intégré au discours des « éveillés ». Les beaux visages blancs, à la manif, se protègent avec des masques; les beaux visages noirs n’ont pas besoin de masques, parce qu’il est évident qu’ils sont du côté du bien.
Les masques, ça sert à cacher la défaite. Le coronavirus, c’est un truc qui n’a pas marché. Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly Karlin avait promis que le corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oops ! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts. Voyez par exemple le taux de mortalité de la Norvège. Avec le Corona (en 2020), on a eu moins de morts que sans, au cours des cinq années précédentes. Et il n’a guère contribué au total, le salop !
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Attendez-vous donc à voir Donald Trump subir le sort de Slobodan Milošević et regardez bien Lord Jamar dire que « Black lives matter », c’est George Soros
Des Gilets Jaunes à George Floyd : comment Israël a militarisé la police occidentale
Par Philip Giraldi, ancien officier de la CIA*
Source : The Unz Review, 9 juin 2020
Traduction : lecridespeuples.fr
La police militarisée : un cadeau d’Israël
La formation israélienne aux tactiques brutales des forces de police américaines révélée
Le meurtre de l’homme noir George Floyd par le policier blanc de Minneapolis Derek Chauvin a entraîné le plus haut niveau de troubles nationaux aux États-Unis depuis les années 1960. Des dizaines de milliers de manifestants sont descendus dans les rues pour protester contre le racisme et la violence de la police. Comme ces événements surviennent également à un moment de pandémie de coronavirus et de chômage record, ils ont le potentiel de changer les États-Unis de manière fondamentale. Le problème principal est que beaucoup de gens à gauche, ainsi que certaines personnes à droite, voient la police américaine comme une sorte de « force d’occupation », des ennemis égoïstes du peuple plutôt que des protecteurs soucieux de la vie et des biens des contribuables.
L’Art de la guerre
Pas de souveraineté économique sans souveraineté politique
Manlio Dinucci – il manifesto – 9.6.2020
Traduction : Marie-Ange Patrizio
Conte et Profumo avec le nouveau Falco Xplorer, le plus grand drone jamais réalisé par Leonardo
On discute en ce moment sur combien et quels financements l’Italie recevra de l’Union européenne et à quelles conditions.
De Bruxelles arrivent des messages tranquillisants. Mais comme ces financements seront fournis en majorité sous forme de prêts, divers économistes avertissent : danger d’un fort endettement et d’une ultérieure perte de souveraineté économique.
L’attention politico-médiatique se concentre ainsi sur les rapports entre Italie et Union européenne. Thème important, qui cependant ne peut pas être séparé de celui des rapports entre Italie et États-Unis, dont au parlement et dans les grands médias personne ne discute.
Lire la suite…
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Ah, l’intelligence artificielle !
Entre ceux qui se voient en maîtres du monde grâce à elle et ceux qui en ont peur, on ne sait plus où donner de la tête. Allons, allons, on se calme…
Pourquoi l’IA n’est pas, et de loin, aussi intelligente qu’elle en a l’air
Jonathan Tennenbaum – Entelekheia – 8.6.2020
Article paru sur Asia Times sous le titre Why AI isn’t nearly as smart as it looks
L’intelligence artificielle promet de libérer l’humanité de ses corvées et de déclencher une révolution de la productivité, mais nous en sommes encore loin.
L‘intention de cet article n’est pas d’attaquer l’intelligence artificielle en tant que technologie.
Outre les dangers inhérents à tout développement révolutionnaire, l’IA présente un ensemble d’avantages vaste et croissant, déclenchant des cascades de progrès dans les domaines les plus variés de la science et de la technologie, libérant les gens de corvées assommantes, rendant la vie plus commode et l’économie plus productive.
Cela étant, l’IA a encore un long chemin à parcourir. Compte tenu de l’ampleur colossale et sans précédent des efforts et de la créativité investis dans le développement des systèmes d’IA, et intégrés dans ses bases de données, il n’est pas certain que l’IA ait produit plus d’intelligence que les humains n’en ont mis dedans.
L’intelligence artificielle présente un aspect problématique, que j’évoquerai sous l’appellation générale de « stupidité ». Ici, j’entends le terme « stupidité » dans un sens analytique et non péjoratif. Chez l’homme au moins, la stupidité et l’intelligence – même la plus brillante – ne s’excluent pas mutuellement. Elles coexistent souvent, comme l’expérience nous l’enseigne.
Dans cet article et les suivants, j’ai l’intention d’aborder le problème de la stupidité de l’IA dans trois dimensions interdépendantes :
La racine ultime de la stupidité de l’IA
Jonathan Tennenbaum – Entelekheia – 8.6.2020
Cet article, paru sur Asia Times sous le titre The ultimate root of AI stupidity fait suite à Pourquoi l’IA n’est pas, et de loin, aussi intelligente qu’elle en a l’air
Le deep learning (apprentissage profond) de l’IA a permis de réaliser des progrès en matière de reconnaissance d’images et de traduction, mais des bévues mettent en évidence d’énormes lacunes encore actuellement
Maquette d’une machine de Turing par Mike Delaney. Source : Wikimedia
La racine ultime de la stupidité des systèmes d’IA, je soutiens, réside dans leur caractère strictement algorithmique. L’IA telle qu’on la conçoit actuellement est basée sur des systèmes de traitement numérique qui effectuent des opérations binaires-numériques de manière progressive selon des ensembles fixes d’algorithmes, à partir d’un tableau d’entrées numériques.
Certains peuvent contester cette caractérisation, en soulignant que les systèmes d’IA peuvent constamment changer leurs propres « règles » – en se reprogrammant, pour ainsi dire. C’est vrai, mais l’auto-programmation doit suivre un algorithme quelconque.
Il en va de même pour les processus par lesquels le système réagit à diverses entrées. En fin de compte, chaque système d’IA est régi par un ensemble de règles et de procédures qui sont intégrées dans la conception du système et qui restent inchangées pendant son fonctionnement tant que le système reste intact.
Alan Turing, l’un des grands pionniers de l’intelligence artificielle, a réussi à donner une définition précise de la notion générale d’« algorithme » ou de « procédure mécanique » qui englobe tous les systèmes d’IA réalisables sur la base d’un hardware numérique. Turing a démontré que tout système de ce type est mathématiquement équivalent à une entité abstraite connue aujourd’hui sous le nom de « machine de Turing ».
Source : http://www.entelekheia.fr/2020/06/08/la-racine-ultime-de-la-stupidite-de-lia/
À lire ou à relire…
À voir ou à revoir…
Au moment où les pires fripouilles vous traitent comme du pus si vous n’aboyez pas avec la meute quoiqu’en muselière et de la façon qu’on vous dit, il nous a semblé qu’il n’était pas superflu de rappeler le souvenir – et les hauts faits – des Panthères Noires.
Ils ne devraient pas être tous morts. Ils le sont. Jeunes. Dans des conditions diversement effroyables.
Nous n’avons pas le souvenir d’avoir jamais entendu les belles âmes anti-esclavagistes d’aujourd’hui s’intéresser à leur parcours et vénérer leur mémoire. C’est peut-être que nous sommes sourds.
Les Gilets Jaunes pourraient faire pire que les prendre pour modèles.
Brian Dooley
Black and Green – The Fight for Civil Rights in Northern Ireland & Black America
Langue : anglais
Pluto Press (19 janvier 1998)
192 pages
Brian Dooley is Director of Communications for Public Citizen, a non-profit advocacy organization in Washington DC, and is author of a critical study of Robert Kennedy, published by Keele University Press in 1995. He has worked for the BBC in Africa and for Amnesty International in London, and writes for the British press on US and Irish affairs.
Où est-il le temps où Bernadette Devlin et Huey Newton manifestaient côte à côte, poing levé, pour la Palestine ?
Certes, elle est encore vivante, et on l’espère pour longtemps, bien qu’on lui ait fait, à elle et aux siens, des choses aussi pires qu’à Julian Assange, mais il ne reste, de cette époque héroïque, pas même une photo – sur Google ? vous voulez rire ! – et, de temps en temps, un livre comme celui-ci. Qui, non, n’est pas traduit en français, il ne faut pas croire au petit Jésus soviétique.
Israël Shamir
La Bataille du Discours
Langue : français
BookSurge; Édition : comportant illustrations et index (25 septembre 2008)
493 pages
Présentation :
Israël Adam Shamir est un penseur politique radical, qui nous emmène bien au-delà de la gauche domestiquée et de la droite déracinée : il démêle l’écheveau des leurres avec lesquels on prétend nous égarer, quelles que soient nos préférences idéologiques ou religieuses. L’ennemi a réussi à monter une formidable machinerie intégrée pour formater l’opinion publique. Qui sont les gens qui possèdent et font tourner la machine ? S’agit-il du lobby juif ? Pas exactement, répond Shamir, ce formidable lobby n’est que la pointe de plus en plus visible de l’iceberg… Malgré le terrorisme idéologique régnant en Europe, et particulièrement intense en France, il est possible de démanteler la mouture contemporaine de la tyrannie oligarchique, à condition d’en maîtriser les rouages complexes. Et il y va de notre liberté, il y a urgence.
Extrait de l’Avant-propos illustré :
Sur ce tank, photographié sur la terre irakienne, on peut lire le slogan : « Aujourd’hui à Bagdad, demain à Paris ! ». Durant la guerre en Irak, aux jours de l’opposition de Jacques Chirac à l’agression des États-Unis, cette animosité était très répandue parmi les Yankees : en la France, ils voyaient leur pire ennemi. Mais le pire qu’ils aient pu commettre, a été alors de rebaptiser les « French Fries » (les frites) en « Freedom Sticks » (bâtonnets de la Liberté), ce qui a beaucoup fait s’esclaffer les gens intelligents. Toutefois, quelques années plus tard, ce slogan est devenu réalité : après la prise de Bagdad, Paris aussi est tombé aux mains des forces américaines. Pour installer un fantoche américain à Bagdad, les Américains avaient dû se battre durant plusieurs semaines. Mais le fantoche américain du Palais de l’Élysée y a été installé sans qu’on ait eu à tirer la moindre balle. En dépit de son look de Panthère Rose, Sarkozy restera comme un des personnages les plus sinistres de l’histoire de France. La France avait été le seul pays, au monde, qui eût réussi à se débarrasser de l’occupation yankee ; c’est désormais du passé. Le Président Sarkozy a décidé de détricoter le grand oeuvre de Charles de Gaulle… — Avant-propos de La Bataille du Discours
[Depuis, on a vu pire ; NdGO]
L’auteur
Originaire de Novossibirsk en Sibérie, Israël Shamir s’établit en Israël en 1969 ; il a participé aux combats de la guerre de 1973 ; mais en parcourant la Palestine en tant que journaliste, il a découvert l’absurdité criminelle du projet d’un État Juif. Converti au christianisme orthodoxe, il choisit Adam pour nom de baptême. Traducteur de Joyce, d’Homère, du prix Nobel israélien S. Y. Agnon, et du géographe du XVème siècle Abraham Zacuto, il a également publié en français une monumentale et très personnelle histoire de la Palestine, des origines jusqu’à nos jours, sous le titre Le Pin et l’Olivier (éd. BookSurge, 2007). Il a été le pionnier du projet d’un seul État pour tous en Palestine-Israël.
Tom Van Eersel
Panthères noires – Histoire du Black Panther Party
Langue : français
Éditions L’échappée (21 avril 2006)
Collection : Dans le feu de l’action
159 pages
Quatrième de couverture :
All Power to the People
Textes et discours des Black Panthers
Langue : français
SYLLEPSE – édition revue et augmentée (19 mai 2016)
Collection : Radical America
330 pages
Textes et déclarations des Black Panthers. Des documents d’époque qui éclairent un des épisodes les plus marquants de la lutte de libération noire américaine et l’un des mouvements sociaux qui auront marqué le plus la conscience américaine et l’imaginaire des opprimés. Un an après l’assassinat de Malcolm X, deux militants noirs, Huey P. Newton et Bobby Seale fondent le Black Panther Party qui sera détruit par une sanglante répression conduite par le FBI, qui fit des centaines de morts et plus encore d’emprisonnés. Au-delà de l’image très connue, trop connue, des rangées de militants armés, vêtus de bérets et de cuirs noirs, ce livre nous plonge dans les multiples activités du parti et de ses membres, dans leur pratique quotidienne, au cœur des ghettos noirs, mais aussi en prise avec la révolution cubaine, la mobilisation contre la guerre du Vietnam et les luttes de libération dans le monde entier. Des petits-déjeuners gratuits pour les enfants des ghettos à l’autodéfense armée, en passant par la lutte dans et contre les tribunaux et les prisons, les écoles de la liberté ou encore les cliniques de soin communautaires, les textes, les déclarations et les entretiens rassemblés dans ce livre racontent à plusieurs voix une expérience inédite dont la force exemplaire peut encore nous faire réfléchir.
Agnès Varda
Black Panthers
Film documentaire de 1968
(DVD) : fabriqué à la demande
C’est donc assez cher, et on ne sait même pas s’il y a des sous-titres en français…
Peut-être ERTV devrait-il s’y intéresser…
This 1968 documentary shows some of the most important and controversial black leaders of the late 60s, and is a must see for anyone interested in sixties radicalism of the Panthers.
Toutefois, il semble que ce film soit contenu dans un coffret de 2 DVD qui comprend plusieurs films d’Agnès Varda, en français :
Tous courts
Format : PAL
Audio : Français
Region : Région 2 (Ce DVD ne pourra probablement pas être visualisé en dehors de l’Europe. Plus d’informations sur les formats DVD/Blu-ray.).
Nombre de disques : 2
Studio : ARTE ÉDITIONS
Date de sortie : 8 novembre 2017
Durée : 365 minutes
Amazon « Prime » : 19,99 €
Mis en ligne le 10 juin 2020
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