Les six résidences (en 2023…) de Volodymyr Zelensky

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les six résidences

(en 2023…) de Volodymyr Zelensky

 

 

 

Et ceci est une septième,

soit l’appartement de luxe (« penthouse ») acheté en 2018 par l’épouse dudit président, à l’oligarque Oleksandr Buryak, pour la moitié de sa valeur marchande. La résidence est celle des tsars, à Yalta, en Crimée, où ont été signés, en 1945, les fameux accords de Yalta (source : Reuters)

[see here : https://news.laodong.vn/the-gioi/vo-tong-thong-ukraine-vuong-lum-xum-mua-re-can-ho-hang-sang-o-crimea-731060.ldo  – People in Laos mix up Josef Stalin with Josef Putin and 2018 with 2013, otherwise, they are raccurate]

 

 

 

 

If you want to read this in English…

 

Scott Ritter Documented Zelensky’s 6 Residences and Control by UK’s MI6

 

       by Eric Zuesse 

18 April 2025, by Eric Zuesse. (All of my recent articles can be seen here.)

 

 

… here it is  :

 

https://theduran.com/scott-ritter-documented-zelenskys-6-residences-and-control-by-uks-mi6/

 

 

Of course, there is no mention in this work of the interesting Zelensky couple’s trade in war orphans, sold to the West for their organs or to entertain wealthy child amateurs.

 

 

 

 

Et si vous voulez le lire en français, voilà :

 

 

Scott Ritter a recensé les 6 résidences de Zelensky et le contrôle exercé sur lui par le MI6 britannique

 

Eric Zuesse – The Duran – 19.4.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Le documentaire le plus important et le plus riche en informations que j’aie jamais vu sur YouTube concernant la guerre en Ukraine était celui de Scott Ritter et a été supprimé (en raison de la pression exercée par le FBI et le gouvernement ukrainien), comme Ritter l’a expliqué publiquement après que le FBI a fait une descente chez lui à la recherche d’une raison de l’accuser d’un délit. Mais heureusement, cette vidéo youtube avait été sauvegardée sur le plus grand site d’archivage du monde, avant d’être supprimée. Il s’agissait d’un documentaire de 36 minutes, très bien documenté et très bien produit, réalisé par Anna Judd et son organisation « U.S. Tour of Duty », avec l’aide et le récit de Scott Ritter, qui l’a également mis en ligne sur son blog « Scott Ritter Extra » le 11 juillet 2023. Cette vidéo youtube de 36 minutes s’intitule « Agent Zelensky – Part 1 », et peut être visionnée en cliquant sur ce titre.

Il contient des révélations qui montrent :

Zelensky promettant aux électeurs ukrainiens de mettre en place des politiques auxquelles il s’est immédiatement opposé dès qu’il a remporté les élections en Ukraine.

Zelensky président qui déclarait « Nous travaillons tous pour ces cinq ou six familles » lorsqu’on lui demandait s’il était contrôlé par le célèbre oligarque, ennemi-juré de la Russie, Ihor Kolomoïsky (sur lequel j’avais déjà titré le 18 mai 2014 « L’homme-clé derrière le massacre du bâtiment des syndicats ukrainiens d’Odessa du 2 mai : Ses nombreuses connexions avec la Maison Blanche » – article publié avant même que Zelensky ne soit embauché par Kolomoïsky : embauché d’abord pour construire le réseau de télévision de Kolomoïsky, puis pour blanchir son argent, et enfin pour devenir président de l’Ukraine).

Zelenskyn exposé dans les fuites des Pandora Papers de 2021 comme dissimulant de grandes richesses à l’étranger, sur des comptes offshore secrets. Cet argent comprenait, entre 2012 et 2016, 41 millions de dollars versés par Kolomoïsky à Zelensky ; lequel était donc le partenaire commercial de Kolomoïsky avant même le coup d’État US qui a fait main basse sur l’Ukraine en février 2014.

Zelensky propriétaire, simultanément, de résidences en Ukraine, à Miami, en Israël, en Italie, à Londres, en Géorgie et en Crimée, d’une valeur totale d’environ 60 millions de dollars.

Zelensky président, détournant des milliards d’euros destinés à la construction de routes, au financement d’hôpitaux, etc.

« Notre politique consiste à affaiblir et à détruire la Russie. Pour cela, oui, nous nous intéressons à l’Ukraine, nous pouvons l’utiliser comme une massue pour frapper les Russes, cela n’a rien à voir avec l’Ukraine, rien à voir avec les Ukrainiens, qui sont juste des gens sacrifiables, dans la mesure où ces gouvernements sont concernés. »  « L’idée était de créer une Ukraine nazie, car seule une Ukraine nazie pouvait lutter contre la Russie. » « Iouchtchenko est devenu le premier président ukrainien [2005-2010] fabriqué par l’Occident. … Iouchtchenko a été le premier à faire du nationalisme et de la russophobie l’idéologie de l’Ukraine à un niveau étatique. ». À partir de 2006 et jusqu’en 2010, Iouchtchenko a officiellement transformé en « héros de l’Ukraine » les principaux Ukrainiens qui s’étaient joints à la SchutzStaffel d’Hitler et avaient été dirigés par elle pour lutter contre la Russie et exterminer les Juifs. « Iouchtchenko a rompu les liens avec la Russie et nous a donné un chèque en blanc. Mais ensuite, en 2010, Ianoukovytch a remporté la présidence de l’Ukraine, malgré les dépenses massives du gouvernement US pour soutenir le successeur [la successître, NdT] de Iouchtchenko, Timochenko, et le président Ianoukovytch a rapidement annulé les édits pro-nazis de Iouchtchenko. Cependant, à partir de là, les dépenses massives engagées par le George C. Marshall European Center for Security Studies (appartenant conjointement aux gouvernements allemand et américain) ont servi à recruter, en Ukraine, des ennemis enragés de la Russie, afin de les former à travers tout l’empire US, et qu’ils deviennent des politiciens à la solde de la CIA américaine et du MI6 britannique. « Après le coup de la place Maïdan [coup d’État US] en 2014, le Centre Marshall est devenu une Mecque pour les responsables ukrainiens de plus haut rang et pour ceux de l’armée.» « Pendant sa campagne présidentielle [celle de Zelensky], son équipe de campagne a secrètement travaillé avec le groupe de lobbying de Washington Signal Consulting » pour convaincre les membres du Sénat et de la Chambre des représentants US de soutenir sa campagne. Après sa victoire, il a engagé de nombreux lobbyistes de Washington pour soutenir le plan de gouvernement voulu pour l’Ukraine, contre la Russie, par les USA et le Royaume Uni.

On voit ensuite Zelensky s’adresser en 2020 à des journalistes et leur disant : « Nous avons eu une réunion au bureau du MI6 ». Il s’agissait d’une réunion secrète, dont il ne pouvait rien dire, mais elle avait bien eu lieu avec Richard Moore, le chef du MI6, au quartier général du MI6. « Un manipulateur travaille toujours avec un unique agent. Dans le cas de Zelensky, Richard Moore est devenu son manipulateur direct. Au printemps 2022, à Bucha en Ukraine, on voit Zelensky, accompagné d’un petit groupe de conseillers, tous étrangers : « En fait, à en juger par leur prononciation, ils sont britanniques. » « Les services secrets britanniques ont probablement aidé Zelensky pour la mise en scène théâtrale de Bucha. » On voit encore Zelensky au Vatican, rencontrant le pape, vêtu d’un sweat-shirt sur lequel se détache bien l’emblème de l’UNO, la plus grande organisation pro-nazie d’Ukraine pendant la Deuxime Guerre mondiale.

Voici l’autre volet du documentaire, dans lequel Ritter énumère les dix obligations de Zelensky, celles qui définissent sa relation avec ses maîtres des services secrets étrangers :

https://web.archive.org/web/20230718235221/https://www.youtube.com/watch?v=hq-Jab4DUhA

 

“Agent Zelensky – Part 2”

 

by Scott Ritter / July 17th, 2023

 

 

Il dure 45 minutes.

L’article de Felix Abt du 6 avril 2023 intitulé “How Zelensky was prevented from making peace in the Donbass and avoiding war with Russia”. (« Comment Zelensky a été empêché de faire la paix dans le Donbass et d’éviter la guerre avec la Russie ») est non moins formidablement documentaé [et illustré, NdT]. Son sous-titre est « Du défenseur de la paix au belliciste, du comédien antifasciste à la figure de proue du régime néonazi banderiste : l’histoire tragique inédite d’un héros occidental ». Il s’agit d’un article de 20.000 mots qui vaut chaque minute de sa lecture et qui est accompagné de photos importantes.

Comme Scott Ritter (et moi-même), Felix Abt – et tous les autres journalistes de premier ordre qui traitent de ces questions – est devenu la cible de la censure des agents de l’empire américain. parce que l’empire ne veut pas que le public sache la vérité sur la guerre en Ukraine (parce que celle-ci n’oppose pas une Ukraine qui se défend à une Russie qui l’agresse, mais une Amérique qui l’agresse à une Russie qui se défend, et parce que cette guerre se déroule sur les champs de bataille de l’Ukraine et qu’elle utilise principalement des soldats ukrainiens contre des soldats russes, et des armes et des munitions de l’OTAN contre des armes et des munitions russes ; et que c’est totalement différent de ce que raconte la partie qui agresse, à savoir les USA, par les mensonges qu’elle n’en finit pas de débiter à propos de cette guerre). Toutes les dictatures ont cette même attitude (censurer les vérités les plus importantes), parce que toutes les dictatures sont construites sur la diffusion de mensonges et la censure de la vérité, puisque c’est leur façon de contrôler le public, qui est la seule façon pour ce genre de régime de gagner des élections – ce qu’ils font toujours – quels que soient les milliardaires réellement au pouvoir. Ils mentent également lorsqu’ils revendiquentt leur « légitimité » sur base de leur élection par ce public trompé. Car, bien sûr, il s’agit d’une fausse « légitimité », basée sur une « démocratie » tout aussi fausse. (Dans un récent article, j’ai décrit un moyen de parvenir, sans élections et sans politiciens, à une démocratie authentique, qui ne permettrait pas la corruption du gouvernement comme c’est le cas dans toutes les « démocraties » électorales).

 

Source : https://theduran.com/scott-ritter-documented-zelenskys-6-residences-and-control-by-uks-mi6/

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Le dernier livre de l’historien d’investigation Eric Zuesse, AMERICA’S EMPIRE OF EVIL : Hitler’s Posthumous Victory, and Why the Social Sciences Need to Change (« L’EMPIRE DU MAL AMÉRICAIN : la victoire posthume d’Hitler, et pourquoi les sciences sociales doivent changer »), explique comment l’Amérique a pris le contrôle du monde après la Deucième Guerre mondiale, dans le but de l’asservir aux milliardaires US et à leurs alliés. Leurs cartels accaparent les richesses du monde en contrôlant non seulement tous les médias d’information mais aussi les sciences sociales, abusant ainsi le public.

 

 

Les importantes pièces auxquelles se réfère Eric Zuesse n’ont pas pu être traduites. Nous sommes navrés de nos limites. Vous pouvez essayer de les lire en traduction automatique, même si c’est approximatif…

Bien sûr, il n’est pas question, dans ce travail, de la traite, par l’intéressant couple Zelensky, des orphelins de guerre vendus à l’>Ouest pour leurs organes ou pour distraire les riches amateurs d’enfants.

 

 

 

 

Nous croyons avoir compris…

 

… que la Fédération de Russie, dont la Crimée fait partie, a nationalisé (saisi) l’appartement de Zelenska à Yalta et l’a vendu aux enchères pour se dédommager d’une petite partie des 300 milliards de $ que leur ont volé les USA et l’UE.

 

 

 

 

Mis en ligne le 23 avril 2025

par Les Grosses Orchades

 

 

Résurrection

 

 

 

 

 

 

 

À Gaza, les vieilles portes de frigo, ça marche aussi

 

 

 

Pâques 2025

 

 

Résurrection

 

 

 

 

 

 

Ce vétérinaire à la tête de la Palestine !

 

 

À voir son allure et la végétation qui l’entoure, on pourrait être en Amérique Latine… à voir le chapeau de son jeune assistant, ils sont peut-être en Asie…

Assurément ni en Europe ni aux USA.

 

 

 

Mis en ligne le 21.4.2025

par Les Grosses Orchades

 

À la croisée de beaucoup de chemins

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À la croisée de beaucoup de chemins

 

 

D’après nos informations (vérifiez), il y a, dans la population totale des USA, 2% de juifs.

L’AIPAC – sioniste – en représente la moitié : 1%.

L’autre 1% NE COMPTE PAS pour les Américains qui comptent, soit le 1% qui vit en parasite des 99% d’autres.

 

QUE FAIRE ?

 

Cette question a déjà été posée par quelqu’un de très important.

Réponse : au moins énoncer le problème clairement.

C’est ce qu’essaie de faire aujourd’hui Scott Ritter, qui fait partie des 99% de citoyens US qu’il appelle ici blattes parce que c’est ainsi que le 1% de la soi-disant élite les voit.

 

 

Le sionisme, parasitoïde de l’humanité

 

(Zionism, the Human Parasitoid)

 

Scott Ritter – 18.4.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Ampulex compressa, aussi appelee Guêpe émeraude

 

 

La minuscule guêpe bijou injecte un venin neurotoxique dans les ganglions des blattes*, transformant le gros insecte en un zombie qui se laisse volontiers transformer en un hôte vivant dont se nourrira la prochaine génération de guêpes bijou avant d’émerger dans le monde, prête à s’attaquer à d’autres blattes qui ne se doutent de rien. Israël est l’équivalent moderne de la guêpe bijou, un prédateur qui infecte son hôte au moyen d’un poison qui altère l’esprit afin qu’il supporte volontairement l’intrusion parasitaire dans son être, qui finira par lui ôter la vie. L’hôte, dans ce cas, ce sont les États-Unis. En permettant à Israël de transformer notre nation en une version zombifiée de ce que nos pères fondateurs avaient envisagé**, nous ne faisons que faciliter notre propre disparition collective.

La guêpe bijou (Ampulex compressa) est ce que l’on appelle un parasitoïde, un organisme qui, contrairement aux parasites plus conventionnels, finit par tuer son hôte, la blatte américaine (Periplaneta americana).

L’attaque de la guêpe bijou se déroule en plusieurs phases, la première consistant à piquer la blatte directement dans une partie de son système nerveux central appelée premier ganglion thoracique. Le venin de la guêpe contient de l’acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur qui éteint les neurones moteurs, paralyse temporairement les pattes de la blatte et, ce faisant, laisse l’hôtesse d’honneur sans défense pendant que le minuscule parasitoïde vert se positionne pour le coup de main, plongeant son dard à travers les membranes tendres de la gorge du cafard et dans son cerveau, transformant ainsi l’hôte potentiellement violent en un zombie docile.

Certains scientifiques supposent que l’injection de GABA dans le cerveau de la blatte déclenche un effet semblable à celui de la dopamine, la blatte se soumettant à son sort en raison du plaisir qu’elle ressent à l’injection du venin qui lui coûtera finalement la vie

Le sionisme est un mouvement nationaliste juif apparu en Europe à la fin du XIXe siècle, qui visait à établir une patrie pour le peuple juif en prenant le contrôle de la Palestine. Aujourd’hui, la vision du sionisme s’est élargie, passant d’un Israël défini par les frontières établies par le mandat des Nations unies en 1948 à ce qui est appelé « Grand Israël », un territoire correspondant plus ou moins à l’Israël biblique. Bien que le sionisme soit généralement associé au gouvernement d’Israël et à sa politique, le fait est que sa plus grande expression se trouve en réalité aux États-Unis, où des organisations sionistes américaines ont tenté de kidnapper le gouvernement américain et, par extension, le peuple américain, pour faciliter la création du Grand Israël.

 

 

 Ouverture du Congrès sioniste mondial à Jérusalem, 1964

 

 

À bien des égards, l’attaque de la guêpe bijou sur le cafard américain ressemble à l’approche adoptée par les sionistes US pour transformer la nation américaine et son peuple en un hôte zombie, dans le but de soutenir les objectifs odieux de ce mouvement. Au lieu d’un venin dopaminergique, les sionistes ont utilisé comme arme l’Holocauste, le génocide perpétré par l’Allemagne nazie sur les Juifs d’Europe. Norman Finklestein, fils d’un survivant de l’Holocauste, décrit ce phénomène dans son livre The Holocaust Industry : Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering (« L’industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance juive »). Finkelstein soutient de manière convaincante que l’establishment juif américain–  une extension du sionisme – a exploité l’Holocauste nazi à des fins politiques et financières et pour promouvoir les intérêts des sionistes israéliens.

De cette manière, l’Holocauste devient l’équivalent du GABA, infectant le cerveau de l’hôte américain et, en le déboussolant avec la fiction qu’Israël est l’héritage logique et légitime de l’Holocauste, paralyse le peuple américain en l’empêchant de rejeter cette fausse association, et en le mettant en état de subir ce qui va suivre.

 

 

 Scott discutera de cet article et répondra aux questions du public dans l’Episode 256  de l’émission  Ask the Inspector.

 

 

Le peuple américain protège de manière possessive ce qu’il appelle ses droits souverains, en particulier ceux qui se rapportent aux libertés contenues dans les dix premiers amendements de la Constitution américaine (la Déclaration des droits). L’Holocauste-GABA, injecté dans le cerveau du peuple américain par les sionistes, altère le fonctionnement du cerveau collectif du peuple américain, émoussant sa réponse à des stimuli qui, autrement, déclencheraient une réaction de défense viscérale. Bref, l’injection d’Holocauste-GABA effectuée par le parasitoïde sioniste neutralise les neurones de l’hôte américain, de sorte qu’ils sont moins actifs et moins réactifs, ce qui conduit à l’abandon volontaire de souveraineté et à l’acceptation de se laisser dévorer vivant.

 

 

 La guêpe bijoutière pique un cancrelat US

 

 

L’injecton du venin GABA-Holocauste dans le cerveau américain par la guêpe sioniste entraîne plusieurs comportements qui devraient être facilement détectés par toute personne ayant échappé à cette injection comme étant de nature éminemment autodestructrice. Le premier et le plus important est l’attaque contre la liberté d’expression. En assimilant l’Holocauste à la légitimité de la mission sioniste, le venin GABA-Holocauste permet la suppression de la liberté d’expression, droit américain le plus fondamental. La critique du sionisme devient une critique de l’Holocauste, qui est alors catégorisée comme intrinsèquement antisémite, ce qui conduit à la conclusion que la critique du sionisme est en soi un acte antisémite.

Le parasitoïde sioniste s’emploie ensuite à criminaliser cet antisémitisme revu et corrigé par ses soins en faisant de tout soutien à ceux qui s’opposent au sionisme un acte criminel passible d’arrestation et, si l’on n’a pas la chance d’avoir la citoyenneté américaine, d’expulsion. Le parasitoïde sioniste a émoussé la sensibilité des Américains qui, normalement, se rallieraient à des causes qui définissent l’essence même de la liberté civile américaine, telles que la liberté d’expression et le respect de la légalité, au point que nous applaudissons des voyous masqués et bottés, déguisés en agents fédéraux, qui arrachent des gens à leur domicile et à la rue, les jugent dans des tribunaux fantoches et les expédient hors du pays, au mépris total de l’État de droit.

 

 

 

Des agents de l’ICE enlèvent, dans la rue, Rumeysa Ozturk, doctorante de l’université de Tufts

 

 

C’est la mort de l’Amérique.

Et c’est le parasitoïde sioniste qui l’a rendue possible.

Le venin GABA-Holocauste ne fait cependant qu’émousser les mécanismes de réponse de l’hôte. Il ne les abolit pas complètement. À condition de recevoir suffisamment de stimuli appropriés, l’hôte américain peut encore agir dans son propre intérêt. Cela s’est récemment manifesté lorsque le parasitoïde sioniste a cherché à faire en sorte que les USA se joignent à Israël dans une attaque militaire contre l’Iran. Malgré les pressions considérables exercées par le parasitoïde sioniste sur l’administration du président Trump, les négociations avec l’Iran ont été choisies comme voie privilégiée.

La paix plutôt que la guerre.

Mais l’hôte américain n’est pas encore hors de danger. Le parasitoïde sioniste a planté dans le corps de l’hôte américain un œuf connu sous le nom d’American Israeli Public Affairs Committee (AIPAC). Laissé à lui-même, l’AIPAC cherchera à prendre le contrôle total du fonctionnement de son hôte américain, le dévorant de l’intérieur tandis que le peuple américain subira avec délices l’effet dopaminergique du venin GABA-Holocauste que le parasitoïde sioniste lui a injecté dans le cerveau.

L’hôte américain a été suffisamment conscient pour reconnaître le danger d’être entraîné dans une guerre avec l’Iran par le parasitoïde sioniste connu sous le nom d’Israël.

Nous devons maintenant reconnaître que l’AIPAC est le venin mortel injecté par le parasitoïde sioniste. 

 

 

 Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’exprimant au cours de la conférence annuelle de l’AIPAC, 2018.

 

 

Avant de pondre son œuf dans son cafard hôte, la guêpe bijou le pique trois fois : la première pour le paralyser et une deuxième pour prendre le contrôle de ses neurones moteurs. Mais il existe une troisième piqûre, essentielle au processus de ponte, qui est délivrée dans une partie spécifique du corps de l’hôte, en y injectant une substance connue sous le nom d’acétylcholine qui active des motoneurones spécifiques, lesquels amènent l’hôte à étendre de lui-même la patte centrale du côté que la guêpe bijou a choisi pour y pondre son œuf. Lorsque la patte centrale de l’hôte est repliée, la guêpe ne peut pas explorer la surface avec ses poils sensoriels pour trouver l’endroit idéal où pondre son œuf. En prenant le contrôle du circuit neuronal qui provoque l’extension de cette patte médiane, la guêpe bijou surmonte la dernière défense dont disposait l’hôte pour ne pas devenir un zombie. Sans l’extension de la patte, l’œuf ne prendrait pas et le cafard éviterait de devenir un hôte vivant de ce qui doit finir par le tuer.

Certaines blattes agissent passivement lorsqu’elles sont confrontées à une guêpe bijou, ce qui permet aux trois piqûres de se produire sans problème, assurant l’extension de la patte médiane et la ponte de l’œuf. D’autres, en revanche, choisissent d’affronter la guêpe bijou et permettent ainsi leur survie, même si les deux premières piqûres ont eu lieu. Certains cafards conservent suffisamment de capacité de réaction aux stimuli dangereux pour non seulement garder leur patte médiane repliée, mais aussi se rebiffer contre la guêpe à bijoux, ce qui finit par la faire décamper à la recherche d’une cible plus docile.

Le peuple américain a été piqué deux fois par le parasitoïde sioniste. Mais nous avons, jusqu’à présent, évité la troisième piqûre, celle qui est fatale. On en a eu la preuve quand l’administration Trump a résisté à la pression de l’Israël sioniste pour lui faire attaquer l’Iran.

Nous devons maintenant commencer à ruer contre le parasitoïde sioniste, à l’expulser de notre corps, à empêcher cette troisième fatale piqûre et à le priver de la capacité de faire en sorte que l’œuf de l’AIPAC prenne le contrôle de notre corps américain.

 

 

 Une guêpe bijou fraîchement éclose émergeant du cadavre de son hôte, la blatte américaine.

 

 

J’ai récemment publié sur mon compte X que « l’AIPAC est un agent étranger non enregistré dont l’existence permanente constitue une menace existentielle pour la survie de l’Amérique ».

Il s’agit d’une déclaration aussi vraie et d’une articulation aussi vive de la menace que possible.

 « Les Américains doivent se réveiller et agir avant qu’il soit trop tard », disais-je en guise de conclusion.

Le parasitoïde sioniste nous a déjà fait deux piqûres mortelles, qui ont infecté notre nation avec le venin GABA-Holocauste et qui nous ont poussés à détruire les défenses mêmes de la liberté d’expression et de la procédure régulière sur lesquelles nous comptons pour survivre en tant que démocratie libre et souveraine.

L’œuf de l’AIPAC attend dans les coulisses d’être inséré et de consommer toute notion de peuple libre et indépendant qui aspire à la promesse et à la vision deses pères fondateurs.

Nous devons commencer à ruer.

L’AIPAC est fatal à l’Amérique.

Et le parasitoïde sioniste est un ennemi du peuple américain.

Par parasitoïde sioniste, j’entends l’État d’Israël.

Il ne s’agit pas d’un trope antisémite.

Il s’agit d’un appel à l’action pour que les patriotes américains du monde entier sauvent notre grande nation.

Ne devenez pas des zombies sionistes.

Battez-vous.

Rendez à l’Amérique sa grandeur.

Avant qu’il soit trop tard. 

 

____________________   

* Les Blattaria, communément appelés coquerelles, ravets, cafards, blattes ou encore cancrelats, sont un sous-ordre d’insectes de l’ordre des Blattodea, dont font également partie les termites.

** Il y aurait beaucoup à dire sur ce que les pères fondateurs avaient  envisagé, mais nous ne le ferons pas ici.

 

 

 

 

Après l’Amérique, l’Europe…

 

 

Dernière minute, Vidéo

 (Durée : 1H30’)

 

EU/UK Paris Summit Plans Kiev Victory, Odessa Deployment, Defies US; Russian Advance On All Fronts

 

[Le sommet UE/RU de Paris prévoit la victoire de Kiev, un déploiement à Odessa, défie les USA ; la Russie avance sur tous les fronts]

 

Alexander Mercouris – The Duran – 17.4.2025

 

 

 

Source : https://theduran.com/eu-uk-paris-summit-plans-kiev-victory-odessa-deployment-defies-us-russian-advance-on-all-fronts/

 

Vidéo impossible à sous-titrer et même à résumer, parce qu’abordant tous les aspects de la situation où se trouve l’Europe en ce moment précis : vendredi saint de 2025 pour les chrétiens.

 

 

La reine aragne au milieu de sa toile étoilée

 

 

Sachons juste que l’araignée nazie de Bruxelles (puisqu’on est dans les insectes, restons-y) qui a beaucoup de pattes et beaucoup d’yeux bureaucratiques et une grande toile étoilée, s’est débrouillée pour ramener, contre leur plein gré, les populations européennes au point exact où elles étaient le 31 juillet 1914.

Pour comprendre comment cela fut possible, il faut jeter un coup d’œil au Traité de Lisbonne du 13 novembre 2007, dont on se permet de vous rappeler qu’il n’a été ratifié que par 8 des 25 pays membres de l’époque – l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Hongrie, l’Italie, la Lituanie, la Slovénie et la Slovaquie –  et massivement rejeté (par voie de référendum) en France et aux Pays-Bas.

Tout ce que fait l’araignée depuis 2007 est donc, selon toutes les lois internationales,  non seulement abusif mais illégal.

Autrement dit, la « France », la Grande Bretagne et leurs petits croupions baltes n’ont aucun droit d’envahir militairement l’Ukraine sous le prétexte fallacieux de l’aider à « gagner » une guerre déjà perdue. Elles n’ont aucunement le droit d’augmenter de leur seul chef le nombre faramineux des morts ukrainiens ni d’empirer encore l’hécatombe en y ajoutant d’innombrables cadavres de leurs compatriotes, qui d’ailleurs les désavouent. Il s’agirait en l’occurrence d’un crime de haute trahison sur le plan national et d’un crime contre l’humanité sur le plan international.

Si les peuples concernés ne se lèvent pas, il faut que leurs armées le fassent.

Inutile de rappeler à quel point cet absolu dernier recours peut être dangereux.

Mais plus dangereux que l’irresponsable mafia prédatrice non élue de Bruxelles, qui se permet de leur donner des ordres ?

 

 

 

 

PS : On regrette qu’aucun organe d’information sérieux – à commencer par RT et SPUTNIK, n’ait jugé bon de reprendre les informations mises en ligne par le seul Eric Zuesse, sur The Duran :

 

 

An Example of a News-Report That’s Censored-Out in U.S.-&-Allied Countries

 

[Un exemple de reportage censuré aux États-Unis et dans les pays allies]

 

Eric Zuesse – The Duran – 13.4.2025

En anglais avec nos excuses

https://theduran.com/an-example-of-a-news-report-thats-censored-out-in-u-s-allied-countries/

 

 

Alors qu’une tentative de révolution colorée jette à Belgrade les sempiternels étudiants dans la rue, les vidéos de manifestations de masse en soutien au président Vucic reprises par Eric Zuesse sont tout simplement impossibles à ouvrir : CENSURE

Et les tauliers de The Duran ne se précipitent pas non plus pour en faire état. Comme s’il n’y avait que Trump au monde.

 

 

 

C’est le moment ou jamais

 

 

On ne lit (ou relit) jamais trop

 

Aleksandar Gatalica

À la guerre comme à la guerre !

Belfond (édition illustrée), 2015

570 pages

L’œuvre :

À la manière du Confiteor de Jaume Cabré, une fresque érudite aux dimensions épiques qui transcende l’espace et le temps. À la fois drôle et sombre, une folle prouesse littéraire, mêlant les voix de quatre-vingts personnages, réels ou fictifs : un roman total qui dévoile la Grande Guerre comme on ne l’avait encore jamais lue.

« Il y aura une guerre, une grande guerre » . Quelques mots, prophétiques, prononcés par un mort : l’archiduc François-Ferdinand lui-même.

Des rues de Paris où Cocteau se gave de pâté par peur d’être réformé, aux marchés d’Istanbul où le vieux Mehmed Yildiz voit ses trois apprentis bien-aimés partir au front, la mobilisation est lancée.

 Depuis les profondeurs de l’Atlantique où des monstres terrifiants accompagnent un sous-marin jusqu’aux cieux méditerranéens où vole un peintre raté qui s’est juré de tuer Picasso, la folie meurtrière gagne les esprits.

Sur la scène d’un opéra en Allemagne, dans le palais du tsar, dans les cabarets londoniens, dans les villages arméniens, dans les tranchées de Verdun, la guerre s’insinue, partout.

 Cinq années de guerre dans l’Europe tout entière, l’agonie d’une Belle Époque et l’avènement d’un monde nouveau, marqué par un doute : que l’humanité, désormais, ne soit plus capable que du pire.

L’auteur :

Né en 1964 à Belgrade, Aleksandar Gatalica est un des auteurs majeurs de la Serbie contemporaine. Il est également traducteur de nombreuses œuvres grecques classiques, critique musical et éditeur dans la presse. Il a publié six romans et autant de recueils de nouvelles ainsi qu’un guide de Belgrade pour les visiteurs étrangers. La musique, plus particulièrement le piano, est sa grande source d’inspiration. Il est aujourd’hui le responsable de la Fondation de la Bibliothèque Nationale de Serbie.

Ses livres :

https://www.amazon.fr/Livres-Aleksandar-GATALICA/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3AAleksandar%2BGATALICA

 

 

 

Mis en ligne le 19 avril 2025

par Les Grosses Orchades

 

La grande peur et autres fariboles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La grande peur

et autres fariboles

 

 

Continuons de relayer ceux qui nous paraissent avoir raison.

 

 

France : la peur devenue la variable d’ajustement de la gouvernance despotique

 

Khider Mesloub. – Les 7 du Québec – 31.3.2025

 

 

 

 

 

Comment entretenir un climat de psychose pour justifier et légitimer un nouveau durcissement autoritaire et une énième politique économique d’austérité, accompli avec des moyens de conditionnement psychologique hautement technologique, sinon par la fabrication hystérique de la menace existentielle russe ?

Comment justifier et légitimer la caporalisation des esprits, sur fond de la militarisation de la société associée à une stratégie de contrôle social électronique totalitaire, en vue d’enrégimenter les prolétaires dans l’imminente guerre généralisée, sinon par une puissante propagande de guerre, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter un état de sidération et de psychose collective ?

Comme le disait Hermann Göring, ministre sous le régime nazi et fondateur de la Gestapo : « Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez »

En France, gouvernée par des dirigeants vérolés par le microbe de la manipulation mentale et infectés par le virus du totalitarisme, la peur est devenue la variable d’ajustement de la gouvernance tyrannique.

Pour la énième fois, dans le sillage de l’épidémie de Covid politiquement instrumentalisée, le gouvernement Macron, pour les besoins du totalitarisme et de la guerre sociale menée contre le peuple travailleur, vient de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion informationnelle d’une énième menace existentielle, hier virale (Covid), aujourd’hui virtuelle (russe). Depuis plusieurs mois, les médias français stipendiés s’emploient à agiter en permanence la menace d’une invasion russe imminente. (sic)

On se souvient comment le gouvernement Macron effrayait la population française avec la grippe. Selon les metteurs en scène gouvernementaux macronistes, jamais à court d’imagination, le Covid, ce serial killer viral, menaçait le peuple français (hommes, femmes et enfants compris) de disparition. Le Covid allait décimer des millions de personnes, y compris les quadruples vaccinées. Preuve de l’inefficacité des vaccins ARN-m…patentés.

 

 

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Voir nos articles portant sur la COVID, le confinement dément, le terrorisme médiatique et les vaccins patentés : Résultats de recherche pour « covid » – les 7 du quebec

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La crise du Covid, politiquement instrumentalisée, avait constitué une expérience sociologique de soumission de la population par la peur, d’imposition de mesures coercitives et restrictives d’une dimension inégalée. Cette politique macronienne terrorisante aura permis d’imposer sans grande réaction populaire des mesures liberticides scientifiquement infondées et médicalement inefficaces.

 

En France la production de la peur a pris une dimension industrielle

Rebelote. Bis repetita. Alors que l’épidémie de Covid est, depuis deux ans, médiatiquement miraculeusement jugulée, le gouvernement Macron vient de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion anxiogène d’informations relatives au péril fantasmé russe, informations propagées sur un ton alarmiste et avec des accents militaristes.

A lire les médias qui manipulent l’opinion comme leurs maîtres du pouvoir manipulent les chiffres du déficit budgétaire, la France serait menacée d’une imminente invasion russe. Il vrai que la France et la Russie ont une longue frontière commune. Cette frontière poreuse effraie la France peureuse. A écouter les dirigeants français apeurés, les chars russes sont aux portes de Paris, voire occuperaient bientôt la place de la Concorde.

Que le peuple de Paris se rassure ! Grâce à la maire Anne Hidalgo, les vétustes chars russes ne pourront pas pénétrer dans Paris, car ils ne sont pas équipés de la vignette Crit’Air obligatoire pour circuler dans les zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) ! A plus forte raison dans les zones à fortes émissions propagandistes françaises, la France, ce pays du mensonge déconcertant, de la démocratie mensongère.

La France désindustrialisée, dont l’industrie de la terreur tourne à plein régime fasciste, s’est spécialisée dans la fabrication de la peur. Cette peur dont un poète antique, à cette époque reculée où les peuplades étaient terrorisées par les forces de la nature, disait qu’elle engendre des dieux.

En revanche, à notre époque contemporaine sécularisée mais point économiquement sécurisée, en France la peur engendre des diables gouvernementaux pour terroriser le peuple. Le règne de la peur est l’arme des puissants. La peur protège les classes dominantes.

En France, la production de la peur a pris une dimension industrielle, seule industrie à ne pas subir la crise. Au contraire, l’industrie de la terreur connaît une croissance exponentielle, elle tourne à plein régime (fasciste).

A cet égard, actuellement, pour entretenir et amplifier la peur, les médias français stipendiés, relayant le narratif gouvernemental macroniste, diffusent des reportages catastrophistes consacrés à la menace existentielle russe, informationnellement annoncée, mais non militairement démontrée.

Cet énième «virus russe» fantasmé, agité comme un épouvantail, comme avec le Covid, est assurément moins dangereux que tous les dirigeants français, ces serial killers sociaux complices par ailleurs des génocidaires néo-nazis israéliens, qui détruisent concrètement les conditions d’existence et de travail de millions de personnes, saccagent réellement l’économie, anéantissent effectivement la vie sociale et culturelle.

«L’ignorance préserve de la peur», a écrit un auteur contemporain québécois. Mais la peur empêche surtout de penser (intelligemment, lucidement, politiquement, révolutionnairement).  Aujourd’hui, la classe dominante française propage et l’ignorance et la peur. Les dirigeants français ont fait de l’ignorance une vertu cardinale. Et de la peur, la politique gouvernementale du capital.

Dans la France vérolée par le peste brune, comme dans de nombreux pays, l’ignorance et la peur, ces deux pandémies de notre ère décadente, sont devenues les principales armes de destruction massive intellectuelle et psychologique employées par les puissants pour pérenniser leur domination, instaurer efficacement, c’est-à-dire sans rencontrer aucune résistance, leur totalitarisme. Pour inoculer leur virus totalitaire à l’ensemble de la population et du prolétariat afin d’annihiler toute velléité de résistance, se vacciner contre toute tentative d’insurrection populaire, révolte sociale, révolution émancipatrice.

Source :  https://les7duquebec.net/archives/298853

 

L’auteur :

Khider Mesloub, né à Paris, est d’origine algérienne. Éducateur spécialisé durant dix-sept ans auprès des adolescents, il est depuis dix ans assistant pédagogique dans un lycée de Rouen. On trouve couramment ses articles dans Algérie patriotique et Les 7 du Québec .

Ses livres :

https://www.amazon.fr/Livres-Khider-Mesloub/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3AKhider%2BMesloub

Son blog :

https://blogs.mediapart.fr/khider-mesloub/blog

 

 

 

 

Ce qui devrait vous faire peur !

 

 

Lyme, LSD, peste noire, grippe espagnole, les expériences d’armes biologiques des américains

(Peronne/ Tremblais)

 

 

Avec deux vidéos. Allez-y voir, c’est ici :

https://les7duquebec.net/archives/292201 

 

 

 

 

 

Ce n’est pas la première fois que l’armée anglaise…

 

 

PLAN REJECTED BY OWN ARMY

 

 

 

Source : The Hindustan Times

 

Elle l’a fait aussi à Churchill, à la fin des années quarante, et dans les mêmes circonstances exactement : attaquer la Russie, pourtant « alliée » à l’époque, à coups d’armes interdites par toutes les lois internationales.

 

 

 

 

No lecteurs anglophones peuvent aussi regarder/écouter la récente interview de John Helmer (Dances with Bears) par Dimitri Lascaris (Reason2Resist) :

 

Why does the British elite hate Russia so much ?

https://youtu.be/GtIj2sGppDs?si=GTAphGXhGXBNBzfp

 

 

John Helmer qui,  soit dit en passant, est bien le seul à parler d’Héliogabale – Syrien et empereur, de ses 14 à 18 ans – alors que ce que vous vivons est l’absolue répétition de ce que l’empire (romain) a connu sous son règne.

 

 

 

 

Il n’y a pas que Starmer pour savoir s’adresser aux troupes

 

 

Le maître de guerre

 

Reportage : Mozinor – Le media en 4.4.2.  – 7.4.2025

 

 

Source : https://lemediaen442.fr/macron-maitre-de-guerre-fait-son-discours-aux-armees-envoye-special-mozinor/

 

 

 

Et pendant qu’on y est…

Parfait exemple de ce qu’il ne faut pas faire

https://lemediaen442.fr/lettre-aux-francais-qui-font-semblant-de-ne-rien-voir-le-coup-de-gueule-de-nicolas-vidal-contre-lindifference-politique/

 

Coup de gueule, coup de gueule…

Ânonner, plaider, pleurnicher, gesticuler.

Quand donc les blogueurs et le personnel politique iront-ils prendre quelques cours chez le premier prof d’art dramatique venu, pour acquérir un rien de maîtrise d’eux-mêmes, apprendre à s’exprimer avec un minimum d’autorité et ne pas gigoter comme des poupées de son en délire ?  Il ne sert à rien d’avoir raison, si personne n’arrive à vous prendre  au sérieux.

Regardez M. Poutine et M. Asselineau : ils ont appris, eux.

 

 

 

« Hélas, hélas, hélas ! »

 

« Il aurait été utopique de se battre contre la politique française et de garder cette langue »

 

Anthony Lefebvre – Sputnik Afrique « Zone de contact »  – 13.4.2025

 

Le Niger a rétrogradé récemment la langue française en tant que langue de travail, au même titre que l’anglais. Au micro de Sputnik Afrique, Anawar Abdoulaye, activiste panafricaniste nigérien, a commenté cette mesure prise par les autorités nigériennes.

« Il était normal que le français perde effectivement sa place de langue officielle parce que ça aurait été utopique effectivement de se battre contre la politique française et de garder toujours cette même langue », a affirmé Anawar Abdoulaye, activiste panafricaniste nigérien.

« Il était normal que les Nigériens et toute la communauté AES se réapproprient effectivement les langues locales, toujours dans un désir de patriotisme, de promouvoir effectivement les cultures locales », a-t-il ajouté.

 

Retrouvez également dans cette émission :

Alexandre Ivanov, le directeur de la Communauté des Officiers pour la Sécurité internationale, sur l’implication de l’Ukraine dans la déstabilisation de la situation sécuritaire en Afrique centrale.

 

Vous pouvez écouter ce podcast aussi sur les plateformes suivantes: Apple PodcastsDeezerCastboxOvercastPodcast AddictPocket CastsAfripodsSpotify

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250411/il-aurait-ete-utopique-de-se-battre-contre-la-politique-francaise-et-de-garder-cette-langue-1071793248.html

 

Commentaire des Grosses Orchades :

Certes, si le français est devenu, au XVIIIe siècle, la langue diplomatique par excellence, c’est en grande partie parce que la France était un empire, et même un empire colonial, auquel le Pays de Liège allait finir par être asservi après avoir versé son sang pour elle, avant qu’une partie considérable de l’Afrique le soit.

MAIS…

Cette langue est un outil, et de cet outil, un certain nombre de personnes, dans les colonies ou ex-colonies françaises – écrivains, femmes de lettres, femmes et hommes d’État – se servent aujourd’hui mieux que les habitants de la France, en  fussent-ils natifs, lesquels sont fiers d’ignorer et de mépriser leur langue maternelle, stupidement farauds de l’avoir remplacée par un pidgin mal maîtrisé (président de la République en tête !). Or, cette langue n’est pas seulement un outil, c’est une arme que le peuple français a mis des siècles à forger et dont il est extrêmement stupide de se priver quand on la possède. C’est un patrimoine à partager, pas un colifichet d’importation à jeter.

L’auteur de ces ignes se souvient d’avoir longuement voyagé en train, au début des années cinquante, vers l’Italie dont elle venait d’apprendre la langue, avec des immigrés rentrant pour la première fois en vacances dans leur pays, en ne comprenant rien à ce qu’ils lui disaient, jusqu’au moment où elle s’est rendu compte qu’ils lui parlaient son propre dialecte wallon… avec l’accent sicilien. C’était pour eux une acquisition, pas une perte. Ils ne savaient pas le français parce que leurs compagnons de travail, à Liège, ne le savaient pas vraiment non plus, bien que ce fût la langue officielle de leur pays. comme celle des Siciliens était l’italien toscan.

Les Africains ont payé assez cher la connaissance, voire la maîtrise, de cet outil incomparable, pour s’en priver aujourd’hui par un réflexe affectif immature. Alors qu’ils pourraient le porter encore plus loin qu’il n’est allé jusqu’ici. Que Césaire et Senghor et tous leurs disciples nous pardonnent !

Ils pourraient plutôt s’inspirer de M Sergueï Lavrov.

M. Lavrov parle russe. Il parle aussi, parfaitement, l’anglais, qu’il devrait haïr. Et nous sommes à peu près sûrs qu’il n’ignore pas du tout le français et s’en sert fort bien quand cela lui est utile. C’est, entre autres raisons, pourquoi on le dit « rock star de la diplomatie ».

Souvenirs-souvenirs : il y a quelques années, un  homme de radio français, en reportage au Vietnam, ex-Indochine, a demandé à ses hôtes ce que ses auditeurs pourraient leur envoyer qui leur ferait plaisir. Ils lui ont répondu « des livres ». L’un d’eux lui a même récité une page de Victor Hugo apprise à l’école au temps de la colonisation, qu’il connaissait encore par cœur.

Tout cela ne les a pas empêché de combattre la France colonialiste et de la vaincre, en conservant ce qu’ils avaient retenu de leur asservissement. La sombre ironie de l’histoire est que, au moment de ce reportage, des industriels français investissant au Vietnam, y recrutaient du personnel par annonces dans les journaux rédigées en anglais, sans même se rendre compte que les Vietnamiens ont combattu aussi et vaincu aussi, les colonialistes anglophones.

La colonisation est toujours une histoire de classe, pas de race.

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PS : On se permet de recommander la lecture de Lilyan Kesteloot, ex-colonisée.

 

 

 

Et pour finir…

 

 

Tiens, puisqu’on parlait d’Héliogabale…

 

UN LIVRE

 

Robert Turcan

Héliogabale et le sacre du soleil

Alb in Michel, 1985, 2016

283 pages

Résumé :

Un descendant de Bédouins fixés à Emèse, en Syrie, passe pour le fils adultérin d’un empereur assassiné. Il sert passionnément le culte d’un aérolithe qui passe pour figurer le soleil : Elagabal. Il continuerait volontiers à danser devant l’idole si une grand-mère avide de régner sous son nom ne le faisait proclamer empereur. Loin de renoncer à sa vocation sacerdotale, l’empereur-prêtre, qu’on surnommera Héliogabale, prétend imposer à Rome et aux Romains, à la barbe de Jupiter Capitolin, l’adoration de la pierre noire, ramenée des confins du désert. Rome réagit mal à cette volonté. L’exotisme audiovisuel d’une liturgie barbare choque son sens de la dignité. De surcroît, l’adolescent joue de son pouvoir pour jouir et régner autrement que ses prédécesseurs. Les gamineries, les farces cruelles, la gourmandise inventive, la sexualité frustrée ou pseudo-érotique de ce prince immature ont alimenté la chronique scandaleuse de l’historiographie romaine, qui fait paradoxalement d’Héliogabale un précurseur du premier empereur chrétien.

Ce règne éphémère ressemble aux Saturnales d’une révolution manquée, le tout sur fond de complot familial, avec une aïeule inquiète de perdre sa position à la cour et une tante soucieuse de pousser son fils Sévère-Alexandre sur l’échiquier du pouvoir.

Le cadavre de l’empereur-prêtre sera jeté dans le Tibre, en pâture aux poissons qu’il aimait naguère servir à table.

L’auteur :

Ancien élève de l’Ecole normale supérieure, ancien membre de l’Ecole française de Rome, professeur à l’Université de Lyon, Robert Turcan s’est consacré à l’étude des religions du monde romain, en particulier à l’archéologie figurée du dionysisme et des cultes orientaux (Mithra, Cybèle et Attis).

 

Ce livre existe aussi dans d’autres éditions : 

notamment chez Olivier Orban, 1988  et  Payot, 1997.

 

 

 

 

C’est John Helmer qui a levé ce lièvre. Après avoir dit, dans un autre article dont il fut question ici, que, d’après des scientifiques US, le président Donald Trump aurait un vocabulaire d’écolier de 9-10 ans.

Et du coup voilà que le comportement du POTUS s’éclaire.

 

 

 

Car…

Quand celui qu’Antonin Artaud appelait « l’anarchiste couronné » a été bombardé empereur de Rome, il avait 14 ans; quoi qu’il fût « grand-prêtre du soleil », fonction qu’il semble avoir héritée de son grand-père (vérifiez), et fonction dont il s’acquittait avec une sorte de fanatisme poussé jusqu’au délire. Mais était-il anarchiste, fou, ignorant, sexuellement dévoyé ? Non. Ce qu’il n’était pas et ne serait jamais, c’est : adulte. Avec, du jour au lendemain, dans les mains pour en faire ce qu’il voulait, des richesses et un pouvoir illimités.

Lire la suite

URL de cet article :  http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/un-livre/

 

 

 

Le résultat des courses ?

 

(vous n’êtes pas obligés de lire)

 

 

… c’est que nous n’assistons pas à une guerre entre puissances politiques ou économiques, mais à une gigantesque guerre des classes – Israël/EAU même combat – qui n’a jamais cessé un instant dans l’histoire des hommes, mais où la partie dominante, qui avait subi quelques revers, est redevenue plus agressive que jamais à la fin  de la Deuxième guerre mondiale.

 

 

 

 

Quand on vous dit par exemple que les USA font la guerre à l’Europe, n’en croyez rien ! Ils la font aux peuples européens. Et au peuple américain, comme ils la font aux autres. Les dominants des USA et les dominants d’Europe sont aussi unis que des siamois soudés par la hanche, contre leurs peuples respectifs.

Ce dont il est question, dans cette empoignade ultime, c’est de dépouiller les classes populaires, laborieuses par définition, de ce qu’elles avaient réussi à arracher aux classes prédatrices, essentiellement parasitaires, surtout en Europe et surtout au cours des deux derniers siècles, d’abord en France et ensuite, de façon déterminante, en Russie. C’est pourquoi Delenda Russia est leur mot d’ordre : pas seulement parce que la Russie est le dernier Eldorado qui reste, mais aussi parce qu’elle est associée depuis 1917 à tout ce que les voleurs appellent ‘ « état providence » pour mieux diffamer : des salaires décents pour des travaux utiles ; une nourriture suffisante pour soutenir les efforts nécessaires ; les avancées de la science et les connaissances médicales mises au service de tous et pas seulement des plus riches ; le droit et même le devoir d’autant d’instruction que possible pour tous les enfants quels qu’ils soient ; etc.

 

 

 

 

Pour détruire ce monde dont ils ne veulent pas, les parasites se devaient de commencer par détruire les systèmes d’éducation – et pas seulement ceux des pauvres ! – chargés de transmettre les connaissances ; priver en outre, en commençant par le peuple américain, les déplorables et autres sans-dents de toute nourriture saine et suffisante, ce qu’on a fait – en commençant aussi par le peuple américain – en les gavant de produits toxiques et avariés, genre MacDo, beurre de cacahuètes, sucreries et Coca-Cola, mais aussi et surtout, en les soumettant à l’emprise de drogues diverses de plus en plus létales, méthode employée au siècle dernier contre les Chinois et faisant fureur désormais à la porte des écoles, bientôt des maternelles, afin de rendre tous ceux qui ne comptent pas dépendants et physiquement inaptes. Sans se priver du lavage de cerveau des classes qui ne sont malheureusement plus dangereuses, en leur rognant bec et ongles dès le berceau et en les dressant à tout accepter comme inévitable et même désirable.

Il s’agit maintenant d’asséner le coup de grâce et de faire même disparaître le souvenir d’un service de santé accessible à tous, indépendamment de ‘l’état de fortune de ceux qui souffrent. Mission accomplished ! Allez voir aux urgences de par chez vous et essayez d’avoir un rendez-vous avec un spécialiste du cancer avant six ou huit mois (juste le temps d’être mort avant d’y arriver). Ce qui n’empêche pas « la recherche » médicale de ronfler au seul bénéfice des plus riches, ni aux peuples les plus pauvres de mourir de bonne grâce en servant de cobayes, qu’au moins ils soient bons à  quelque chose, hein ? Demandez à Bill et Mélinda Gates, qui ont tant fait pour alléger la supopulation en Indc et en Afrique.

La Palestine sert aujourd’hui de laboratoire expérimental au reste du monde, et le reste du monde s’en fout. On l’a dressé à s’en foutre et il obéit. Bientôt, ce sera son tour, mais demain est un autre jour, pas vrai ?

Plus d’art, plus d’histoire (d’ailleurs l’enseigner est interdit), plus de langues cohérentes capables de transmettre du savoir aux générations suivantes. Quoi, quel savoir ? Ces choses-là ne sont pas pour vous.

Vous ne devez plus avoir, non plus, de contrôle sur vos vies. Ni sur celles de vos enfants. Nous ferons d’eux que nous voudrons et qui nous amusera. Si vous n’êtes pas d’accord, on vous les prendra et on vous collera au gnouf pour vous apprendre à récalcitrer.

En fait, nous voulons vous supprimer et vous remplacer par des robots.  Par de l’IA qui ne nous cassera plus les pieds à jaboter de justice, de liberté, d’égalité, de fraternité, tout ça. C’est pourquoi vous allez avoir droit à toutes sortes d’épidémies, assorties de vaccins aux petits oignons, comptez sur nous, qui se chargeront de vous éliminer en vous tuant dans le meilleur des cas, en vous inoculant, sinon, le plus possible de maladies aussi rapidement mortelles que possible. On n’y a pas réussi tout de suite. Raison de plus pour persévérer.

Soyez donc fiers d’être remplacés (« reset » en pidgin) par la nouvelle pierre philosophale : l’IA.

Seulement… (disent Les Grosses Orchades qui la ramènent) à quoi peut ressembler une intelligence artificielle produite par des intelligences naturelles aussi déficientes que les vôtres ?

Comme elles sont déficientes, elles ne se posent pas la question.

Les Chinois ont eu un surhomme pour les sauver du sort qu’on leur réservait, qu’on nous réserve.

Prions tous les dieux et tous les diables pour que ceux qu’il a sauvés ne l’oublient pas.

Et surtout n’oublient jamais comment il a fait.

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 14 avril 2025

par Les Grosses Orchades.

 

 

Plan de paix en Ukraine  : le partage du gâteau.

 

 

 

 

 

 

 

 

La Russie a 60 brise-glaces dans l’Arctique, les USA en ont un.

 

 

 

France-Soir

 

Plan de paix en Ukraine  : le partage du gâteau.

 

Xavier Azalbert – France-Soir – 7.4.2025

 

 

Plan de paix en Ukraine – Le partage du gâteau. France-Soir Pixabay

 

 

Résumé :  L’Ukraine, champ de bataille d’un pillage américain des fonds européens, révèle un monde en recomposition : un ’Europe saignée par ses élites vendues – Macron et von der Leyen en tête – au profit des États-Unis. Des dizaines de milliards extorqués aux citoyens financent une guerre perdue, tandis que Russie, Chine et USA se préparent à un Yalta 2.0. La Russie, triomphante, exploite son Arctique ; Trump convoite le Groenland. Pendant ce temps, un physicien rejette le CO2 pour expliquer le climat par le magnétisme terrestre. L’Europe paie, mais ne pèse rien.

 

EDITO : On pourrait parfaitement résumer le traitement de ce sujet, en circonscrivant l’analyse à seulement ces deux mots : « America first. » Le siphonnage de la richesse européenne (tous les pays membres de l’Union européenne et ceux du Royaume-Uni) au profit des Américains.

Comment ? Grâce aux agents politiques à leur solde que les Américains ont placés à la tête de ces divers pays (Emmanuel Macron en tête) et des institutions européennes.

L’Union européenne a craché au bassinet, avec l’argent des citoyens européens, mais elle n’aura que peu en retour.

Donald Trump l’a d’ailleurs fait savoir sans qu’aucun d’eux ne s’y oppose véritablement, autrement que par leur blabla habituel de larbins. La Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé un plan d’aide prolongée à l’Ukraine, dont le montant évoqué atteint des dizaines de milliards d’euros – bien loin des 800 milliards parfois cités de manière exagérée. Un prêt qui constitue un nouvel impôt différé dont les citoyens européens devront s’acquitter, qu’ils le veuillent ou non, contraints et forcés par des politiciens perçus comme traîtres à leurs intérêts. Ces derniers mènent les peuples à leur perte contre leur volonté, en application d’un Traité de Lisbonne que les citoyens ont massivement rejeté par référendum en 2005, en France.

En fait, quelque part, ils ne font que poursuivre une dynamique historique, excepté toutefois pour les civils Ukrainiens. Certains rappellent que l’Allemagne exsangue d’entre-deux-guerres fut financée par des banques privées américaines et britanniques, contribuant à l’ascension d’Adolf Hitler.

 

 

« Il y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation.
L’une est par les armes, l’autre par la dette. »
(John Adams, Président des États-Unis de 1797 à 1801)

 

 

Les « libérateurs » américains seraient venus en 1944 récupérer les bénéfices, tout en faisant payer aux Français un lourd tribut en or. Une prétendue libération perçue ici comme une occupation, à laquelle le Général de Gaulle, devenu Président, mit un terme en 1966, en sortant la France du commandement intégré de l’OTAN.

Hélas, près de 60 ans plus tard, nous serions revenus à un état proche de celui de l’après-1944, en attente d’un nouveau Yalta. Le partage du monde 2.0 auquel nous allons assister de nouveau impuissants, comme en février 1945, avec cette différence cependant : les protagonistes ne seront plus l’Angleterre, la Russie et les États-Unis, mais la Chine, la Russie et les États-Unis.

Oui. C’est ce trio infernal ainsi modifié qui va se partager le gâteau : les ressources de la planète.

D’ailleurs, c’est également en grande partie dans les poches des Américains que vont finir les milliards d’euros du plan de prolongement de l’aide européenne à l’Ukraine décidé par Ursula von der Leyen. En effet, hormis les quelques rares fleurons de l’industrie européenne de l’armement encore valide (comme Dassault), qui du coup vont avoir leur petite part du gâteau, dès lors qu’à part ces rares fleurons l’Union européenne est entièrement dépendante de l’industrie américaine dans ce domaine, effectivement, ce sont les États-Unis qui vont se goinfrer. Se tailler la part du lion sur ces milliards d’impôts différés « empruntés » pour ne pas dire extorqués aux peuples européens par Ursula von der Leyen & Cie.

Angéline Furet, député européen qui siège à la commission budget l’explique dans cette vidéo (à compter de 14mn23).

Une petite précision concernant les trois géants du 21ème siècle qui vont se partager le gâteau planétaire : Chine, Russie et États-Unis.

Si ce nouveau Yalta peut intervenir, c’est parce que la Chine et la Russie sont en capacité de l’imposer aux États-Unis. La Chine, parce que l’industrie américaine – et donc son économie – dépend fortement des composants électroniques chinois, et parce qu’elle représente un marché clé pour la production américaine, avec une armée rivalisant avec celle des États-Unis, voire plus puissante.

Concernant la Russie, cet avantage est encore plus marqué. L’issue de la guerre en Ukraine semble pencher en sa faveur, une hypothèse que certains Américains pourraient partager vu la résilience russe. La guerre économique (sanctions) et sociétale (infiltration du libéralisme et du wokisme) s’est soldée par un échec occidental : la Russie est économiquement robuste, socialement unie et attachée à ses traditions.

Eh oui ! La Russie, plus grand pays du monde, a des frontières immenses, notamment maritimes dans l’Arctique. Sa zone économique exclusive est colossale, un fait reconnu par le droit international.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=i_GlepWSdog&t=1s

 

 

Il n’y a pas à discuter !

De plus, les évolutions climatiques y libèrent des ressources énergétiques gigantesques, rendues exploitables par ces changements. C’est pourquoi les États-Unis, sous influence globaliste avec Biden, Obama et Soros, et leurs vassaux d’une Union européenne alignée, ont provoqué la Russie. L’avancée de l’OTAN vers l’Est depuis 1992, en contradiction avec des engagements passés, a culminé avec l’Ukraine, poussant la Russie à réagir en février 2022 avec son opération militaire spéciale, aujourd’hui en phase avancée.

Ces « gentils » occidentaux cherchaient un prétexte pour affaiblir la Russie et s’approprier ses richesses. Mais la peau de l’ours russe est dure à prendre, et l’avoir vendue avant de l’avoir tué fut une erreur monumentale.

C’est pourquoi les États-Unis de Donald Trump se tournent vers une autre proie : le Groenland.

 

C’est la cible idéale. La Russie pourrait la leur laisser, tant que les États-Unis la laissent exploiter ses propres richesses tranquillement – et les vendre ! Ce n’est pas son problème, mais celui du Danemark, à qui le Groenland appartient juridiquement. Et, le peuple russe, profitant de cette manne énergétique, s’en satisfera très certainement ! (1)

 

Enfin, sur ces évolutions climatiques : elles n’ont rien à voir avec le CO2 anthropique, selon Claude Sponem, professeur de physique français, mais avec l’affaissement du champ magnétique terrestre depuis la fin du XIXème siècle. Cet affaissement, rapide, réduit notre protection contre les rayons cosmiques, favorisant la formation de nuages plus denses, qui entravent le refroidissement nocturne de la Terre. Associé au déplacement accéléré du pôle magnétique nord, cela explique la sensibilité accrue de l’Arctique. À l’inverse, en Antarctique, la banquise s’épaissit.

En guise de conclusion : c’est l’équilibre naturel des choses, régi par les lois universelles de la physique, opéré par une force titanesque. Face à elle, l’activité humaine, même avec tout l’arsenal nucléaire mondial, reste un pet de mouche sur le dos d’un éléphant.

 

 _____________________

1) En effet, outre la manne financière énorme, que la vente à l’étranger de ses richesses énergétiques procure à la Russie, Vladimir Poutine semble les utiliser en une part substantielle pour son peuple, et dans une société relativement plus saine que LGBTQI /WOKE.

 

Source : https://www.francesoir.fr/opinions-editos/plan-de-paix-en-ukraine-le-partage-du-gateau

 

 

 

Mis en ligne le 8.4.2025

par Les Grosses Orchades

 

Niouzes de chez les banderistes (d’un peu partout dans le monde)

 

 

 

 

 

 

 

Le porte-avion géant à propulsion nucléaire Harry S Truman et le « groupe d’attaque » sans lequel il ne se déplace pas, qui vient d’être mis hors de combat par les Houthis.

 

 

 

Niouzes de chez les banderistes

(d’un peu partout dans le monde)

dont vos merdias ne vous parleront pas.

 

 

Aux USA ? Eh oui.

 

L’ennemi à l’intérieur

 

Scott Ritter – 5.4.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

Illustration by NEMØ

 

 

Alors que l’Amérique s’efforce de mettre fin à un conflit en Ukraine qu’elle a contribué à déclencher, elle doit se prémunir contre les opposants à cette nouvelle trajectoire politique qui chercheront à perturber son nouveau rôle d’artisan de la paix et/ou à se venger des États-Unis pour avoir trahi leur cause. À cet égard, la plus grande menace pour les États-Unis est peut-être l’ennemi à l’intérieur – la diaspora ukraino-américaine dont la loyauté envers l’odieuse idéologie de Stepan Bandera transcende tout : y compris le pays qu’elle appelle actuellement son foyer.

 

En mai 1940, 805 délégués de 168 différentes communautés ukrainiennes américaines se sont réunis à Washington pour former le Comité du Congrès ukrainien d’Amérique (Ukrainian Congress Committee of America, ou UKKA). Trois de ces organisations – l’Ukrainian National Association, la Providence Association of Ukrainian Catholics in America et l’Ukrainian National Aid Association in America – s’étaient déjà réunies en 1922 pour former les United Ukrainian Organizations in America (Obiednannia Ukrainskykh Orhanizatsii v Amerytsi, ou OUO). Au fil des ans, l’OUO a été très active, collectant environ 250.000 dollars pour aider les organisations ukrainiennes en Europe occidentale et en Ukraine occidentale, et pour protester contre la « pacification polonaise en Galicie orientale » qui a eu lieu de septembre à novembre 1932, et contre la famine en Ukraine soviétique qui s’est produite en 1932-1933.

 

L’OUO représentait la première vague d’Américains d’origine ukrainienne arrivés dans ce pays au XIXe siècle. À la fin de la Première Guerre mondiale, cependant, une deuxième vague d’immigrants ukrainiens s’est mise à arriver, survivants des violents efforts d’indépendance de l’Ukraine. Cette deuxième vague d’immigrants comprenait de nombreux fidèles de l’Organisation militaire ukrainienne (UVO), une organisation de résistance formée d’anciens combattants de la tentative avortée de l’Ukraine d’accéder au statut de nation. Plus tard, en 1929, l’UVO a été réorganisée en Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), cofondée par Andriy Melnyk, Yevhen Konovalets et Stepan Bandera. L’OUN était la plus grande organisation nationaliste ukrainienne, connue pour son idéologie d’extrême droite.

 

L’UKKA a défendu les intérêts nationalistes ukrainiens pendant les années difficiles de la guerre, une tâche compliquée par le fait que l’OUN a fait l’objet d’une enquête du FBI à la fin des années 1930 en raison de son affiliation à l’Allemagne nazie. Mais l’invasion et l’occupation de l’Ukraine par l’Allemagne ont permis à l’UKKA de modifier l’image des Ukrainiens en les faisant passer du statut de collaborateur à celui de victime. En 1944, l’UKK a créé le United Ukrainian American Relief Committee (ZUADK) pour venir en aide aux Ukrainiens déplacés par la guerre. Entre 1947 et 1957, le ZUADK a facilité la réinstallation de quelque 60.000 réfugiés ukrainiens aux États-Unis.

 

 

 

La direction de l’UKKA aujourd’hui

 

 

La plupart de ces réfugiés provenaient des camps de personnes déplacées (DP) établis par les alliés occidentaux dans l’Allemagne occupée. À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, on comptait quelque deux millions de réfugiés ukrainiens sur le sol allemand. À la fin de l’année 1945, environ 1,8 million de ces réfugiés avaient été renvoyés dans leur pays d’origine. Certains sont partis de leur plein gré, d’autres ont été contraints de partir contre leur gré. Au début de 1946, il restait quelque 200.000 Ukrainiens, dont environ 40 % étaient des Ukrainiens qui avaient fui leur pays en même temps que l’armée allemande en retraite, les autres étant d’anciens travailleurs esclaves amenés à travailler dans les usines allemandes. Bien que ces réfugiés se soient alors identifiés comme Ukrainiens, les alliés occidentaux répugnaient à leur accorder la citoyenneté d’une nation dont l’Union soviétique, leur alliée en temps de guerre, affirmait qu’elle n’existait pas. C’est ainsi que ces réfugiés ont été qualifiés de « personnes apatrides » ou, plus communément, de « personnes déplacées » (DP).

 

 

 

Coupon de collecte de fonds des Banderistes distribué dans les camps de DP en 1947

 

 

Alors que la composition idéologique des plus de 1.000 camps de déplacés établis par les puissances occidentales était aussi diverse que l’Ukraine elle-même, leurs populations sont rapidement tombées sous le contrôle de l’OUN, et plus particulièrement de la partie de l’OUN fidèle à Stepan Bandera (OUN-B), [ par opposition à celle de son rival Melnikov : OUN-R, NdT]. En utilisant les outils de coercition habituels, y compris la violence extrême qui a entraîné la mort de centaines de déplacés non conformes, l’OUN-B a commencé à façonner la manière dont la population déplacée définissait le nationalisme ukrainien. Lorsque la décision de démanteler les camps et de réinstaller les DP à l’étranger a été prise, l’OUN-B avait rallié environ 70 % de la population DP à son idéologie.

 

L’infusion de 40.000 Banderistes purs et durs dans la population ukrainienne américaine a eu un impact considérable sur l’orientation politique d’organisations telles que l’UKKA ; progressivement, comme cela s’était produit dans les camps de DP de l’Allemagne occupée par l’Ouest, la discipline et le sens de l’organisation de l’OUN-B lui ont permis de prendre le contrôle politique de la plupart des organisations qui composaient l’UKKA. Rapidement, la faction banderiste a jeté son dévolu sur la nouvelle génération de nationalistes ukrainiens-américains en créant l’Association de la jeunesse ukrainienne (SUM), fondée en 1949. En 1962, sur son site principal d’Ellenville, dans l’État de New York, la SUM a érigé un monument à la mémoire de ceux qu’elle appelait les « héros » de l’Ukraine : Stephan Bandera, Roman Shukhevych, Symon Petliura et Yevhen Konovalets. Depuis, SUM organise chaque été une série de camps d’été pour les enfants de tous âges, les endoctrinant complètement dans l’idéologie banderiste, centrée sur la notion d’exceptionnalisme ukrainien et de loyauté inconditionnelle envers le mouvement.

 

 

La statue de Stepan Bandera dans le camp SUM d’Ellenville, New York

 

 

Au cours des années 1960 et 1970, la faction de l’OUN-B a renforcé son contrôle sur les diverses organisations qui composaient l’UKKA, sous la bannière de ce qu’elle appelait le « Front de libération ». Le « Front de libération » était la branche américaine de ce qui était connu sous le nom de « Front mondial de libération de l’Ukraine » (SUVF), une coalition d’organisations ukrainiennes de la diaspora fidèles à l’OUN-B. Le SUVF s’est réuni pour la première fois en 1973 et, à la fin des années 1970, il s’est positionné pour prendre le contrôle de l’UKKA. Lors de la convention de l’UKKA de 1980, le « Front de la Liberté » s’est présenté avec suffisamment de délégués pour revendiquer le contrôle total de la direction de l’UKKA. De nombreuses organisations ukrainiennes-américaines se sont alors retirées de l’UKKA en signe de protestation.

 

L’UKKA se décrit comme « une organisation américaine bipartisane qui plaide en faveur d’un partenariat stratégique entre les États-Unis et l’Ukraine. Notre mission est d’encourager et de persuader le gouvernement américain d’adopter des politiques spécifiques qui créent des liens toujours plus forts, plus durables et mutuellement bénéfiques avec la nation ukrainienne ».

 

Selon son site web, l’UKKA collecte des fonds « pour différentes causes en faveur de l’Ukraine et travaille en étroite collaboration avec d’autres organisations telles que l’USAID et l’ambassade d’Ukraine aux États-Unis afin de coordonner l’aide. L’UKKA cherche en outre à rallier les communautés ukrainiennes et internationales à des campagnes mondiales visant à soutenir la résistance de l’Ukraine ».

 

 

Scott discutera de cet article et répondra aux questions du public dans l’épisode 252 de l’émission «Ask the Inspector ».

 

 

On ne saurait trop insister sur l’étroite collaboration entre l’UKKA et le gouvernement US au fil des ans. Tout au long des années 1990, des « influenceurs » ukrainiens (animateurs de radio et de télévision, journalistes et aspirants politiciens) ont été recrutés dans le cadre de programmes entièrement financés par l’USAID, qui ont amené ces personnes aux États-Unis pour une « orientation » (c’est-à-dire des visites guidées à la Maison Blanche, au Congrès, au Département d’État et au Pentagone), où ils ont rencontré des décideurs US et se sont concertés avec eux sur des questions relatives à l’Ukraine. Dans tous les cas, les participants à ces visites se sont vu attribuer un « représentant officiel » du gouvernement US et un « banderiste » de l’UKKA.

 

Le résultat étant que chaque aspect de la politique américaine à l’égard de l’Ukraine au cours de la période qui a précédé le second mandat du président Trump a été étroitement coordonné avec la forme virulente la plus extrême du nationalisme ukrainien que l’on puisse imaginer – celle adoptée par Stepan Bandera et embrassée sans conteste par ses fidèles adeptes..

 

Après l’humiliation publique du président ukrainien Volodymyr Zelensky par Trump à la Maison Blanche, les nationalistes ukrainiens, dans toute l’Ukraine, ont commencé à brûler Trump en effigie. D’autres, affiliés à l’armée ukrainienne, ont appelé la diaspora ukrainienne à se préparer à commettre des actes de violence pour demander des comptes à ceux qui ont trahi la cause de Bandera.

 

En écoutant ces menaces et en réfléchissant au fait que les États-Unis offrent aujourd’hui un refuge aux alliés littéraux de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, je note qu’Ellenville, dans l’État de New York, n’est qu’à 60 miles au sud de l’endroit où j’habite. C’est là que des générations successives de banderistes ukraino-américains ont été formées et entraînées en tant qu’agents paramilitaires prêts à participer à la résistance armée contre les forces opposées à l’odieuse idéologie de leur maître, Stepan Bandera, et à sa manifestation moderne dans le cadre de l’Ukraine de Zelensky.

 

C’est à cette légion de jeunes Ukrainiens-Américains idéologiquement fanatisés – des générations successives – que font appel les nationalistes ukrainiens d’Ukraine.

 

Et, alors que les États-Unis oeuvrent avec la Russie pour mettre fin au conflit en Ukraine d’une manière qui sera perçue comme une trahison par ces immigr&s Banderistes, l’Amérique doit être sur ses gardes. Car l’endoctrinement des banderistes, tel qu’il est pratiqué dans des camps comme celui d’Ellenville, place la loyauté envers l’organisation banderiste et la cause du nationalisme ukrainien au-dessus de tout.

 

Y compris au-dessus des États-Unis où ils vivent, et qu’ils ont appelés leur foyer pendant toutes ces années.

 

 

Une cérémonie récente de remise des diplômes au camp SUM d’Ellenville, dans l’État de New York. Notez le drapeau – rouge et noir-  de l’Organisation des nationalistes ukrainiens, faction Bandera, hissé au centre. Le drapeau américain est relégué à gauche.

 

 

Source : https://scottritter.substack.com/p/the-enemy-within?utm

 

 

 

En Afrique ? Eh oui aussi.

 

Des banderistes indiscutablement tatoués avaient déjà été repérés – et combattus – autour du lac Tchad, et leurs armes indiscutablement identifiées avec des armes envoyées à l’Ukraine par des pays de l’alliance occidentale pour « se défendre de l’agression russe ».

Les voici maintenant au Sahel, avec des bombes au phosphore blanc.

Question d’idiots liégeois : quelle puissance occidentale (ou quelles ?) a (ont) envoyé au gouvernement ukrainien des armes interdites par toutes les lois internationales ?

 

 

 

La Russie et l’AES condamnent fermement la « collusion coupable » de Kiev avec les terroristes du Sahel

 

Affaires étrangères d’AES et de Russie3.4.2025

 

 

© telegram sputnik_afrique

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La Russie et l’AES condamnent fermement la « collusion coupable » de Kiev avec les terroristes du Sahel.

C’est spécifié dans la déclaration conjointe publiée à l’issue des consultations entre le ministre russe des Affaires étrangères et ceux de la Confédération, à Moscou le 3 avril.

Les parties ont fermement condamné les actes d’agression commis par des États soutenant le terrorisme », indique entre autres le document.

Plus tôt, Sergueï Lavrov avait accusé Kiev de déstabiliser la situation en Afrique. Le ministre malien des Affaires étrangères a pour sa part déclaré que Bamako considérait l’Ukraine comme un État terroriste.

En août dernier, un haut responsable ukrainien avait admis le rôle de Kiev dans une défaite de l’armée malienne à Tinzaouatène. Bamako et Niamey avaient depuis rompu leurs relations diplomatiques avec Kiev.

De plus, l’Ukraine aurait fourni aux groupes terroristes du Mali des munitions au phosphore blanc, avait rapporté en novembre un média local.

Abonnez-vous @sputnik_afrique

Source :  https://fr.sputniknews.africa/20250404/1071501745.html

 

 

 

 

L’Ukraine est « un pays qui est devenu l’allié des terroristes »

 

Fousseyrou Ouattara – Sputnik Afrique – 4.4. 2025

 

 

 

 

 

L’Ukraine est un « pays qui est devenu l’allié des terroristes »

 

  Ce sont les faits, les comportements et les dires mêmes des responsables ukrainiens qui indiquent que c’est un pays qui s’adonne au terrorisme« , pointe le vice-président de la Commission de défense du Conseil de transition du Mali.

 

Fousseynou Ouattara revient pour Sputnik Afrique sur la déclaration du ministre malien des Affaires étrangères, selon laquelle Bamako considère l’Ukraine comme un État terroriste vu le soutien de Kiev aux groupes armés du Sahel.

Les autorités ukrainiennes « essaient de saper la coopération entre la Russie et les trois États du Sahel », explique-t-il.

Toutefois, ces efforts « ne seront que de petites piqûres«  de moustiques, qui gênent mais n’empêchent pas de mener à bien des actions dans la région.

Je suis sûr qu’un jour viendra où le peuple ukrainien aura des responsables dignes de ce nom qui ne vont pas se vendre à des idéologies parasitaires », ajoute M. Ouattara.

 

 

Dr. Fousseynou Ouattara

 

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250404/1071518465.html

 

 

 

 

« Pas de confiance à Kiev » : le Burkina-Faso dénonce le soutien ukrainien au terrorisme

 

Jean-Marie Traoré – Sputnik Afrique –  4.4.2025

 

 

Jean-Marie Traoré

 

 

Le chef de la diplomatie burkinabè se solidarise avec les déclarations de son homologue malien qui avait qualifié l’Ukraine d’État terroriste.

 

Voir un pays qui prétend être un pays civilisé soutenir une telle posture pour nous, c’est condamnable »,

 

a déclaré Karamoko Jean-Marie Traoré à Sputnik Afrique au sujet des propos des officiels ukrainiens qui avaient évoqué le soutien aux radicaux du Sahel.

S’exprimant suite à la réunion entre Sergueï Lavrov et ses homologues de l’AES à Moscou, il a rappelé que les membres de l’Alliance avaient « saisi le Conseil de sécurité afin de demander des comptes à l’Ukraine ».

 

Ce n’est pas une chose acceptable et nous ne pouvons pas le permettre », insiste le ministre.

 

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250404/pas-de-confiance-a-kiev-le-burkina-faso-denonce-le-soutien-ukrainien-au-terrorisme-1071506928.html

 

 

 

 

N’oublions pas la verrue en forme de rune nazie que Bruxelles a sur le nez, qui nous interdit de juger les autres.

 

 

 

 

 

 

Les aventures d’Onc’ Donald au Yemen….

 

 

Trump dévoile une vidéo de la frappe américaine tuant des Houthis au Yemen

 

RT en français – 5.4.2025

 

 

 

 

Le président américain Donald Trump a partagé, le 4 avril, sur son réseau social Truth Social une vidéo montrant la mort de plusieurs combattants houthis à la suite d’une frappe américaine au Yémen.

 

 

 

Une frappe américaine visant des personnes rassemblées en rond au Yémen.

 

 

La vidéo prise depuis une vue aérienne, semble avoir été capturée par un drone. Elle montre des personnes formant un grand cercle et un épais nuage de fumée, déclenché après la frappe. La séquence a, par la suite, montré des dizaines de combattants houthis se faire tuer.

Lire la suite…

Source : https://rtenfrance.tv/international/118951-trump-devoile-video-frappe-americaine-tuant-houthis-yemen

 

 

Un internaute a fait remarquer que « les combattants houthis » sont évidemment des civils (cibles préférées en effet, partout dans le monde, des bombardeurs US), et que la formation en cercle est fréquente dans certaines cérémonies yéménites, probablement religieuses.

Quoi qu’il en soit, M Yahia Saree, porte-parole des Forces armées yéménites, a annoncé qu’un deuxième groupe de combat US, venu en renfort de Taïwan, avait également été mis hors de combat par les Houthis, « sans tirer un coup de feu ». Cela serait-il la surprise annoncée par le même M. Saree à Pepe Escobar et à ses compagnons de voyage ? Dans ce cas, les Chinois auraient une dette envers les combattants de la mer Rouge.

 

À suivre…

 

 

 

 

Mis en ligne le 6 avril 2025

par Les Grosses Orchades

 

Ils étaient un million

 

 

 

 

 

 

 

L’attaque ukrainienne du pont de Crimée en 2024, « c’étaient les USA et le R.U. »… Vous êtes surpris ?

 

 

Ils étaient un million !

 

 

 

Les vidéos qui suivent  sont en anglais.

C’est devenu la règle.

Donc pour les anglophones

 

Nous continuons de le regretter mais nous n’y pouvons rien.

On les met ici en ligne pour qu’elles ne soient pas perdues.

C’était vendredi 28 (dernier du Ramadan), Le Jour d’Al Qods, où des foules considérables, principalement musulmanes, dans un très grand nombre de pays, manifestaient leur attachement à Jérusalem, leur protestation contre la présence de l’Israël sioniste dans leur mosquée et leur soutien fraternel à ce qui reste des Palestiniens pas encore morts.

Dans leur pays, sous les bombes US, un million de Yéménites se sont mis en dimanche pour aller, dehors, le faire savoir plus encore qu’urbi et orbi.

Comment les bombardeurs ont-ils pu résister à la tentation de creuser de larges tranchées de cadavres dans ce magma de refus lancé à leur domination ? À leur place, Netanyahou n’aurait pas hésité, lui, ni Erdogan, ni Al-Jolani. Mauviettes, les Zuniens ?

Ne manquez pas de regarder la vidéo publiée. par The Cradle :  les images sont polyglottes :

https://thecradle.co/articles/millions-rally-in-yemen-to-mark-quds-day-in-defiance-of-us-led-war

 

 

 

 

À la suite de quoi nous avons eu le privilège de voir Pepe Escobar, qui s’y trouvait, raconter un peu de tout ça au Juge Napolitano, avec la vivacité qui le caractérise :

 

 

 

 

Donc, il y était. En même temps que plusieurs autres invités, dont deux Américains et deux Chinois. Et il a même été invité à y prendre la parole (on le voit un moment dans la vidéo). Quel effet cela doit-il faire de parler à un million de personnes à la fois, dont la plupart savent qui vous êtes ? On dira ce qu’on voudra, c’est quand même une belle chose que l’Internet quelquefois. Et non seulement il a pu communiquer, en plein air, son message, mais il a aussi, avec ses compagnons, pu rencontrer le n°2 de la direction yéménite, où on a pourtant autre chose à faire qu’aller se promener dans les rues et y rencontrer des étrangers, quand le pays le plus puissant du monde est en train de bombarder les vôtres (surtout les femmes et les enfants ‘d’abord, selon son habitude) et vous cherche, vous, personnellement, avec des moyens de localisation faramineux, pour vous liquider.

« Il faudrait dix entretiens comme celui-ci », dit Pepe au juge, « pour vous raconter tout ce qu’on nous a dit, tout ce qu’on a vu ». Ajoutant qu’un des deux Chinois était musulman, que les Houthis lui ont dit que leurs liens avec les Chinois remontaient à Mao Tse Toung… qu’il les avait tellement aidés… et que, non, les Yéménites n’ont pas descendu un avion US comme le raconte Tulsi Gabbard, ils ont descendu des drones Reaper – 15 ou 16 – sans personne dedans. « La Faucheuse » (c’est ce que Reaper veut dire)… Àinsi, à chaque Reaper qu’ils détruisent, les Houthis retuent la mort. On a entendu parler d’une valeur totale d’un demi milliard de dollars pour cette quinzaine d’engins mis hors de combat. Bah, les États-Uniens sont réputés riches. Ceux qui les fabriquent en tout cas, et qui les vendent à nos pays cocus et fiers de l’être.

 

 

Et voilà que nous découvrons que Pepe vient juste de sortir un papier sur son équipée yéménite. Et voilà qu’en plus il y a des gens – en Inde ! – qui ont, en même temps, fait paraître la transcription intégrale de son entretien avec le juge.

Il ne nous restait qu’à vous les traduire.

 

 

Pepe Escobar : De Sana’a à Saada – Le Yemen en temps de guerre

 

[ Pepe Escobar : From Sana’a to Saada – Yemen During Wartime ]

 

Sputnik Globe – 31.3.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

© Photo : Pepe Escobar

 

 

SAADA, nord-ouest du Yémen : Il est 14 heures, mercredi 26 mars, et je me trouve sur un boulevard désert de Saada, pendant le ramadan, dans le silence, entouré de montagnes, et je regarde un panneau routier qui m’indique que la frontière saoudienne n’est qu’à deux heures de route en voiture.

Nous étions arrivés dans le nord-ouest du Yémen – le berceau du mouvement Ansarallah – dans un convoi de SUV Toyota blancs, pas vraiment un convoi d’ailleurs, en fait un leurre, parce qu’ils ne roulent jamais ensemble, le long de l’autoroute spectaculaire, pour de sérieuses raisons de sécurité.

Nous étions un petit groupe d’une douzaine de personnes – de l’Est et de l’Ouest – qui avions passé les jours précédents à Sana’a, la capitale, dans le cadre d’une conférence sur la Palestine intitulée « Vous n’êtes pas seuls ». Comme l’ont souligné nos aimables hôtes, nous avons en fait brisé – physiquement – le blocus occidentalo-arabe du Yémen, en tant que premier groupe d’étrangers à visiter le pays depuis des années

Lire la suite

 

URL de cet article : https://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/pepe-escobar-de-sanaa-a-saada-le-yemen-en-temps-de-guerre/

Source . https://sputnikglobe.com/20250331/pepe-escobar-from-sanaa-to-saada–yemen-during-wartime-1121717925.html

 

 

 

Ce que je vois au Yémen – Reportage de Pepe Escobar à Sana’a

 

(Reportage verbal, puisqu’il s’agit d’un entretien à distance entre le juge et le journaliste, publié ci-dessus en anglais)

 

Singjupost.com – 29.3.2025

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

 

 

Bonjour à tous, ici le juge Andrew Napolitano pour Juger la liberté. Nous sommes le vendredi 28 mars 2025. Il est minuit à Sana’a, au Yémen, d’où nous parle notre cher ami, l’intrépide Pepe Escobar. Pepe, bienvenue mon cher ami. Merci d’avoir veillé tard pour nous. Merci de faire des reportages pour nous. Merci pour tout ce que vous faites. Vous êtes au Yémen depuis une semaine. Que voyez-vous ?

 

PEPE ESCOBAR : Mon Dieu ! Je ne peux pas vous répondre en une ou deux minutes. Il faudrait que nous ayons dix Juger la liberté d’affilée pour vous répondre si peu que ce soit… C’est une expérience étonnante, vous savez. Je suis un correspondant international de la vieille école : cette année, c’est ma 40e année à travers le monde. Alors, pour ce qui est de mes relations avec les Yéménites, de comprendre leur façon de penser, de voir à quoi ressemble leur vie… non seulement ici dans la capitale, bombardée tous ces jours-ci par le CENTCOM… Au milieu de cette semaine, j’étais dans le gouvernorat de Saada, dans le nord-ouest du Yémen, pas très loin, à un peu plus de 100 kilomètres de la frontière avec l’Arabie saoudite.

C’est le Yémen profond, profond, et c’est absolument extraordinaire. Nous avons vu, bien sûr, les effets des bombardements de la soi-disant coalition saoudienne, une guerre qui a commencé… et ce n’est pas une coïncidence… nous nous sommes rendus sur place au milieu de cette semaine, parce que le 25 mars, c’est-à-dire mercredi de cette semaine, il y aura exactement 10 ans que la coalition saoudienne a commencé sa guerre contre le Yémen.

Nous étions donc là à une date extrêmement importante,… et Ansar Allah est né dans le gouvernorat de Saada. Le chef d’Ansar Allah, Abdul Malik al-Houthi, vit à Saada. Il vient rarement à Sana’a, surtout maintenant… Aujourd’hui, c’est absolument impossible… Un diplomate m’a dit, lorsque nous étions là-bas, que le véritable siège du pouvoir au Yémen n’est pas Sana’a, la capitale. C’est ici. Et c’est où nous étions ce mercredi jusqu’à hier matin.

Lire la suite…

 

URL de cet article : https://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/ce-que-je-vois-au-yemen-reportage-de-pepe-escobar-a-sanaa/

Source : https://singjupost.com/transcript-of-pepe-escobar-what-i-am-seeing-in-yemen/

 

 

 

 

 

 

 

Quatre ans de prison, dont deux ferme, et cinq ans d’inéligibilité. Voie libre au 3e Micron, dans les faibles meuglements des « veaux ».

 

 

La condamnation de Marine Le Pen, signe du mépris des normes démocratiques en Europe

 

 Dmitri Peskov – Kremlin.ru – 31.3.2025

 

 

 

 

« De plus en plus de pays européens s’engagent sur la voie du mépris des normes démocratiques », a déclaré Dmitri Peskov au sujet de la peine de Marine Le Pen : « Ils n’hésitent absolument pas à sortir du cadre de la démocratie dans l’exercice du processus politique  La Russie, précise-t-il, n’intervient pas dans les affaires intérieures de la France ».

 

 

Certes, il a raison. Et il est vrai que toute cette pantalonnade de « justice » ressemble fort aux temps où le père Adolf gravissait allègrement son tas de cadavres ascensionnels. Et où le pseudo vainqueur de Verdun faisait don de sa personne à une France qui ne lui avait rien demandé. Voilà qui nous rajeunit.

Cela dit…

Faut-il pleurer sur le sort de Marine Le Pen ? S’indigner ? Autrement dit : qu’a-t-elle fait pour mériter cet honneur ? Admettons-le : ce n’est pas elle qui vient d’être vaincue. C’est son électorat. Ce sont les quelques millions qui, au lien de se fabriquer une conscience et de prendre courageusement leur destin en mains, ont aveuglément fait cadeau de leur pouvoir à la première démagogue venue. Qui n’aurait eu pour seule excuse que sa sincérité, si elle en avait eu. Ils ont voté pour des détournements racistes de responsabilités de leurs malheurs. Et leur paladine n’a même pas attendu le moindre revers pour abandonner tout ce qui ressemblait à une conviction et retourner plusieurs fois sa veste jusqu’à aller, chez les équarisseurs de Tel Aviv, faire des ronds de jambes serviles, quand les moins dégoûtés s’enfuient.

Marine Le Pen – Sophie Binet, même combat !  Et ne parlons pas du petit Bardella, plîze !

Bien fait ? Oui, et c’est triste à dire.

Où est la France qui, depuis Thermidor, a vu chaque génération de ses fils saignée à blanc de ce qu’elle avait de meilleur ?

La génération des électeurs de Le Pen peut continuer à pédaler dans sa semoule : il n’y a plus rien à saigner.

Car, non, la France d’aujourd’hui n’est pas la Roumanie, et Marine Le Pen n’a rien à voir avec Calin Georgescu. Ils n’ont en commun que le modus operandi des immondes de Bruxelles.

On a les gouvernements qu’on mérite, et c’est partout pareil en Europe. On ne peut pas dire que ça nous rende gais.

 

 

 

 

Rien à voir avec Marine Le Pen !

Et il y a des années (14) que ceci dure.

 

 

La CPI… dieux du Ciel !

Le CS… vous voulez rire ?

 

 

 

Il n’y a pas que les terroristes qui savent porter le costume trois-pièces.

 

 

Traduction d’un communiqué du

 

CONSEIL SOCIAL DES TRIBUS ARABES SAAFAT – JAMIDAT

DANS LES VILLES DE GEMAYEL – SORMAN

 

Sujet : mémoire de solidarité adressé à la CPI et au CS des Nation Unies

 

(à la légitimité desquels M Poutine paraît croire)

 

Par l’intermédiaire du

 

Comité international de la défense des droits du peuple libyen

 

(dont le siège est en France ; pas chez Le Pen ni chez ses juges, ni au gouvernement, ni à la CGT)

 

 

Cet appel date d’août 2019.

Mais il n’y a pas le feu, n’est-ce pas ?

 

Après que la réalité de la conspiration internationale contre le peuple libyen et son État ait été révélée et suite à une situation humanitaire, politique et sécuritaire catastrophique frappant depuis 8 ans [maintenant 14, NdGO] la Libye et le peuple libyen, la poursuite de la procédure contre le docteur Saif al-Islam Kadhafi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité apparait sans fondement. Cette poursuite de Saif al-Islam, par la Cour Pénale Internationale, est de nature exclusivement politique : elle n’a rien à voir avec l’application du droit international humanitaire et des droits de l’homme ou de la répression des crimes internationaux, elle a pour seul objectif de prolonger une politique de deux poids et de deux mesures et d’entraver le processus de réforme politique en Libye. Quel crime est plus grave que celui du renversement par la force du régime libyen et la destruction totale de l’État, laissant le pays dans le chaos sans fin tout en laissant impunis les crimes commis contre le peuple libyen par les milices et les factions, ils sont sans commune mesure avec les faits reprochés à D. Saif al-Isl Kadhafi.

Les procédures contre le docteur Saif al-Islam menées par la Cour internationale et d’autres organisations signifie que ces organisations préfèrent laisser le peuple libyen dans un état de conflit incessant, de déchirures et de division continue.

Considérant que Saif al-Islam est soutenu par un grand nombre de Libyens, sa poursuite signifie que l’on veut faire avorter le processus de réconciliation entre les Libyens et que l’on veut détruire tout projet de reconstruction d’un État rénové et démocratique, celui de tous les Libyens.

Comment peut-on accepter juridiquement et pratiquement de poursuivre celui qui appelle à la paix, à la réconciliation et à la lutte contre le terrorisme tout en laissant continuer de sévir ceux qui ont semé la corruption et menacé l’humanité par leurs actes terroristes, que ce soit en Libye ou dans d’autres pays.

La CPI, dans la mission est de combattre l’impunité des criminels, est devenue un instrument partisan entravant la réconciliation.

La Libye vit maintenant une période de transition turbulente et chaotique. En tant qu’organe indépendant, le pouvoir judiciaire est considéré dans tous les États comme un organe neutre et efficace permettant de maintenir le niveau minimum de justice et la protection des droits de l’homme pendant cette période. Pour que le juge puisse contribuer au contrôle de cette phase turbulente, les lois internationales et nationales lui ont permis d’utiliser des règles juridiques spéciales et appropriées pour cette période.

Ce que la justice libyenne a fait entre dans cette perspective. En effet, la justice libyenne a engagé la procédure d’accusation de Saif al-Islam et le ministère public l’a interrogé conformément au Code de procédure pénale libyen. Il a appliqué les règles conformes aux exigences de la période de transition, certains articles ont été modifiés à l’occasion du jugement des partisans de l’ancien régime.

En conséquence, les poursuites engagées contre le docteur Saif al-islam Kadhafi devant la Cour pénale internationale sont devenues sans fondement, dans la mesure où les conditions de l’application des dispositions de l’article 20/3 relatives à la compétence supplémentaire de la Cour sont rempliées : l’accusé a été jugé. Il a purgé une partie de la peine, à laquelle il avait été condamné, puis il a bénéficié de la loi d’amnistie promulguée par le parlement libyen. Le système judiciaire interne a permis de juger les accusés dans le cadre d’un procès jugé équilibré sur le plan des procédures pénales et conforme aux normes internationales en matière de procès équitable, et adapté au contrôle de la période de transition que vit la Libye.

Les règles de procédures pénales appliquées à la situation transitoire en Libye répondent aux exigences de cette période et contribuent à la sortir de la confusion institutionnelle. La Cour internationale doit comprendre que cette situation devait être réglée de manière équilibrée, de sorte qu’elle assure en même temps une protection juridique aux victimes et à l’auteur présumé. En outre, cet équilibre a pu être réalisé dans le cadre du droit interne dans la mesure où ce droit combine le jugement, l’amnistie et conciliation en soumettant les règles de procédure à des règles de formes souples, compatibles à la fin, avec la situation de transition et les principes généraux du droit.

Pour toutes ces raisons, nous appelons la Cour pénale internationale et le Conseil de sécurité des Nations Unies à cesser la poursuite de Saif al-Islam et à déférer le dossier de M. Saif al-Islam à la justice libyenne, à l’instar des autres accusés qui l’ont précédé soit en Libye soit dans d’autres pays, et à laisser aux Libyens le soin de décider du sort de leurs enfants et à disposer d’eux-mêmes, conformément aux besoins de souveraineté revendiquée par tous les libyens

Nous attirons l’attention de la communauté internationale, y compris la Cour pénale internationale et le Conseil de sécurité, sur le fait que le peuple libyen est effectivement représenté dans ses institutions sociales et dans le Congrès de ses tribus et villes qui s’est engagé à conduire une véritable politique de réconciliation dirigée par M. Saif al-Islam Kadhafi en vue de la construction d’un État démocratique libyen issu du programme prometteur « la Libye d’un avenir prospère ». Nous rappelons aussi que toute solution de la crise libyenne ne peut être obtenue qu’en donnant la possibilité à ses conseils sociaux et au congrès des tribus et des villes de s’organiser et de se mobiliser afin de sortir la Libye des conflits politiques et idéologiques et de la lutte entre des factions exprimant des intérêts personnels et égoïstes. Les instances politiques et administratives qui ont été mises en place depuis 2011, ont prouvé leur incapacité à sortir la Libye de sa tragédie.

Conseil social des tributs arabes de Saafat -Jamidat à Gemil et à Surman

Fait À Gemil le/ 04/06/2019

 

 

Commentaire des G.O.

Il y a quelques mois, à l’occasion du passage à Moscou de Mme Aïcha Khadafi, venue y exposer les tableaux qu’elle a peints à la mémoire de son père, un membre du gouvernement russe dont le nom pour l’instant nous échappe, avait parlé de soutenir la candidature de M Saif al Islam Khadafi à la présidence de la Libye s’il s’y présentait, « au besoin par les armes ».

On  aimerait bien assister à une chose pareille. Non qu’on prenne plaisir à voir les gens se canarder, mais parce que ce serait une grande première. À l’heure qu’il est, les seuls pays à n’avoir jamais enfreint le principe de solidarité (ou de fraternité, si vous voulez) en matière de morale publique, depuis qu’il a été énoncé par Robespierre, sont Cuba, l’Afrique du Sud et le Yémen. Ce ne sont certes pas les Libyens, les Palestiniens ni les Syriens qui nous contrediront. Ni les Yougoslaves.

Nous ne sous-estimons pas du tout ce à quoi les gouvernants russes, chinois et iraniens sont confrontés dans la défense de leurs propres peuples. Nous disons que nous admirons sans réserves les Cubains, les Sud-Africains et les Yéménites, qui prennent aussi, collectivement, des risques pour les autres peuples.

 

 

Et ils ne sont pas tout à fait seuls…

 

Ce 31 mars 2025

 

 

 

Rassemblements de masse dans de nombreux endroits d’Égypte, pour s’opposer au déplacement forcé des Palestiniens, ordonné par Donald Trump

https://english.almayadeen.net/news/politics/mass-rallies-in-egypt-rejecting-forced-displacement-of-pales

 

 

 

 

 

Dans l’actualité qui pédale à mort :

 

Un article du New York Times qui fait beaucoup-beaucoup de bruit :

 

 

À Wiesbaden, vrai quartier général des opérations, quand on planifiait l’invasion et le dépeçage de la Russie, par Ukrainiens interposés

 

 

New York Times Fantasy Tale of Ukraine’s Almost Great Victory Over Russia

 

Larry Johnson – Sonar 21 – 30.3.2025

https://sonar21.com/new-york-times-fantasy-tale-of-ukraines-almost-great-victory-over-russia/

 

 

 

NYT, US waged COALITION WAR against Russia

Alexander Mercouris & Alex Christoforou

The Duran – 31.3.2025

https://theduran.com/nyt-us-waged-coalition-war-against-russia/

 

 

Cet article du New York Times, qui avoue une vérité criante tout en continuant d’entasser des paquets de mensonges, établit une fois pour toutes qu’il n’a jamais été, un seul instant, dans cette guerre, question de la souveraineté de l’Ukraine et que ce ne sont pas les Russes qui ont attaqué, mais qu’ils l’ont eux-mêmes été.

Ni remords ni regrets et surtout ni lucidité  : la fine équipe de généraux US planquée à Wiesbaden depuis bien avant 2022 avec son caniche UK et ses chihuahuas UE, a tout planifié et tout dirigé jusque dans les moindres détails, mais c’est la faute au sale caractère du Zé et à la nullité des généraux ukrainiens si on a perdu, et c’est celle à pas de chance si plus d’un million de soldats d’Ukraine sont descendus pour rien au Tartare, sans parler des femmes maquées dans des filières de traite des blanches et des orphelins vendus pour leurs organes ou pour le plaisir des amateurs de bambins.

Donc, soyons clairs : ils ont toujours voulu détruire l’armée russe, envahir la Russie, la découper en petits morceaux et se partager ses dépouilles. Mais ; attention : jamais ils n’ont été incapables de réaliser leurs projets ! Tout ça c’est la faute aux Ukros et aux Trumpistes. Si Biden avait pu diriger les opérations jusqu’au bout, la victoire aurait été totale, c’est l’évidence même. Donc, il n’y a pas d’alternative : il faut recommencer dès qu’on pourra, réarmer l’Europe à coups de livrets d’épargne saisis et naninanère. Quand Trump aura fini de tout gâcher par sa complicité avec Poutine, on verra ce qu’on verra.

Bref, la coalition qui avait déjà tout raté avec Napoléon, puis en 14-18-20 et ensuite avec Hitler (sans parler de la guerre de Crimée des Anglais au XIXe s.) doit être recommencée dès que possible et cette fois ses plans menés à bien.

Par qui ? Les néocons US bien sûr (à peu près tous d’origine européenne) et leurs petits copains « proxy » en Europe.

Et pourquoi pas, puisqu’on les laisse faire.

 

 

 

 

Quelqu’un qui a tout compris :

 

The Zionist Destruction of American Higher Education

 

(La destruction sioniste de l’enseignement supérieur américain)

 

Ron Unz – The Unz Review – 31.3.2025

Traduction de l’extrait : L.G.O.

 

 

https://www.unz.com/runz/the-zionist-destruction-of-american-higher-education/  

 

 

 

Nous sommes peut-être en train d’assister à la destruction de l’un des plus grands piliers de l’influence mondiale et de l’hégémonie américaine de l’après-guerre.

À la fin de la semaine dernière, un événement étonnant s’est produit dans la société américaine, et des clips vidéo de cet incident sont rapidement devenus viraux sur Internet.

Une doctorante de Tufts âgée de 30 ans et boursière Fulbright, originaire de Turquie, se promenait dans son quartier de Boston pour se rendre à un dîner de fête chez un ami lorsqu’elle a été soudainement saisie et enlevée en début de soirée par six agents fédéraux masqués du ministère de la Sécurité intérieure. La jeune femme terrifiée a été menottée et emmenée dans une voiture qui l’attendait. Elle a été détenue secrètement pendant les 24 heures suivantes, sans pouvoir contacter ses amis, sa famille ou son avocat, avant d’être envoyée dans une cellule de détention en Louisiane, d où elle devait être immédiatement expulsée, bien qu’un juge fédéral ait temporairement suspendu la procédure.

Un seul des tweets montrant un court extrait de cet incident a été visionné plus de 4,5 millions de fois, tandis qu’une vidéo YouTube beaucoup plus longue a été vue quelques centaines de milliers de fois supplémentaires.

 

 

 

 

Read whole article…

Source : https://www.unz.com/runz/the-zionist-destruction-of-american-higher-education/

 

 

Question bête : pourquoi veulent-ils détruire l’enseignement supérieur US, que personne n’avait réussi à détruire au moment de la guerre du Vietnam, où il était aussi à l’avant-garde de la résistance ?

 

 

 

 

 

Mais Ron Unz n’est pas le seul à pointer du doigt les malfaiteurs.

 

 

Le 6 jnvier, Max Blumenthal avait fait paraître ceci :

Leaked emails expose ‘collaborative efforts’ between Israeli govt and Center for Countering Digital Hate

 

 

Et, comme il n”y a pas qu’aux USA qu’ils sévissent, le 28 janvier, il publiait ceci :

https://thegrayzone.com/2025/01/28/swiss-official-journalist-ali-abunimah-pro-israel/

 

 

 

 

Et on ne vous parlera pas des quinze médecins du Croissant Rouge massacrés en Palestine : en uniformes et portant encore leurs gants, abattus menottés dans une fosse commune, parce qu’on manque de courage pour continuer aujourd’hui le catalogue des horreurs.

 

 

Comme à Katyn ? Ah, mais non, pardon, à Katyn cétélérusses ! (car Wikipedia ne ment jamais). Cette fois-ci, pas de doute : il y a trop de gens qui regardent.

 

 

 

Mis en ligne le 2 avril 2025

par es Grosses Orchades

 

 

Essayons de nous rendre au moins un peu utiles

 

 

 

 

 

 

 

Touché par les Yéménites 25.3.2025

 

 

 

Essayons de nous rendre au moins un peu utiles

 

 

 

Jeunes Gazaouis encore en vie. Enfin…  hier

 

 

Si on pense au temps qu’il faut pour les affamer au point qu’ils en meurent…

Si on pense à l’énorme gaspillage de linceuls…

 

 

 

 

 

 

 

 

Et si on  tient compte du fait qu’il ne reste plus guère d’endroits où on puisse creuser pour les enterrer, même réduits à l’état de squelettes…

 

 

 

 

On se demande si les personnes chargées de préparer la construction de la Riviera ont bien réfléchi à tout… passé en revue la totalité des cas de figure…

Nous, on pense que non.

Par exemple, on vous parie un MacDo triple qu’ils n’ont pas pensé à les consommer.

Pourtant, si on y réfléchit, il y a là une solution qui n’offrirait que des avantages.

La viande d’enfants de cet âge – quand ils sont encore un peu dodus bien entendu – doit être tendre.

Il ne faudrait pas des heures pour la cuire : économie d’énergie !

Voyez, sinon, le genre de tableaux que ces animaux font traîner sur Internet :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

IL y en a quand même tellement… est-ce bien la peine ?

 

 

 

 

Une fois aussi maigres, évidemment…

 

 

 

 

Ah, si vous saviez le mal qu’on a à s’en débarrasser !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Même si on se défonce pour faire ce qu’on peut, même si on les torture avec des insectes, même si on arrive à en déporter un certain nombre…

 

 

 

 

 

Et qu’est-ce qu’ils font, ces petits cons ? Ils jouent !

 

 

 

 

 

 

 

On n’est évidemment pas les premiers à qui cette idée soit venue.

Car, si l’hécatombe actuelle, que nul ne se permettrait d’appeler « holocauste », dépasse tout ce qu’on pouvait imaginer jusqu’ici (et pourtant dieusait…), les pauvres n’’arrêtent jamais de se reproduire, même quand on n’a pas besoin de main d’oeuvre ! C’est ce qu’a déjà constaté avec accablement, il y a trois siècles, un de nos prédécesseurs, à qui nous tenons à rendre ici l’hommage qui lui est dû en le citant.

 

 

Modeste proposition

 

POUR EMPÊCHER LES ENFANTS DES PAUVRES EN IRLANDE D’ÊTRE À
CHARGE À LEURS PARENTS ET À LEUR PAYS ET
POUR LES RENDRE UTILES AU PUBLIC

 

Jonathan Swift – Dublin – 1729

Traduction : Léon de Wailly – 1859

 

 

 

 

C’est une triste chose pour ceux qui se promènent dans cette grande ville[1] ou voyagent dans la campagne, que de voir les rues, les routes et les portes des cabanes encombrées de mendiantes que suivent trois, quatre ou six enfants tous en haillons et importunant chaque passant pour avoir l’aumône. Ces mères, au lieu d’être en état de travailler pour gagner honnêtement leur vie, sont forcées de passer tout leur temps à mendier de quoi nourrir leurs malheureux enfants, qui, lorsqu’ils grandissent, deviennent voleurs faute d’ouvrage, ou quittent leur cher pays natal pour s’enrôler au service du prétendant en Espagne, ou se vendent aux Barbades.

Lire la suite…

URL de cet article : https://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/modeste-proposition/

 

 

 

 

Pour les jeunes (d’ici) :

 

Jonathan Swift est un Irlandais, né et mort à Dublin (1667-1745), qui fut doyen de la cathédrale Saint Patrick de cette ville, dans laquelle il est d’ailleurs enterré.

Il a écrit cette proposition 116 ans avant que la Grande Famine de 1845 fasse passer la population irlandaise de 8 à 4 millions à peu près, en en affamant à mort un million sur place, puis en en faisant déplacer deux autres millions en Amérique et le reste au fond de l’Atlantique.

Ne pouvant prévoir que la maladie de la patate s’ajouterait un jour aux autres fléaux, Swift avait identifié, pour causes de l’indicible misère des pauvres de son pays, principalement :

 

  • L’occupation-domination anglaise de l’Irlande, qui avait conduit à une situation économique catastrophique ;
  • Le fait que les occupants présentaient les Irlandais comme des paresseux et les appelaient « sauvages » par opposition aux « colons » anglais ;
  • Les économistes de l’époque, ancêtres des Prix Nobel de cette année, qui avaient tendance à relancer l’économie au détriment du peuple irlandais (et de quelques autres, mais n’extrapolons pas) ;
  • Les propriétaires (terriens et autres) que les scrupules n’ont jamais menacé de dévorer .

 

Et vous savez quoi ?

213 ans plus tard, les habitants de Leningrad et de Stalingrad assiégés en étaient à détacher le papier peint de leurs murs encore debout pour en lécher la colle, tellement ils avaient copulé depuis 1917…

et voilà que 296 ans plus tard, on gaspille de la bonne viande, engraissée avec amour, en commençant par gaspiller des balles hors de prix pour mettre fin à la prolifération de petits Palestiniens qui gênent (les grands sont déjà « déplacés » ou morts), au lieu de faire preuve de bon sens et de sens de l’économie.

Où est le progrès ?

 

 

Il y a 77 ans que dure cette pantalonnade. Au milieu de huit milliards de terriens frappés d’aveuglement et de surdité, parce que nous ne sommes pas du genre à parler d’indifférence crasse.

On le sait qu’il est inutile de dire « cliquez sur ceci ». On le fait quand même, parce qu’on est perfectionnistes :

https://www.france-palestine.org/50-000-enfants-palestiniens-ont-ete-detenus-par-Israel-depuis-1967

 

https://www.france-palestine.org/Non-au-blanchiment-des-crimes-d-Israel-par-le-cinema

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

Cet homme, qu’on ne connaît pas, s’appelle François Burgat.

Il a essayé, par des mots, d’arrêter le Massacre des Innocents nouvelle mouture.

Il sera jugé en avril pour apologie du terrorisme.

 

 

 

 

Et ça, c’est un tableau de Pieter Breughel l’Ancien,

qui se trouve au château de Windsor.

 

 

 

Source : Licence 3 EVMAN, promotion 2015, Université Paris-Est-Marne-la-Vallée.

 

 

En décembre 2022, Daniel Mermet avait mis en ligne, sur Là-Bas si j’y suis, un superbe « Apprendre à regarder » Le massacre des innocents. On peut regretter que, près de trois ans plus tard, il soit toujours étroitement réservé aux abonnés. L’’esprit de boutique convient mal à ce genre de choses, dans ce genre de circonstances.

 

 

 

 

Mis en ligne le 29 mars 2025

par Les Grosses Orchades

 

Pas trop tôt !

 

 

 

 

 

 

 

« Iranian shadow fleet »

N’ayez pas peur, ils ne vont pas attaquer Ostende.

 

 

 

Pas trop tôt !

 

 

C’est l’histoire d’un livre qui a été victime d’une cabale en 1994 et qui renaît de ses cendres

 

 

 

Jean-Louis Lippert

Mamiwata

Edern Editions – 15 février 2025

1.526 pages

32 € relié

23 € broché

Ici les acteurs effacent l’auteur. Ici les créatures, niant leur créateur, accèdent à la création. Une histoire ici se dit dans le regard de ses protagonistes. Leurs voix surgissent, éclairées l’une par l’autre. Ici la scène est une planète, animée d’autant d’univers qu’elle contient d’êtres, et le cosmos de chaque lecteur gravite autour comme un satellite Panoptic. Ici l’héroïne est une chimère et l’histoire – l’Histoire ! – n’est peut-être qu’une hallucination née du chant de cette sirène. Comme la musique est vibration du silence entre deux notes, la voix de Mamiwata se fait entendre dans le vide entre les mots de tous les personnages. Car l’hypnose programmée ne peut imposer silence au chant d’une sirène sur le fleuve Congo. Elle est le négatif, la face cachée, la bouche d’ombre oubliée de Dieu. (Anatole Atlas) Jean-Louis Lippert (né en 1951) serait une figure majeure de la littérature belge de langue française s’il en faisait partie. Refusant les stratégies et les discours du microcosme littéraire, il tire de son histoire personnelle, qui l’a fait naître en Afrique une décennie avant l’indépendance du Congo et l’assassinat de Lumumba, une partie de la matière de ses récits, sur laquelle se greffe une critique radicale de la société de consommation et du monde postmoderne. Partagé entre deux continents et deux cultures, il replace la problématique belge dans une perspective critique et historique longtemps occultée. Il écrit aussi sous les hétéronymes d’Anatole Atlas et de Juan Luis de Loyola.

 

 

 

 

Quand fut mis au point l’assassinat de Patrice Lumumba, dans la résidence de ses parents fonctionnaires, l’auteur n’avait pas dix ans. Sur les genoux de sa nourrice congolaise, il a vu passer du beau monde… Baudouin 1er, Paul-Henri Spaak, des galonnés belgeois, Mobutu, qui n’était encore que caporal mais plus pour longtemps, et quelques humanistes venus des USA.

Plus tard, il a choisi son camp, appris à combattre avec les mots – dans la jeunesse estudiantine qui allait tant cafouiller, la plupart de bonne foi, en  1968 – et plus tard écrit ce livre sur et pour son pays de naissance. Un livre qui aurait dû être couronné d’un « Prix Rossel », version belge du Goncourt français.

Il aurait dû, mais cela ne convenait pas aux gens-z-en-place-et-de-pouvoir que l’on  pût parler, dans un livre, de l’Ennemi Public N°1 sans le traîner dans la boue. Le livre fut donc copieusement et très efficacement boycotté et le jury se coucha, ce qui n’est vraiment pas rare dans les jurys de n’importe où (Chhhht ! n’écoutez pas, les Nobel…). Mais l’hostilité ne s’arrêta pas là : lorsque celle qu’il appelle « la baronne Amélie » fut reçue à l’Académie Royale de Langue et de Littéraure françaises de Belgique (au fauteuil de Georges Simenon !!!!!!!!!), la dame ne dédaigna pas de consacrer une partie de son discours de réception à traîner à son tour dans la boue un auteur bâillonné depuis des années, par conséquent ignoré du grand public, car à quoi bon lésiner.

Quand un auteur chilien consacra un livre à une de ses « frasques » révolutionnaires de jeunesse et qu’il fut invité par deux universités à Santiago du Chili, l’auteur maudit ne put trouver la somme nécessaire à un billet d’avion, qui lui fut fastueusement refusé par le ministère dont les écrivains relèvent. Pas vraiment refusé d’ailleurs, soyons justes, puisque sa lettre de demande n’obtint aucune réponse, et il fallut quelques Belges résidant en France et s’occupant de choses culturelles pour se cotiser et lui permettre un inoubliable contact avec le Chili, dont il revint porteur « en souvenir » d’un drapeau offert par les Indiens Mapuche, en lutte contre tout le monde sait ou devrait savoir quoi.

Oui, bon, nul n’est prophète en son pays. Au temps de Baudelaire, les décrétés mal-pensants se voyaient traîner en justice. De nos jours, ceux que le père Guillemin appelait « les gens de biens » s’y prennent autrement, par le biais des petites manœuvres un peu mafieuses chères à Capitotal.

Et voilà qu’au pire moment de notre histoire, quelqu’un s’avise de republier le livre si bien tué jadis qu’il n’en reste pas même, sur Internet, une photo de couverture !

Qui que soit cet Edern Editions, saluons son courage et souhaitons-lui bon vent, avec ce livre-là et beaucoup d’autres.

Quant à vous, lecteurs, vous pouvez retrouver l’auteur et quelques autres qui ne se résignent pas à vivre sous la loi de Capitotal et de sa Tour Panoptic – moins que jamais depuis qu’elle se dit en IA – dans un endroit où il est impossible de mourir idiot :

 

 

spherisme.be

 

 

 

 

 

Mais en plus,

 

En septembre dernier,

Ayo, grande artiste, a enregistré un chant en l’honneur de cette déesse nigériane de la mer

 

 

 Mami Wata

 

 

 

 

 

 

 

Restons en Afrique :

 

Puisque aussi bien Sputnik Afrique vient de publier, dans « Identités africaines »,  deux interviews… de deux membres de la famille De’Gaulle, dont le premier s’exprime, justement, sur ce qui nous pend au nez.

 

 

France, Europe, conflit ukrainien : un regard sans filtre de Pierre de Gaulle

 

 

Maxime Mardoukhaev – Identités africaines – 19.3.2025

 

 

 

https://videon.img.ria.ru/Out/MP3/20250311/2025_11_03_IdentitesxAfricainesPierrexdexGau_2vu4hdet.erp.mp3

 

 

Dans cet épisode d’Identités Africaines, Pierre de Gaulle, économiste et petit-fils de Charles de Gaulle, critique l’illusion d’une armée européenne indépendante, la perte d’autonomie politique de la France et les sanctions contre la Russie.

Tout comme son grand-père, Pierre de Gaulle assure ne pas croire en l’armée européenne. Au micro d’Identités Africaines, il a rejeté la proposition de Macron de déployer des forces de l’UE sur le territoire ukrainien.

 

L’idée de faire une armée européenne qui serait indépendante, qui jouerait un rôle indépendant en Ukraine est une supercherie. C’est faux. C’est encore une utilisation et une manipulation des Européens et des pays membres, quels qu’ils soient. C’est une manipulation des Français de faire croire que l’armée européenne, qui est une utopie, est autonome avec des décisions autonomes pour défendre leurs propres intérêts. C’est faux, c’est un mensonge », affirme-t-il.

 

Revenant sur la politique extérieure de la France, il estime que le pays a perdu son rôle d’arbitre dans les crises mondiales et dénonce une absence de vision cohérente.

 

La France a perdu sa capacité d’être un arbitre dans le règlement des crises internationales. Elle n’a plus sa propre politique », déplore M.de Gaulle.

 

Concernant les sanctions contre la Russie, il critique leur impact sur l’Europe et pointe du doigt un manque de pragmatisme des dirigeants européens face aux décisions américaines.

 

L’Europe est perdante. Elle a voté 20.000 sanctions. Les Américains ont dit tout de suite… Monsieur Rubio a dit qu’il fallait considérer, envisager une levée des sanctions vis-à-vis de la Russie et l’Europe. Madame von der Leyen en tête, Monsieur Macron aussi, Monsieur Starmer disent: ‘Il faut maintenir ces sanctions et en plus il faut imposer une présence militaire en Ukraine’. Eh bien, l’Europe va continuer à se tirer une balle dans le pied, à se punir, à souffrir totalement inutilement puisque les Américains vont lever les sanctions », avance-t-il.

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250311/france-europe-conflit-ukrainien-un-regard-sans-filtre-de-pierre-de-gaulle-1071038862.html

 

 

 

Laurent de Gaulle : « On ne peut pas se construire sans histoire »

 

Maxime Mardoukhaev – Identités africaines – 19.3.2025

 

 

https://videon.img.ria.ru/Out/MP3/20250228/2025_02_28_IdentitesxAfricainesLaurentxdexGa_pt1g0xnn.god.mp3

 

 

Dans cet épisode d’Identités Africaines, Laurent de Gaulle, écrivain et photographe, explore la mémoire, l’histoire et la quête de vérité. Petit-neveu du général, il partage son parcours personnel et sa vision du monde contemporain, marquée par une réflexion sur l’héritage, la transmission et le rôle de la France aujourd’hui

Laurent de Gaulle livre son analyse sur l’état actuel de la France, soulignant les transformations économiques et sociales qui ont affecté le pays ces dernières décennies.

 

L’organisme France en tant que corps, est malade de beaucoup de choses et donc il faut soigner et y compris pas simplement les symptômes, mais aussi les causes du problème. Et moi je crois que le général de Gaulle, il se trouverait bien seul s’il était là aujourd’hui parmi les dirigeants du monde. Parce qu’il y a peu de gens qui ont cette conscience, peu de gens qui ont cette volonté de ne pas être dans le mensonge, d’être dans un rapport direct avec loyauté, avec conviction pour défendre des choses qui méritent de l’être », avance l’écrivain.

 

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250206/laurent-de-gaulle-on-ne-peut-pas-se-construire-sans-histoire-1070859017.html

 

 

 

 

Mais hélas, c’est bien en Europe qu’on est…

 

 

 

 Quand l’Europe nazie d’aujourd’hui veut dépasser l’Allemagne des années 1930.

 

 

Nous avons bien dit « au pire moment de notre histoire » et ce n’est pas exagéré. Ceux qui en doutent ont beaucoup de trains de retard. Sans nous attarder davantage à tenter de mettre un peu de plomb dans des cervelles trop légères ou trop molles, nous nous contenterons de vous traduire ce que racontait, ce 19 mars, avant-veille du printemps, Pepe Escobar sur le site de Ron Unz.

 

 

Une dure pluie va tomber

d’Occident en Orient

 

Pepe Escobar– The Unz Review –  19.3.2025 

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

Dans cette incandescente conjoncture, ce qui compte n’est pas public

 

 

Commençons par cet appel téléphonique. Le compte rendu du Kremlin est assez sobre, mais il laisse apparaître quelques pépites. Il n’y a pas encore d’accord global entre Moscou et Washington. Loin de là : nous n’en sommes qu’à la phase initiale de discussions et d’échanges sur plusieurs dossiers interconnectés.

Le président Poutine n’a absolument rien révélé. La pause convenue sur les attaques contre les infrastructures énergétiques – et non les infrastructures et les infrastructures énergétiques (et en italiques) – doit se comprendre comme une imposition par Poutine d’un arrêt des dangereuses frappes ukrainiennes sur la centrale nucléaire de Zaporizhzhia.

Cela peut être perdu au milieu de toute l’hystérie occidentale, mais il y a deux conditions absolues exprimées par Moscou pour que tout ce qui concerne ce casse-tête commence à se conformer à la réalité objective – et non à s’embrouiller comme un désastre narratif dans un reality show :

Lire la suite…

 

URL de cet article : https://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/une-dure-pluie-va-tomber/

Source : https://www.unz.com/pescobar/a-hard-rains-a-gonna-fall-from-the-west-down-to-the-east/

 

 

 

 

Comme le dit Pepe, c’était en 1962, Dylan avait 21 ans, et l’agent orange pleuvait depuis plusieurs mois sur les forêts du Vietnam. Une pluie qui allait durer dix ans.

 

Bob Dylan : A Hard Rain’s A Gonna Fall

 

 

 

Les paroles sont ici

https://www.bobdylan.com/songs/hard-rains-gonna-fall/

 

 

 

 

 

WAR IS HELL

 

 

 

 

Il faisait partie d’un bataillon de la 173e brigade aéroportée US. C’était à Phouc Vinh, Vietnam du Sud, le 18 juin 1965.

Il s’appelait Harry Wayne Chaffin et il avait 19 ans.

Il a pu rentrer vivant chez lui,… pour y mourir, à 39 ans, d’une maladie contractée par exposition à l’agent orange.

Mais Bayer, Monsanto, Dow Chemicals et quelques autres ont gagné assez d’argent pour décider qui a le droit d’être président des États-Unis.

 

 

 

 

Mis en ligne le 23 mars 2025

par Les Grosses Orchades

 

Lavrov fait de l’éducation populaire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lavrov fait de l’éducation populaire

 

Librairie Tropiques – 15.3.2025

 

 

Cette fois, ils ne l’ont pas sous-titré : ils l’ont traduit.

 

Il était temps que quelqu’un le fasse. La Librairie Tropiques, qui monte de plus en plus au créneau, et tant mieux, s’en est chargée.

L’histoire, c’est que deux de nos blogueurs préférés, à savoir Larry Johnson et le juge Napolitano, ont été reçus en privé par Sergueï Lavrov, plus tard rejoint par Maria Zakharova, et qu’il leur a accordé une intervew d’une heure et demie, au cours de laquelle il a répondu – en anglais – à leurs questions (et à celles d’un troisième larron que les Russes doivent connaître mais pas nous.).

À notre avis, qui n’est peut-être pas celui de la Librairie Tropiques, le but de tout ceci était double :

  • Premièrement, faire savoir au peuple américain, sans le filtre d’une presse occidentale archi-vendue et l’ostracisme archi-verrouillé d’une administration US prétendue démocrate, qui sont les Russes, ce qu’ils veulent, ce qu’ils font, comment et pourquoi.
  • Deuxièmement, lui faire savoir, par le biais d’hommes crédibles jouissant d’une forte audience chez eux, quelles sont les relations que la Russie (et avec elle le reste du monde normal) veut avoir avec le peuple US, non avec ses oligarques, ses fonctionnaires, ses factions et mafias diverses. Au peuple américain de décider si cela l’intéresse.

Un aussi long monologue (on peut dire que c’en est un) aurait pris beaucoup de temps à sous-titrer dans une vidéo. La Librairie Tropiques l’a donc traduit et mis par écrit, à la suite de la vidéo en version originale. Et l’a inséré dans un post, qui revient aussi, forcément, sur ce qui se passe en Syrie, en plus de la Palestine et du Liban, horreurs qui n’ont fait que prendre la suite de ce qui s’est passé en Yougoslavie de 1991 à 2001 – il y a donc quelques années mais dont nous avons le plus cuisant souvenir – et c’est vrai qu’un seul de ces mortels problèmes d’abattoirs de plus en plus engorgés ne peut être réglé isolément. Tant qu’ils ne le seront pas tous, rien ne le sera.

C’est peu dire que vous en avez pour des heures d’écoute ou de lecture. Bon courage ! Nous, on estime que vous êtes chanceux.

 

 

 

 

Lavrov fait de l’éducation populaire

15 Mars 2025

 

 

Lavrov fait de l’éducation populaire

 

à l’usage des blogueurs américains

 

 

Verbatim de l’entretien accordé à Moscou le 12 mars 2025
par le Ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie à trois blogueurs ) américains Mario Nawfal, Larry C. Johnson et Andrew Napolitano, soucieux d’en savoir plus sur l’histoire et les motifs réels des vicissitudes auxquels sont confrontés les pays occidentaux sous impérium étasunien.

 

 

 

Lire et voir la suite…

Source : https://www.librairie-tropiques.fr/2025/03/lavrov-fait-de-l-education-populaire.html

 

 

 

 

Pour que vous sachiez qui est qui :

 

Protagonistes de l’historique rencontre de Moscou

 

Maria Vladimirovna Zakharova

née le 24 décembre 1975 à Moscou, est la directrice de l’information et de la presse du ministère russe des Affaires étrangères et, de fait, la porte-parole de ce ministère depuis le 10 août 2015. Depuis fin 2017, elle a le rang d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie.

 

Sergueï Viktorovitch Lavrov

né le 21 mars 1950 à Moscou – Bon Anniversaire, Monsieur le Ministre ! – est un diplomate et homme politique russe, membre du parti Russie Unie et ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie depuis 2004.

 

Andrew Peter Napolitano

est un homme de loi américain né le 6 juin 1950 à Newark, New Jersey – il dit à Sergueï Lavrov qu’ils ont le même âge – qui a siégé comme juge à la Cour Suprême du New Jersey de 1987 à 1995 et qui a enseigné le droit dans trois universités US. On le dit libertarien et il s’est surtout fait connaître d’un public plus large par ses critiques des administrations de George W. Bush, de Barack Obama, de Donald Trump et de Joseph Biden. Sur le plan de l’analyse politique, après avoir collaboré un certain temps  avec FOX News, Il a créé et anime sur Internet, son propre site appelé Judging Freedom, où il interviewe toutes les personnalités dignes de considération, susceptibles de lui apprendre quelque chose.

 

Larry C Johnson

né en 1952, est un vétéran des services secrets US (il a été analyste pour la CIA) et du Bureau de lutte contre le terrorisme du Département d’État. Il est le fondateur et directeur associé de BERG Associates, qui a été créé en 1998, mais également co-fondateur de Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS). Larry a dispensé une formation à la communauté des opérations spéciales de l’armée américaine pendant 24 ans. « Il a été vilipendé par la droite, par la gauche et par le centre, ce qui signifie qu’il doit faire quelque chose de bien », dit de lui El Correo. De l’avis des Grosses Orchades, Larry Johnson est surtout remarquable en ce qu’il pense par lui-même et qu’il est possible à quiconque de suivre et d’apprécier ou non ses raisonnements et ses opinions, en pleine connaissance de cause. Il n’est le porte-parole de rien ni de personne. Il anime le site Sonar 21

 

Mario Nawfal,

(inconnu à notre bataillon),

est un entrepreneur et homme d’affaires – millionnaire en dollars – né en 1994 au Liban, de nationalité australienne par émigration et détenteur d’un passeport des Émirats Arabes Unis, qui réside à Dubai. Il est aussi animateur de podcasts et commentateur politique, avec, dit-on, pas moins de 2 millions d’abonnés sur X  Le journal Le Point le qualifie de « nouvelle star médiatique des conservateurs ».

 

 

 

Mis en ligne le 16 mars 2025

par Les Grosses Orchades