La Terreur covidienne

 

 

 

 

Frontispice du Léviathan de Thomas Hobbes

 

 

Médecins et policiers, seuls citoyens du régime covidique : une analyse de Giorgio Agamben

 

Rosa LlorensL.G.S. – 2.11.2021

 

 

 

 

Le philosophe Giorgio Agamben s’est imposé, depuis le premier confinement, comme un des seuls vrais intellectuels européens, au sens qu’avait ce terme depuis la deuxième moitié du XIXe siècle jusqu’aux années 70 du XXe siècle.

 

Un philosophe ne naît pas et ne se forme pas dans une tour d’ivoire, mais au milieu de ses concitoyens et en interaction avec eux ; son savoir, sa réflexion, ne se développent pas dans les nuées, mais dans le monde des hommes, et doivent servir à en rendre compte et mieux le comprendre. Inversement, un philosophe n’est pas un mage, un prophète, qui définit le bien et dit le droit à partir de choix subjectifs.

Si Agamben a pris partie dans l’affaire du Covid, c’est bien en tant que philosophe, à partir des concepts qu’il a élaborés au cours de ses analyses, et en premier lieu du concept de « vie nue ».

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C’était au temps du grand confinement

 

Patrick BoucheronEsprit – Mai 2020

 

 

Médecin durant une épidémie de peste à Rome au XVIIe siècle (gravure de Paul Fürst, 1656) : tunique recouvrant tout le corps, gants, bésicles de protection portées sur un masque en forme de bec, chapeau et baguette.

 

 

Le sombre temps du confinement convoque le souvenir des solitudes craintives au frontispice du Léviathan de Hobbes, ainsi qu’une ancienne légende japonaise de catastrophe.

 

Le temps viendra où celui que nous vivons trouvera à se dire. Et lorsqu’il inventera le moyen de se voir en face, ce temps enfin venu se mirera, comme toujours, dans le nom d’une époque passée. Mais j’ai tort de parler ainsi. «  Le temps sen va, le temps sen va Madame/Las! le temps non, mais nous nous en allons1». Et puisque le temps, de lui-même, ne fait rien à l’affaire, quelqu’un, ou quelque chose, le désignera d’un nom qui, de manière insidieuse ou éclatante, finira par s’imposer. Le 14 avril 2020, sur le blog du Fonds monétaire international, un chrononyme a fait son apparition, fantomatique comme toutes les apparitions. On le doit à Gita Gopinath, professeur indo-américaine à Harvard, signant un post intitulé : The Great Lockdown : Worst Economic Downturn Since the Great Depression. C’est une femme, directrice du département de la recherche au FMI, première chef économiste de l’histoire de cette institution : le fait n’est sans doute pas sans importance si l’on veut bien admettre que l’épidémie a cueilli un monde que la révolution des femmes était en train de reformuler en profondeur. Avec cette force de frappe dont dispose la langue anglaise dès lors qu’il s’agit de construire des évidences, c’est-à-dire de faire croire que quelque chose existait déjà au moment même où on l’impose (il faudrait la subtilité d’un Louis Marin pour décrire la manière qu’à aujourd’hui cette langue dominante de l’expertise économique mondiale pour marteler les esprits comme l’on frappe monnaie), «  Great Lockdown 2020  » prend déjà rang dans les graphiques, à la parade avec «  Global Financial Crisis 2009  » et «  Great Depression 1929  » – puisque c’est évidemment à ce précédent qu’il fait de l’œil.

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Illustration in situ :

 

 

 

 

De Dolly-le-Dibbuk à Bébert-le-Corona-à-nanoparticule ?…

 

Celui qui a fait « DOLLY », le mouton, a-t-il aussi fait « COVID », la maladie ?

 

Par Bogdan Herzog − Juin 2021 – Publié initialement par HervéK pour Le Saker Francophone, 6 juillet 2021 ► https://lesakerfrancophone.fr/qui-a-fait-dolly-le-mouton-a-aussi-fait-covid-la-maladie

 

https://jbl1960blog.wordpress.com/2021/11/05/de-dolly-le-dibbuk-a-bebert-le-corona-a-nanoparticule/

 

 

 

 

 

Ô surprise, même en Russie :

 

Billet du jour : Le discours covidien, la figure de l’ennemi non-vacciné et le QR Code

 

Karine Berchet-Golovko – Russie Politics 3.11.2021

 

 

 

 

Le discours politico-médiatique dans une société est à la fois porteur et créateur de la norme sociale, existante ou voulue. Le discours covidien est focalisé sur la figure du non-vacciné comme ennemi, mais pas comme ennemi à abattre, plutôt comme figure devant porter la responsabilité et de l’échec sanitaire des expérimentations développées, et des dérives liberticides des nouvelles pratiques politiques. Il est alors soumis à un statut à part, qui défi toute logique juridique. Cela dépasse les frontières nationales pour suivre les contours politico-géographiques du monde global. Le pécher originel, dans ce monde, du non vacciné n’est même pas qu’il ne soit pas vacciné, mais qu’en raison de son absence de vaccination, il n’a pas de QR Code … et que de ce fait, il n’entre pas dans le marasme technologiste de surveillance et de production de données. 

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/billet-du-jour-le-discours-covidien-la.html

 

 

 

 

Russie : responsabilité pénale pour les médecins et activistes opposés à la vaccination obligatoire anti-covid ?

 

Karine Berchet-Golovko – Russie Politics 4.11.2021

 

 

 

 

En matière de religion, le doute n’est pas possible. Le doute implique la réflexion, or celle-ci n’a pas sa place dans le monde de la croyance. La Russie prend donc les devants et lance officiellement la chasse aux médecins qui ne soutiennent pas la vaccination obligatoire contre le covid (qui n’est toujours pas prévue par la législation fédérale), les menaçants d’une responsabilité pénale pouvant entraîner une privation de liberté. Sans oublier les personnes manifestant activement leur désaveu du dieu de l’instant. Prosternez-vous ! Ou … 

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/russie-responsabilite-penale-pour-les.html

 

 

 

 

Ces médecins qui démissionnent et la déstabilisation du système de santé en Russie

 

Karine Berchet-Golovko – Russie Politics 5.11.2021

 

 

 

 

 

Alors que la pression politico-sociale pour la vaccination contre le coronavirus atteint son paroxysme en Russie, en signe de protestation, toute une brigade d’urgence a démissionné, refusant de se faire vacciner. Et ils sont menacés de voir leur responsabilité pénale (rien de moins) mise en cause … Le signe est assez fort pour la Une des médias russes et soulever la question de la désorganisation systémique du système de santé, accélérée avec le covid, et la dégradation de la profession de médecin. Comme il ne s’agit pas d’une crise, mais d’un problème systémique, les mesures ponctuelles ne règlent évidemment pas la question.

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/ces-medecins-qui-demissionnent-et-la.html

 

 

 

 

Russie : après le lockdown, les QR Codes ou comment faire imploser le pays

 

Karine Bechet-Golovko – Russie Politics – 8.11.2021

 

 

 

 

Lorsque l’on ne peut pas détruire un pays de l’extérieur, et la Russie est suffisamment protégée pour cela, il reste à le faire de l’intérieur, à provoquer son implosion. Par faiblesse, fanatisme, intéressement ou par erreur, il se trouve toujours des élites nationales pour « faire le job ». Après le lockdown officiel, la Russie est attaquée par ses régions, qui reconduit encore d’une semaine, qui impose des QR Codes jusque dans les transports urbains, quasiment toutes conditionnant l’accès aux restaurants, bars, magasins, installations sportives et établissement public à un sésame, dont la durée de vie a été réduite à 6 mois. Presque toutes … sauf la capitale. Des voix se lèvent pour tirer la sonnette d’alarme, mais il semblerait que le fil ait été coupé.

Lors du confinement général du printemps 2020 en Russie, l’on pouvait encore penser que les élites dirigeantes y croyaient vraiment, croyaient que l’économie pourrait enfin réaliser ce miracle numérique qui se fait tant attendre, que les parents seraient heureux de rester travailler chez eux sans avoir à se déplacer, que les enfants (qui par définition n’aiment pas l’école) seraient soulagés de ce poids. Mais la réalité s’est imposée à la fantasmagorie, l’économie a plongé, les troubles psychiques ont augmenté et les enfants – pour un temps – se sont mis à adorer l’école (c’est bien le seul effet positif). 

Ce lockdown ne convainc plus que les convaincus, le vice premier ministre pour l’économie annonçait en avance que cela aura un coût pour l’économie, qui a déjà du mal à se remettre de ces deux années d’expérimentation sociale; les Russes ne manifestent pas, mais ils ignorent cette légalité douteuse à laquelle ils dénient toute légitimité. La grande guerre sanitaire a fait place à une piètre bataille globaliste. Et la première victime de ce champ de bataille est l’État, qui avait eu tant de mal à se reconstituer après les années 90, qui est à nouveau discrédité, à nouveau en dysfonctionnement.

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/russie-apres-le-lockdown-les-qr-codes.html

 

 

 

 

Parenthèse :

On ne vous parle pas de l’ausweiss sanitaire qui, en Belgique, s’appelle (en anglais of course, souveraineté oblige) Covid Safe Ticket, parce qu’on n’a pas vraiment envie de rire et pas non plus le talent de Coluche pour parler des Belges..

 

 

 

 

 

Ça nous apprendra à brutaliser bêtement la nature !

Maintenant, c’est nous qu’on… juste retour des choses selon James Parker, qui voit dans le célèbre poème de Coleridge une grande analogie avec ce qui nous arrive.  

En anglais, avec nos excuses habituelles aux autres.

 

 

The 1798 Poem That Was Made for 2020

 

“The Rime of the Ancient Mariner” is taking on new meaning during the coronavirus pandemic.

 

James Parker  The Atlantic – May 2020

 

 

 

Samuel Taylor Coleridge’s “The Rime of the Ancient Mariner,” first published in 1798, is the dream-poem of right now. (The Atlantic) May 13, 2020

 

 

Wrapping up one of his recent panoramically authoritative surveys of our altered landscape, inner and outer, my Atlantic colleague Ed Yong put it like this: “In the classic hero’s journey—the archetypal plot structure of myths and movies—the protagonist reluctantly departs from normal life, enters the unknown, endures successive trials, and eventually returns home, having been transformed. If such a character exists in the coronavirus story, it is not an individual, but the entire modern world.”

To be at sea, mid-story; storm-threatened or becalmed; to be adrift, disoriented, at the mercy of incomprehensibly avenging forces that somehow (and you know this, you know this) contain the secret of who you are … We’ve got a poem for that. Samuel Taylor Coleridge’s “The Rime of the Ancient Mariner,” first published in 1798, is—you might say—the archetypal archetypal journey. You might say further: It’s the dream-poem of right now.

Six hundred and twenty-six lines of customized Coleridgean English, a strange and wildly flexible hybrid idiom in which the long strains of the King James Bible are looped around a kind of loping, hacked-off folk doggerel, the “Rime” is … What is it? The last epic. The first case history. A Jungian voyage into modernity. A trip. On his way to a wedding, at the very door of the banquet hall, a man is buttonholed by a haggard and compelling stranger. He is detained; he is enthralled. No choice: He must hear this person’s story. And the ancient mariner (for it is he) has no choice either: He is condemned to tell his tale, to recite his rhyme, over and over again. He went to sea, he saw a beautiful bird, and then—like Meursault in Albert Camus’s The Stranger, because he could, because it was there—“With my cross-bow / I shot the ALBATROSS.” Cue the nightmare.

 

 

 Watch: A Coronavirus prayer

 

 

 

When the “Ancient Mariner” Big Read began streaming on April 18, inaugurated with some superb croaking from Jeremy Irons, I whooped in celebration. An online read-through of the “Rime,” in 40 free daily installments, with accompanying visuals, by 40 different readers and artists? Well done, humans. What a species! Still vibrating from an astonishing remote show by the Norwegian punk-metallers Kvelertak, live-streamed on April 10 from some Scandinavian hangar, I took this “Rime” at first for a similarly inspired and rapidly pulled-together lockdown response. Not at all. Lovingly curated, exquisitely produced, the “Ancient Mariner” Big Read was three years in the making. It just happens to have dropped with eerie appropriateness right into our thirsty and atomized pandemical condition: people, people everywhere, nor anyone you can hug.

“The ‘Rime’ is one of those texts,” the writer and the lecturer Philip Hoare told me over Zoom. “People know parts of it without necessarily knowing where those parts come from.” Hoare, with Angela Cockayne and Sarah Chapman, is a co-curator of the Big Read, which was commissioned by the University of Plymouth. “It has a phantasmagorical quality which lends itself really well, I think, to a digital interpretation,” he said. “It’s like beachcombing; you’re finding these verses spoken by these crazy people looming out of the digital mist … It’s a ship of fools, really, and they’re all bound together on this journey.”

The journey runs right through the eye of desolation. The murdered albatross is a bottomless symbol: It stands for everything you greedily grabbed at, everything you squandered or spurned, every ornament of the ego, every plastic water bottle, every corrosive pleasure, every idle meanness, every dead and bleached-out lump of coral on the Great Barrier Reef. Killing it, the mariner severs himself from the source of his being; the bird’s body is hung around his neck like a millstone. Coleridge’s poem unleashed a prophecy. In his own life, it would play out as a harrowing voyage into addiction. From two centuries away, it appears to have presaged an ecological catastrophe. To us, today, it speaks of the sea-moment, the liminal state: the treacherous zone between a ruined world and a new one.

 

Read : Homeless in a city buffeted by plague

 

Hoare’s readers are indeed a fascinating crew, a floating demimonde of voices: Willem Dafoe, Marianne Faithfull, the poet Simon Armitage, the novelist Hilary Mantel, the polar guide Peter Wilson (who stands in the whiteness of the Antarctic, reading his verses to an audience of fidgety seals), Beth Gibbons of Portishead (who sings her verses like a folk song). And Iggy Pop, in Miami, growling magisterially into his iPhone: “About, about, in reel and rout / The death-fires danced at night.” “There is a man in control of his art,” Hoare marveled. “What a performance. I thought he’d recorded it in a studio.”

Why Iggy? Why any of these people? “It’s not about celebrity,” Hoare said. “Our three guiding spirits were Iggy Pop, Marianne Faithfull, and Tilda Swinton. These are very celebrated figures, but they’re outsiders; they’re at the edges of things. And they’re all survivors. Marianne Faithfull … I mean, that’s a mythic story all by itself.” Faithfull, 73, after a life of exemplary rock-and-roll vicissitude, recently endured a hospitalizing dose of the coronavirus. “She’s ferocious!” Hoare continued. “I went over to her flat in London, in Ladbroke Grove—it was raining, I was wearing a yellow mac, and she said, ‘Why have you come dressed as a fisherman?’ And then she said, ‘This is a terrible idea. This is my favorite poem, and you’re splitting it up. This is a terrible idea!’”

Tilda Swinton, recorded in the Scottish Highlands, gives a typically modulated performance for Reading No. 8. The verse is at an extremity—“The very deep did rot: O Christ! / That ever this should be!”—but Swinton underplays it, that O Christ! in particular coming out as a genteel groan, like someone in a country house registering the arrival of a drunken aunt. Coiled, languid, pure Swinton. (“Such a professional,” Hoare told me. “She did five takes, each at a different speed.”)

Listening to the poem, taking the trip, we shift and flicker. Now we are the wedding guest, rearing back in horror from the possessed storyteller; now we are the storyteller himself, the mariner, in the spine of his vision. He will return, of course, “a sadder and a wiser man.” “Is there an antecedent,” Hoare wondered, “a literary antecedent, to the ‘Rime’ as an exploration of loneliness, in the modern existential sense? I don’t think so.”

As I write, on day 21 of this voyage, Neil Tennant (of Pet Shop Boys) has just dropped a few chilly-voiced verses. “Beneath the lightning and the Moon / The dead men gave a groan.” The albatross fell from the mariner’s neck three days ago, after he redeemed himself, or healed himself, with a spontaneous upsurge of creaturely adoration, and we are now in the second—and to me, deeply bewildering—part of the poem. The ship drives on, crewed by dead men. The sea is alive. Dreams and terrors await, and then a turn for home. How can you not listen?

 

Source : https://www.theatlantic.com/culture/archive/2020/05/rime-ancient-mariner-was-made-2020/611602/

 

 

 

L’université de Plymouth avait entrepris, avant les événements « sanitaires » que nous savons, un “Big Read” sur le poème de Coleridge, autrement dit une lecture polyphonique audio-visuelle des 150 vers du poème par 40 artistes qui, tous, y ont gracieusement collaboré. Les cinq premiers quatrains sont ici lus par Jeremy Irons :

 

 

 

 

Le poème de Samuel Taylor Coleridge en français :

 

 

La chanson du vieux marin

 

 

Gustave Doré – L’albatros de la chanson

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Complainte_du_vieux_marin

 

 

https://claudialucia-malibrairie.blogspot.com/2012/09/samuel-taylor-coleridge-la-complainte.html

 

 

Samuel Taylor Coleridge

La chanson du vieux marin / The Rime Of The Ancient Mariner – Édition bilingue

Traduction : Auguste Barbier

Illustrations ;  Gustave Doré

Odéon Livres – 2018

220 pages

Broché : 27,28 €

Kindle : 0.99 €

 

 

 

Par pure coincidence…

 

Reçu de Michel Cattier, qui a jadis écrit des choses rares sur Wilhelm Reich et qui est aujourd’hui en prison. Aussi.

 

 

If

Si tu peux mettre un oiseau en cage,

Si tu oses maltraiter un chien,

Quand tu auras rasé les forêts,

Et massacré les animaux sauvages,

Quand la terre sera devenue un désert radioactif,

Tu seras un homme, mon fils.

 

 

Car le monde n’a pas changé. À moins qu’il ait empiré.

 

 

Michel Cattier

La vie et l’œuvre du Dr Wilhelm Reich

(Texte original de l’édition Marabout)

La Cité – 1969

 

[« La Cité » serait Vladimir Dimitrijevic, à qui l’auteur a vendu son texte dans un bistro de Lausanne et ne l’a plus jamais revu ensuite.]

 

 

Michel Cattier

Ce que Reich a vraiment dit

Marabout 1969

Collection « Marabout-Université ».

 

Une intéressante analyse : https://www.babelio.com/livres/Cattier-Ce-que-Reich-a-vraiment-dit/510935 

 

On peut trouver cette étude traduite en diverses langues (Dimitrij a dû se faire des couilles en or à la vendre), ou de l’inconvénient qu’il y a, pour les auteurs, à traiter le capitalisme par le mépris.

 

 

 

 

« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison. »

Coluche

 

Le Dr Yeadon parle de troisième guerre mondiale,

mais nous savons bien, nous, que c’est la première qui continue après plus de cent ans, même si elle a, en cours de route, changé de forme pour devenir, de boucherie tous-azimuts d’une génération de jeunes crânebourrés, premier génocide civil interplanétaire non-conventionnel de l’histoire des hommes.

(Nous boycottons l’écriture inclusive.)

L.G.O.

 

 

Lettre d’un philosophe autodidacte à son maire

 

(Mehdi Belhaj Kacem à Yves Gary)

 

Turenne, le 3 novembre 2021

 

Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

 

Un ami m’a envoyé hier soir votre lettre (voir ci-dessous) intitulée « le mot du maire ». Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l’apprendre : vous êtes d’ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

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Pendant qu’on y est :

 

Liste (non-exhaustive) des scientifiques censurés

 

scientifiques censurés sur 2 feuilles

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 10 novembre 2021

 

 

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