ON EN EST RÉDUITS À PILLER LE GRAND SOIR
PRESQUE AU JOUR LE JOUR…
Vous savez pourquoi ? Parce que les gens se fatiguent vite… qu’un clou chasse l’autre… et qu’il y en a même – y compris à l’extrême gauche, au sens que ces mots ont pour nous – qui chipotent aux martyrs leur bout de palme sous prétexte qu’ils n’auraient pas suffisamment attaqué ceux qu’ils auraient dû. Il n’était évidemment interdit à personne de faire une partie du travail, mais vous savez comment ça va. La critique est aisée, l’art difficile, etc.
Bref…
Nous souhaitions traduire quelques analyses qui nous paraissaient importantes mais on n’a pas quatre bras. Heureusement, on a trouvé les principales sur Le Grand Soir (voir plus bas). Sauf une, que voici en anglais, pour cause de pénurie de traducteurs. À la guerre comme à la guerre !
Julian Assange exposed the crimes of powerful actors, including Israel
Alison Weir – I.C.H. – 22.4.2019
April 22, 2019 « Information Clearing House » – Wikileaks publisher Julian Assange has finally been imprisoned, an objective long sought by powerful parties he helped to expose over the past dozen years.
Assange’s “crime” was revealing deep, embarrassing, sometimes deadly, malfeasance by numerous actors, including the U.S. government, the media, the Democratic Party-Clinton machine, and Israel.
Wikileaks revealed the U.S. government’s cover up of torture, cruelty, the killing of civilians, spying on its own citizens and others. It exposed Democratic Party cheating and manipulation, the fraudulence of “Russiagate.” It unmasked Israeli plans to keep Gaza on the brink of collapse, to use violence against Palestinian nonviolence, to make war upon civilians. All of this will be detailed below.
Without Wikileaks’ exposés, many of these actions would quite likely have remained hidden from the general public, as the perpetrators hoped.
Source : http://www.informationclearinghouse.info/51474.htm
Alison Weir is executive director of If Americans Knew, president of the Council for the National Interest, and author of Against Our Better Judgment: The Hidden History of How the U.S. Was Used to Create Israel. |
Pourquoi cet article est-il important à notre avis ? Parce qu’il remet à leur place les conjectures d’un certain nombre de gens, qui font la moue devant le martyre d’Assange au motif que Wikileaks ne s’en serait jamais vraiment pris à Israël, d’où il s’ensuivrait que tout ça n’est pas clair et qu’ils (Assange et Israël) doivent avoir partie liée.
Qui dit ce genre de choses ? Essentiellement le senior editor de Veterans Today : Gordon Duff. [ Voir notamment : The strange case of Julian Assange et Mossad Agent Assange Finally Kicked out of Ecuadorean Embassy (updated).]
Mais attendez… Parce qu’il y en a d’autres qui disent : Gordon Duff is a Jewish Disinformation agent.
Alors quoi ? Qui est Gordon Duff ?
À vue de nez, un brave citoyen US qui écrit pour et au nom des anciens combattants de ce pays. Dont beaucoup – un nombre de plus en plus grand – remettent en cause les vérités officielles ou alibis en tous genres qui ont fait d’eux, souvent, des éclopés abandonnés par leurs oublieux compatriotes.
Mais qu’est-ce, en fait, qu’un veteran, hein ? Aux États-Unis, c’est quelqu’un qui s’est un jour volontairement engagé pour aller casser du Viet ou du Coréen (ou d’autres) au service des appétits de la caste dominante de son pays. Donc quelqu’un qui, au moins une fois dans sa vie, a commis une très grosse erreur de jugement.
Pourquoi l’ont-ils fait ? Parce qu’ils n’avaient pas de principes en matière de morale publique.
Or… les gens qui n’ont pas de principes ne sont pas vraiment aptes à juger ceux qui en ont. Il leur manque des clés.
Ah, si Robespierre était encore là… comme il aurait vite fait de te vous leur remettre la cervelle entre les deux oreilles et le cœur à sa place… Verbo solo ! Mais il n’est plus là. Et on est obligés de s’y coller tout seuls avec les moyens du bord, sans posséder, hélas, ses extraordinaires dons de persuasion.
Peut-être qu’un jour Viktor Dedaj ou Maxime Vivas trouveront le temps et la patience de river leur clou à ces sornettes. Peut-être aussi trouveront-ils que c’est du temps perdu…
Mais les emmerdeurs-nés que nous sommes
n’ont quand même pas oublié que cette affaire devenue planétaire a commencé par un homme jeune et en bonne santé, qui s’est envoyé en l’air avec deux jeunes femmes, ensemble ou séparément, c’était en Suède, pays réputé pour ne pas chipoter sur ces chose (demandez aux Méditerranéens que le mot Suède fait encore saliver). Et Israël Shamir a bien raison de dire que, quand on veut coincer quelqu’un, « on » commence par de toutes petites choses et « on » passe ensuite à de moins triviales, pour finir enfin par une fabrication mastodontique à base d’« espionnage », de « trahison » [trahison de qui par qui, d’ailleurs ? André Vltchek a des choses à dire là-dessus, que nous allons essayer de vous traduire pour le prochain post.] et de bricoles de ce genre. Car, n’est-ce pas, rien de tout ceci n’eut été possible si les deux donzelles, dès leur petite culotte renfilée ne s’étaient précipitées au commissariat le plus proche pour se plaindre de ce que leur amant de passage n’avait pas pris avant de les tringler les précautions requises par la bonne éducation LGBT et allez savoir s’il ne nous a pas refilé son sida, Monsieur le Commissaire ?
Rappelons un détail qui ne semble depuis des années chiffonner personne à part nous, à savoir que le lendemain ou le jour même, une au moins de ces intéressantes personnes a foncé en Israël (en vacances ?) et ne semble en être jamais ressortie. Elle n’a été, en tout cas, pas plus que l’autre (qui se trouve où ?) rattrapée par un mandat de comparution l’invitant à se soumettre à une confrontation avec la personne qu’elle accusait. Cela ne se fait-il pas, ces choses-là, en droit ? (Il faudrait interroger Me Régis de Castelnau…). Cela ne s’est pas fait cette fois, voilà tout. Bon, bref, personne n’y a pensé. Ça arrive…
La bonne question, selon nous, devrait être : pourquoi cette confrontation n’a-t-elle jamais eu lieu. Pourquoi les avocats de Julian Assange ne la réclament-ils pas sur l’air des lampions depuis des années ?
Car, à l’origine de tout ce branle-bas avec mort de deux hommes au bout, IL N’Y A QUE CELA.
Et « on » n’a jamais pris à ce point le public pour un ramassis de demeurés.
L.G.O.
L’arrestation d’Assange : Vous avez le droit de garder le silence (Asia Times)
Pepe Escobar – L.G.S. – 22.4.2019
La date – le 11 avril 2019 – restera dans les annales de l’infamie en matière de « valeurs » et de « liberté d’expression » occidentales. L’image est frappante. Un journaliste et éditeur menotté, traîné de force hors d’une ambassade, agrippé à un livre de Gore Vidal, History of the U.S. National Security State.
Le mécanisme est brutal. Le co-fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a été arrêté parce que les États-Unis l’avaient demandé au gouvernement conservateur britannique, qui, pour sa part, a prétendu ne pas avoir fait pression sur l’Équateur pour qu’il retire l’asile d’Assange.
Les États-Unis effacent par magie les problèmes financiers de l’Équateur, en ordonnant au FMI de débloquer un prêt providentiel de 4,2 milliards de dollars. Immédiatement après, les diplomates équatoriens « invitent » la police métropolitaine de Londres à entrer dans leur ambassade pour arrêter leur invité de longue date.
Allons droit au but. Julian Assange n’est pas citoyen américain, il est australien. WikiLeaks n’est pas une organisation de médias basée aux États-Unis. Si le gouvernement américain obtient l’extradition, la poursuite et l’incarcération d’Assange, il légitimera son droit de poursuivre n’importe qui, n’importe quand, n’importe comment et n’importe où.
Appelez ça l’assassinat du journalisme.
Le procès de Julian Assange est infiniment plus grand qu’Assange lui-même
(Nous, on n’aurait pas dit ça comme ça, mais quand on traduit, on doit le faire sans interférer.)
Caitlin Johnstone – L.G.S. – 24.4.2019
La mère de Julian Assange a rapporté hier que le fondateur de WikiLeaks n’a pas été autorisé à recevoir de visiteurs pendant sa détention à la prison de Belmarsh, y compris des médecins et ses avocats. Les médecins qui ont visité Assange à l’ambassade de l’Équateur ont attesté qu’il avait un besoin urgent de soins médicaux. Belmarsh est une prison de haute sécurité, parfois appelée le « Guantanamo Bay du Royaume-Uni« .
Et pourtant, on nous demande de croire que cela a quelque chose à voir avec une prétendue violation de la liberté sous caution et une demande d’extradition US pour des crimes informatiques présumés passibles d’une peine maximale de cinq ans. Si vous faites un zoom arrière et écoutez les bavardages moins éclairés des propagandistes et des consommateurs des médias de masse occidentaux, vous constaterez aussi que les gens croient que cela aurait quelque chose à voir avec la Russie et des accusations de viol.
En fait, rien de tout cela n’est vrai. Assange est emprisonné dans des conditions draconiennes pour son journalisme, et uniquement pour son journalisme.
L’avenir cauchemardesque de Julian Assange (Consortium News)
Elizabeth Lea Vos – L.G.S. – 21.4.2019
Pendant que Julian Assange attend la suite des événements, à savoir la détermination de la peine pour violation de se liberté sous caution en Angleterre et une demande d’extradition aux États-Unis, il est détenu dans une prison de haute sécurité à Londres, appelée le « Guantanamo Bay du Royaume-Uni« , qui a été utilisée pour emprisonner des terroristes présumés, parfois pour une durée indéterminée.
La réputation de la prison Belmarsh soulève des inquiétudes justifiées quant au bien-être de l’éditeur de WikiLeaks.
Source : https://www.legrandsoir.info/l-avenir-cauchemardesque-de-julian-assange-consortium-news.html
Le journaliste sans carte a dit la vérité. Il doit être exécuté.
Jacques-Marie Bourget – L.G.S. – 22.4.2019
À défaut de se poser des questions sur leurs qualités professionnelles, sur leur traitement honnête de l’information, éventuellement sur leur talent, les caporaux chefs du journalisme, pour affirmer leur pouvoir, ne s’abritent plus que derrière leur mince « Carte de presse ». Biseauté le rempart de papier.
Les journalistes constituent une tribu morte et un autre Lévi-Strauss n’a pas eu le temps de les étudier. Triste topique (1) : les derniers qui gigotent encore dans les sables mouvants crient en sombrant : « Journaliste ! Journaliste ! ». Pour nous convaincre de leur jeter une laisse afin de les sauver. Ne sont-ils pas la démocratie ? Leur carte tricolore n’est-elle pas notre territoire ? Ne faut-il pas qu’ils continuent de nous éclairer le bon chemin ?
L’ultime indice du létal qui gagne, la réaction des professionnels de la profession après que de jeunes photographes, experts en misère sociale et en Gilets Jaunes, ont été privés de liberté par la police et sa justice. Ils s’imaginent contrôleurs du poids et de la mesure, garant du juste, employés au tri sélectif du vrai et du faux. Mais qui les a fait rois ? Sinon un équivalent Macron ou Drahi ? Ces oblitérés, ces « diplômés en journalisme », n’ont aucune légitimité. Sauf celle, aussi, venue de l’argent de parents assez fortunés pour payer leurs études. Ces hommes de presse s’abritent derrière leur Carte comme les pharmaciens de Chaval « fuyant devant l’orage ». Privés de ce sésame ils sont nus alors que le typhon d’Internet les tue.
Source : https://www.legrandsoir.info/le-journaliste-sans-carte-a-dit-la-verite-il-doit-etre-execute.html
Les gens en auront encore bien trop peu s’ils se laissent faire !
« Île de la Cité. Vers la plus grosse promotion immobilière grâce à l’étincelle qui a mis le feu aux poutres ! ! »
L’édito de Charles Sannat – 25.4.2019
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Parfois, la vie est bien faite et les heureux hasards s’enchaînent de manière à rendre possible ce qui était difficile…
Tenez, prenez au hasard, cette histoire d’étincelle qui a mis le feu aux poutres de Notre-Dame.
Saviez-vous quel beau projet nous attend ?
Saviez-vous quelles belles œuvres immobilières sont dans les cartons ?
Non…
Allez, voilà de quoi rassasier votre curiosité… Nous avons là tous les ingrédients pour créer l’un des plus gros scandales économiques et politiques de notre histoire récente
Confirmé par le clergé :
« Pas besoin des grands groupes pour refaire la charpente en deux ans ! »
https://amp.lepoint.fr/2309073
+ dossier images préincendie
« La mairesse de Paris a « vendu » le parvis de Notre Dame à Auchan et Unibail pour créer le projet des deux îles, après le départ du Palais de justice, du quai des Orfèvres et de l’appauvrissement de l’Hôtel Dieu… Un trou dans le parvis sur trois niveaux, genre Les Halles, des barges pour des boîtes de nuit sur la Seine, et d’autres réalisations au service de l’Homo Festivus hidalgien sont prévues ».
Le père Pierre Vivarès est curé de la paroisse Saint-Paul Saint-Louis, une église proche de l’île de la Cité.
« La mairesse de Paris a “vendu” le parvis de Notre Dame à Auchan et Unibail pour créer le projet des deux îles, après le départ du Palais de justice, du quai des Orfèvres et de l’appauvrissement de l’Hôtel Dieu.
Là, on comprend mieux, ces disparitions au cœur de Paris !
Le groupement des architectes des 4 premiers arrondissements de Paris a plusieurs fois alerté les pouvoirs publics sur ce projet.
Un trou dans le parvis sur trois niveaux, genre Les Halles, des barges pour des boîtes de nuit sur la Seine, et d’autres réalisations au service de l’Homo Festivus hidalgien sont prévues.
L’île de la cité au XIIIe siècle était le siège de trois signes fondateurs : le roi, qui avait son palais à côté de la Sainte Chapelle, l’Église, avec la cathédrale, et l’Hôtel Dieu pour que la charité chrétienne, inconditionnelle, fût au cœur des pouvoirs.
Le palais a disparu, la cathédrale est abîmée, l’Hôtel Dieu n’est plus que l’ombre de lui-même. C’est ainsi le cœur de la France qui s’est vidé pour être remplacé par un Disneyland touristique, festif et économique.
Le Président de la République nous explique avec des trémolos dans la voix la grandeur de cette France de bâtisseurs, mais ces bâtisseurs avaient un projet : ils ne construisaient pas pour construire. Ils élevaient des lieux au service du bien commun, de la spiritualité et de l’unité nationale.
C’est cela la France, pas le génie des bâtisseurs pour un lieu touristique mondial. Vouloir rebâtir en cinq ans manifeste le cœur de la philosophie présidentielle et de la mairie : Paris doit être au service de la fête, des jeux, du tourisme…
L’absence de temps est le signe de l’absence d’une maturité spirituelle et d’un projet qui dépasse les temps électoraux et les rendez-vous opportunistes, les générations et les circonstances.
On ne fonde pas une nation sur ces valeurs festives, certes utiles, mais légères. On la fonde sur ce qui éduque, ce qui élève, ce qui fait grandir.
J’ai peur que Notre Dame avec cette hâte soit une fois de plus nationalisée pour le service d’une idéologie politique communale et nationale pauvre et non au service du beau, du bien et du vrai, ce pour quoi elle fut construite il y a 850 ans. Si Notre Dame est un peu l’âme de la France c’est parce qu’elle est le signe de ce qu’il y a d’éternel en l’homme.
Il faut que la mairie reprenne à zéro ce projet pour l’île de la Cité et propose ce qui fait l’âme de la France et que la terre entière attend, regarde et copie. »
Père Pierre Vivarès
Les constructeurs de cathédrales commençaient toujours leurs travaux en disant : « Orate, Frates ».
Source : Jean-Michel Vernochet
La Palestine à Paris
Les trois secrets pour faire de votre Ramadan la meilleure fête de l’année !
« En 2019, laissez Solivr vous accompagner pour réussir vos moments partagés pour des Iftars inoubliables avec des produits sains, solidaires, naturels et en plus de grande qualité nutritive et gustative !
[Théoriquement, le Ramadan, cette année, commence le 5 mai et se termine le 5 juin.
Il s’agit donc de manger à cette occasion des dattes et deux ou trois autres merveilles en provenance de Palestine.
Et si vous ne faites pas le Ramadan, vous pouvez les manger (les dattes ne sont pas sectaires) : le 1er mai, pour la Fête des Mères, celle de l’Armistice ou pour l’Ascension. Ou n’importe quel autre jour, par exemple si vous êtes nés en mai ou si vous avez simplement envie de dattes. Quand vous les aurez vues, vous comprendrez ce qu’on veut dire]
Regardez donc comment ils les récoltent et essayez de résister !
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/la-palestine-a-paris/
(BELGIQUE)
NOUS ET NOS ALLIÉS
Nous nous sommes fait l’écho, à diverses reprises depuis des années, du sort infligé à l’un de nos compatriotes par un des pays les plus platement barbares qui soient, sans que l’ombre de la queue d’une charge sérieuse existe contre lui.
Ce que nous tenons à répéter une fois de plus, c’est que notre compatriote a été LIVRÉ aux « autorités » marocaines, c’est-à-dire VENDU, par un gouvernement belge qui n’a qu’une seule excuse à faire valoir : la PASSIVITÉ criminelle de ses ressortissants envers ses agissements, produit désespérant de leur INDIFFÉRENCE révulsante envers le sort de ceux qui ont le malheur de buter sur elle. Hommes ou bêtes.
« Le Chœur d’Ali Aarrass »
Au Théâtre National de Belgique
Théâtre-débat
Du mardi 23 avril au samedi 27 avril 2019 – 19h30 ou 20h15
Théâtre National – 111-115 Bd Émile Jacqmain, 1000 Bruxelles
Ce spectacle mis en scène par Julie Jaroszewski raconte l’histoire d’Ali Aarrass, citoyen belgo-marocain, emprisonné depuis 2010 au Maroc à la suite d’aveux obtenus sous la torture. Soudées autour de sa sœur, Farida Aarrass, militantes, comédiennes, chanteuses professionnelles et amatrices se mobilisent et forment un chœur.
Chaque soir, l’équipe artistique invite à prolonger le spectacle par le biais de rencontres avec un invité autour d’un des aspects thématiques de la création :
23/04 – Nadia Fadil, socio-anthropologue KUL
24/04 – Alexis Deswaef, avocat et Président d’honneur de la Ligue des Droits Humains
25/04 – Saïd Bouamama, sociologue
26/04 – Olivier Neveux, professeur d’histoire et d’esthétique du théâtre à l’Université Lumière de Lyon 2, Directeur adjoint du Département Lettres et Arts
27/04 – Selma Benkhelifa, avocate chez Progress Lawyers Networ.
Infos et réservations au Théâtre National
ou sur Facebook
Événement organisé par le Théâtre National de Bruxelles, en collaboration avec la Ligue des Droits humains, Amnesty International Belgique, Bruxelles laïque et le MRAX
Plus d’informations : https://www.theatrenational.be/fr/activities/458-le-choeur-d-ali-aarrass
Pour rappel :
http://www.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/notreblogskynet/ali+aarrass
http://www.freeali.eu/qui-est-ali-aarrass/
En guise de pense-bête :
Les tortures en images du belgo-marocain Ali Aarrass dans une prison au Maroc
RTBF INFO – 5 octobre 2015
Ali Aarrass, citoyen belgo-marocain emprisonné au Maroc – © Capture d’écran de la vidéo fournie par la LDH et le MRAX
Droits de l’Homme et Amnesty International ont lancé un nouvel appel, lundi, en faveur de la libération d’Ali Aarrass, un citoyen belgo-marocain extradé en 2010 par l’Espagne vers le Maroc, où il a été condamné en 2012 à douze années de prison. Aarrass, soulignent les trois associations, a été torturé par les autorités marocaines en vue de lui extorquer des aveux de complicités terroristes.
L’homme, âgé de 53 ans, a entamé sa sixième grève de la faim le 25 août dernier à la prison de Salé II, au Maroc, pour dénoncer les sévices et les conditions de détention qui lui sont infligés. Ses jours sont en danger, selon le MRAX et la Ligue des Droits de l’Homme.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/les-tortures-en-images-du-belgo-marocain-ali-aarrass/
Sous le patronage du chat James ou Michie, appelons-le Wikileaks…
Humains-bestiaux même combat !
Et si vous deveniez famille d’accueil pour chatons ?
Sofia Cotsoglou – RTBF – 24.4.2019
Des chatons d’à peine quelques jours retrouvés dans le fond du jardin, abandonnés dans des caisses en carton ou dans des sacs poubelle. Le début du printemps est une période intense pour les refuges animaliers qui voient arriver des dizaines de petites de boules de poils. « Cette année, les naissances ont débuté plus tôt que d’habitude. Les chattes ont eu des chaleurs précoces à cause des longues périodes d’ensoleillement du mois de février », explique Gaëtan Sgualdino, président de la SPA de La Louvière. Conséquence : les refuges sont proches de la saturation. « On a déjà atteint notre capacité d’accueil maximale et nos trente familles d’accueil sont full alors que le pic des naissances n’a pas encore été atteint », s’inquiète le président du refuge qui lance un appel aux volontaires. « Idéalement, il faudrait une cinquantaine de familles d’accueil. »
Elle est bien, la SPA de La Louvière. Toutes ne sont pas comme ça…
Wikileaks au moment où il a été recueilli par le plus célèbre prisonnier du monde.
Il faudrait lui en faire un à sa taille.
à Liège :
Nanni Moretti, le retour
Lundi 29 avril | 20h | Cinéma le Parc
Avant-première précédée de la diffusion d’une archive de la RTBF,
Et maintenant la Belgique (30′) d’André Dartevelle, présentée par la Sonuma, société s’occupant des archives audiovisuelles de la RTBF
Dans ce documentaire éminemment politique, Nanni Moretti (Mia madre, Habemus papam) revient sur l’élan de solidarité mené par l’Italie envers les réfugiés chiliens qui vivaient sous la dictature de Pinochet. À travers cette histoire, il tend un miroir à l’Italie d’aujourd’hui, dont les principes d’accueil ont bien changé…
Salvador Allende, élu président du Chili en 1970, commence à mettre en place ses premières mesures socialistes dès le début de son mandat. Le putsch du 11 septembre 1973 mené par Pinochet renverse le gouvernement en place et instaure une dictature militaire. Le film raconte le lien qui va se tisser dès lors entre les Italiens et les réfugiés qu’ils vont accueillir, un élan de solidarité spontané, courageux, sans attendre les ordres venus de plus haut.
Nanni Moretti s’efface humblement derrière son sujet qui résonne fortement avec notre époque : les portes de l’Italie se ferment aujourd’hui face aux nouveaux migrants. C’est d’ailleurs l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite italienne qui a amené Moretti à réaliser ce magnifique film d’espoir et de solidarité.
Cliquez ici pour découvrir la fiche du film
Source : https://www.grignoux.be/fr/evenement/496/santiago-italia
&
Anatole Atlas invité à Santiago du Chili
Offrande à la Parole Améliorée
Tout rapport avec MUMMY (Ministères-Universités-Médias), douairière de TINA (There Is No Alternative) est un voyage dans les amygdales d’une mygale. Qui s’y aventure explore un palais de venimeuses féeries : c’est en un tel gosier que le scribe recueille son poison-pharmakon…
Qu’est d’autre cet insecte s’enquérant de ses droits dans l’actuelle toile d’araignée communautaire, identitaire et sécuritaire, qu’une mouche importune – dès lors qu’il met en question le système de la Valeur ?…
Vue depuis l’avenir, au-delà des logiques arachnéennes du capitalisme, la contemporaine TVA sera comprise comme trace archaïque d’une ère soumise aux critères exclusifs du quantifiable, quand outre l’extorsion de la plus-value sur leur travail, l’État prélevait sa dîme sur les bestioles consommatrices par une taxe portant sur leur valeur ajoutée…
La conscience de l’humanité future avivera son indulgence pour les contemporaines barbaries du marché de la guerre et de la guerre du marché. Nos descendants percevront combien les ténèbres du présent Moyen-Âge, usurpant le prestige de fallacieuses Lumières, furent inaptes à produire une socialité fondée sur la Parole ; où le qualitatif aurait force de loi sur le quantitatif, où l’offrande supplanterait la taxe…
Qu’en faisait-il donc, l’État, des trésors amassés par ses TVA (tandis que l’écot des aragnes prospérait à l’abri de tout regard), pour entretenir l’illusion d’une civilisation grâce à des ministères de la Culture ?…
S’il fournissait des aides à l’industrie du livre, c’était à condition qu’elle ne s’avisât jamais d’imaginer quelque Offrande à la Parole Améliorée…
Ce qui, depuis Gilgamesh, est pourtant le signifié de toute littérature…
Mon travail entier se veut dans la filiation d’une publication qui, voici juste cent ans, s’était par ironie donné ce titre : Littérature. Qui donc en rendra compte, si c’est précisément l’esprit de ces aventuriers dont la Toile croit avoir nettoyé ses recoins par la poussière du bavardage ?…
Il fallut, pour s’en aviser, que provînt un message depuis les confins du monde : l’invitation que j’ai reçue venant des environs de la Patagonie. Ne pouvais-je, vu ma très longue mélopée, bénéficier d’une aide pour accomplir ce voyage à Santiago de Chili ? Quémander pareille obole imposait un redoutable passage par les amygdales de la mygale…
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/anatole-atlas-invite-a-santiago-du-chili/
Mis en ligne le 26 avril 2019
0 Comments