Ça y est, les carottes sont cuites !

 

 

Vous allez dire qu’on est paranos

Mais, est-ce que vous ne le savez pas que

VOUS N’AVEZ PAS DE DROITS ? D’aucune sorte ?
Que les droits ne se reçoivent pas ni ne se décrètent,

ILS SE PRENNENT !

 

 

C’est d’ailleurs ce que viennent de faire ceux qui méritent peut-être, au fond, d’en jouir, puisque PERSONNE ne s’oppose ni ne s’opposera à leur Hold-Up planétaire.

 

 

 

Vous vouliez le nouvel ordre mondial le voilà : le traité pandémique de l’OMS en discussion

Karine Bechet-Golovko – Russie Politics – 30.11.2021

 

 

 

 

 

 

La crise du coronavirus a permis d’accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les États, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Au son de « Plus jamais ça », comme s’il s’agissait d’une guerre sainte – qui ne soit menée justement contre nous, l’ ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique, désarmant les États, renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » (de qui ?) de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’États souverains, mais d’une étrange « sécurité », totale et totalitaire, réduisant les États à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination, qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger…

 

L’OMS se réunit en urgence en ce moment pour trois jours à Genève, il faut dire qu’il y a vraiment urgence, cela fait deux ans que ça dure, que le virus-roi varie et évolue tranquillement, que les populations sont de plus en plus écrasées et les États de plus en plus discrédités. Les gens s’habituent au Covid, la résistance s’intensifie et se propage, parallèlement à la radicalisation des mesures adoptées contre les gens, évidemment « pour leur bien » et puisque ça ne marche pas (sanitairement) depuis deux ans, il faut continuer.

 

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/vous-vouliez-le-nouvel-ordre-mondial-le.html

 

 

 

 

 

 

Ce qui suit devait ouvrir notre post d’aujourd’hui.

Mais un clou (de cercueil) chasse l’autre.

 

 

La Russie commettra-t-elle l’erreur d’ouvrir la chasse à l’opposition politique ?

 

 

Karine Bechet-Golovko – Russie Politics 26.11.2021

 

 

 

 

 

 

L’affaire qui se monte autour du député communiste Rachkine, sachant que cette personnalité est à la pointe de la lutte contre les dérives covidistes et globalistes qui affaiblissent la Russie, telles que l’enseignement à distance, la furie vaccinale, le pass sanitaire (QR Code), peut profondément influencer le paysage politique russe. Rachkine vient de tomber pour une histoire de chasse dite illégale, seul (alors qu-il s’agit d’une chasse collective), immédiatement surmédiatisée. En ouvrant la chasse à l’opposition politique, puisque depuis les dernières élections, les élus communistes font l’objet d’interpellations à tous les niveaux, le pouvoir actuel en Russie est à la fois en train de renforcer la vie politique intérieure et de créer l’instrument de sa chute – une opposition, politique, réelle et nationale.

Depuis les dernières élections, l’on ne compte plus les élus communistes ou simplement les membres actifs, qui se font interpeller sous n’importe quel prétexte, quand on ne peut pas leur accoler une « grosse affaire ». Le silence médiatique était complet. 

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/la-russie-commettra-t-elle-lerreur.html#more

 

 

 

 

 

 

Une impression de déjà vu

 

Théroigne – L.G.O. – 30.11.2021

 

 

Au moins, de cette façon, les choses sont claires et on comprend ce qui se passe. Même si ce qui se passe renforce de plus en plus notre crainte d’assister à un remake du Thermidor français.

Car, si une chose est sûre, c’est que l’équipe gouvernementale russe (Vladimir Poutine, les deux Sergueï, Zakharova, Peskov, etc…) est composée de gens intelligents. Quels que soient leurs sentiments à l’égard de l’opposition communiste, la « chasse aux sorcières cocos » n’entre pas dans leur modus operandi. Elle est donc impossible.

 

À moins que…

… quelqu’un d’autre soit déjà aux manettes. Mais qui d’autre ? Euh… la 5, 6e ou 7e colonne… les complices intérieurs du FMI, de la BRI et de la bande à Bill Gates par exemple.

Quel rapport avec Thermidor ? Simple : un gouvernement aux prises avec une guerre d’invasion, occupé à résister à de multiples assaillants à la fois, à défendre en priorité le sol de la patrie, à diriger quatorze armées d’une seule main, non seulement à toutes les frontières mais aussi contre les traîtres intérieurs qui ont choisi la complicité avec l’ennemi contre leurs défenseurs… Et vous avez Philippe Le Bas voulant se suicider avec sa jeune femme le jour de la Fête de l’Être Suprême ; Saint Just allant « chercher la mort » à Fleurus (et y conduisant par trois fois la charge sans écoper d’une égratignure) ; Robespierre absent du Comité de Salut Public depuis plus d’un mois mais néanmoins signant sans même les regarder les papiers qu’on lui en apporte, etc. etc. Enfin, la bataille militaire décisive gagnée et l’ennemi extérieur battu : assassinat immédiat et en masse de tous les défenseurs de la Patrie.

Ce qui se passe en Russie ne vous semble pas ressembler étrangement à ça ?

Si les Atlantistes russes passent aujourd’hui à l’action contre les communistes avec aussi peu de retenue, cela ne veut-ils pas dire qu’ils se sentent à présent assez sûrs d’eux pour le faire ?

Qui sauvera les « défenseurs de la Patrie » de l’occision (on ne croit pas à une passation de pouvoirs sans cadavres) ? Réponse : personne. Seule une résistance d’humains d’un peu partout sur la terre ayant conservé quelques bribes d’amour-propre l’aurait pu. Il est clair que cela ne sera pas. « Le public » au sens large, a choisi de n’avoir qu’une seule volonté : celle d’obéir. À n’importe qui et sur n’importe quoi.

Quel ensemble d’humains agrégés résistera ? Sans doute les Cubains et les Syriens. Qui ne sont pas de taille à l’emporter sur une volonté de mort aussi massive, après 62 et 10 ans d’affrontements ininterrompus. Et les Palestiniens, qui ont l’habitude.

On souhaite se tromper.

 

 

 

 

Nos présents et futurs maîtres dans leurs œuvres passées et présentes

 

 

« Il y a quelque chose de pourri au Danemark » : Frank Olson et le macabre destin d’un lanceur d’alerte de la CIA au début de la guerre froide.

 

Jeremy Kuzmarov – Covert Action Magazine – 28.11.2021

 

Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

Frank Olson [Source: mountolivehistory.com]

 

 

[Source: mountolivehistory.com]

 

 

« Frank Olson vole et c’est un long chemin vers le bas » – David Clewell, « La CIA au pays des merveilles ».

 

 

En septembre 1994, l’émission à succès Unsolved Mysteries de NBC a diffusé un épisode sur le Dr Frank Olson, biochimiste de la CIA au laboratoire de Fort Detrick consacré à la guerre bactériologique. Olson aurait sauté vers la mort du 13e étage de l’hôtel Statler de New York dans la nuit du 28 novembre 1953, après avoir été drogué à son insu avec de l’acide lysergique diéthylamide (LSD).

L’animateur Robert Stack fait remarquer que certains faits laissent toutefois soupçonner que le Dr Olson a été assassiné et que son meurtre a été dissimulé. En cette occasion, le comportement du collègue d’Olson, le Dr Robert Lashbrook, de la division des services techniques de la CIA, a été pour le moins étrange.

 

 

L’hotel Statler, à New York, d’où Olson a plongé vers sa mort. [Source: theguardian.com]

 

 

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/il-y-a-quelque-chose-de-pourri-au-danemark/

 

 

 

 

 

 

On ne change pas les recettes éprouvées.

Après les insectes et les petits rongeurs des champs transformés en armes bactériologiques largués sur le 38e parallèle coréen et l’agent orange si généreusement déversé au Vietnam, voici le blé tueur offert à la Syrie en guise d’«Aide Internationale ».

 

 

Le cadeau empoisonné des États-Unis aux futures générations syriennes…

 

 

Mouna Alno-NakhalMondialisation.ca – 29.11.2021

 

 

 

 

 

Le 10 novembre dernier, l’USAID [l’Agence des USA « pour le développement international »] annonçait :

 

« Un partenaire de l’USAID dans le nord-est de la Syrie continue de distribuer de la farine de blé aux boulangeries locales pour fournir du pain aux familles déplacées, aux réfugiés et aux communautés d’accueil des personnes vulnérables. Après une saison de précipitations extrêmement faibles, cette aide est encore plus cruciale pour améliorer la sécurité alimentaire ».

 

 

 

 

Pour rappel, le nord-est de la Syrie est illégalement occupé par les États-Unis, qui soutiennent les forces séparatistes armées regroupées sous l’acronyme « FDS », avec la lettre D pour démocratiques et la lettre S pour syriennes.

 

Le 18 novembre, la correspondante syrienne d’Al-Mayadeen TV à Damas, Madame Dima Nassif, présentait une autre annonce publiée par le site de l’ambassade américaine quelques jours plus tôt, concernant cette fois la livraison de « semences de blé » : 

 

 

 

 

« Les semences de blés sont désormais chargées et en route vers le nord-est de la Syrie. L’USAID offre près de 3 000 tonnes de semences de blé de haute qualité aux agriculteurs du nord-est de la Syrie en ce début de saison des semis de blé. Le blé est considéré comme la moelle épinière du département agricole syrien. Ces semences permettront à des centaines d’agriculteurs de produire près de 32 000 tonnes de blé l’année prochaine, garantissant ainsi aux Syriens l’obtention de farine, de pain et autres produits à base de blé pour nourrir leurs familles et éviter encore plus de crises économiques. » [1].

 

Sauf que Madame Nassif a dit dans son rapport que cette offre de semences de blé par l’USAID ouvrait à nouveau le dossier de la plus dangereuse des guerres étatsuniennes contre la sécurité alimentaire syrienne. Pourquoi ?

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Source : https://www.mondialisation.ca/le-cadeau-empoisonne-des-etats-unis-aux-futures-generations-syriennes/5662730

 

 

 

 

 

 

Nicolas Bonnal devient de plus en plus Jérémie, mais Céline l’a été avant lui et de façon tellement indépassable… En outre, clamer au diable et au satanisme commence à ne plus faire peur à personne, à force. Quant à Tocqueville, on n’en dit point de mal, mais on ne voit pas trop le bien qu’il y a à en dire non plus et depuis si longtemps.

Néanmoins :

https://lesakerfrancophone.fr/falaise-de-seneque-et-depopulation-alexandre-fait-le-point

 

Et là :

https://nicolasbonnal.wordpress.com/

 

 

 

 

 

Omicron n’est pas l’Oméga

 

Strategika 51 – 27.11.2021

 

 

Omicron, ou comment Nu et Xi furent écartés. Les lettres grecques crient à la discrimination positive.

Finalement, l’une des leçons des Covid-19, COVID-20, Covid-21, Covid-22, Covid-23, Covid-nn…est qu’une pandémie est non seulement un enjeu éminemment politique mais un outil aussi bien géopolitique que sociétal. En ce qui concerne le nouveau variant de Noël, apparu au Botswana et dont la protéine Spike, la clé d’entrée cellulaire du virus, ne présenterait pas moins de trente mutations (excusez du peu) d’origine non naturelle, c’est le cadeau de trop. L’abonnement vaccinal semestriel ou trimestriel épuisera à coup sûr l’alphabet Grec qui dérive du Phénicien et il faudra déjà penser à utiliser les idéogrammes chinois pour compléter la série. Les médias se chargeront de la fabrique de la peur sans se soucier de ce que l’on appelle les “Fake news” puisque c’est toujours à sens unique et à deux poids, deux mesures.

L’abonnement vaccinal semble être une autre façon de déplumer le peu qui reste d’une immunité géniale mais piégée par un simple mécanisme du vivant.

À la prochaine lettre ou idéogramme. Ne plus penser ni réfléchir ni rien. Ingurgiter et se faire injecter est la nouvelle norme. Une grande partie de l’espèce humaine ne mérite que ce type de traitement en attendant son véritable grand remplacement par des machines.

Il n’y aura pas d’image d’illustration. Nous sommes l’illustration.

 

Source : https://strategika51.org/2021/11/27/omicron-nest-pas-lomega/

[Voir aussi Lucien de Samosate : « Le Jugement des voyelles »…]

 

 

 

 

Il ne savait pas si bien dire :

 

 

Apocalypse now

(Apocalypse : dévoilement)

 

 

 

 

 

 

 

Génération Pizdets   

 

Viktor Pelevine

 

 

 

 

 

(Pour savoir de quoi on vous parle)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Homo_zapiens_(G%C3%A9n%C3%A9ration_P)

 

 

 

En voici un chapitre

 

Notre héros s’appelle Babylen Tatarski, mais il n’aime pas son prénom, qu’il a changé en Vladimir (« appelez-moi Vova »). Il est creator ou si vous voulez concepteur en publicité. Il s’est fait fourguer, dans un magasin innommable, par une vendeuse prête à perdre patience, un tee-shirt noir à l’effigie du Che surmontant l’inscription Rage Against the Machine et une planchette oui-ja. Avec la manière de s’en servir. « Du classique » lui a-t-elle dit.

 

     Homo Zapiens

     Sur la table, la planchette ressemblait à un char au milieu de la place centrale d’une petite ville européenne. Posé à côté d’elle, un flacon quadrangulaire de Johnnie Walker non encore ouvert, rappelait le bâtiment d’un hôtel de ville, et le vin rouge que Tatarski buvait provoquait le même genre d’association. Sa bouteille longue et étroite presque vide, avait l’apparence d’une cathédrale gothique occupée par un comité du PC : elle évoquait l’épuisement total du communisme, l’absurdité des bains de sang historiques et la crise générale de l’idée russe. Tatarski la finit à même le goulot et la balança dans la corbeille à papiers.

     Une révolution de velours, pensa-t-il.

     Le tee-shirt « Rage against the machine » sur le dos, il était installé devant la table et finissait la lecture des instructions de sa planchette. Il avait acheté un marteau dans un kiosque près du métro, et l’avait fixé à l’aide d’une vis dans l’orifice prévu à cet effet. Un petit ressort était censé assurer le contact avec le papier, une pile de feuilles sur laquelle il posa l’instrument. Il pouvait commencer.

     Il regarda autour de lui et posa les mains sur la planchette, mais il se ravisa et se leva d’un  bond pour aller nerveusement tirer les rideaux des fenêtres. Il réfléchit encore un peu et alluma une bougie qu’il posa sur la table. Tout autre préparatif lui sembla ridicule. En fait, ceux qu’il venait de faire l’étaient également.

     Il se rassit et reprit sa pose initiale, les mains sur le communicateur avec les esprits.

     Bon, se dit-il. Et maintenant, qu’est-ce que je fais. Dois-je dire quelque chose ou non ?

     – J’appelle l’esprit de Che Guevara. J’appelle l’esprit de Che Guevara, s’écria-t-il à haute voix.

     Il se dit aussitôt qu’appeler ainsi ne suffisait sans doute pas et qu’il fallait aussi lui poser une question quelconque.

     – Je voudrais savoir… Disons quelque chose de nouveau sur la publicité qui ne se trouve ni chez Al Ries ni chez le camarade Ogilvy. Pour comprendre plus que quiconque.

     À la seconde même, la planchette entra en convulsions épileptiques sous ses paumes et le marqueur traça dans la partie supérieure de la feuille en gros caractères :

 

L’identitalisme, stade suprême du dualisme

 

     Tatarski retira précipitamment ses mains et fixa avec effroi cette inscription quasi léniniste*. Puis la curiosité l’emporta et il toucha de nouveau la planchette qui se remit à bouger. Maintenant, les lettres dessinées par le marqueur étaient petites et soignées.

     À l’origine, ces pensées étaient destinées à être publiées par la revue des forces armées cubaines Oliva verde. Mais il est inutile de revenir maintenant sur des détails de ce genre, alors que nous savons avec exactitude que tout le plan d’existence où sont publiées ces revues et où existent les forces armées n’est qu’une suite de moments de prise de conscience réunis uniquement par le fait que chaque moment nouveau est chargé du sens de ceux qui le précèdent. Bien que cette série soit ininterrompue, et cela depuis des temps immémoriaux, la prise de conscience elle-même ne se perçoit jamais. Ce qui explique que la situation de l’homme dans la vie soit déplorable.

     Mais Siddhârta Gautama, le grand combattant pour la libération de l’humanité, montre dans plusieurs de ses œuvres que la raison principale de l’état déplorable de l’homme dans la vie est avant tout l’idée même de l’existence de l’homme, de la vie et de l’état déplorable. En d’autres termes le dualisme qui divise en sujet et objet, ce qui, en réalité, n’a jamais existé et n’existera pas.

 

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* Elle évoque le titre d’un ouvrage de Lénine : L’impérialisme, stade suprême du capitalisme [NdT]

 

 

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/generation-p-izdets/

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 1er décembre 2021

 

 

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