COVID Russie : la nouvelle normalité

 

L’escroquerie virale est devenue un élément permanent de la « santé publique » en Russie.

Edward Slavsquat – 20.3.2022

 

 

Par Riley Waggaman, écrivain basé à Moscou et ancien rédacteur en chef de RT.

Traduction : c l. pour L.G.O.

 

 

 

Poutine inspectant les « molécules synthétiques de petit ARN interférent » que la Russie va désormais administrer aux patients hospitalisés dont le test PCR est positif. Le médicament a été développé par un bureaucrate lié à Bill Gates.

 

 

 

Moscou a laissé tomber ses édits sur les masques ; les régions de Russie ont annulé les décrets de vaccination obligatoire et les régimes d’auto-isolement. La Russie s’est-elle finalement séparée de l’escroquerie virale ?

Pas du tout – c’est juste que la couverture médiatique 24 heures sur 24 et les rituels publics se focalisent actuellement sur l’« opération spéciale » en Ukraine. Le redoutable virus est devenu un danger omniprésent mais normalisé, qui peut être supprimé – mais jamais complètement éradiqué – à l’aide d’un éventail éblouissant de médicaments non testés. En fait, le gouvernement russe est en train de produire toutes sortes de nouveaux traitements pour protéger la population des tests PCR positifs.

 

 

Planquez vos enfants

La Russie a pris du retard par rapport à d’autres pays en ce qui concerne l’injection des enfants. Mais, bien que le COVID soit relégué au second plan en raison du conflit en Ukraine, les autorités sanitaires russes poursuivent leurs projets de piqûre aux plus jeunes. Alexander Gintsburg – le cerveau présumé de Sputnik V – commencera bientôt à tester la version « adaptée aux enfants » de son vaccin contre la coagulation, sur des enfants âgés de 6 à 11 ans. Dans le même temps, le ministère russe de la santé demande aux moins de 18 ans de se faire vacciner pour se prémunir contre l’« omicron furtif ».

Il n’est guère difficile d’imaginer que, dans un avenir pas si lointain, les enfants russes devront périodiquement prouver qu’ils sont « exempts de COVID ». En janvier, des scientifiques russes ont annoncé qu’ils avaient mis au point un test de « réaction de Mantoux » pour le coronavirus. En Russie, les tests de Mantoux sont couramment utilisés pour dépister la tuberculose chez les enfants. Le test de dépistage de la tuberculose est en principe obligatoire pour inscrire votre enfant à l’école (il existe des moyens de contourner ce problème, mais vous devez passer par plusieurs étapes).

 

 

 

 

 

 

Êtes-vous prêt pour votre rappel intranasal biannuel ?

Le légendaire centre russe Gamaleya, « la plus grande institution de recherche au monde », enregistre actuellement son vaccin nasal Sputnik V. Ce médicament est commercialisé comme une injection de rappel, qui sera probablement nécessaire tous les six mois.

 

 

 

D’immunité indéfinie à piqûres à l’infini en seulement 8 mois

 

 

Poutine s’est porté volontaire pour tester cette drogue intranasale en novembre, marquant ainsi sa quatrième dose de Sputnik en moins d’un an.

 

 

 

 

 

La groupie russe de Bill Gates sauve la mise

 

Mais la poudre de nez Sputnik est-elle assez puissante pour arrêter « l’omicron furtif » ? Peut-être pas. Heureusement, Veronika Skvortsova, directrice de l’Agence fédérale médico-biologique russe (FMBA), a réussi à faire enregistrer un nouveau vaccin, le Konvasel, qui annihile toute forme d’omicron clandestin.

Mme Skvortsova siège au Global Preparedness Monitoring Board (GPMB), financé par Bill Gates. Parmi les autres membres du conseil figurent le Dr Chris Elias, président du programme de développement mondial de Bill et Melinda Gates, et le médecin préféré des Américains, Anthony Fauci.

Mme Skvortsova est un peu le Léonard de Vinci des concepteurs de médicaments du COVID. Le 15 mars, elle a rencontré Poutine pour discuter de l’une de ses dernières inventions, le MIR-19, qui signifie « Petit ARN interférent ».

 

 

 

Skvortsova en train d’informer Poutine sur sa vape COVID. 15 mars 2022 (Source)

 

 

 

Comme l’a expliqué Skvortsova :

Les principaux composants du médicament sont des molécules synthétiques de petit ARN interférent (siRNA), qui, à l’intérieur de la cellule infectée de l’organisme, ciblent le génome de l’agent pathogène et contribuent à sa dégradation.

Le médicament, qui est inhalé, est actuellement utilisé dans les hôpitaux. Selon Mme Skvortsova, « des études sont actuellement menées en ambulatoire pour utiliser ce médicament dès la détection du premier test PCR positif. C’est alors qu’il est le plus efficace. L’expérience montre que trois inhalations par jour pendant cinq jours suffisent pour obtenir un test PCR négatif ».

Elle a souligné que MIR-19 est sûr et efficace et qu’il ne modifiera pas le génome humain de quelque manière que ce soit. Et il n’y a absolument aucune raison de douter de ce qu’elle dit.

Durant son règne en tant que ministre de la santé (2012-2020), Mme Skvortsova a présidé à un canular de plusieurs années au cours duquel des données bidon ont été utilisées pour déclarer la victoire dans une guerre de santé publique contre les maladies cardiovasculaires. Elle s’est également associée à Gintsburg pour créer un vaccin génétique contre Ebola, qui a ensuite connu un échec spectaculaire. En fait, Skvortsova est spécialisée dans deux choses : les purins génétiques non prouvés et les canulars de santé publique.

Il reste à savoir si le MIR-19 sera aussi sûr et efficace que certains des autres médicaments déjà utilisés pour combattre le COVID en Russie – y compris un médicament qui cause des « dommages toxiques graves » au foie (source : le ministre russe de la santé Mikhail Murashko).

 

 

La nouvelle normalité

Les mondialistes sont en plein recul. En Russie, les patients hospitalisés dont les tests PCR sont positifs reçoivent l’ordre d’inhaler des vapeurs d’ARN synthétique.

Pendant ce temps, les retraités meurent mystérieusement en quantités record. Le 16 mars, la RBK a indiqué que le nombre de retraités enregistrés en Russie avait diminué de près d’un million au cours des 12 derniers mois – la plus forte mortalité depuis le début des années 1990.

 

 

 

 

C’est un drôle de moment pour se trouver en Russie. Il est remarquable de constater que les mêmes fonctionnaires et personnalités publiques qui ont tant poussé au confinement généralisé et aux vaccins générateurs de caillots se drapent maintenant dans le drapeau en promettant de débusquer les redoutables « cinquièmes colonnes ».

 

 

Gintsburg exhibe ses vaccins de coagulation ; Maria Shukshina n’approuve pas.

 

 

 

L’actrice et militante russe Maria Shukshina a très joliment résumé la situation actuelle :

 

Les propagandistes [du COVID] étaient en faveur de la vaccination coercitive, et ceux qui étaient contre étaient traités d’ennemis du peuple, ils appelaient à tirer, à boucler les quartiers et à poignarder, poignarder, poignarder. Tout cela a été dit sur les chaînes fédérales. Maintenant, un triple saut périlleux en l’air – et les mêmes propagandistes à plein temps qui préconisaient la vaccination obligatoire et participaient à l’agenda de Schwab et Gates pour réinitialiser le monde, sont maintenant des patriotes et soutiennent farouchement les valeurs spirituelles et morales, la nationalisation et le remplacement des importations. Ils ont d’abord échoué dans le programme de vaccination, et on craint maintenant qu’ils échouent dans le programme patriotique… On ne peut pas faire confiance à ces gens.

 

Certains ont émis l’hypothèse que la non-guerre en Ukraine était la première salve de la prétendue rébellion du Kremlin contre l’agenda de Davos, y compris la guerre mondiale contre la santé publique. La réalité observable suggère le contraire.

 

 

Source : https://edwardslavsquat.substack.com/p/covid-russia-the-new-normal?s=r

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/covid-russie-la-nouvelle-normalite/

 

 

 

 

 

Mars 2022