Quand l’Europe croule sous les « bonnes » nouvelles
Biden, la propagande et la censure : contrôle renforcé de l’opinion publique en vue
Ben Norton – Entelekheia – 20.11.2020
Paru sur Consortium News sous le titre ELECTION 2020: Biden Appointee Advocated Using Propaganda Against Americans et The Grayzone Project sous le titre Biden state media appointee advocated using propaganda against Americans and ‘rethinking’ First Amendment
Avec le retour de l’équipe Obama aux affaires après la victoire de son nouvel avatar public, Joe Biden, la propagande et la censure, armes de prédilection du Parti démocrate américain, promettent de faire une progression fulgurante dans toute la zone dominée par les USA, dont bien sûr l’Europe de l’Ouest. À une différence près : cette fois, le mot « propagande » est assumé, et même revendiqué par le nouveau responsable de l’information de l’équipe de transition Biden. L’Amérique post-Trump ne se cache plus.
Nous aurons donc, c’est prévu, encore plus de purges de comptes Facebook et Twitter, de « deplatforming » par Google, de mainmise sur les médias grand public, de « fact-checking » ex cathedra et d’affligeantes crises de paranoïa médiatique de type Russiagate ou « Venezuelaaaaa ! »
Revue de détail.
Richard Stengel, le principal représentant des médias d’État dans l’équipe de transition du président américain élu Joe Biden, a défendu avec enthousiasme le recours à la propagande contre les Américains.
« Mon ancien poste au Département d’État consistait en ce que les gens appelaient pour rire ‘propagandiste en chef’ », déclarait Stengel en 2018. « Je ne suis pas contre la propagande. Chaque pays en fait, et ils doivent en faire auprès de leur propre population. Et je ne pense pas nécessairement que ce soit si mauvais ».
More of the revolving door between mainstream corporate media outlets and the US government:
Three paid analysts on MSNBC have left to join Joe Biden’s administration.
A fourth paid MSNBC contributor helped write Biden’s victory speech.https://t.co/TGhmzVWml7
— Ben Norton (@BenjaminNorton) November 11, 2020
(Tweet : « Encore plus de portes tournantes entre les médias grand public et le gouvernement américain: Trois analystes salariés de MSNBC sont partis rejoindre l’administration de Joe Biden.
Un quatrième collaborateur rémunéré de MSNBC a participé à la rédaction du discours de victoire de Biden. »)
One is Richard Stengel, self described former “Chief Propagandist” and supporter of domestic US propaganda pic.twitter.com/pNv1opsKBK https://t.co/LyZCxZaADi
— Max Blumenthal (@MaxBlumenthal) November 11, 2020
(Tweet : L’un est Richard Stengel, qui se décrit comme ancien « chef propagandiste » et se déclare pour la propagande auprès de la population américaine.)
Et en effet ça ne traîne pas…
(On pourrait même dire que ça précède.)
Entretien avec Barack Obama : «Trump a causé beaucoup de torts aux États-Unis et dans le monde»
Dans un entretien accordé aux journaux du groupe LéNA, dont fait partie «Le Soir», l’ancien président américain livre ses réflexions sur la période actuelle et la pandémie, les quatre années de Trump au pouvoir, la polarisation de son pays ou encore l’avenir avec Joe Biden à la tête des États-Unis. Sa conclusion est optimiste, même s’il s’agit d’un optimisme prudent
Le Soir – Abonnés
Ah, il y a aussi ça (sur la même gazette) ; ils ont plein de fers au feu…
Sur les sites de crowdfunding, le complot, ça rapporte
Quoi, vous n’avez pas encore vu HOLD UP ? On vous le met tout à la fin du post.
« Précède » ? Moi, j’ai dit « précède » ?
Oui, cher cousin, vous avez dit « précède ».
Crise en Biélorussie : la Commission européenne renforce son ingérence
Karine Bechet Golovko – Russie politics – 19.11.2020
Alors que les médias occidentaux sont particulièrement discrets sur le sujet, la Commission européenne aurait décidé de financer à hauteur de 24 millions d’euros la société civile biélorusse « pro-démocratie » et « l’indépendance » des médias et blogueurs, afin de favoriser sur le mode ukrainien le démembrement de l’Etat biélorusse en attaquant les régions. En Novlangue, les « pro-démocrates » sont les pro-globalistes, donc anti-Biélorussie et l’indépendance est exclusivement réduite à la soumission à l’idéologie dominante. C’est ce que l’on appelle de l’ingérence. C’est aussi ce que l’on appelle la préparation d’un renversement de pouvoir de l’extérieur par des mercenaires – puisque la professionnalisation et la rémunération des intervenants sont prévues pour 5 ans. Le combat s’installe dans la durée face à la résistance de la Biélorussie, il change de forme.
Selon un article publié sur RT en russe, la Commission européenne prévoit de financer les activistes, les manifestants et les médias ainsi que les blogueurs, les étudiants et les jeunes spécialistes en Biélorussie à hauteur de 24 millions d’euros. Il est vrai que jusqu’à présent, tous les mouvements de foule n’ont mené à rien et même la victime sacrificielle attribuée aux forces de l’ordre biélorusse n’y change rien. Le rapport au temps change, l’ingérence doit s’installer dans la durée. Pour cela il faut former des professionnels et les rémunérer.
Le programme-cadre permettant cette ingérence ouverte de l’Union européenne s’intitule « EU4 Belarus : solidarité avec le peuple du Belarus », qui prévoit des mesures spéciales en Biélorussie. Selon ce document, la chute de l’économie a permis de lancer après les élections un profond mouvement social inédit dans le pays. Il faut quand même souligner que les réformes réalisées ces dernières années sous injonction du FMI ont préparé le terrain. Au-delà des élections présidentielles, dont l’UE ne reconnaît pas les résultats, ce document précise que les deux autres sources de déstabilisation économique sont le problème du pétrole avec la Russie et la crise du Covid, qui rappelons-le, n’a pas fait l’objet en Biélorussie, comme en Suède, de mesures liberticides. Bref, le pacte économique permettant la stabilité sociale a été ébréché et les forces globalistes veulent s’engouffrer dans l’un des derniers pays qui s’occupe encore de son industrie nationale.
L’UE, comme le souligne le document (en possession de RT), a déjà fourni une « aide » à la société civile et aux médias « indépendants », mais comme le mouvement dure, un projet à long terme de 5 ans de financement est envisagé et il sera réalisé à travers des appels d’offres. Le but officiel est de faire comprendre à la population, qu’elle va être soutenue dans le temps dans son combat contre Loukacheko et la Biélorussie. Et donc favoriser ce combat.
La stratégie mise en place ici rappelle l’Ukraine, avec quelques adaptations locales. En Biélorussie également, l’UE joue la carte de la décentralisation du conflit, afin de mettre les parties du territoire en conflit avec le pouvoir étatique central et démembrer l’Etat biélorusse. Pour cela il faut des professionnels de la manifestation et les professionnels, ça se paie. C’est justement ce qui est indiqué noir sur blanc en prévoyant :
« Le financement des citoyens et des organisations locales de la société civile, des groupes sociaux, des activistes des droits de l’homme, qui veulent continuer leur travail dans le cadre des mouvements de contestation et/ou continuer à apporter une aide et des services au public visé par eux »
RT précise par ailleurs qu’il est également prévu dans le document d’apporter une aide psychologique, juridique et médicales aux « victimes de la répression« . Autrement dit, les personnes qui veulent professionnellement se battre contre la Biélorussie seront psychologiquement formées et défendues en cas de problèmes.
Et comme nous vivons dans la société de l’information et que les réseaux sociaux, comme nous l’avons vu avec Nexta, jouent un rôle fondamental dans l’organisation des mouvements de contestations, l’UE est également prête à financer les médias, blogueurs et autres qui s’en occuperont dans les régions.
Comme dans toute action de combat frontal, peu importe qu’elle soit militaire, diplomatique, politique, etc., il faut un bon prétexte pour ouvertement piétiner la souveraineté d’un Etat et s’ingérer dans ses affaires internes, au point de financer rien de moins qu’un coup d’Etat. L’excuse démocratique comme en Ukraine est ici aussi réchauffée. Et évidemment, selon ce document, tout est fait dans l’intérêt du peuple biélorusse, en tout cas de ceux qui sortent dans la rue, car la majorité paisible n’est manifestement pas digne d’être considérée par l’UE comme partie intégrante de ce peuple biélorusse.
L’on appréciera le silence des médias main stream, qui ne veulent pas gacher la belle image de la révolte populaire spontanée contre le fameux tyran par des considérations financières aussi basses … Parce que professionaliser la contestation, c’est préparer un coup d’État de l’extérieur avec des hommes de mains payés et formés pour cela. Ce qui est beaucoup moins joli.
Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/crise-en-bielorussie-la-commission.html
Et comme une « bonne » nouvelle n’arrive jamais seule…
Nord Stream 2 : l’Allemagne se tourne vers les États-Unis contre la Russie
http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/nord-stream-2-lallemagne-se-tourne-vers.html
Théoriquement, ça n’a rien à voir…
Il convient de rappeler les ordres de grandeur dans ce débat.
Bruno Drweski – 20.11.2020
Citée dans la carte blanche de Piketty in Le Monde des 15-16 novembre,
Inégalités_WDI_Piketty_Le Monde_15&16-11-2020
la base de données mondiale sur les inégalités. Intéressant ! Et révélateur !!!
Jacques Henno, journaliste nouvelles technologies, auteur de « Tous fichés »: LEMONDE.FR | 25.04.06 | 15h18 • Mis à jour le 03.05.06 | 23h50 : Le courrier électronique est-il discret ou non? Jacques Henno : « Non. Tout courrier électronique qui circule sur Internet peut être intercepté par des tiers qui le veulent. On estime par exemple que la majorité du courrier électronique échangé dans le monde transite par les États-Unis. On est à peu près sûr que la NSA (National Security Agency), l’agence de surveillance électronique américaine, intercepte les courriers électroniques qui transitent par les États-Unis » …Soit l’immense majorité des courriels que nous envoyons.
Reçu par mail de Bruno Drweski
On parie que vous ne saviez pas ça :
(Et que vos merdias ne vous en ont pas parlé)
Donald Trump ne fait pas que jouer au golf : il purge le Pentagone
Thierry Meyssan – Réseau Voltaire – 17.11.2020
En pleine contestation des résultats de l’élection présidentielle, le président Donald Trump a entrepris de purger le Pentagone des chefs de la rébellion. Premier visé, le secrétaire à la Défense, qui n’a cessé de mentir pour cacher les réels objectifs des officiers généraux.
Christopher Miller, nouveau secrétaire US à la Défense. Il a reçu pour mission d’empêcher de nouvelles guerres.
Une fois l’élection présidentielle terminée, le locataire de la Maison-Blanche n’a plus droit que de gérer les affaires courantes. Mais juste avant la proclamation des résultats du scrutin par la Commission électorale fédérale, le président Donald Trump a commencé une opération de nettoyage sans précédent du Pentagone.
La presse US, toujours occupée à le présenter comme un narcissique incompétent, ne semble pas tenir cela pour important. Elle le présente donc comme jouant au golf.
Pourtant, il a démis :
Source : https://www.voltairenet.org/article211638.html
La France aussi a une armée divisée.
(dont le public connaît seulement quelques noms)…
Élections aux USA : lettre du général Delawarde
Gal Dominique Delawarde – Réseau Voltaire – 13.11.2020
Plutôt que de savoir qui sera finalement déclaré vainqueur de l’élection présidentielle US, le général Delawarde s’étonne de la volonté médiatique de ne pas considérer les fraudes, pourtant évidentes.
Mes chers amis,
Nombre d’entre vous m’ont demandé quel était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :
1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’État visant à inverser le résultat de l’élection est-elle crédible ?
2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.
Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.
Conflits d’intérêt de l’auteur ?
Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.
Source : https://www.voltairenet.org/article211634.html
Pour rappel : le Gal Delawarde anime, sur Strategika.fr : « Le point sur le Covid 19 ».
On était en Europe, n’est-ce pas ?
Les euromissiles nucléaires reviennent
Manlio Dinucci – il manifesto – 20.11.2020
via Réseau Voltaire
La crise des euromissiles, qui domina la politique européenne à la fin des années 70, va-t-elle se reproduire ? C’est manifestement ce que prépare le Pentagone, quel que soit le locataire de la Maison-Blanche.
Saint Georges terrassant le dragon. La sculpture a été réalisée à partir de fragments de missiles nucléaires soviétiques SS-20 et américains Pershing.
Quand, il y a plus de cinq ans, nous avions titré « Les missiles reviennent-ils à Comiso ? » [1], cette hypothèse fut ignorée par l’ensemble de l’arc politique et liquidée par quelque soi-disant expert comme « alarmiste ». L’alarme, malheureusement, était fondée.
Il y a quelques jours, le 6 novembre, la société Lockheed Martin (celle-là même qui produit les F-35) a signé un premier contrat de 340 millions de dollars avec l’US Army pour la production de missiles à portée intermédiaire, y compris à tête nucléaire, projetés pour être installés en Europe. Les missiles de cette catégorie (avec base au sol et portée entre 500 et 5 500 km) avaient été interdits par le Traité FNI, signé en 1987 par les présidents Gorbatchev et Reagan : il avait éliminé les missiles balistiques nucléaires Pershing 2, déployés par les États-Unis en Allemagne de l’Ouest, et les missiles nucléaires de croisière Tomahawk, déployés par les États-Unis en Italie (Comiso), Grande-Bretagne, Allemagne de l’Ouest, Belgique et Pays-Bas, et en même temps les missiles balistiques SS-20 déployés par l’Union Soviétique sur son territoire.
En 2014, l’administration Obama accusait la Russie, sans aucune preuve, d’avoir expérimenté un missile de croisière (sigle 9M729) de la catégorie interdite par le Traité et, en 2015, annonçait : « face à la violation du Traité FNI par la Russie, les États-Unis sont en train de considérer le déploiement en Europe de missiles avec base au sol ». Le témoin est ensuite passé à l’administration Trump, qui en 2019 a décidé le retrait des États-Unis du Traité FNI, en accusant la Russie de l’avoir « délibérément violé ».
Source : https://www.voltairenet.org/article211694.html
Ça rappellera de joyeux souvenirs à certains…
Heureusement, pas à beaucoup.
Absurdistan :
après un reconfinement ubuesque, la muselière humaine, les attentats sous faux drapeau, la censure, voici venu le temps du Blackout et de l’obscurité
Strategika 51– 20.11.2020
Après la manipulation du COVID-19, un confinement généralisé des populations, l’imposition forcée d’une muselière humaine, plusieurs attentats sous fausse bannière, une dérive liberticide et totalitaire en filigrane, la France va-t-elle bientôt se retrouver dans le noir?
C’est ce qu’un membre du gouvernement a laissé entendre. La menace des phénomènes de pénurie d’énergie électrique et des coupures généralisées ou blackout est donc bien réelle en cette fin d’année 2020.
Vidéo promise, vidéo due.
Tir de barrage contre « Hold-up » : la censure comme objectif
Régis de Castelnau – Vu du droit – 13.11.2020
Attention ! Nous ne partageons pas – mais alors pas du tout ! – l’engouement de Me de Castelnau pour Front Populaire. Sur son animateur, Michel Onfray, nous partageons totalement le sentiment de M. Jacques-Marie Bourget. La vidéo ci-dessous n’a rien à voir, d’ailleurs, avec les successeurs de BHL & C°. D’autre part, Me de Castelnau fait plus que des réserves sur le site de Mediapart et son animateur Edwy Plenel. Il a sans doute raison et il faut le prendre au sérieux. N’empêche que le site Médiapart héberge les blogs de beaucoup de personnes intéressantes et indépendantes, dont celui de M. Bourget. L.G.O.
La diffusion du documentaire « Hold-up » provoque une polémique géante, dans un climat de cacophonie impressionnante, de pulsions liberticides plus qu’inquiétantes, et de désolantes courses à la respectabilité bourgeoise.
Il se trouve que les réalisateurs m’ont sollicité et que j’ai été amené à répondre à leurs questions. Sur le fond je n’ai fait que répéter ce que je dis déjà depuis un moment sur les différentes tribunes qui me sont offertes. C’est-à-dire que la gestion de la pandémie par l’actuel pouvoir politique s’effectue dans un cadre juridique dévoyé.
Je ne me suis pas prononcé sur la pertinence des mesures passablement violentes qui sont imposées à un peuple entier. J’estime n’en avoir pas les compétences, même si j’essaie de me forger une conviction en écoutant les avis de ceux qui ont a priori une certaine légitimité et dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils ont du mal à se mettre d’accord. J’ai simplement relevé que le modèle contraignant qui nous est imposé l’était la plupart du temps en violation des règles de l’État de droit qui devrait régner dans notre pays. Qu’outre leur caractère régulièrement illégal, elles ont à peu près systématiquement une dimension essentiellement punitive, et ont tendance à traiter le peuple français comme un ramassis d’enfants irresponsables et méprisables.
Je pense comme beaucoup de commentateurs et d’hommes politiques, par exemple Jean-Luc Mélenchon récemment, que la dérive autoritaire du pouvoir politique dans notre pays est très préoccupante. Je ne considère pas qu’il s’agit là de la mise en œuvre d’une stratégie pensée et organisée très en amont, mais pour le pouvoir macroniste, d’un « effet d’aubaine » qui aggrave la pente naturelle d’un système minoritaire utilisateur régulier des atteintes aux libertés publiques. Et je crains qu’il soit difficile ensuite de revenir en arrière, et de les restaurer dans leur plénitude.
Je pense par conséquent, peut-être à tort, qu’il est difficile de prétendre que je manque de cohérence. Et j’attends de pied ferme dans le cadre d’un débat contradictoire normal dans une démocratie, que l’on réfute ce que j’avance.
Source : https://www.vududroit.com/2020/11/tir-de-barrage-contre-hold-up-la-censure-comme-objectif/
Et voici la pièce à conviction :
Ou ici :
https://odysee.com/@Honeywellcom:d/HOLD-UP-film-documentaire-:d
Ou encore ici :
https://gloria.tv/post/78x7ufjhzMzA1cx13xMYJvpNc
Tiens, pendant qu’on y est :
Symphonie du Nouveau-Monde
C’est sur Entre la plume et l’enclume :
https://plumenclume.org/blog/623-symphonie-du-nouveau-monde
Et le COVID dans tout ça ? Euh…
Source : E & R – Dessins de la semaine.
Mis en ligne le 20.11.2020
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