Timeo Danaos…
C’est quoi « un cadeau de Grec » ?
Vous allez le savoir tout de suite.
Le FMI a prédit correctement l’arrivée de la vaccination obligatoire dans toute la Russie, après avoir offert 18 milliards de dollars au Kremlin
Edward Slavsquat – Anti-Empire – 21.11.2021
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Article lié : IMF Made Loans to Belarus Conditional on a Lockdown. Lukashenko Turned Them Down (Le FMI a offert des prêts à la Biélorussie à condition qu’elle ordonne un confinement. Loukachenko l’a envoyé paître)
Le partage des signets de Slavsquat ne coûte aucun Droit de Tirage Spécial.
Avant le mois d’octobre, la plupart des 85 régions de Russie n’avaient que peu (ou pas) de restrictions liées au COVID ; les mandats exigeant des entreprises qu’elles vaccinent la majorité de leurs employés – introduits à Moscou et dans plusieurs autres régions en juin – n’étaient pas encore devenus la norme.
Tout a changé après les élections à la Douma d’État, fin septembre. S’exprimant un jour avant l’annonce des résultats des élections, Annette Kyobe, représentante du FMI en Russie, a fait une observation prophétique. Comme l’a rapporté l’agence TASS à l’époque :
« Il n’y a aucun goût [en Russie] pour les mesures restrictives, le confinement, etc., du moins de la part des plus hautes autorités de l’État. […] Après les élections législatives, il est possible qu’une mesure plus impopulaire, comme la vaccination obligatoire, puisse être imposée dès octobre-novembre. »
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/15445-2/
La nuit dernière, M. Slavsquat (quel pseudo !) nous réservait une autre surprise :
Une disciple de Bill Gates dans le gouvernement russe
Edward Slavsquat – Anti-Empire – 22.11.2021
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Veronika Skvortsova a joué un rôle clé dans la réaction russe au COVID. Par coïncidence, elle fait partie d’un comité de « préparation à la pandémie » lié à Gates, aux côtés d’Anthony Fauci.
Pourquoi le Kremlin est-il en phase avec les mesures dépravées du COVID de l’Occident ? Veronika Skvortsova pourrait le savoir.
Il semble y avoir un lien direct entre Bill Gates et la réaction de la Russie au COVID. C’est quand même un peu inquiétant.
Nous avons eu l’heureuse surprise de trouver ce tuyau juteux dans un passage explosif du nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr sur le sympathique tueur de virus Anthony Fauci. À vrai dire, nous avions précommandé ce livre sur Amazon, et… oublié de le lire. Grosse erreur, tant de scoops ! Voyez plutôt :
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/une-disciple-de-bill-gates-dans-le-gouvernement-russe/
C’est ainsi que commencent les Thermidor
Vu son importance, nous publions, in extenso, l’article inquiétant que nous venons de recevoir :
Opinion : Complot des libéraux contre Vladimir Poutine [Igor Skurlatov]
RusReinfo – 23.11.2021
Le professeur Igor Skurlatov évoque la tentative de destitution du président. Le professeur Skurlatov est convaincu que la poussée active du projet sur les codes QR en Russie porte un autre objectif bien voilé – exposer le chef de l’État russe, Vladimir Poutine, dans une tentative de destitution.
Politologue russe, chef de la coalition « Troisième Force », le professeur Igor Skurlatov est l’un de ces experts qui non seulement s’opposent au contrôle croissant de l’État sur la société, contrôle devenu presque menaçant avec la pandémie, mais qui y voient aussi des signes de gros problèmes imminents.
Ainsi, Skurlatov considère le sujet de l’examen prochain par la Douma d’État d’un projet de loi sur l’utilisation obligatoire des codes QR dans les lieux publics et dans les transports discuté ces derniers jours, comme un moment particulièrement alarmant. Et si avant l’expert et nombre de ses collaborateurs se limitaient à des critiques aux épithètes pas des plus plaisantes dans l’esprit du « camp de concentration numérique », il parle aujourd’hui de choses bien plus inquiétantes.
Par exemple, Igor Skurlatov est convaincu que la poussée active du projet sur les codes QR en Russie porte un autre objectif bien voilé – mettre le chef de l’État russe Vladimir Poutine sous attaque, faire de lui le coupable de presque tous les troubles de citoyens et en fin de compte l’éliminer du pouvoir.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/complot-des-liberaux-contre-vladimir-poutine/
Qu’on nous pardonne cette parenthèse :
« Mais le bloc adverse, devenu la « Seconde Force » à la place de Navalny, reste pour l’instant, hélas, le seul groupe capable d’accéder au plus haut pouvoir. »
dit le Prof. Skurlatov
Qu’est-ce que, diable, il entend par là ?
Car, dans ce cas, le danger ne serait pas très grand. Avec leurs 2% de partisans, on ne les voit pas s’approcher même de la première cour du Kremlin.
Évidemment, si les 2% de navalnistes sont tous oligarques, milliardaires ou ministres de la Santé, il y a quand même quelque souci à se faire.
Le plus inquiétant, en réalité, est qu’à l’évidence on est en train d’assister à une convergence des médiocrités avides et sans scrupules pour écarter par tous les moyens possibles ce qui constitue le principal obstacle à la satisfaction de leurs appétits, et que cela commence à furieusement ressembler aux 40 jours qui, en France, ont précédé Thermidor.
L’histoire peut-elle se répéter à ce point-là ? Il ne faudrait pas trop s’en étonner.
Comme on ne croit pas aux portraits d’un V.V. bourgeois, mou, cul et chemise avec Schwab (naïveté de notre part ?) mais qu’en outre V.V. n’est pas le seul de son bord dans le jeu de billes, qu’autour de lui il y a notamment l’indéfectible Lavrov et le surprenant Choigou, on se dit non sans angoisse pour les Russes et pour nous par ricochet que, si cette poignée d’hommes (ils sont combien ?) est acculée au point de devoir donner à ses ennemis de tels gages – fussent-ils verbaux, mais plus seulement à brève échéance – c’est que les choses vont vraiment mal.
Paranoïa ?
Nous le savons bien qu’un effondrement aussi impensable est possible. Nous l’avons vu chez nous, et nous avons même eu le temps d’apprendre comment, minute par minute, il l’a été.
Que peuvent quelques hommes, même hors du commun, contre « la force des choses » ?
Nous avons rappelé, il y a peu, le précédent du général De Gaulle. Mais nous avons omis/oublié (honte sur nous !) de lui opposer le seul exemple connu d’un homme d’État qui a réussi, pendant près d’un demi-siècle – jusqu’au jour de sa mort en fait – à tenir d’une main ferme les rênes de l’Intérieur et de l’Extérieur et à forcer ces deux chevaux de Platon réputés indomptables à galoper de concert, dans la même direction.
Fidel.
Fidel et Raùl.
Et tous les autres, hommes et femmes.
Et – touchons du bois – tous ceux qui sont en train de leur succéder.
Ah, si Vladimir Vladimirovitch l’avait vu (peut- être l’a-t-il vu mais il était bien jeune) avec une pneumonie faire des discours de quatre heures aux Cubains, s’échiner à les persuader de manger des œufs !
Les Cubains élevaient des poules et n’aimaient pas les œufs. Ce sont des choses qui arrivent. Mais comme « gouverner c’est prévoir », el Comandante savait que les États-Unis n’allaient jamais leur faire de cadeaux et les affameraient s’ils pouvaient. Alors, expliquer à des foules sceptiques à quel point un œuf peut vous maintenir en vie grâce à tout ce qu’il renferme sous une forme aussi condensée ne lui a jamais semblé vain ni indigne de lui ou d’eux. Il l’a fait alors, il l’a fait toujours, à chaque étape d’un calvaire collectif qui dure encore.
Gouverner par la persuasion. La plus difficile entreprise qui soit.
Si Vladimir Poutine et les siens s’imaginent qu’il existe une autre voie susceptible de réussir, on a très peur qu’ils se trompent.
La Russie n’est pas – ne peut pas être – dans une situation pire ou plus périlleuse que celle de Cuba : c’est impossible.
Peut-être l’osmose entre l’homme d’État et le peuple est-elle plus facile dans une île densément peuplée que dans le plus vaste pays du monde, très loin d’être densément peuplé.
Pourtant, quelque chose nous dit que le président Poutine et la partie loyale de son gouvernement sont condamnés à chercher – et à trouver, et vite – le contact direct avec la population de Russie. C’est le seul soutien, s’ils pouvaient se l’assurer, qui ne leur ferait pas défaut.
On espère aussi (et on touche du bois en cachette) pour que ce qu’il y a de véritablement communiste en Russie ne cède jamais à la tentation de vouloir imposer ses principes au prix de la chute d’une équipe au pouvoir si insuffisante qu’elle soit à ses yeux, en oubliant qu’il y a, en coulisses, de bien plus sinistres forces autrement difficiles à vaincre. En somme, le Parti Communiste russe pourrait prendre exemple sur les femmes iraniennes, qui aimeraient certainement jouir d’une vraie liberté et sans voile obligatoire, mais qui savent où sont les priorités.
Franchement, qui sommes-nous pour donner des conseils, alors qu’on n’est même pas capables de balayer dans notre cour ?
L.G.O.
Mais les suites – ailleurs – ne sont pas mal non plus…
Vous le savez, au moins, qu’«ils »veulent que vous fassiez la guerre à la Russie ?
Entendez par là qu’il vous incombe d’aller canarder les Russes avec les bombes atomiques entreposées depuis des décennies sous vos pied à cet effet.
Et d’en supporter à leur place les conséquences.
Vu ?
En 1983*, une poignée de Belges – les CCC – ont tenté de vous avertir.
Bilan pour eux : perpète (les 10 ans légaux + quelques années de rabe en « fait du prince »).
On ne peut pas dire que ça vous ait empêchés de dormir.
Aujourd’hui, c’est à vous de jouer.
Jusqu’à ce que les Russes soient contraints et forcés – par vous – de faire de votre pays un joli grand trou.
L’Art de la guerre
Aux armes, l’ennemi est à nos portes
Manlio Dinucci – il manifesto – 23.11.2021
Traduction : Marie-Ange Patrizio
Le secrétaire général de l’OTAN Stoltenberg a rencontré le président Draghi, le 17 novembre à Rome, pour affronter « les défis actuels contre la sécurité », provenant du « renforcement militaire de la Russie en Ukraine et autour d’elle ». Stoltenberg a remercié l’Italie parce qu’elle « contribue à notre présence dans la Région Baltique avec sa surveillance aérienne et ses troupes ». L’Aéronautique militaire italienne – spécifie le Ministère de la Défense – a déployé dans l’aéroport de Ämari en Estonie des chasseurs F-35A du 32ème Escadron d’Amendola et des chasseurs Eurofighter Typhon des 4ème Escadron de Grosseto, 36ème Escadron de Gioia del Colle, 37ème Escadron de Trapani et 51ème Escadron d’Istrana (Treviso). Quand des avions russes volent dans l’espace aérien international sur la Baltique, en général dans la direction de l’exclave russe de Kaliningrad, les chasseurs italiens reçoivent du commandement OTAN l’ordre de décollage immédiat sur alarme et en quelques minutes les interceptent. L’objectif officiel de cette opération est de « préserver l’espace aérien allié ». L’objectif réel est de faire apparaître la Russie comme une puissance menaçante qui se prépare à attaquer l’Europe. Ainsi alimente-t-on un croissant climat de tension : les F-35A et les Eurofighter Typhoon, déployés à quelques minutes de vol du territoire russe sont des chasseurs à double capacité conventionnelle et nucléaire. Que se passerait-il si des chasseurs russes analogues étaient déployés aux frontières des États-Unis ?
La « surveillance aérienne » aux frontières de la Russie entre dans la frénétique escalade militaire USA-OTAN en Europe contre un ennemi inventé, la Russie, dans un grand jeu stratégique de plus en plus périlleux. Celui-ci a été lancé en 2014 avec le coup d’état en Ukraine sous régie USA-OTAN, soutenu par l’UE, afin de provoquer en Europe une nouvelle guerre froide et renforcer l’influence et la présence des États-Unis en Europe. La Russie a été accusée d’avoir annexé par la force la Crimée, en ignorant que ce sont les Russes de Crimée qui ont décidé par referendum de se détacher de l’Ukraine et de rentrer dans la Fédération de Russie pour éviter d’être attaqués, comme les Russes du Donbass, par les bataillons néo-nazis de Kiev. Bataillons utilisés en 2014 comme force d’assaut dans le putsch de Place Maïdan, amorcé par des snipers géorgiens qui tiraient sur les manifestants et sur les policiers, et dans les actions successives : villages mis à feu et à sang, militants brûlés vifs à la Maison des Syndicats d’Odessa, civils sans armes massacrés à Mariupol, bombardés au phosphore blanc à Donetsk et Lugansk.
Stoltenberg et Draghi ont examiné aussi le thème de la « crise à la frontière de la Biélorussie avec la Pologne, la Lettonie et la Lituanie ». L’OTAN accuse la Biélorussie d’utiliser, avec le soutien de la Russie, « de vulnérables migrants comme instruments de tactique hybride contre d’autres pays, en mettant leur vie en péril ». Ceux qui défendent les migrants, qui expriment une crainte pour leur vies, sont ces mêmes responsables USA et OTAN, gouvernants italiens compris, qui dans les trente dernières années ont mené la première guerre contre l’Irak, la guerre contre la Yougoslavie, la guerre en Afghanistan, la seconde guerre contre l’Irak, la guerre contre la Libye, la guerre contre la Syrie. Guerres qui ont démoli des États entiers et désagrégé d’entières sociétés en provoquant des millions de victimes, en contraignant des millions de personnes à l’émigration forcée.
Le jour après la rencontre avec Draghi, Stoltenberg a assisté au 70ème anniversaire du NATO Defense College, dans lequel ont été diplômés à Rome depuis 1951 environ 15.000 militaires et civils de 80 pays membres et partenaires de l’Alliance. Après avoir été instruits sur chaque aspect de la « sécurité internationale », ils sont allés « assumer les plus hautes charges civiles et militaires » c’est-à-dire des postes de responsabilité dans les gouvernements et dans les forces armées des pays membres et partenaires de l’OTAN. Dans cette université de la guerre, où on enseigne les stratégies les plus sophistiquées, le plus important secteur est consacré à la Russie. Maintenant il sera flanqué d’un autre secteur. Dans son discours de cérémonie, le Secrétaire général de l’OTAN a en effet souligné : « La Russie et la Chine sont en train de mener une offensive autoritaire contre l’ordre international fondé sur les règles » (1). Mais Stoltenberg a oublié de préciser « sur nos règles ».
Édition de mardi 23 novembre 2021 d’il manifesto
All’armi, il nemico è alle porte | il manifesto
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Note (1) pour la version française :
“Russia and China are leading an authoritarian push-back against the rules-based international order”, discours prononcé en anglais, non traduit en français sur le site de l’OTAN, seulement en russe et ukrainien : https://www.nato.int/cps/en/natohq/opinions_188757.htm.
Résumé en français (sans la phrase sur Russie et Chine) : https://www.nato.int/cps/fr/natohq/news_188775.htm?selectedLocale=fr
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* À l’époque, dans plusieurs capitales, des millions venaient de manifester dans les rues contre la présence de ces bombes. Ce qui a définitivement démontré – mais pas pour tout le monde – l’utilité des manifs. Les toutes dernières en date, ici recensées par Les 7 du Québec, prouvent abondamment que manifester à mains nues contre des robocops armés jusqu’aux cheveux n’a jamais mené personne nulle part, sinon en taule ou à l’hosto : https://les7duquebec.net/archives/268426
P.S. Ne ratez quand même pas le Guadeloupéen en T-Shirt jaune !
« Aujourd’hui, c’est à vous de jouer ».
Réponse : le silence des pantoufles
Euh, non, pas tout à fait : dimanche, ils étaient 50.000 à Bruxelles, alors qu’en mai, ils n’étaient que 5.000.
D’accord, mais toujours à mains nues, les 50.000, et en pantoufles les autres.
Le Vilain Petit Canard en a gros sur la patate, mais au moins, il peut être assez fier de ses lecteurs :
https://www.levilainpetitcanard.be/le-silence-des-pantoufles/
Là où il se passe des choses
Vous ne le savez pas ?…que
Entre autres…
« …il sera certainement nécessaire d’accroître l’interaction avec l’axe latino-américain souverainiste et poursuivre la défense des pays concernés face aux manœuvres de déstabilisation étasunienne ».
(Et La Guadeloupe ? La Réunion, c’est un peu loin, mais les Chinois pourraient s’en occuper…)
Mer Noire : Les lignes rouges de Poutine et les remèdes aux provocations de l’OTAN
Mikhail Gamandiy-Egorov – Al Manar – 22.11.2021.
Source d’origine : Observateur Continental
Les bombardiers stratégiques des pays de l’OTAN volent à une distance de 20 kilomètres des frontières de la Russie, ce qui constitue une ligne rouge pour le chef de l’État russe Vladimir Poutine. Face aux agissements occidentaux, il est évident que la Russie devra prendre des mesures dissuasives supplémentaires.
Participant à une réunion élargie avec le ministère russe des Affaires étrangères, Vladimir Poutine n’a pas manqué d’aborder la question des récentes actions otanesques en mer Noire: « En ce qui concerne la mer Noire, les derniers événements dépassent certaines limites. Des bombardiers stratégiques volent à une distance de 20 kilomètres de notre frontière étatique et ils portent, comme vous le savez, des armes très sérieuses ».
Le président russe a également attiré l’attention sur le fait que les actions des pays occidentaux, qui aggravent la situation présente, se déroulent non seulement en mer Noire, mais également dans d’autres régions proches des frontières de la Fédération de Russie. « Oui, nous exprimons constamment nos inquiétudes à ce sujet, nous parlons de lignes rouges, mais, bien sûr, nous comprenons aussi que nos partenaires étant très particuliers et qui, en employant un euphémisme – traitent tous nos avertissements et échanges en matière de lignes rouges de manière très superficielle », a déclaré le chef de l’État russe.
Pour autant, il a rappelé que la Russie réagira à ces défis. « L’Otan a pris son initiative pour rompre tous les mécanismes de dialogue. Nous répondrons bien évidemment de manière appropriée à l’activité militaire des otanesques le long du périmètre des frontières russes ». Tout en soulignant que la Russie n’a pas besoin de conflits à ses frontières occidentales. « Nos récents avertissements (aux pays occidentaux, ndlr) se font encore ressentir et produisent un certain effet. Une certaine tension est apparue là-bas. Nous devons maintenir cet état pour eux aussi longtemps que possible, afin qu’ils ne pensent même pas à organiser à nos frontières occidentales une sorte de conflit dont nous n’avons pas besoin ».
Source : https://french.almanar.com.lb/2195932
Il ne faudrait quand même pas les reculer tout le temps, les lignes rouges…
Eh, non, les GI’s ne se retirent pas d’Irak. Au contraire…
En Irak, où il ne se passe pas de jour sans que la Résistance s’en prenne durement aux forces d’occupation :
Irak : bases US précipitamment réarmées
Pars Today – 22.11.2021
Il paraît que plusieurs tours de pourparlers stratégiques entre Bagdad et Washington pour mettre fin à la présence militaire américaine en Irak sous prétexte de lutter contre Daech n’ont pas porté le fruit attendu et que les GI’s préfèrent rester en Irak.
Un analyste irakien démentant les affirmations américaines selon lesquelles les troupes américaines quitteraient l’Irak d’ici la fin de cette année a annoncé que les bases américaines en Irak seraient équipées de plus de systèmes de défense aérienne.
L’analyste irakien, Saad Mohammed al-Kaabi, a révélé ce dimanche 21 novembre que les États-Unis avaient envoyé de nouveaux systèmes de défense C-RAM dans leurs bases et leur ambassade à Bagdad pour se préparer à ce qui pourrait leur arriver après la fin de cette année.
La nouvelle mesure américaine s’inscrit dans le cadre d’empêcher d’éventuelles attaques contre les ambassades et les bases américaines en Irak surtout après qu’il est devenu clair que l’accord de retrait des États-Unis d’Irak n’était rien d’autre qu’une tentative de plaire à ceux qui cherchaient l’accord.
Le Parlement irakien a approuvé une résolution exigeant l’expulsion des troupes américaines et non américaines le plus tôt possible d’Irak en janvier 2020 à la suite de l’attentat à la vie du commandant en chef de la Force Qods du CGRI, le général Qassem Soleimani et son compagnon, Abou Mahdi al-Mohandes, chef adjoint des Hachd al-Chaabi. Selon la résolution, de nombreux groupes irakiens considèrent les forces américaines en Irak comme des occupants et insistent sur le retrait immédiat de ces forces de leur territoire.
La Guadeloupe à l’avant-garde des luttes
Entre la plume et l’enclume – 23/11/2021
La Guadeloupe, une planète où les syndicats organisent et encadrent la riposte aux abus patronaux et étatiques. Forte de sa tradition rebelle bien enracinée, la Guadeloupe montre l’exemple une fois de plus.
Dernière minute : Castex promet des « vaccins » sans ARN modifié aux soignants. Ah bon ? Et les soignants en métropole, alors ? Et les autres ? Apparemment, ça existe, mais c’était probablement réservé aux zélites. Seule la pression PHYSIQUE et MASSIVE fera reculer les larbins de Pfizer au pouvoir en Macronie !
Source : https://plumenclume.org/blog/768-la-guadeloupe-a-l-avant-garde-des-luttes
Derrière Kissinger, Barak Obama et Al Gore ?
Investig’Action se demande s’il ne faudrait pas donner le Prix Nobel de la Paix à Julian Assange
Évidemment, à défaut de l’empêcher de mourir…
AUX 4 COINS DE L’HEXAGONE
« Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels ». Colonel Jacques Amiot
Un colonel en gilet jaune, ça ne se voit pas tous les jours…
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/messieurs-je-ne-vous-salue-pas/
Hollande et son État voyou au service d’Israël en Syrie
Mise à jour par Thierry Meyssan, le 23 novembre 2021 : « L’Occident, simulacre de liberté. »
Entre la plume et l’enclume – 23.11.2021
2014 : La France met à disposition des Forces spéciales et la multinationale Lafarge. Un bref retour en arrière est ici nécessaire. En juin 2008, l’OTAN organisait la réunion annuelle du Groupe de Bilderberg à Chantilly (États-Unis) au cours de laquelle Hillary Clinton et Barack Obama se présentèrent aux participants. Parmi les 120 présents se trouvaient Basma Kodmani (la future porte-parole de la Coalition nationale syrienne) et Volker Perthes (le futur assistant de Feltman à l’ONU pour la Syrie). Lors d’un débat sur la permanence de la politique étrangère états-unienne, ils intervinrent pour présenter l’importance des Frères musulmans et le rôle qu’ils pourraient jouer dans la « démocratisation » du monde arabe. Jean-Pierre Jouyet (le futur secrétaire général de l’Élysée), Manuel Valls (le futur Premier ministre) et Bertrand Collomb (le patron de Lafarge) étaient présents aux côtés de Henry R. Kravis (le futur coordinateur financier de Daech).
Source : https://plumenclume.org/blog/767-hollande-et-son-etat-voyou-au-service-d-israel-en-syrie
Source d’origine : https://www.voltairenet.org/article214790.html
Surtout ne ratez pas la ministre Pannier Runacher et ses « la magie-ah » du « ballet-ah » des « hommes-ah »… c’est magique !
« La 3ème dose c’est carrément de la magie ! »
Charles Sannat – Insolentiae – 23 Nov 2021
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
William Dab n’est pas n’importe qui, c’est l’ancien DGS de notre pays, l’ancien directeur général de la santé.
Un grand mamamouchi avec plein de galons donc.
C’est en plus un type qui, je pense, est intelligent.
D’ailleurs, il semble un peu hésiter et les professionnels de la communication verbale et non verbale pourraient étudier cette séquence qui sera sans doute un jour dans les manuels.
Que nous dit-il ?
Que la troisième dose c’est de la magie. Pourquoi ? Hésitation, parce que, parce que et je réponds à côté parce qu’en fait il n’en sait strictement rien, et personne ne sait rien à part que Pfizer nous explique que son sérum est efficace à 98%, mais que plus il est efficace, plus le nombre de cas augmente. Ce n’est pas moi qui dit que les cas augmentent. Ce sont les autorités.
Plus on pique, plus nous avons de cas.
C’est vrai que cela relève de la magie !
Source : https://insolentiae.com/la-3eme-dose-cest-carrement-de-la-magie-ledito-de-charles-sannat/
Et last mais pas least…
La charge du professeur Perronne contre le vaccin anti-Covid
Sabine Faivre – Boulevard Voltaire – 22.11.
Le professeur Perronne, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches et grand spécialiste des vaccins, est devenu persona non grata des plateaux télé depuis quelques mois. La raison ? S’être élevé de façon virulente contre ce qu’il estime être la supercherie du « vaccin » anti-Covid et la gestion de la crise par Emmanuel Macron.
Sur le fond, que dit le professeur Perronne, interviewé, le dimanche 21 novembre, sur le plateau de CNews par Ivan Rioufol ?
« Si c’était pas aussi dramatique, je rigolerais, parce qu’il n’y a pas de cinquième vague, l’épidémie est quasiment terminée, en France, affirme-t-il. On est sortis de la crise […] Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie. » À l’appui, un graphique présentant l’évolution du nombre de décès attribués au Covid, en 2021 : effectivement, la courbe s’est manifestement effondrée.
Source : https://www.bvoltaire.fr/la-charge-du-professeur-perronne-contre-le-vaccin-anti-covid/
Mis en ligne le 24 novembre 2021
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