« Qui t’a fait roi ? » s’écrie quelqu’un. Les Zuniens perdraient-ils le respect qu’ils doivent à leurs élites ?

 

 

Bill Gates franchit le Rubicon numérique : Plus question de rassemblements de masse tant que la planète entière n’aura pas été vaccinée !

 

Robert Bridge – Strategic Culture Foundation

via TheDuran – 8.4.2020

 

 

 

 

« Ces craintes ont pris plus de signification encore quand Bill Gates a benoîtement donné, ce week-end, une interview à couper le souffle à CBS. Car, ce matin, Gates a dit à son hôte Anthony Mason que les rassemblements de masse pourraient se voir interdire à l’âge du Coronavirus, à moins et pas avant qu’une vaccination à l’échelle planétaire ait été mise en œuvre »

 

Un thème récurrent chez les théoriciens du complot, est que l’élite n’attend que le moment opportun pour déployer sa technologie de « marquage de la bête », pour pouvoir identifier et contrôler à distance chaque être humain, n’importe où sur la planète, scellant ainsi son plan de gouvernement planétaire unique. Et, vu le nombre de gens prêts à tout et à n’importe quoi pour pouvoir retrouver un certain degré de normalité, ces craintes paraissent de plus en plus justifiées avec chaque jour qui passe.

Dans le Livre des Révélations [13 :16-17], il est un passage qui n’a pas manqué de frapper l’imagination des croyants et des non-croyants, à travers les âges et sans doute aujourd’hui plus que jamais :

 

« Et il fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et qu’aucun ne pût vendre ni acheter qu’il ne portât la marque… »

 

Saint Jean fut-il, à Patmos, le premier théoricien du complot de l’histoire, ou est-ce nous qui passons notre temps, aujourd’hui, à prophétiser pour nous-mêmes ? Quoi qu’il en soit, beaucoup de gens répugneraient certainement à se laisser marquer d’un code identifiant même s’il n’en avait jamais été question dans les Saintes Écritures. Mais cela n’empêche certainement pas Bill Gates, fondateur de Microsoft, qui met en garde depuis des années contre une pandémie mondiale, de vouloir nous infliger de force des technologies si controversées.

En septembre 2019, trois mois avant que le Coronavirus fasse son apparition en Chine, une société biométrique basée à San Francisco, qui compte Microsoft parmi ses membres fondateurs, a tranquillement annoncé qu’elle travaillait sur un nouveau projet impliquant « l’exploration de multiples techniques biométriques d’identification des nourrissons » axée sur « l’immunisation infantile » et n’utilisant que les « approches les plus fructueuses ».

 

 

Alternative News

@NewsAlternative

Dans une nouvelle interview, Bill Gates affirme avec autorité que les rassemblements publics ne reviendront pas « du tout » tant que tout le monde n’aura pas été vacciné en masse. Qui l’a fait roi du monde ? cbsnews.com/video/extended-interview-bill-gates-on-coronavirus-pandemic/

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Pour qui se demanderait ce que peuvent bien être ces « approches les plus fructueuses », il est n’est pas sans intérêt de savoir quels sont les principaux concurrents en lice dans cette affaire. Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont mis au point ce qui est essentiellement un tatouage high tech, capable de stocker des données sous la peau au moyen d’un colorant invisible. La « marque » serait imposée au moyen d’un vaccin très probablement administré par Gavi, l’agence de vaccination planétaire, qu’on retrouve également sous le parapluie de la Bill & Melinda Gates Foundation.

« Les chercheurs ont montré que leur nouvelle teinture, qui consiste en nanocristaux appelés points quantiques, émet une lumière proche de l’infra-rouge, laquelle est détectable à l’aide d’un smartphone spécialement équipé », rapporte MIT News. Et si le lecteur de l’article en question descend jusqu’en bas, il découvre que cette étude a été, dès l’abord et principalement, financée par le Fondation Bill & Melinda Gates.

Aujourd’hui, avec l’immobilisation forcée de l’économie mondiale de services, dans le but d’empêcher d’importants groupes de personnes infectées de s’assembler, il devient plus facile d’imaginer le jour où on pourra obliger les gens à laisser scanner leur identité tatouée avant de pouvoir pénétrer dans n’importe quel endroit public. Et, de là, il ne faut plus faire un trop grand effort d’imagination pour voir que la même nanotechnologie de repérage pourrait être utilisée dans la totalité de l’économie mondiale, par exemple, pour éliminer l’utilisation d’argent « sale ». Après tout, si les sacs réutilisables peuvent être mis hors la loi par la pan(ique)démie du Coronavirus, pourquoi l’argent réutilisable [physique, NdT] aurait-il droit à un traitement spécial ?

Écrivant au début de ce mois-ci dans ces pages, l’analyste géopolitique Pepe Escobar avance un argument irréfutable lorsqu’il dit que le Coronavirus, qui entraîne le monde vers une Nouvelle Grande Dépression, est secrètement utilisé pour dissimuler l’instauration d’un nouveau système financier numérique en bonne et due forme, comprenant une vaccination forcée par nanopuce, à son tour  créatrice d’une nouvelle identité, numérique elle aussi.  En guise de futur scénario possible, Escobar imaginait « des grappes de villes intelligentes (smart cities) reliées par IA (intelligence artificielle), où les gens seraient contrôlés à plein temps et dûment micropucés, occupés à faire “ce qu’ils doivent” avec une seule monnaie numérique unifiée… »

Ces craintes ont pris plus de signification encore quand Bill Gates a benoîtement donné, ce week-end, une interview à couper le souffle à CBS. Car, ce matin, Gates a dit à son hôte Anthony Mason que les rassemblements de masse pourraient se voir interdire à l’âge du Coronavirus, à moins que et pas avant qu’une vaccination à l’échelle planétaire n’ait été mise en œuvre »

[…]

 

On peut voir ici l’intégralité de l’interview du 2.4.2020

 

 

 

Texte de l’interview en anglais :

https://www.cbsnews.com/news/coronavirus-microsoft-founder-bill-gates-federal-order-social-isolation-combat-pandemic/

 

 

Selon Gates, tout ce qui peut être défini « rassemblement de masse – des spectateurs emplissant un stade pour n’importe quel événement sportif aux manifestants descendus dans les rues pour protester contre quelque chose – doit désormais être considéré comme un acte de désobéissance civile, s’il n’est assorti d’un vaccin. Il est peu surprenant que Gates choisisse le concept de « rassemblement de masse » pour nous coincer tous, car qu’est-ce qu’une société démocratique moderne sinon un rassemblement de masse après l’autre ? De fait, vu que personne ne tiendrait à manquer un événement important comme le Super Bowl, le Comic-Con ou – Dieu nous assiste ! – l’Eurovision, des millions de gens ne pourraient manquer de faire la queue sur des kilomètres pour recevoir leur petite inoculation patronnée par Micrfosoft, quand bien même elle comporterait des technologies d’espionnage.

 

 

Roosh

MIT travaille à un tatouage quantique qui vous marquera d’une identité invisible tout en vous inoculant un  vaccin. Devinez qui a financé le projet ? http://news.mit.edu/2019/storing-vaccine-history-skin-1218 …

 

 

Les ingénieurs du MIT ont développé un moyen de stocker  des informations médicales sous la peau en utilisant un colorant à points quantiques, administré avec un vaccin par un tampon à micro-aiguilles. Le colorant, invisible à l’œil nu, peut être lu au moyen d’un smartphone spécialement conçu.

Cette recherche a été financée par la Fondation Bill & Melinda Gates et a reçu la subvention « Institut Koch » de l’Institut National du Cancer.

 

Réponse à Roosh :

Les médias, les laboratoires et les professeurs du MIT ont aussi reçu des contributions massives d’Epstein – tout le système universitaire et de recherche a été subverti.

 

 

Tout ceci ressemble à de la démence, surtout si on se rappelle qu’il existe, pour vaincre le Coronavirus, d’autres options qu’un régime obligatoire de vaccination universelle.

Pas plus tard que le mois dernier, le Dr. Anthony Fauci, Directeur du NIH (National Institute  of Allergic and Infectious Diseases), a déclaré à une Sous-Commission du Sénat que plus de 80% des personnes infectées par le Coronavirus « guérissent spontanément » sans aucune intervention médicale. C’est à se demander pourquoi le confinement total a été imposé à tout le monde, au lieu de l’être aux seules personnes déjà malades ou très âgées. Entretemps, le médicament appelé hydroxychloroquine – qui a été minimisé par les médias, bien qu’il ait été désigné comme traitement le plus efficace contre le Corona par plus de six mille médecins de terrain, dans un rapport exhaustif – commence à être reconsidéré.

Cette semaine, à la suite du Nevada, le Michigan a renversé la vapeur et est donc, à présent, le deuxième État à exiger ce médicament anti-malaria de l’administration Trump.

On dirait donc que nous voilà partis aux courses pour voir ce qui deviendra la méthode approuvée de lutte contre la pandémie planétaire : un vaccin développé à la hâte, capable en réalité d’empirer les effets de la maladie chez ceux qui la contractent ou le médicament peu coûteux et déjà éprouvé hydroxychloroquine.

Si le gagnant de la course est un vaccin mondial éventuellement agrémenté d’une identification par nanotechnologie, ne vous attendez pas à ce que les riches fassent la queue avec leurs enfants pour être les premiers à se faire inoculer. En 2015, l’American Journal of Public Health a enquêté dans 6.200 écoles de Californie – épicentre de la recherche en identité biométrique – et découvert que les exemptions de vaccination y étaient deux fois plus nombreuses qu’ailleurs, dans les écoles maternelles des institutions privées.

Il semble que les élites parient lourdement sur le développement d’un vaccin d’identification qui mettrait sur le même plan toutes les races et toutes les institutions, heureux sous un même toit, mais il est clair que, sous ce gouvernement unique, ils continueront, eux, à vivre dans leurs propres quartiers bien clôturés. S’ils recevront ou non une « dispense spéciale » de porter cette marque new-age est une autre affaire.

 

Source : https ://theduran.com/bill-gates-crosses-the-digital-rubicon-says-mass-gatherings-may-not-return-without-global-vaccine/

Source d’origine : https ://www.strategic-culture.org/news/2020/04/08/bill-gates-crosses-digital-rubicon-says-mass-gatherings-may-not-return-without-global-vaccine/

Traduction : c.l. pour Les Grosses Orchades

 

Robert Bridge est un écrivain et journaliste américain. Il est l’auteur du livre ‘Midnight in the American Empire,’ publié en 2013. Il contribue à Strategic Culture Foundation et à RT.

 

URL de cet article :  http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/bill-gates-franchit-le-rubicon-numerique/

 

 

 

 

Avril 2020

 

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