– Vous ne le savez pas que l’être humain n’a pas vraiment de libre-arbitre, que tout est prédéterminé, que l’Histoire n’est qu’un éternel recommencement ?

– Il faut faire comme si.  (Saint-Just)

 

 

 

 

Mikhaïl Kalatozov, réalisateur du célèbre Quand passent les cigognes – grand prix du Festival de Cannes 1958 (première et dernière Palme d’or pour le cinéma soviétique) – a fait beaucoup d’autres films dédaignés par l’Occident. Celui-ci est son avant-dernier. Beaucoup moins connu. À tort.

Et son cameraman de génie s’appelait Sergueï Ouroussevski.

 

 

 

SOY CUBA

(film soviétique, réalisé par Mikhail Kalatozov en 1964)

 

 

 

 

 

 

Battista, Pinochet, Johnson, Nixon, Bush, Bush, Biden, Netanyahou, Tartempion… « Ils » ont tué et tuent, en masse et en détail, un nombre infini de héros, d’humains ordinaires, d’animaux, de plantes, d’oeuvres d’art irremplaçables.  Ils n’ont jamais réussi à tuer Fidel.

L’embargo le plus long de tous les temps (décrété le 7 février 1962 et reconduit ces jours-ci) s’acharne en vain sur ce qu’il a semé.

 

 

 

 

Pour en savoir plus sur Mikhaïl Kalatozov et sur son film, voir ici :

https://fr.rbth.com/art/92226-film-sovietique-soy-cuba-mikhail-kalatozov?utm_source=Newsletter&utm_medium=Email&utm_campaign=Email

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 10 novembre 2023

 

 

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