Heureux qui comme Ulysse, a fait un beau voyage
Ou comme cestui là qui conquit la toison
Et puis est retourné, plein d’usage et raison
Vivre entre ses parents le reste de son âge

 

 

BENALLA PAR-CI, BENALLA PAR LÀ…

(On a les cadeaux de Nouvel An qu’on peut)

 

Il paraît que Michel Houellebecq sort un livre. Pour lequel vont sonner partout – préemptivement – les trompettes de la renommée.

L’Ajiaco d’Anatole Atlas, en revanche, n’a pas eu droit à la plus minime des recensions dans Le Swar de Bruxelles, qui va sûrement y aller de sa petite promo provinciale à Mimi cependant. (« Lettres françaises de Belgique » ? Tiens, fume !)  L’auteur constate.

Quand on sort d’Entretien avec le professeur Y, on apprécie.

Benalla ? Oh, il ne fait ici que passer…

 

Ordre de la Toison d’or des fin de race

 

       L’Ancêtre Cham et l’Oncle Sam

Anatole Atlas

 

Qui s’autorise une analogie poétique entre Cham (fils maudit de Noé dans la tradition biblique) et Cham (désignation millénaire en arabe du Levant), risque un cruel opprobre pour abus d’étymologie mythique…

Son cas s’aggravera s’il réfère l’oncle Sam au nom du prophète Samuel. Voire, au Sem d’après le déluge (fils aîné de Noé), promis par les tardifs scribes hébraïques à l’originelle bénédiction de l’Eternel, c’est-à-dire à la domination sur toutes les nations : ce que mirent en question Jésus, Spinoza, Marx, Freud, Einstein, Lukacs, Bloch, Adorno, Benjamin…

J’implore donc le pardon des puristes si je m’obstine à écrire Cham (et non Kam) le plus lointain ancêtre commun à l’humanité entière, quand Baby Mac, réfugié dans une casemate militaire sur l’arrière-front du Tchad, pousse l’obscénité jusqu’à contrefaire une posture morale digne de l’agent du Mossad Benalla (muni d’un passeport diplomatique, son barbouze l’avait précédé dans cette garnison française en Afrique, où se nouent tous les trafics d’armes, de djihad et de métaux rares)…    

« L’ordre et la concorde doivent régner » proféra depuis son bastion néocolonial cet employé de Rothschild à l’Elysée, pour mater par les mots un peuple insurgé. De quel ordre s’agit-il, sinon du Nouvel Ordre Edénique (NOE, dont il est question dans une mélopée romanesque depuis plus de vingt ans) – fondé sur l’archaïque damnation de Cham ? L’Oncle Sam peut arborer le masque hideux d’un Killer Donald (servant de repoussoir pour le prochain retour d’Hillary Bomb, sous l’éventuel déguisement du patron de Fake Book), il demeure le donneur d’ordre d’un ordre fondé sur carnages et pillages au départ de Canaan…

« Très peu de carnage » ânonnera le plus célèbre grabataire français du verbe aux ordres de ses commanditaires, pour décrire la situation. Non sans féliciter Killer Donald pour avoir mis fin à l’impérialisme américain, quand celui-ci relance le pillage de l’Irak. Soit, la dose maximale de remugles toxiques imposés par Kapitotal à l’industrie de l’insignifiance promotionnée par la tour Panoptic…

Le crime organisé, propriétaire du globe depuis la destruction de l’Union soviétique, ne vient-il pas de signer un racket à plusieurs milliards sur le plus africain des pays d’Asie : la Malaisie ? L’opération (dite 1MDB), montée par une éminence du Golfe pour piller le trésor public de ce peuple exotique, associe Goldman Sachs et la banque Edmond de Rothschild…

Kapitotal a-t-il pris son envol en France (deux ans après le coup d’État monétaire de Nixon en 1971) grâce à la loi Rothschild, sommant l’État d’obéir aux marchés financiers, prélude à l’esclavage par la dette ? Les Gilets Jaunes sont complices de génocide en vitupérant ces gangs, rétorque la tour Panoptic…

Une étincelle a donc jailli. Cette flamme a traversé des corps, erré dans les têtes qui se sont mises à parler. La gangue de rêves morts et de mémoire falsifiée s’est fissurée, des foules inconnues d’elles-mêmes se découvrant en vie, parant la grise misère ordinaire aux couleurs d’un commun oriflamme. Aux carrefours, les silhouettes anonymes se sont intronisées les unes les autres en Jasons rédempteurs d’une antique chevalerie, celle de la Toison d’Or…

 

Ordre de la Toison d’or des Ronds-Points

 

Sortons des oubliettes de notre propre château : ce cri, lancé par des Gilets Jaunes sur quelque rond-point, semblait se souvenir d’un roman paru en 1990, où se posait la question : l’humanité, qu’est-elle devenue, est-elle toujours prisonnière des oubliettes de son propre château ?

Plus qu’un prince, moins qu’un manant : telle était la devise clamée par ce roman vieux de plus d’un quart de siècle. Nous sommes le travail vivant, dans vos calculs traité comme du capital variable, et refusons la soumission au travail mort, capital fixe devenu volatil !  Voilà ce qui se dit au grand jour chez ces gueux revêtus d’ancestrale noblesse, aspirant à s’évader des enclos mentaux séquestrant le cerveau collectif…

Où sont donc encore les altesses et où les bassesses ? Où la véritable aristocratie, où la réelle vilenie ? …

Ce que nous savons de l’histoire officielle est un récit fomenté par princes et prélats. Ces gens-là fabriquèrent l’enfer au nom du paradis nous dit Dante, sur les traces d’Homère et de Virgile : aèdes grâce à qui franchirent les âges d’autres récits que ceux des princes et prélats…

Mais une Divine Comédie contemporaine pourrait-elle voir le jour ?…

Le principal trait psychique marquant les justifications idéologiques du pouvoir, de siècle en siècle, fut la démence. Faut-il nommer autrement  les bains de sang commis en invoquant le droit divin ? Mais un pouvoir de droit malin, comment s’y prendrait-il ? Il fallait une religion nouvelle pour déplorer, par la voix des grands-prêtres, ces folies sanguinaires, tout en gérant un charnier d’ampleur désormais planétaire. Il fallait rien moins qu’une société sans autre tête que ses ordinateurs…  

Cet organisme acéphale dont l’appareil digestif a colonisé le cerveau, n’ayant plus guère que des productions culturelles excrémentielles, ne déclenche-t-il pas des perplexités faisant se demander où est son bec ? Baptisons donc « Où-est-le-bec » ce lombric illustratif d’une structure où se confondent les orifices de la parole et de la défécation, caractérisée par médiocrité d’inspiration et plat prosaïsme d’expression…

Toute création spirituelle et intellectuelle ne peut qu’être extérieure à Où est le bec. Si le chant de l’aède n’y a plus droit de cité, faisant l’objet d’une absolue prohibition dans les secteurs de l’édition, quel ersatz de sa voix devait-il s’y substituer, sinon ce providentiel Où est le bec ?…

Quand ce qui sort des tripes est plus écouté que les fruits de l’esprit, n’importe quel tweet analphabète a plus d’écho que la parole de l’aède, avantageusement supplantée par un quelconque Où est le bec

Si certaines moisissures sont bonnes à boire ou à manger, toutes les pourritures sont-elles pour autant comestibles ? À dates fixes, gazettes et magazines font l’unanime réclame d’un même putride orviétan, vendu comme panacée pour troubles gastriques et intestinaux d’une Animal Farm où lois de la gestion et de la digestion se confondent…

Ainsi le capitalisme, qui tirait son appellation du mot latin caput, et dont les capitaines, de pied en cap travestis en oracles, ne cessent de clamer que pour les prolétaires seul est bon le cap des actionnaires, s’avère-t-il mériter le nom d’Acéphalopolis : afin qu’aucun projecteur n’éclaire un tel titre, ne convenait-il pas de faire appel à Où est le bec ?…

Voici l’heure où les best-sellers prémâchés digérés et chiés s’écoulent par millions du cloaque publicitaire, la totalité du contenu s’identifiant à la notice fournie par les robots du fabricant, qui s’étale gratuitement par pages entières dans les organes appartenant aux mêmes firmes que cette pharmacopée vantant la médecine Où est le bec… 

Naguère les haruspices lisaient le destin dans les entrailles d’oiseaux sacrifiés. De nos jours – à défaut du pharmakon aédique – ce sont les basses-cours plumitives qui tirent le seul futur autorisé du foie de volatiles dégénérés, gavés comme un rentier de pilules remédiant au défaut de sérotonine

La sortie d’un tel titre s’accompagnera de liturgies comparables à celles entourant les dates sacrées du calendrier. L’événement sera d’abord prêché par la tour Panoptic en un sanctuaire médiatique de Kapitotal : Valeurs actuelles. Cet organe financier de l’extrême-droite se devait de pontifier en couverture : La grande prophétie

Ne disposent-ils pas d’une armée de larbins aux gages pour, de cet empoisonnement programmé, vanter les vertus tonifiantes ? Cette valetaille prostituée, dans son plan marketing, n’a-t-elle pas mission d’insulter la littérature en comparant Où est le bec à Baudelaire, Hugo, Balzac ou Gérard de Nerval ? Aussi le même jour, une semaine avant l’offertoire sur l’autel des étals pour la communion des fidèles, toutes les feuilles francophones à l’unisson distribuent-elles sur plusieurs pages une propagande orchestrée par le plus haut clergé panoptique… Si Le Figaro – ouvertement confessionnel – tient la palme, Le Monde surenchérit dans la bigoterie pastorale en référant à Voltaire, donc aux Lumières, pour cette flaque de ténèbres où se reflète le néant. L’Office pour la doctrine de la foi fera même dire d’Où est le bec, par Birnbaum, qu’il « tient en respect, comme jamais, la littérature contemporaine » !…

L’on serait tenté de penser à quelque intention parodique, mais après le prophète, c’est très sérieusement le poète et le philosophe dont sont chantées les louanges dans le quotidien de référence. Quelles oboles sont-elles versées, par quelles banques de quels occultes Saints Sièges, et pour quelles inavouables indulgences, en récompense de si pieux zèles ? Car ne s’agit-il pas ici d’occulter révélation prophétique, intuition poétique et réflexion philosophique – propres à l’aède exterminé ?…

L’habileté réside en l’art de promouvoir, comme figure oraculaire des Élus, quelqu’un dont l’apparence fait l’incarnation même des Damnés. Conscient des bénéfices à tirer d’un tel rôle, ce triste sire surenchérit dans le discours apologétique le plus favorable aux Élus, celui qui fait se résigner au pire les Damnés. C’est Drieu la Rochelle (panache et style en moins) discréditant la Révolution française et la Commune de Paris, comme toute Résistance à Vichy, sous le brillant prétexte que mieux vaut prendre un comprimé de sérotonine…      

Kapitotal est à la corruption du monde ce qu’est la tour Panoptic à la cadavérisation du verbe. Dans un style dicté par le plus méphitique air de tous les temps, la bile d’un rastaquouère se vend en remplacement des visions aédiques. Où est le bec peut et doit d’autant mieux pérorer : « Nous n’avons pas de racines, nous ne produisons pas de fruits ». Soit, une absolue négation du message aédique…   

Dés pipés, cartes truquées, ne sont pas l’apanage exclusif des députés. Quel venin pourrit-il jusqu’à son trognon le fruit de l’Arbre de Vie ? Sans perspective d’au-delà, tout ce qui vit se nécrose. There is no alternative est le slogan de cette putréfaction, dès lors que l’hypothèse d’une issue au capitalisme a été verrouillée. Nul possible autre signifie l’aveu d’une reddition à la bête immonde, envisagée par l’aède Bertolt Brecht. Il est dès lors impératif que le cosmythologique AJIACO ne puisse (au double sens du mot pouvoir : aptitude et autorisation), non seulement faire l’objet d’une recension (certes, hors de ces compétences domestiques), mais voir titre et nom d’auteur mentionnés dans Le Soir de Belgique…

Est-ce un hasard si l’on appelle The Voice la principale émission de télé-réalité ? Comme si M5 I2 (Moyens Modernes de Mystification et de Manipulation de Masse par l’Industrie de l’Insignifiance), devait  assurer à la populace une contrefaçon caricaturale de ce qui fut assassiné…

Telle se veut la triple exigence esthétique, éthique et politique d’AJIACO (parole mythique de l’aède voyant en l’Ancêtre Cham un Surmoi forclos de l’humanité, qu’usurpent les propagandes en faveur de l’Oncle Sam), qu’Où est le bec en apparaîtra demain comme le plus vil succédané.                

Anatole Atlas, le 31 décembre 2018   

www.spherisme.be

 

 

 

 

Mais, comme le furet du bois mesdames, le revoilà

 

Benalla placé sous parapluie israélien

 

Jacques-Marie BOURGET – LGS 31.12.2018

 

 

C’était couru d’avance, Benalla, un garçon si plein d’allant et promoteur, détenant par ailleurs des secrets d’État, ne pouvait que tomber sous la coupe des services israéliens.

 

Depuis qu’il a quitté l’Elysée – mais l’a-t-il vraiment quitté ? – Alexandre Benalla est marqué à la culotte par le Mossad. Pourquoi diable ? Tous les services secrets du monde, mais en particulier celui d’Israël, rêvent d’avoir sous la main un homme qui a partagé l’intimité des puissants. C’est le cas de Benalla qui, pendant plus de dix-huit mois a vécu dans l’ombre du couple Macron et à la fois au cœur d’une machine pas banale, la Présidence de la République Française, cinquième puissance mondiale et membre du Conseil de Sécurité de l’ONU.

Quand Mitterrand est arrivé au pouvoir en 1981, même si les amis de Tonton avaient, depuis longtemps, épuré toutes les archives concernant leur maître, le Mossad avait, lui, récupéré des kilos de papiers. Pas tous valorisants pour l’histoire secrète de celui qui arrivait au pouvoir. Vichy, bien sûr. Mais pas seulement. Et ce n’est pas pour le seul amour de la carpe farcie que Mitterrand a réservé sa première visite d’État à Israël. Ce Benalla, et ses secrets même petits, n’a donc pas de prix. Et le Mossad, prêt à guider le demandeur d’emploi, est informé de tout ce qui tourne autour de cet Alexandre.

Lire la suite…

Url de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/1411-2/

 

 

 

 

Où l’on voit que le président Xi Jinping pousse l’urbanité internationale jusqu’à souhaiter une bonne année aux Chinois avec 36 jours d’avance !

 

 

 

 

2019 ou presque, le mot de Strategika51

par Strategika51 le 1er janvier 2019

 

Le commandement stratégique US Stratcom a diffusé une étrange vidéo sensée nous transmettre les vœux de la nouvelle année 2019 avant de la retirer, en raison de sa violence symbolique extrême.

 

 

En lieu et place de vœux de bonne santé, de bonheur et de prospérité, les petits gars chargés de la communication au Stratcom nous souhaitent une bonne année létale 2019 pleine d’engins hyper-explosifs tombant du ciel et délivrés par des bombardiers furtifs.

En termes clairs, ils nous souhaitent une mort violente en feu d’artifice. Rien d’étonnant que la vidéo ait été retirée très vite.

Ils n’ont rien de mieux à nous souhaiter que la destruction et la mort ? Mince alors !

Cela contraste avec le message de vœux 2019 très philosophique du président chinois Xi Jinping. Il évoque la marche du temps et le changement de saisons dans la pure tradition chinoise :

 

Cela s’appelle rendre des comptes [NdGO]

 

Mais au fait, en quelle année sommes-nous réellement ? Nul ne le sait. 2019 est une date totalement arbitraire ne correspondant à rien. Jésus-Christ avait 6 ou 7 ans en l’An 0 et le passage au calendrier grégorien quinze siècles plus tard a totalement faussé les calculs…

Peu importe, la vie continue.

Ce premier janvier 2019 comporte déjà son lot de petites surprises.

A commencer par l’arrêt de l’excellent site helvétique de dépêches en continu « Romandie.com » :

 

« Ces quelques lignes pour vous informer que Romandie.com a cessé définitivement son service d’informations depuis le 1er janvier 2019. Notre messagerie gratuite reste quant à elle opérationnelle. »

 

L’équipe du site précise ceci :

 

« Bien qu’ayant toujours été équilibré sur le plan financier grâce à un modèle 100% automatisé, une certaine lassitude nous incite à orienter notre énergie vers des projets plus stimulants et disposant de potentialités plus importantes. »

 

Nous ne pouvons que leur souhaiter bonne chance.

L’année 2018 n’a pas été facile pour beaucoup d’entre nous et c’est le moins que l’on puisse dire.

Dans quelques jours, la sonde New Horizons va approcher un objet de la ceinture de Kuiper, bien au-delà de la PLANÈTE (oui c’est bien une planète !) Pluton.

Il s’agit du planétoïde 2014MU69 et je parierais que la petite sonde passera devant une dixième planète dont elle ne verra rien. L’univers est vaste, notre esprit trop petit.

Je vous adresse tous mes voeux de santé (c’est le plus important), de quiétude (sur une île déserte), de vitalité (sans produits chimiques), de bonheur (s’il existe), de joie (il faut rire, sacrebleu !), et de prospérité (même virtuelle !) et vous confirme que Strategika 51 vous accompagnera tant bien que mal en cette année 2019.

Soyez éveillés !

Source : https://strategika51.blog/2019/01/01/2019-ou-presque-le-mot-de-strategika51/

 

 

Voeux du Nouvel An de Vladimir Poutine : la Russie n’a jamais reçu d’aide de quiconque

 

Vœux du Nouvel an du Président de la Fédération de Russie.

31 décembre 2018 – Kremlin, 23h55

 

Source :http://en.kremlin.ru/events/president/news/59629

Traduction : sayed7asan.blogspot.fr

 

 

Transcription :

Chers concitoyens de Russie, chers amis,

Une nouvelle année, l’année 2019, approche à grands pas. Derrière nous, il y a un mois de décembre très chargé, durant lequel nous nous sommes dépêchés de mener à bien toutes nos tâches urgentes, de finaliser nos plans pour l’avenir et, bien entendu, nous nous sommes préparés pour les célébrations du Nouvel An. Remplis d’enthousiasme et d’espoir, nous attendons maintenant la venue de la nouvelle année. Nous voyons les yeux de nos enfants briller d’enthousiasme. Nous ressentons la joie de nos parents et grands-parents, si toute la famille est réunie en ce moment. Leurs cœurs sont réchauffés par la tendresse et l’attention, et ils peuvent expérimenter la magie du Nouvel An créée par la générosité de nos esprits. Cette générosité est essentielle non seulement lors des fêtes et célébrations, mais aussi dans notre vie quotidienne, lorsque nous sommes là pour soutenir ceux qui ont besoin de notre aide, ceux qui sont seuls ou qui ne vont pas bien. Après tout, nous devons être attentifs aux malheurs des autres, et prendre soin d’autrui est toujours récompensé par la gentillesse et les bienfaits, tout en nous procurant la joie d’avoir fait une bonne action.

Chers amis,

Bien que nos attentes en ce moment particulier puissent différer, ce que nous voulons tous, c’est la santé pour ceux que nous aimons, que notre maison soit pleine d’harmonie, que nos enfants nous apportent la joie, que notre vie soit paisible et que nos rêves, même les plus sacrés, se réalisent.

Comme lorsque nous étions enfants, à la veille du Nouvel An, nous faisons des vœux et espérons que cette nuit nous apportera chance et succès. Puisse tout cela se réaliser. En même temps, nous savons tous avec certitude que ce n’est que par nos propres efforts et en travaillant ensemble que nous pourrons construire une vie meilleure pour nous-mêmes, nos familles et notre patrie.

Nous sommes confrontés à de nombreuses tâches urgentes dans les domaines de l’économie, de la recherche, de la technologie, de la santé, de l’éducation et de la culture. Ce qui compte le plus, c’est que nous progressions régulièrement dans l’amélioration du bien-être et de la qualité de vie en Russie, afin que tous les citoyens, chacun de nous, ressente un changement pour le mieux dès l’année prochaine.

Nous réussirons, mais seulement si nous sommes capables de travailler ensemble. Nous n’avons jamais reçu aucune aide extérieure dans ces efforts, et nous n’en recevrons jamais. Pour cette raison, nous devons former une équipe unie, forte et agissant comme un seul homme, comme un tout. Que l’amitié et les bienveillants espoirs qui nous réunissent tous nous accompagnent pour aller de l’avant et nous aident dans notre travail et dans la réalisation de nos objectifs communs.

Chers amis,

La nouvelle année n’est plus qu’à quelques secondes. Souhaitons le bonheur à ceux qui sont proches de nous. Disons les mots les plus chaleureux à tous ceux que nous chérissons, remercions nos parents, embrassons tendrement nos enfants et ouvrons notre cœur les uns aux autres. Après tout, lorsque des millions de personnes partagent ces sentiments merveilleux, le monde est rempli d’amour et de confiance.

De tout mon cœur, je vous souhaite joie et bien-être, ainsi que réussite et prospérité à notre patrie, à notre Russie bien-aimée.

Bonne année 2019 !

Hymne de la Fédération de Russie

 

 

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Source :  http://sayed7asan.blogspot.com/2019/01/voeux-du-nouvel-de-vladimir-poutine-la.html

 

 

 

Mis en ligne le 1er janvier 2019.

 

 

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