ENTRE LA PLUME ET L’ENCLUME MET LES BOUCHÉES QUADRUPLES

 

en cette fin de mois de mai. On ne peut faire moins que vous les offrir. À consommer (et méditer) lentement….

 

 

 

 

Est-ce que les espions règnent sur le monde?

 

Israël Adam Shamir – 22.5.2019

 

 

 

 

L’excellent valet de Mr Wooster, le célèbre Jeeves [des romans de  P. G. Wodehouse], avait un as caché dans sa manche: si les choses tournaient mal, il se servait des dossiers du Club Junior Ganymede, et là, il pouvait trouver de la matière compromettante contre toute personne ayant pu jadis employer un valet ou un majordome, parce que ces gentlemen au service des autres gentlemen étaient obligés d’inscrire dans le livre du club tous les exploits imprudents de leurs maîtres. Grâce à ces renseignements de l’intérieur, Jeeves avait pu sauver son piètre maître, Mr Bertie Wooster, de l’opprobre. Jeeves était quelqu’un de modeste, et loyal comme un vassal à son maître étourdi; il en allait de même pour d’autres membres du club. Ils n’essayaient pas de faire du livre en question un outil de manipulation  sur l’Angleterre à partir de Buckingham Palace. Ceci étant, nous vivons à l’âge des grandes ambitions, peu portées aux loyautés excessives. Les valets, majordomes et autres gardes du corps ont mis en commun leurs forces et ont décidé de faire leur loi dans le monde entier.

Les écrivains férus de conspirations ont envisagé le gouvernement mondial de l’ombre comme un bureau de méchants « sages » entourés de  financiers et de mandarins du cinéma. Ce serait déjà assez sinistre; mais dans la réalité qui est infiniment pire, notre monde est dirigé par les Junior Ganymèdes qui ont été rendus fous. Ce n’est pas un gouvernement, mais un réseau, comme la vieille franc-maçonnerie de jadis, et c’est principalement constitué par un groupe d’espions félons et de plumes à louer, deux genres de domestiques qui ont collecté des tas de données et de leviers d’influence, et qui, au lieu de servir leurs maîtres loyalement, ont décidé de mener le monde dans la direction de leur choix.

L’amiral allemand Wilhelm Canaris, dernier chef de l’Abwehr, le service de renseignement militaire d’Hitler, était de cette espèce d’agents secrets dotés d’ambitions politiques. Il avait soutenu Hitler en tant que puissant ennemi du communisme; à un certain moment il arriva à la conclusion que les US seraient mieux placés pour faire le travail, et il changea de bord, pour servir les Anglo-américains. Il fut démasqué et exécuté pour haute trahison. Son collègue le général Reinhard Gehlen avait également trahi son Führer et était passé du côté des Américains. Après la guerre, il poursuivit sa guerre contre la Russie soviétique, cette fois-ci pour la CIA et non plus pour l’Abwehr.

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Source : http://plumenclume.org/blog/456-est-ce-que-les-espions-regnent-sur-le-monde

 

 

 

 

Espions bibliques revenant d’avoir exploré la terre promise

(mosaïque vieille de 1600 ans découverte dans une synagogue du nord de la Palestine, illustrant un passage de l’Ancien Testament, où deux espions de Moïse rapportent de Canaan une branche de vigne portant des grappes de raisin pour prouver que le pays vaut la peine d’être envahi)

 

 

 

 

Un nouveau livre d’Israël Shamir :

Au Nom du Christ

27.5.2019

 

 

Parution imminente aux éditions SIGEST.

L’auteur :

Originaire de Novossibirsk en Sibérie, Israël Shamir part à la découverte du sionisme en 1969. Désormais Israélien, il voyage, résidant longuement au Japon, à Londres, en Suède, et maintenant à Moscou. En parcourant la Palestine en tant que guide touristique et journaliste, il découvre   l’absurdité criminelle d’un Etat juif, et il a été le pionnier du projet d’un seul Etat pour tous, avec des droits égaux pour juifs et non juifs. Il choisit d’écrire en anglais, et il est lu attentivement dans le monde entier, en particulier aux États-Unis. Confessant le Christ en pleine Intifada, il choisit Adam comme nom de baptême. Shamir a publié en français Le Pin et l’Olivier, ou Les charmes discrets de la Palestine, et les recueils d’articles: L’Autre Visage d’Israël, Pardes, Notre Dame des Douleurs, La Bataille du Discours, La Bataille de Russie (éd. Kontrekulture). C’est aussi un traducteur de Joyce, d’Homère, du prix Nobel S. Y. Agnon, et du géographe judéo-espagnol du XV° siècle Abraham Zacuto.

L’ouvrage :

« Quelle densité, un vrai panorama complet : un bijou de théologie comparée pour les nuls, avec des exemples tirés des empoignades médiatiques au jour le jour, et une progression implacable, dans une perspective distanciée, vertigineuse, et indispensable à une meilleure compréhension de ce qui se passe, et de ce qui vient. Aujourd’hui, le Shamir le plus profond, celui qui cumule une longue pratique de la culture juive et une inébranlable foi chrétienne, fait le point, au bout de vingt ans de combat sur internet ». (Nabil L., enseignant)

 

Pour bénéficier du prix de souscription (frais de port gratuits jusqu’au 12 juin) :
https://edsigest.blogspot.com/2019/05/au-nom-du-christ.html

 

Lire quelques pages du livre ici :

https://fr.calameo.com/read/000260618840099c15272?page=1

 

 

 

 

Conférence d’Israël Shamir à Grenoble le 15 juin

25.5.2019

 

La section E&R Grenoble recevra Israël Shamir et Maria Poumier le samedi 15 juin 2019 à 15h à Grenoble pour une conférence intitulée :

 

« La bataille pour le Christ »

 

suivie d’une prise de parole sur le thème :

 

« Argentine, prochaine terre promise pour Israël ».

 

Entrée : 7 euros

Réservations : préciser nom + prénom + adresse électronique + n° téléphone + participation au dîner pour chaque participant via confgre@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

Le crime de Notre-Dame

(mise à jour du 24.5.2019)

 

 

La Synagogue aveuglée par le serpent qui s’enroule autour de sa tête : bas-relief sur la façade de Notre-Dame de Paris

 

 

Nouveaux documents :

Les alarmes s’étaient bien déclenchées, mais…

http://www.blogdelazare.com/2019/04/https/changera.blogspot.com/2019/04/incendie-notre-dame-les-architectes.html-more.html?fbclid=IwAR0PcQE7INNEYVo25ZrZY1gQw8ny-IuO0UoLBMY2_S8zBtD1ahzRFFP0uQg

 

Certaines responsabilités se précisent :

« Faits et documents », Lettre d’informations confidentielles fondée par Emmanuel Ratier, publie dans son numéro 465 (8 euros) un « Dossier L’incendie de Notre-Dame de Paris » une liste impressionnante de faits établis avec précision (confirmant la suspicion de crime techniquement organisé à un niveau très élevé),  mais aussi une liste de responsables qui méritent une enquête poussée pour avoir éventuellement pris part, de façon active ou passive, au crime, et au montage des stratégies financières, juridiques et médiatiques pour faire de ce qui restera de Notre-Dame un « monument historique » profane et particulièrement rentable.

Voir http://www.faitsetdocuments.com

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Source : http://plumenclume.org/blog/451-le-crime-de-notre-dame-mise-a-jour

 

 

 

 

 

 

 

Bonjour, j’ai le plaisir d’ouvrir les portes de mon atelier-galerie, les 14, 15, 16, 28, 29 et 30 juin 2019, au 16 rue claude decaen paris 12ème. Un VERNISSAGE aura lieu le vendredi 14 juin de 18h à minuit. ET un FINISSAGE avec Nadia Skandrani (peintures sur meubles) le vendredi 28 juin à partir de 18h. Sinon les horaires pour les autres journées sont de 14h à 19h30. Pour y accéder métro daumesnil ou michel bizot, tramway porte de charenton ou porte dorée. La bienvenue. MANU IBRAHIM

 

 

 

 

 

 

On ne vous parle pas des élections parce que tout le monde l’a fait et que…

 

 

 

 

 

L’Europe et la Russie (suite)

Anatole Atlas – Ascension 2019

 

S’il existait un espace public ouvert à la libre conflictualité démocratique, un débat politique essentiel y concernerait Kapitotal et la tour Panoptic. De quelle meilleure manière désigner ce pouvoir totalitaire inédit, combinant tyrannie financière et masque libertaire ?…

La société pyramidale d’ancien régime a une structure claire, même si le sommet se nimbe d’un brouillard propre aux mystères du droit divin dont se réclame l’autorité suprême. La pyramide contemporaine laïque est, en comparaison, d’une opacité sans précédent. Jamais un système d’exploitation, de domination, d’aliénation ne fut plus brutal et à l’abri de toute véritable opposition que celui qui s’impose par le simulacre d’une souveraineté populaire. Le peuple regimbe-t-il ? Populisme !… La métamorphose du bouclier social en glaive, et la représentation du glaive en bouclier : ce scénario supposait la disparition du soviétisme.

 

 

 

 

En mai 1919, voici tout juste un siècle, V.I. Lénine écrivait dans Bolchaïa Initsiativa (La grande initiative) des phrases d’une étonnante actualité cent ans plus tard : « Les classes sont des groupes d’hommes dont l’un peut s’approprier le travail de l’autre, à cause de la place qu’il occupe dans une structure déterminée de l’économie sociale »… Depuis la fin de l’Union soviétique, nous avons vu s’effondrer dans les pays occidentaux tous les contre-pouvoirs (syndicats, partis, presse d’opinion) qui opposaient une résistance aux dictatures, sur la valeur d’usage et le travail vivant, de la valeur d’échange et du travail mort. Jamais ne s’est mieux vérifiée la définition par Marx de celui-ci, « qui ne s’anime qu’en suçant tel un vampire du travail vivant, et qui est d’autant plus vivant qu’il en suce davantage. » (Le Capital, Livre I)… La bouillie de bavardages qui tenait lieu de campagne électorale avant les élections européennes, avait pour fonction d’occulter ces enjeux. Dans une surenchère de cynisme, l’armée d’agents publicitaires d’un Moloch buvant leur sang dans le crâne de ses victimes, n’eut de cesse d’exciter l’effroi des populations pour les enfourner dans une gueule où chaque mâchoire promet à ses proies de les protéger contre l’autre.

Mon ami Lénine poursuit, toujours en mai 1919, il y a juste cent ans : « L’immense majorité des populations laborieuses de n’importe quel pays capitaliste, y compris la Russie, a éprouvé mille fois à ses dépens et aux dépens de ses proches, le joug du capital, le pillage auquel il se livre, les brimades de toutes sortes »…

Ce que le philosophe Norman Ajari nomme « incarcération dans une alternative infernale entre émancipation moderne et obscurantisme pré-moderne » est constitutif d’un jeu de dupes, dès lors que l’énoncé lui-même exclut toute alternative par disqualification préalable de l’un des deux termes. Qu’un si vulgaire canevas s’impose aux esprits sur le continent se prévalant du flambeau des Lumières éclairant le globe, dit tout du passage à tabac mental auquel fut soumis le citoyen avant de se faire dépouiller de sa voix dans l’isoloir. Même s’il vota contre ce qu’on lui avait recommandé, l’essentiel n’était-il pas que cette voix fût avalée par la gueule du Moloch ? Aussi je préfère parler, pour définir cette mâchoire double, d’un traquenard ne laissant le choix qu’entre idéologies complémentaires pré- et postmodernistes, la dialectique du devenir historique propre à l’ère moderne s’en trouvant exclue, tout comme la dynamique des contradictions qui la constituent…

Sur 34 listes en France, une seule était lestée de pareille dynamique. D’où l’acharnement fatal contre Mélenchon, coupable d’alternative. Toute perspective dialectique étant éliminée triomphe le césarisme, sous l’une ou l’autre forme. Et c’est bien le moins que soient baptisés CAESAR les centaines de canons – six obus à la minute, lancés à plus de quarante kilomètres – fournis par la France à l’Arabie saoudite pour exterminer les populations du Yémen.

Encore Lénine en mai 1919 : « La guerre impérialiste, c’est-à-dire le massacre de dix millions d’hommes pour savoir à quel capital, français ou allemand, doit revenir la première place dans le pillage du monde entier a prodigieusement aggravé, multiplié, aiguisé ces épreuves, incité les gens à en prendre conscience »…

La représentation officielle d’un combat entre ‘ droite européenne ’ et ‘sociaux-démocrates’, arbitré par l’extrême-droite et l’extrême-centre, est donc une mise en scène en surplomb de laquelle veille la Banque centrale européenne, laquelle prend ses ordres chez Goldman Sachs. Car le vrai G4 a pour capitales Jérusalem, Washington, Riyad et Paris.

Toujours Lénine il y a cent ans : « Karl Marx, dans Le Capital, raille l’emphase et la grandiloquence de la grande charte démocratique bourgeoise des libertés et droits de l’homme, toute cette phraséologie sur la liberté, l’égalité, la fraternité en général. A ces déclarations pompeuses, Marx oppose la façon simple, modeste, pratique et quotidienne, dont le prolétariat pose la question : comment faire pour survivre dignement ? »…

La loi du capitalisme énoncée par Marx (immense accumulation de richesses à un pôle, immense accumulation de misères à l’autre pôle) conduit-elle à une scission de l’espèce humaine entre élus et damnés, winners et losers, insiders et outsiders ? Ceux-ci sont sommés par ceux-là d’acquiescer à leur mise au rebut pour cause d’inutilité du seul point de vue licite, celui de la Valeur. Toute Parole officielle y étant soumise, ils sont priés de comprendre que le train lumineux du progrès n’attend pas les retardataires, voués à des ténèbres ontologiques…

Le schéma biblique rejoint les catégories logiques de la contingence et de la nécessité pour faire accepter pareille condamnation. L’hypothèse d’un dépassement du capitalisme ayant été verrouillée par les cadenas médiatiques appropriés, prospère l’industrie de la déploration factice des conséquences de ce dont il est prohibé d’interroger les causes… Un coup de génie de la tour Panoptic au service de Kapitotal fut, à cet égard, la promotion des questions sociétales pour abolir la question sociale. À ce jeu brilla l’ex-agent d’influence de la CIA en Géorgie et en Ukraine Glucksman, parachuté leader de « la gauche » dans le seul objectif d’amputer de moitié le score de la France insoumise…

Le rachat par l’argent public de la dette privée bancaire (cause de la crise financière en 2008) avait entraîné une crise de la dette publique : celle-ci fut supportée par salariés et chômeurs, au nom de l’équilibre budgétaire. Ces faits occultés, comment n’aurait-on pas vu triompher la démagogie d’extrême-droite, l’une des mâchoires du Moloch ?…

Le marxisme avait été révoqué pour son ‘ déterminisme ’, privatif de libre choix dans l’élection des gouvernants comme des marchandises. Aucun rapport avec la négation de toute alternative par le capitalisme, affirment ses prophètes éclairés. Car il s’agit ici des lois d’une histoire librement consentie par ceux qui, de leur plein gré, conformément à leurs intérêts bien compris, choisissent la gueule du Moloch. N’ont-ils pas à protéger ce trésor de civilisation qu’est la ‘démocratie libérale’ ?

Nous n’en avons pas fini avec Lénine en mai 1919 : « Voyez comme la bourgeoisie sait admirablement orchestrer la publicité pour ce qui lui est profitable ! Comme les institutions ‘ modèles’ pour les capitalistes, sont vantées dans les millions d’exemplaires de leurs journaux ; comme ils savent en faire un objet de propagande universelle ! »

Du point de vue de la santé psychique dont témoigne la gouvernance du capitalisme, l’URSS relevait d’une pathologie criminelle. Un délire collectif s’est emparé pendant trois quarts de siècle du peuple russe, dont la folie seule a vaincu les armées de l’Occident à Stalingrad. Puis la tumeur cervicale fut extirpée, grâce à de puissantes thérapies et des injections massives d’idéologie du marché. Mais l’ancien malade en conserve des séquelles, et ses rechutes menaçantes nécessitent la plus stricte surveillance de l’OTAN, garant des ‘démocraties libérale’…

Tous les moyens chimiques et électroniques furent mis en oeuvre à l’échelle planétaire pour extraire des cerveaux jusqu’au souvenir du vieil humanisme, et du processus historique par lequel un Tiers-État s’était jadis émancipé du double joug de l’Église et de la féodalité. Ce processus n’avait-il pas accouché de la divagation qu’il s’agissait d’éradiquer ?…

Le Nouvel Ordre Édénique de Kapitotal imposa sa révolution culturelle en langage binaire dans les secteurs de l’art et de la littérature, sous contrôle de la tour Panoptic. Il s’agissait de faire oublier que la ‘ démocratie libérale ’, si on lui donne un contenu plus substantiel que des clichés propagandistes, n’a trouvé sa réalisation nulle part sur la planète. Que jamais ne s’est vu un gouvernement du peuple, par et pour le peuple. Que si les pays impérialistes, contraints par le combat de la classe ouvrière, ont esquissé la voie d’une telle utopie, ce fut au prix d’esclavages, carnages et pillages coloniaux sans nombre. Et que, s’il subsistait une intention de perpétuer cette illusion, l’avaient fait exploser désastres et chaos partout semés au Moyen-Orient pour implanter la fiction de ces ‘démocraties libérales’.

Conclusion (provisoire) de Lénine il y a tout juste un siècle : « Mais si l’on considère le fond de la question, a-t-on jamais vu dans l’histoire qu’un nouveau rapport de production ait réussi du premier coup, sans une longue suite d’insuccès, d’erreurs, de récidives ? Les intellectuels bourgeois développent une argumentation pourrie d’hypocrisie : lors de la révolution prolétarienne, ils nous taxaient d’utopisme ; et voici qu’ils exigent que nous abolissions avec une rapidité fantastique les survivances du passé ! Lorsque le nouveau vient de naître, l’ancien reste toujours un certain temps plus fort que lui. Il en est ainsi dans la nature comme dans la vie sociale. »

Anatole Atlas, mai 2019                

 spherisme.be

 

 

 

 

Post Scriptum :

 

Le Grand Soir publie un document intitulé :

 

« Wikijustice Julian Assange – Déclaration ».

 

 

 

 

La particularité de cette déclaration est de ne donner aucun lien à ceux qui voudraient s’y joindre, en dehors d’une adresse Fessebook…

En somme, on est invités à demander au bourreau de nous aider à nous plaindre du bourreau au bourreau. À notre avis, on est mal partis et le pauvre Julian aussi.

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 30 mai 2019

 

 

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