Bill Clinton a menti à l’Irlande sur l’histoire de la guerre en Ukraine

 

Eric Zuesse  TheDuran – 28.4.2023

 

        Traduction : c.l. pour L.G.O.

 

 

 

 

Le 4 avril, l’ancien président américain Bill Clinton, dans une interview accordée à la chaîne de télévision publique irlandaise RTE, a fait croire aux Irlandais ce qu’il sait être vicieusement faux : que Vladimir Poutine a eu quelque chose – et même beaucoup – à voir avec les conditions dans lesquelles l’Ukraine s’est séparée de l’Union Soviétique ; et que Poutine est, du fait de sa participation présumée (mais en réalité inexistante) à cette affaire, responsable – et même largement responsable – du fait que l’Ukraine n’est pas aujourd’hui en mesure de se défendre contre « l’invasion de la Russie » en utilisant des armes nucléaires contre la Russie. (Clinton dit ici implicitement que l’Occident devrait donner au gouvernement ukrainien tout ce qu’il demande, y compris la bombe A, pour vaincre la Russie – c’est son message subliminal).

 

Voici l’escroquerie de Bill Clinton, qui a trompé les citoyens irlandais sur cette « histoire » outrageusement fausse :

https://www.rte.ie/news/primetime/2023/0404/1374162-clinton-ukraine/

https://archive.is/VTZz0

 

 

Clinton « regrette d’avoir persuadé l’Ukraine de renoncer à ses armes nucléaires »

 

Mis à jour / Mardi 4 Avril 2023 à 22h48. Par Miriam O’Callaghan, Présentatrice Prime Time

 

 

VIDÉO, Bill Clinton :

 « Je savais que le président Poutine ne soutenait pas l’accord conclu par le président Eltsine de ne jamais interférer avec les frontières territoriales de l’Ukraine parce qu’il voulait que l’Ukraine renonce à ses armes nucléaires. Le président Poutine a rompu cet accord et a commencé par s’emparer de la Crimée, et je m’en veux terriblement parce que l’Ukraine est un pays très important et que je me sens personnellement responsable [de tout cela], parce que j’ai obtenu d’elle qu’elle renonce à ses armes nucléaires et qu’aucun d’eux ne croyait que la Russie aurait fait ce coup-là, si l’Ukraine avait encore disposé de ses armes ».

 

Dans le but de rendre son mensonge contre Poutine plus facile à faire avaler, il présente ce qu’il dit comme s’il s’agissait d’excuses personnelles de Clinton pour ce qu’il prétend avoir été sa propre erreur (elle aussi faussement alléguée), en ayant approuvé la décision (faussement alléguée) de Poutine de dépouiller l’Ukraine des armes nucléaires soviétiques qui se trouvaient sur le sol ukrainien en 1994 (et qui, selon Clinton, n’auraient pas dû être retirées de l’Ukraine).

Si Bill Clinton n’est pas un menteur aussi retors qu’Obama, il l’est suffisamment pour savoir que presque tout ce que dit quelqu’un en le présentant comme une sorte de « confession » personnelle sera pris pour parole d’évangile par tous les crétins en circulation. En d’autres termes : c’est un menteur de premier ordre.

Mais moi, la première chose dont j’ai été certain, c’est que l’allégation de Clinton, selon laquelle la séparation de l’Ukraine et de l’URSS faisait partie d’un accord unique conclu entre l’Ukraine et l’URSS au lieu d’un accord conclu entre toutes les républiques non russes et l’URSS, était de l’« histoire » truquée. En effet, comme l’indique le site web de la Nuclear Threat Initiative :

 

« l’Ukraine, ainsi que le Kazakhstan et le Belarus, ont décidé de rendre leurs armes et leurs vecteurs à la Russie et d’adhérer au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) en tant qu’État non doté d’armes nucléaires. En outre, les trois pays ont signé le traité sur la réduction des armes stratégiques (START I) et ont contribué à faciliter le transfert de toutes les têtes nucléaires stratégiques et tactiques hors de leur territoire, ainsi que le démantèlement et/ou l’enlèvement de tous les systèmes de lancement et vecteurs associés ».

 

Il n’y avait (quoi qu’en disent les propos contraires de Clinton) rien d’unique au sujet de l’Ukraine elui-ci est l’un d’entre eux.

Le 7 décembre 2016, le Moscow Times titrait « L’histoire en marche : l’accord qui a mis fin à l’Union soviétique », et racontait que, bien plus tôt, soit le 7 décembre 1991, s’était produit ce qui suit, début de l’engagement à ce résultat collectif :

 

 « …une réunion qui a abouti à la fin de l’Union soviétique. Cette réunion secrète, qui s’est tenue dans un pavillon de chasse exclusif de la réserve naturelle biélorusse de Belavezha, a été convoquée par le président du Soviet suprême biélorusse, Stanislav Chouchkevich, et les présidents de la Russie et de l’Ukraine, Boris Yeltsin et Leonid Kravchuk, y ont assisté. Le lendemain, 8 décembre, ces dirigeants ont signé une déclaration selon laquelle “l’URSS a cessé d’exister en tant qu’entité de droit international et de réalité géopolitique” » [L’URSS, comme sujet de droit international et réalité géopolitique, n’existe plus],.

 

[L’article du Moscow Times poursuit :]

Ces événements ont été rappelés par Chouchkevitch et Kravtchouk lors de la table ronde d’une convention slave à Washington, DC, le 17 novembre, où ils ont été rejoints par Gennady Burbulis, le secrétaire d’État d’Eltsine, qui a également signé l’accord. Il était remarquable de voir ces trois vieux guerriers revivre les événements marquants de cette journée d’il y avait 25 ans.

Dans la Russie actuelle, peu de gens apprécient à sa juste valeur l’énormité de ce que les trois présidents ont accompli. Aujourd’hui, beaucoup préfèrent regarder vers l’URSS avec nostalgie. Mais ces dirigeants se sont montrés fiers de ce qu’ils avaient accompli : ils ont démantelé ce que Gennady Burbulis, associé d’Eltsine, a appelé « l’empire totalitaire soviétique », sans déclencher une guerre civile sanglante.

Les trois hommes ont affirmé que l’URSS avait déjà cessé d’exister après le coup d’État manqué d’août 1991 contre le président Mikhaïl Gorbatchev. Après cela, le pouvoir de décision avait été effectivement transféré aux 15 républiques soviétiques, et Gorbatchev était devenu un président sans pays.

Dans la nuit, un projet de document a été élaboré et, le lendemain, une déclaration en 14 points a été adoptée. L’accord est entré en vigueur le 12 décembre, après avoir été ratifié par les trois parlements avec seulement une poignée de voix d’opposition. Le 21 décembre, les trois signataires de Belavezha ont rencontré les dirigeants de huit autres républiques soviétiques à Alma-Ata, au Kazakhstan, et tous ont signé un protocole d’adhésion à la CEI. Les Nations Unies ont reconnu le document le 23 décembre.

L’accord faisait de la Russie l’État successeur de l’Union Soviétique et il la déclarait responsable de toutes les dettes et de l’arsenal nucléaire de l’URSS.

Lorsque, en 1994, le Mémorandum de Budapest a été rédigé, impliquant non seulement les anciens pays soviétiques, mais aussi les États-Unis et leurs alliés, afin d’amener les anciennes républiques soviétiques à adhérer au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires créé en 1994, et qui comprenait une disposition selon laquelle seule la Russie devait disposer d’armes nucléaires, les autres anciennes républiques soviétiques n’en ayant pas, Poutine ne jouait aucun rôle dans l’administration Eltsine, et n’avait même jamais rencontré Eltsine. Il est en revanche intéressant de noter que, parmi les fonctionnaires présents à la cérémonie de signature de ce traité, se trouvait l’ambassadeur des États-Unis en Hongrie nommé par Clinton, qui était Donald Blinken, le père de l’actuel secrétaire d’État Antony Blinken, qui était également un ami et un associé – pratiquement un jumeau ukrainien – de George Soros, né en Hongrie, et qui avait été nommé par Clinton après avoir cofondé en 1966 ce qui est devenu en 1994 la plus grande société de capital-risque des États-Unis, Warburg Pincus, dont le président et directeur général est aujourd’hui Timothy Geithner, que M. Obama avait nommé secrétaire au Trésor américain afin de protéger les banquiers dont les crimes avaient provoqué le krach financier mondial de 2008, parce que M. Geithner avait fait du bon travail sous le président américain George W. Bush en tant que président de la Banque Fédérale de Réserve de New York (en insistant sur le fait que toutes les mégabanques étaient en bonne santé), après avoir été nommé par Bill Clinton en 1998 en tant que sous-secrétaire du Trésor pour les Affaires internationales. Avant tout cela, Geithner avait été un ami d’enfance d’Obama, et de sa mère à la Fondation Ford. Le monde est bien petit là-haut.

Mais cette chronologie n’est pas la seule chose qui révèle le mensonge de Clinton. Le 27 avril 2023, un obscur site web a fourni, en ligne, le tout premier récit crédible de la date et de la manière dont Boris Eltsine a rencontré Vladimir Poutine pour la première fois ; et, si ce récit est vrai, il prouve à lui seul et sans le moindre doute que les mensonges les plus récents et les plus vicieux de Clinton à l’encontre de la Russie sont encore pires que je ne l’avais pensé auparavant :

 

https://min.news/en/world/6edd2715cf2663de4473dc7fd6d93b10.html

https://archive.is/PsSzQ

[min.news est un site chinois.]

Quand nous l’avons rencontré pour la première fois, pourquoi Poutine a-t-il conquis Eltsine ?  « Cet homme doit aller à Moscou ! »

2023-04-27 21:27 HKT

 « Poutine a succédé à Eltsine à l’âge de 48 ans et est devenu officiellement président de la Russie.

Mais il était entré très tard dans la vision d’Eltsine.

Poutine a rencontré Eltsine pour la première fois en 1994, dans la banlieue de Saint-Pétersbourg.

À cette époque, Poutine avait 42 ans et Eltsine, né en 1931, en avait 63.

À l’issue de cette brève rencontre, celui qui était le président russe de l’époque a laissé une phrase : « Cet homme doit aller à Moscou avec moi ! »

Pourquoi Eltsine s’est-il alors montré si optimiste à propos de Poutine qu’il venait de rencontrer pour la première fois ?

Découvrir ce que vaut quelqu’un peut prendre toute une vie, mais peut aussi se faire en un instant.

Ceux qui connaissent l’histoire de la Russie savent qu’en 1994, le pays était dans une situation terriblement précaire, avec des oligarques financiers qui contrôlaient l’économie à l’intérieur et des émeutiers tchétchènes qui l’attaquaient à l’extérieur. Les crises internes et externes ont empêché Eltsine, qui était assis sur le trône présidentiel, de jouir du plaisir que procure un grand pouvoir. Au contraire, la situation chaotique et tendue, toujours au bord de l’effondrement, lui faisait un matelas d’épingles.

Certains ont même déclaré qu’Eltsine était à cette époque le président le plus mal en point du monde.

Les nerfs d’un homme ne peuvent pas être tendus sans interruption, sinon des problèmes surgiront tôt ou tard.

C’est alors que Sobtchak, le maire de Saint-Pétersbourg, réfléchit à un moyen d’inviter Eltsine à venir chasser et se détendre chez lui.

Eltsine n’avait certainement aucune raison de refuser. Mais ni lui, ni Sobtchak, ni Poutine ne s’attendaient à ce que ce voyage de détente s’avère si dramatique et si important pour l’histoire de la Russie.

Après l’arrivée d’Eltsine sur le terrain de chasse situé à la périphérie de Saint-Pétersbourg, tout le monde a commencé par installer des tables et des chaises sur la pelouse, puis préparé la nourriture et prévu de se rendre directement dans la forêt pour chasser après ce repas de midi.

À ce moment-là, Eltsine, qui s’était déjà assis à côté d’à peu près tout le monde, a trouvé qu’une chaise, d’un côté de la table, était vide. Il a demandé à qui elle appartenait et son voisin lui a répondu que c’était celle de Poutine, l’adjoint au maire, en ajoutant : ce type est toujours en retard.

On peut imaginer l’impression qu’a dû faire sur Eltsine, à ce moment-là, ce Poutine qui était en retard pour une occasion aussi importante.

Lorsque Poutine est enfin arrivé, tout le monde avait déjà commencé. Poutine, embarrassé, a simplement dit « je suis en retard » et s’est assis pour manger.

Par la suite, les convives ont appris qu’il était en retard ce jour-là parce que sa Volga périmée était tombée en panne à mi-chemin et qu’il avait dû la réparer pendant plus d’une heure sur la route avant qu’elle consente à repartir.

Mais Poutine n’a pas donné d’explication à ce moment-là.

C’est peut-être dû, aussi, à son  caractère : il n’aime ni se vanter ni se justifier, et il préfère laisser croire qu’il a tort. Quand on est en retard, on est en retard, on ne passe pas son temps à s’excuser.

Eltsine et les autres ont donc continué de manger et de bavarder joyeusement, Poutine baissant la tête et mâchant en silence.

À ce moment-là, Eltsine a levé la tête par inadvertance et s’est rendu compte qu’un énorme sanglier venait de surgir à quelques pas de lui.

Tout le monde connaît la puissance des sangliers russes à l’attaque. Bien sûr, Eltsine a eu peur de ce Behemoth qu’on n’attendait pas ! C’est humain.

Dans ses mémoires [probablement le Journal de minuit paru en 2000, qui ne contient pourtant aucun passage de ce genre que j’aie pu trouver], il a écrit : « Sous l’effet de la nervosité, mes lunettes sont tombées sous la table, et les sept personnes qui m’entouraient se sont toutes mises à quatre pattes pour m’aider à les retrouver ».

Comme on peut l’attendre d’un politicien, il pratiquait la litote.

Vous cherchiez des lunettes ? Ben, voyons !

 

Dans un moment critique où vous risquez d’être attaqué par une bête féroce… des lunettes, le président et perdre ou non la face n’entrent pas en ligne de compte. Y a-t-il quelque chose de plus important que de sauver sa vie ?

Seul Poutine, le retardataire, s’est levé posément, a saisit une arme dans le ratelier tout prêt, l’a armée et a tiré.

Son premier coup a touché le sanglier, mais ne l’a pas tué ; il a tiré un autre coup, toujours calmement, et le sanglier est tombé, mort cette fois.

Eltsine, encore sous le choc, est sorti de dessous la table, a vu Poutine, qui tenait encore le fusil de chasse et regardait tranquillement devant lui. On peut lire dans les mémoires :

 

« J’ai regardé ce retardataire de haut en bas. Il était complètement différent de ceux en costume-cravate. En uniforme de camouflage. Et il a tué un ours brun [sic] d’un seul coup [sic] de fusil de chasse. Ses mouvements avec l’arme avaient été des plus professionnels, d’une sûreté et d’un courage sans faille. Tenir un fusil, c’est comme serrer dans ses bras une maîtresse. »

 

Il n’y avait même plus besoin de chasser, ce voyage avait déjà rapporté le plus rare des gibiers.

En partant, Eltsine a dit à Sobtchak : « Cet homme doit venir à Moscou ».

C’est le moment où la destinée de Poutine a amorcé un tournant décisif.

 

Il convient de noter que, dans ce récit, Eltsine a rencontré Poutine pour la première fois en 1994. Cependant, les mémoires publiés par Eltsine après 1990 sur sa carrière politique – son Journal de minuit paru en 2000 – ne disent pas quand il a rencontré Poutine exactement. C’est la première fois que je vois un tel récit.

Le récit de Bill Clinton sur la guerre en Ukraine insinue sournoisement qu’en 1994, Poutine connaissait non seulement le président Eltsine, mais qu’il a joué un rôle influent, voire décisif, dans un prétendu accord tripartite entre l’Ukraine (Kravtchouk), la Russie (Eltsine) et l’Amérique (Clinton), concernant les conditions dans lesquelles l’Ukraine obtiendrait son indépendance vis-à-vis de la Russie. Or, cela est outrageusement faux, car la séparation de l’Ukraine de la Russie s’inscrivait, à cet égard, dans le cadre d’un accord que la Russie avait conclu simultanément avec TOUTES les parties non russes de l’ex-URSS concernant les armes nucléaires de l’Union soviétique : ces armes devaient être envoyées à la Russie et faisaient partie des conditions posées par celle-ci pour permettre à ces anciennes républiques soviétiques de devenir des nations pleinement indépendantes. À l’époque, même l’administration Clinton faisait partie de cet accord international, voire mondial, concernant la non-prolifération des armes nucléaires. Pourtant, aujourd’hui, il prétend le regretter. Son mépris du public est sans bornes.

J’ai immédiatement su que le récit de Clinton était faux, car aucun document n’a jamais été publié qui situe la toute première rencontre entre Boris Eltsine et Vladimir Poutine suffisamment tôt pour rendre son récit crédible : selon son racontar, Poutine était déjà proche d’Eltsine en 1994, si ce n’est plus tôt. Mais il n’existe aucun document publié attestant que Poutine ait connu ou rencontré Eltsine aussi tôt que cela. En outre, selon le compte rendu de Min News, tout ce qu’Eltsine savait de Poutine en 1994 était qu’il voulait qu’il vienne à Moscou pour commencer à travailler dans son administration. Selon le récit de Clinton, l’Ukraine aurait alors posé des conditions au sujet de ses armes nucléaires, dont il n’a jamais été prouvé qu’elle les ait posées, et encore moins qu’elles aient été prises en compte et examinées par l’une ou l’autre des parties engagées dans l’un des accords internationaux concernés.

Et, bien sûr, les bavardages de Clinton à la télévision irlandaise ont entièrement passé sous silence le fait que la guerre en Ukraine a été déclenchée en février 2014 par le coup d’État d’Obama, qui s’est emparé de l’Ukraine afin de la jeter contre son voisin, la Russie, et qu’elle n’a absolument PAS été déclenchée par Poutine le 24 février 2022, comme le prétendent honteusement les mensonges de l’Occident.

En outre enfin, il y a ceci :

John Helmer est le grand journaliste d’investigation né en Australie, qui a obtenu son doctorat en sciences politiques à Harvard, est devenu professeur de sciences politiques à l’université de Melbourne, a été invité le 21 novembre 1975 à rejoindre l’administration du président américain Jimmy Carter, est devenu directeur adjoint de la division du développement économique de l’Office de la Gestion et du Budget (OMB) et qui s’est finalement installé à Moscou, où il a créé sa propre entreprise indépendante. Il y est devenu le journaliste occidental le plus ancien et le plus respecté en Russie, publiant des articles sur le gouvernement russe pour de nombreux journaux dans le monde entier (et désormais uniquement sur son propre blog « Dances With Bears »).

Le 9 septembre 2018, il a titré « LE SECRET DES PAPIERS CLINTON-ELTSINE QUE LE PORTE-PAROLE DU KREMLIN REGRETTE DE VOIR EXPOSER », et a révélé les mensonges de Clinton sur de nombreux sujets. Il ne faut donc pas s’étonner de constater que Clinton a également menti comme un arracheur de dents sur son rôle dans l’organisation de la catastrophe Eltsine en Russie et sur l’absence de rôle de Poutine dans les conditions de l’éclatement de l’Union soviétique. C’est juste Bill Clinton tel qu’en lui-même.

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Le nouveau livre de l’historien Eric Zuesse, AMERICA’S EMPIRE OF EVIL : Hitler’s Posthumous Victory, and Why the Social Sciences Need to Change (L’EMPIRE DU MAL AMÉRICAIN : La victoire posthume de Hitler et pourquoi les sciences sociales doivent changer), explique comment l’Amérique a pris le contrôle du monde après la Deuxième Guerre mondiale afin de l’asservir aux milliardaires américains-et-alliés, leurs cartels s’emparant des richesses du monde en contrôlant non seulement les médias d’« information » mais aussi les « sciences » sociales, pour mieux duper le public.

 

Source : https://theduran.com/bill-clinton-lied-to-ireland-about-ukraine-wars-history/

URL de cet article :  http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/bill-clinton-a-menti-a-lirlande-sur-lhistoire-de-la-guerre-en-ukraine/

 

 

Mai 2023

 

 

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