On voulait s’arrêter, mais…

 

 

 

 

 

 

 

On voulait s’arrêter, mais…

 

 

…voilà qu’on reçoit deux choses qu’on se doit de relayer (en plus de toutes celles qu’on devrait et qu’on n’arrive pas à…).

Alors, ultime post ? Probable. Ou alors pas loin.

NB : Notre bateau d’aujourd’hui est péruvien et il a des jambes. Petit hommage en passant à feu Maradona, argentin, et aux autres latinos en général.

 

 

 

 

Si on vous dit que ce qui suit est important, est-ce que vous nous croirez ?

 

 

Le Prince, le virus et le conseiller

 

Ariel Beresniak –  RT France – 26 nov. 2020

 

 

Dans un hôpital français (image d’illustration).

 

 

Le docteur en médecine Ariel Beresniak présente son analyse de la fonction du Conseil scientifique et sa gestion de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus alors que ses décisions se montrent extrêmement néfastes pour la population.

 

S’il est cocasse d’entendre disserter des responsables politiques sur la dynamique des épidémies, il est une qualité qui doit être reconnue au sommet de l’État, celle de parfaitement connaître les classiques de la philosophie politique. En constituant son propre « conseil scientifique », le chef de l’Etat a ainsi parfaitement intégré les recommandations du penseur Florentin Machiavel sur l’art pour un Prince de gérer les menaces.

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Source : https://francais.rt.com/opinions/80997-prince-virus-conseiller-ariel-beresniak

 

 

 

 

 

 

 

 

Aussi important, et les mêmes causes produisant les mêmes effets…

 

 

La grande déchirure

 

Un nouveau livre de

Jean  Chérasse, alias Vingtras

 

Mais d’abord, un texte de l’auteur sur son blog Mediapart – il est de 2016 et consacré à un autre livre…

 

Retour à Tours

 

VingtrasBlog : Vingtras  – 27 déc. 2016

 

 

Analyse brillante et pertinente que celle de Pierre Dardot et de Christian Laval, à la une de Mediapart, sous le titre : « Le cauchemar qui n’en finit plus, le testament de Hollande, ou comment la gauche française s’est auto-anéantie »… une analyse qu’il faut néanmoins remettre en perspective afin de comprendre comment cet ersatz médiocre du « socialisme » est un résidu du Congrès de Tours.

En effet, il y a quatre-vingt-seize ans, toute la famille de gauche rescapée de la grande boucherie de 14/18, se réunissant fin décembre 1920 à Tours, à l’occasion du 18e Congrès de la S.F.I.O. (section française de l’internationale Ouvrière), explosait en deux courants antagonistes ; l’autre, la S.F.I.C. (section française de l’Internationale Communiste) donnait naissance au Parti Communiste français.

 Ainsi, les héritiers des Communeux, oubliant la terrifiante leçon de la Semaine Sanglante, avaient décidé de se diviser avec le retour des beaux jours, dans cette après-guerre des années folles où, tandis que les oligarchies financières profitaient de leurs gains et de leur plus-values acquises sur les cadavres de millions de belligérants, les classes défavorisées survivants de l’hécatombe, reprenaient leur lutte pour un avenir meilleur.

Mais à la différence du XIXe siècle, un immense espoir était né en octobre 1917 avec la révolution soviétique et cet événement majeur conditionna le développement des partis de gauche du monde entier. La suite est malheureusement bien connue…

En France, la SFIO qui s’était compromise dans « l’union sacrée » avec la droite à cause de la « grande guerre », s’inscrivit dans le sillage du parti radical afin de pouvoir bénéficier de victoires électorales afin de quadriller le pays avec des notables. Après la grande crise économique et devant la menace fasciste des années trente, elle proposa une alliance électorale au Parti Communiste qui aboutit à la victoire du Front Populaire de 1936.

Mais la SFIO de Léon Blum n’osa pas entreprendre les grandes réformes structurelles pour que la république française devienne enfin une république sociale, elle n’intervint pas en Espagne pour lutter contre Franco et n’osa pas amorcer une politique de décolonisation.

La faiblesse idéologique de la SFIO se retrouve en 1945 à la libération où elle va opter pour l’Europe américanisée du plan Marshall, puis en réaction au gaullisme triomphant, elle va lorgner de plus en plus vers la social-démocratie à l’allemande et enfin vers un néo-libéralisme, plus ou moins corrigé par l’intervention technique de l’État.

Il n’est donc pas surprenant de « découvrir » le parcours de François Hollande, et son dévouement à la république bourgeoise. La SFIO n’a jamais été qu’un paravent des « honnêtes gens », c’est à dire des classes dominantes.

Hollande fait partie des « élites » technocratiques cooptées par les privilégiés et n’agit que pour préserver leurs intérêts. Ses discours ne sont que « de la poudre aux yeux »…

Il faut donc chasser tous ces vieux démons, oublier le Congrès de Tours, se réinventer à gauche, et remettre enfin le COMMUN au coeur de nos préoccupations !

Il ne faut plus prendre les « socialistes » pour la gauche, des vessies pour des lanternes.

Réactiver le message de la Commune…  

Émancipation et fraternité !

__________________   

Pierre DARDOT et Christian LAVAL – Ce cauchemar qui n’en finit pas – Comment le libéralisme défait la démocratie – La Découverte, 2016 – 13,50 €

 

 

 

 

Novembre 2020

 

Vient de paraître :

 

 

Jean A. Chérasse

Noël 1920, à Tours

La grande déchirure…

Le Congrès fratricide

avec une postface de Raoul Vaneigem

Éditions du Croquant – Novembre 2020

192 pages

 

Prix : 15 € ; ISBN : 9782365122870

Disponible en librairie

Peut être commandé (franco de port) sur le site de l’éditeur : cliquer ici

Prix du livre papier : 15 €

Pour la version électronique (PDF) : 12 €

 

 

Noël 1920. Dans la salle du Manège à Tours, 285 délégués de la SFIO, repré­sentants de la France laborieuse qui vient d’émerger du cauchemar de la guerre. Durant cinq jours, ils vont s’ex­primer pour ou contre l’adhésion à la IIIe Internationale récemment créée à Moscou, provoquant une scission : les majoritaires fonderont la SFIC, c’est-à-dire le Parti communiste, les minoritaires se replieront sur la « vieille maison » socialiste. L’événement a fait l’objet d’une historiographie savante et pertinente mais il gagne à être revisité aujourd’hui, notamment dans le sillage de la Commune de Paris et des idées qu’elle a pu semer.

Quelles furent les raisons profondes de cette scission ? Pourquoi cette grande division, entravant toutes les luttes sociales et remettant toujours au lendemain l’espoir de « changer la vie » ? Comment ce grand sabordage de l’émancipation prolétarienne a-t-il perduré en paralysant le combat an­ti-capitaliste et en fragmentant aujourd’hui encore les forces de gauche qui sont réduites désormais à l’impuissance contre l’autocratie républicaine bourgeoise ?

Le Congrès de Tours a introduit, avec le virus bolchévique du soupçon et de la défiance, et celui, mégalomaniaque, inhérent au pouvoir personnel, le poison de la division dans la doxa politique de la gauche : peut-on survivre à ces fléaux sans un recours au vaccin de la souveraineté populaire ? Un jour peut-être, « la liberté enfin s’éveille(ra) au souffle de la vie ».

Jean A. Chérasse, cinéaste documentariste, agrégé d’histoire, titulaire du blog « Vingtras » sur Mediapart.

 

 

 

 

Bien entendu l’histoire du Congrès de Tours est un phénomène qui parait condamné à se répéter, la « zone occupée » qui se prétend la « gauche » se scindant une fois de plus, avec le PS et le PCF dans le rôle de la SFIO et le PRCF dans celui de la gauche à principes. Jusqu’à la scission suivante ? À moins que « nous »  (le PRCF et tous ceux que le PS a réussi à éparpiller pour qu’ils ne se regroupent en dehors de lui) ne fassions nôtre avec une farouche humilité la résolution de Günther Grass en mettant un pied devant l’autre et en faisant de notre mieux, pour – qui sait ? – franchir contre toute attente un autre petit bout de la longue, ardue, interminable route tracée par Robespierre, sur laquelle une poignée de surhommes (Lénine, Staline, Mao, Castro, Hô Chi Minh) ont jusqu’à présent avancé de quelques mètres. Puisqu’il n’y en a pas d’autre.

 

 

 

 

 

 

 

 

Andrea CAMILLERI

Riccardino

Langue : italien

Sellerio editore Palermo – 15 juillet 2020

288 pages

15 €

L’ultima avventura del commissario Montalbano.

Anno 2005: Camilleri ha appena pubblicato La luna di carta. Sta lavorando alla successiva avventura della serie, ma in estate consegna a Elvira Sellerio un altro romanzo con protagonista il commissario Montalbano. Si intitola Riccardino. L’accordo è che verrà pubblicato poi, un domani indefinito, si sa solo che sarà l’ultimo romanzo della saga Montalbano.

Anno 2016. Sono passati 11 anni durante i quali sono usciti 15 libri di Montalbano. Andrea Camilleri sente l’urgenza di riprendere quel romanzo, che è venuta l’ora di «sistemarlo. Nulla cambia nella trama ma solo nella lingua che nel frattempo si è evoluta. Né muta il titolo che allora considerava provvisorio ma al quale ormai si è affezionato e che nel 2016 decide essere definitivo. Un titolo così diverso da quelli essenziali ed evocativi e pieni di significato ai quali siamo abituati, in cui risuonano echi letterari : La forma dell’acqua, Il giro di boa, Il ladro di merendine, L’altro capo del filo. Ma Riccardino segna quasi una cesura, una fine, ed è giusto marcare la differenza sin dal titolo. Ma come è nata l’idea, e soprattutto perché ? Racconta Andrea Camilleri in una vecchia intervista che a un certo punto si era posto il problema della « serialità » dei suoi romanzi, dilemma comune a molti scrittori di noir, che aveva risolto decidendo di fare invecchiare il suo commissario insieme al calendario, con tutti i mutamenti che ciò avrebbe comportato, del personaggio e dei tempi che man mano avrebbe vissuto. Ma poi, aggiunge, « mi sono pure posto un problema scaramantico ». I suoi due amici scrittori di gialli, Izzo e Manuel Vázquez Montálban, che volevano liberarsi dei loro personaggi, alla fine erano morti prima di loro. Allora « mi sono fatto venire un’altra idea trovando in un certo senso la soluzione ». Ecco: la soluzione la scopriranno i suoi tantissimi affezionati lettori di questo Riccardino che pubblichiamo ricordando Andrea Camilleri con gratitudine grandissima.

 

On vous explique en gros :

 

Ce livre a une histoire.

En 2004, Camilleri, qui atteignait ses 80 ans et ne se portait pas bien, pensait qu’il n’allait pas tarder à mourir. D’une part, il tenait à mettre lui-même un terme à la carrière de Montalbano. D’autre part, il avait très envie de consacrer le plus possible du temps qui lui restait à écrire des romans d’« histoire civile » comme L’Opéra de Vigata  ou La prise de Makalé.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/autres-livres-2/

 

 

 

 

 

 

 

 

L’hypocrisie au sommet du G20

 

Israël Adam Shamir – Entre la plume et… – 27.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

King Salman says : « Make the vaccine available to all »

 

 

Les dirigeants du G20 sont parvenus à un consensus d’une ampleur déjà observée lors des sommets du Pacte de Varsovie. Bref : ils veulent nous vacciner, puis, avant qu’on se remette à bouger, passer à la lutte contre le réchauffement climatique. Si nous survivons aux masques et aux vaccins, c’est l’austérité qui tuera les survivants.

 

 Vous vous souvenez qu’avant la pandémie, il y avait Greta ? Greta reviendra, dès que tout le monde aura reçu sa petite piqûre. Ce programme « Sauvez le monde » (Save-The-World) s’adresse à une partie importante de l’humanité, y compris les Russes, les Européens, les Américains. D’abord, une bonne petite piqûre pour nous sauver ; ensuite, on visera plus haut: nous faire sauver la planète du réchauffement. Une grande partie de ce programme de sauvetage du monde est tout droit sortie d’une bande dessinée. Prenons maintenant le temps de regarder ce qui se passe.

 Pendant que vous passiez votre week-end aux préparatifs de Thanksgiving, les dirigeants de vingt des plus grands pays du monde ont tenu leur sommet en ligne. D’habitude, ils se réunissent, discutent, abordent des problèmes dans les couloirs – cette fois, tout était en ligne. Bien que le sommet ait été officiellement accueilli par l’Arabie saoudite, Zoom c’est Zoom – les hôtes du sommet ont eu peu d’occasions de montrer leur hospitalité. Et il y a eu peu de controverse. Les dirigeants étaient généralement d’accord entre eux.

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Source : https://plumenclume.org/blog/639-l-hypocrisie-au-sommet-du-g20

 

Européens, encore un effort pour être tout à fait saoudiens !

 

 

 

 

 

Le dragon vole, l’aigle s’écrase lors des sommets géoéconomiques

 

XI a plaidé en faveur du multilatéralisme, de la coopération internationale et de la représentation du Sud Global pendant que Trump était absent ou jouait au golf.

 

Pepe EscobarMondialisation.ca – 28.11.2020

Source : Asia Times

 

 

 

 

Quatre sommets géoéconomiques en une semaine racontent l’histoire de notre situation en ces temps de dystopie suprême.

 

La signature (virtuelle) du RCEP au Vietnam a été suivie par la réunion tout aussi virtuelle du BRICS à Moscou, la réunion de l’APEC en Malaisie et le G20 le week-end dernier en Arabie Saoudite.

Les cyniques n’ont pas manqué de remarquer le théâtre spectaculaire de l’absurde d’avoir les 20 premières économies – du moins en théorie – discutant de ce qui est sans doute le tournant du système mondial, reliées à une hacienda pétrolière du désert favorable à la décapitation avec une mentalité du 7ème siècle.

La déclaration de Riyad a fait de son mieux pour lever le sombre climat planétaire, en promettant de déployer « tous les outils politiques disponibles » (sans détails précis) pour contenir le Covid-19 et héroïquement « sauver » l’économie mondiale en « faisant progresser » la préparation à la pandémie mondiale, le développement et la distribution de vaccins – en tandem avec l’allégement de la dette – pour le Sud global.

Pas un mot sur la Grande Réinitialisation – le plan du Meilleur des Mondes concocté par Schwab de Davos et entièrement soutenu par le FMI, Big Tech, les intérêts transnationaux du Grand Capital et le si bienveillant Prince Charles. Pendant ce temps, les sherpas du G20 se plaignaient officieusement de l’absence de véritable gouvernance mondiale et des multiples attaques contre le multilatéralisme.

Et pas un mot non plus sur la véritable guerre des vaccins entre les coûteux candidats occidentaux – Pfizer, Moderna, AstraZeneca – et les versions russo-chinoises beaucoup moins chères – Sputnik V et Sinovac.

Ce qui semble être le cas, c’est que tout programme – sinistre ou autre – correspond à la promesse unique du G20 d’offrir « les opportunités du 21ème siècle pour tous en donnant du pouvoir aux gens, en sauvegardant la planète et en façonnant de nouvelles frontières ».

 

La Maison de Xi

Au G20, le Président Xi Jinping n’a pas manqué l’occasion – après le RCEP, le BRICS et l’APEC – de souligner une nouvelle fois les priorités de la Chine : multilatéralisme, soutien à la réforme de l’OMC, vaste coopération internationale en matière de recherche et de production de vaccins.

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Source : https://www.mondialisation.ca/le-dragon-vole-laigle-secrase-lors-des-sommets-geoeconomiques/5651546

 

 

 

 

 

ONU : USA, OTAN, Turquie, Israël… un même combat pour le pillage et la poursuite de la guerre terroriste en Syrie

 

 

Bachar al Jaafari – Comité Valmy – 29.11.2020

 

 

 

 

Au Conseil de sécurité réuni le 25 novembre dernier pour examiner les situations politique et humanitaire en Syrie, « les divergences de vue sur l’impasse du processus constitutionnel et la persistance de la crise humanitaire en Syrie » n’ont toujours pas été résolues [1]. Au contraire, certains ont conservé les récits d’une vision volontairement déformatrice de la dure réalité vécue par les Syriens, en dépit de tous les témoignages prouvant la fausseté de leur prétendu souci humanitaire, seul argument indéfiniment exploité pour continuer à détruire un pays et un peuple qui refusent de céder à leurs inadmissibles exigences. La prise de parole du délégué de la Turquie illustre parfaitement le summum d’une telle hypocrisie [2].

Face à tous ces faux amis du peuple syrien, voici une mise au clair du Docteur Bachar al-Jaafari, délégué permanent de la Syrie auprès des Nations Unies. [NdT].

 

Madame la Présidente,

Ma délégation réitère ses remerciements et sa reconnaissance pour votre bonne gestion des travaux du Conseil de sécurité ce mois-ci. Je remercie le Secrétariat général ainsi que Mesdames et Messieurs les délégués permanents et leurs délégations respectives pour avoir exprimé leurs condoléances suite au décès de Monsieur Walid Al-Mouallem, vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et des Expatriés. Je remercie aussi les chers collègues qui m’ont félicité pour ma nomination au poste de vice-ministre des Affaires étrangères et des Expatriés.

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Source : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article12384

 

 

 

 

Les jeux sont loin d’être faits, rien ne va plus

 

Douze citations de l’avocat Sidney Powell qui montrent pourquoi les avocats de Trump sont absolument convaincus qu’il remportera les élections

 

Michael Snyder – Le Saker francophone – 27.11.2020

Source : End of the American Dream – 16.11.2020

 

 

Sidney Powell

 

 

Nous sommes sur le point d’assister à la bataille judiciaire la plus lourde de l’histoire des États-Unis. Oui, le résultat déterminera qui, de Donald Trump ou de Joe Biden, remportera la présidence, mais plus important encore, l’intégrité des élections américaines est sur le point d’être jugée.

Littéralement, c’est le moment où nous déterminons s’il y aura des élections justes aux États-Unis dans un avenir prévisible.

 

Si la fraude peut être prouvée, des machines à voter extrêmement coûteuses devront être détruites dans tout le pays et la façon dont nous organisons nos élections devra être complètement revue. Mais si la fraude n’est pas prouvée, nos élections continueront de se dérouler de la même manière et personne n’osera plus jamais les défier.

Donc, dire que les enjeux sont très élevés est un euphémisme.

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Notre source : https://lesakerfrancophone.fr/les-jeux-sont-loin-detre-faits-rien-ne-va-plus

 

 

 

 

Épidémies et frontières / COVID-19 et égouts

 

Didier Raoult et Prof. Bernard La ScolaMondialisation.ca –  27 .11.2020

mediterranee-infection.com

 

 

 

 

Bulletin d’information scientifique de l’IHU – Nous avons le droit d’être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection Pr Bernard La Scola, Responsable du laboratoire P3 de l’IHU Méditerranée Infection

 

 

 

 

 

D. Raoult

IHU a toujours testé les gens en fonction de la demande dès début épidémie : la demande de tests suit exactement l’évolution de l’épidémie, les gens viennent plus se faire tester quand le nombre de cas augmente.

L’épisode actuel diminue de manière drastique

Ce phénomène se retrouve sur cas hospitalisés et en réanimation (il n’y a jamais eu autant de cas en réanimation dans ce deuxième épisode que pendant le premier)

Il n’y a pas eu de rebond, c’est un fantasme.

Les pays qui ont contrôlé de façon raisonnable du risque épidémique n’ont pas de rebond (sud-est asiatique)

Gestion épidémie.

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Source : https://www.mondialisation.ca/epidemies-et-frontieres-covid-19-et-egouts/5651505

 

 

 

Pour ceux qui y croient :

 

Pétition pour le Dr Raoult

https://www.mesopinions.com/petition/sante/soutien-pr-raoult-contre-medecins-ont/103563/soutenir#main-block

 

 

 

 

Un très brillant Lordon, que vous ne trouverez pas dans Le Swar (au rebours d’Obama, que vous y trouverez avec insistance).

 

Paniques anticomplotistes

 

Frédériuc Lordon – Entelekheia – 27.11.2020

Paru sur les Blogs du « Diplo »

 

 

 

 

SHold-up n’avait pas existé, les anticomplotistes l’auraient inventé. C’est le produit parfait, le bloc de complotisme-étalon en platine iridié, déposé au Pavillon de Breteuil à Sèvres. De très belles trouvailles, des intervenants dont certains ont passé le 38e parallèle comme des chefs : une bénédiction. Altérée cependant parce que, certes, on est content d’avoir raison et d’être la rationalité incarnée, mais quand même l’époque est sombre et on rit moins. La Terre plate et la Lune creuse, on veut bien, ça c’est vraiment drôle, mais QAnon beaucoup moins, ça fait de la politique, le cas échéant ça prend des armes ; aux fusils près et du train où vont les choses on pourrait bientôt avoir les mêmes à la maison. D’ailleurs, on commence à les avoir. Pour l’heure il n’est question que de masques et de vaccins, ce qui n’est déjà pas rien, mais on sent bien que tous les autres sujets sont candidats. Ce qu’on sent bien également, c’est le degré auquel le camp de la raison se voit lui-même démuni, et légèrement inquiet devant sa difficulté à élaborer des stratégies antidotes. Disons-le tout de suite, dans la disposition qui est la sienne, il n’est pas près d’en trouver la première.

 

D’une forme à l’autre (mais la même)

Le torrent de commentaires qu’a immédiatement suscité la diffusion du documentaire est sans doute le premier signe qui trahit la fébrilité — du temps a passé depuis le mépris et les ricanements. Si encore il n’y avait que la quantité. Mais il faut voir la « qualité ». C’est peut-être là le trait le plus caractéristique de l’épisode « Hold-up » que toutes les réactions médiatiques ou expertes suscitée par le documentaire ne font que reconduire les causes qui l’ont rendu possible. Les fortes analyses reprises à peu près partout ont d’abord fait assaut de savoirs professionnels par des professionnels : « la musique » — inquiétante (la musique complotiste est toujours inquiétante), le format « interviews d’experts sur fond sombre » (le complotisme est sombre), « le montage » (le montage… monte ?). C’est-à-dire, en fait, les ficelles ordinaires, et grossières, de tous les reportages de M6, TF1, LCI, BFM, France 2, etc. Et c’est bien parce que l’habitude de la bouillie de pensée a été installée de très longue date par ces formats médiatiques que les spectateurs de documentaires complotistes ne souffrent d’aucun dépaysement, se trouvent d’emblée en terrain formel connu, parfaitement réceptifs… et auront du mal à comprendre que ce qui est standard professionnel ici devienne honteuse manipulation là.

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Source : http://www.entelekheia.fr/2020/11/27/paniques-anticomplotistes/

 

 

 

 

 

Pour Deloire et RSF la porte était fermée de l’Intérieur.

 

Jacques-Marie Bourget – L.G.S. – 27.11.2020

 

 

 

 

Ménard puis Deloire, les Roux et Combaluzier de Reporters sans Frontières ont toujours trouvé un moyen de nous divertir. Cette fois Deloire, fâché des messages de jeunes journalistes lancés sur les réseaux sociaux, entend poursuivre ces confrères, donc l’avenir d’une profession moribonde, en diffamation. Comme un malheur voyage toujours accompagné, ce malheureux « dirigeant » de RSF s’est pointé pour une réunion au ministère de l’Intérieur… où la porte lui a été claquée au nez . Reviens, Ménard !

 

Les occasions de rire étant confinées, il est bon de prendre un moment de détente en évoquant Reporters sans Frontière. Aujourd’hui un RSM, puisque Reporters sans Ménard. A croire que cette invention est aussi là pour nous faire rire. Ce qui démontre RSF est utile. En lisant « Marianne » (« en accès libre »), je découvre que l’immense Christophe Deloire, patron rémunéré de RSF, est en colère. Fâché contre des journalistes galopins auto-définis comme des « street reporters ». Le grand maître du journalisme entend les fesser, et sur Twitter dénonce les attaques dont son association fait l’objet. Taha Bouhafs, ex-militant de « La France Insoumise » qui travaille pour « Le Média », « Là-bas si j’y suis », et Gaspard Glanz de Taranis News, n’arrêtent pas de lui brûler la plante des pieds, via le réseau social. Ces deux petits journalistes, qui ne vénèrent pas Christophe, sous entendent que RSF :« vivrait de subventions d’Etat et qu’il serait proche du pouvoir ».

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Source : https://www.legrandsoir.info/pour-deloire-et-rsf-la-porte-etait-fermee-de-l-interieur.html

 

 

 

 

Et la France a plus peur de sa police que de ses voyous

 

Théophraste R – L.G.S. – 28.11.2020

 

 

 

 

Combien de policiers impassibles (dix, vingt ?) ont assisté dans la rue au passage à tabac de Michel Zecler, producteur de musique, et de ses très jeunes confrères par trois barbares armés payés par nous ?

 

Est-ce que l’un des dix ou vingt a essayé, au moins de la voix, de calmer les brutes assermentées ? Non. Chacun son job. Les uns tabassent des civils, les autres « sécurisent la zone », c’est-à-dire vont rosser le premier civil qui descendrait de chez lui en criant « Arrêtez ! Vous allez le tuer ! Il n’a rien fait ».

Et pas un civil ne montre son nez. On ne sort pas dans une rue où le pouvoir macronien a lâché sans muselière trois Rottweilers dressés à l’attaque et protégés par dix ou vingt Pitbulls.

Depuis novembre 2018, on a assisté tous les samedis, partout en France, à des lâchers de fauves affamés de gilets jaunes, dressés à mordre les crânes, à arracher des mains et des yeux sans que jamais un klebs de leur chenil ne fasse un geste pour les calmer.

Il faut bien en déduire que tous les keufs de la rue sont des Rottweilers.

Ne venez pas me chanter qu’il y a quelques brebis galeuses molosses enragés qui ternissent l’image d’une police nationale faite de chiens-chiens à sa mémère.

C’est structurel.

La gangrène gagne depuis 2017. Macron en a peur, il n’a plus la force de couper le membre pourri. Les pays étrangers disent que ça schlingue au « pays des Droits de l’Homme ».

Dans les tous premiers jours qui suivront la Libération (2022, j’espère) il faudra que, de haut en bas, les membres des « forces de l’ordre » (sic) comparaissent devant une IGPN restructurée qui établira qui doit comparaître devant un tribunal.

Pour que viennent ces jours heureux, je suis prêt à ne pas gaspiller mon bulletin de vote en considérations oiseuses et superfétatoires sur la couleur de la cravate de qui pourra s’emparer de l’Elysée.

Théophraste R. Poseur de la devinette : Que veut dire ALCA ?

 

Jean Ferrat et le bruit des bottes

https://youtu.be/sFJ5M6zCFm8

 

Source : https://www.legrandsoir.info/et-la-france-a-plus-peur-de-sa-police-que-de-ses-voyous.html

 

 

 

 

 

Maradona : le dieu fragile du Sud Global

 

Une déité du football jouée non-stop sur le terrain mondial, une vie sauvage de hauts vertigineux et de bas démoniaques à jamais dans l’œil du public.

 

Pepe EscobarMondialisation.ca – 27 .11.2020

Source : Asia Times

 

 

 

 

Sa vie était un pop opéra planétaire permanent pour les générations. De la Somalie au Bangladesh, tout le monde connaît les grandes lignes de son histoire : el pibe de Villa Fiorito, une banlieue pauvre de Buenos Aires (« Je suis un habitant des bidonvilles »), qui a élevé le football au rang de pur art.

 

Être le roi du terrain est une chose. Jouer non-stop sur le terrain mondial est un jeu complètement différent. Des multitudes de personnes ont instinctivement saisi ce qu’il était – comme s’il émettait toujours un bourdonnement magique dans une fréquence plus élevée, au-delà de l’empire des sens.

Les Italiens, qui connaissent une chose ou deux du génie esthétique, le comparent au Caravage : une divinité païenne sauvage, humaine – trop humaine -, qui vit dans la lumière et les ombres, au plus mal encore et encore, pendant que pratiquement toute sa vie se déroule en public : le ballet vertigineux de tous les démons intérieurs explosant, les scandales familiaux, les divorces, les rivières d’alcool, le dopage, l’évasion fiscale, l’Himalaya de la poudre colombienne déferlant, d’innombrables signes de mort au milieu d’une joie perpétuelle.

Lire la suite…

Source : https://www.mondialisation.ca/maradona-le-dieu-fragile-du-sud-global/5651525

 

 

Les cinéphiles, quant à eux,  n’oublieront pas de sitôt le Maradona de Paolo Sorrentino, dans Youth (ici avec Michael Caine et Paul Dano)

 

 

 

Dans le film, alors que le héros incarné par Michael Caine discute dans une piscine avec un petit garçon qui joue du violon de la main gauche, le Maradona du film vient à leur rencontre et leur dit: « Moi aussi, je suis gaucher. » Ce à quoi Paul Dano qui joue un comédien lui aussi en villégiature dans cet hôtel suisse lui répond: « Toute la planète sait que vous êtes gaucher.» Cela en référence à l’épisode célèbre où Maradona avait marqué un but de la main gauche lors des quarts de finale de la coupe du monde 1986, ayant plus tard déclaré qu’il s’agissait de « La main de dieu »

On  marque des buts avec les mains maintenant ?

 

 

Nous n’épiloguerons pas sur l’extrême bon goût de Petit Micron qui a cru devoir donner son avis sur les choix politiques du défunt, comme si on lui avait demandé quelque chose.

 

 

 

 

 

 

Dernière nouvelle (le pire étant toujours sûr) :

 

Le principal scientifique nucléaire iranien assassiné alors qu’Israël tente de provoquer la guerre

 

Moon of AlabamaLe Saker francophone –  29.11.2020

 

 

 

 

Aujourd’hui, le scientifique nucléaire iranien de haut niveau, Mohsen Fahrizade, a été assassiné dans une attaque terroriste complexe alors qu’il conduisait sur une autoroute à Absard, une petite ville juste à l’est de Téhéran. Une explosion a arrêté sa voiture. Puis des coups de feu ont été tirés depuis deux directions.

 

Entre 2010 et 2012, quatre autres scientifiques nucléaires en Iran ont été assassinés de manière similaire.

Il y a peu de doute sur le responsable de cette attaque :

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Source : https://lesakerfrancophone.fr/le-principal-scientifique-nucleaire-iranien-assassine-alors-quisrael-tente-de-provoquer-la-guerre

 

 

 

 

Vient de sortir et pas encore traduit :

 

The AngloZionists are trying to provoke a war with Iran

 

The Saker – Saker.is – 29.11.2020

https://thesaker.is/the-anglozionists-are-trying-to-provoke-a-war-with-iran/

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 29 novembre 2020

 

 

GLANES

 

 

 

 

 

 

 

 

GLANES

 

 

 

 

Assange nous a éclairés sur l’étrange antiterrorisme français.

 

Jacques-Marie Bourget – L.G.S. – 21.11.2020

 

 

 

 

 

Le 29 novembre 2010, dans l’un de ces scoops qui restent trop clandestins, sur la base du travail de Julien Assange et ses « Wikileaks », le journaliste du « Monde » Piotr Smolar largue un missile de lumière sur les relations liant les États-Unis à certains magistrats « antiterroristes » français. En relisant aujourd’hui les télégrammes diplomatiques publiés par Smolar, on comprend que plaire à Washington est l’objectif prioritaire de ses fonctionnaires français. On apprend même – merci Assange – que certains juges se vantent d’être capables d’obtenir la condamnation de prévenus dont le dossier est, en fait, trop léger. L’un de ces visiteurs de l’ambassade américaine à Paris, est aujourd’hui le nouveau patron du Parquet antiterroriste. Soyons certains qu’il parle anglais.

 

Il me semble qu’il y a un siècle, avec la régularité de ces drames qui encombrent les éphémérides, que je rédige des articles sur le terrorisme. Longtemps les tueries furent assez claires : d’un état l’autre on communiquait par le truchement de bombes ou mitraillages. Une façon de faire la guerre sans la peine de la déclarer. Avec le temps, en France, les choses sont devenues plus compliquées. Loin de leur patrie – ou patrie rêvée –, des groupes politiques ont revendiqué leur liberté, ou, au contraire, la volonté de maintenir leur joug, à coups d’explosifs ou de rafales. À Paris le MOSSAD a liquidé des chefs de la résistance palestinienne. Le tout dans l’horreur des voitures piégées ou le chuintement jamesbondien des silencieux. Des Israéliens restant sur la ligne de leurs ancêtres de l’Irgoun et de la Haganah, milices qui, à coup de meurtres et de pains de TNT, ont contribué à l’implantation d’un état juif en Palestine. L’oubli conduisant aujourd’hui Netanyahou, et ses amis, à qualifier de « terroriste » tout citoyen du monde réclamant l’application de la loi internationale, les décisions de l’ONU qui condamnent la politique de colonisation et de répression de l’état hébreu. On a donc oublié ces épisodes où la France était un OK corral du macadam international. Avec « Carlos » dans le rôle de l’épouvantail, trop souvent convoqué pour donner un sens à tous ces morts. On oublie que c’est un français, en Corse, qui a tué un préfet de la République. Ces meurtres ne s’éteindront jamais, la mécanique de réciprocité voulant que l’un soit toujours un terroriste pour l’autre.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/assange-nous-a-eclaires-sur-letrange-antiterrorisme-francais/

 

 

 

 

 

Tels valets, tels maîtres…

 

Jugeons les Gardes des Sceaux anti BDS

 

Jacques-Marie Bourget – Sur son blog – 19.6.2020

 

 

 

 

Pendant 8 ans les ministres de la Justice, pour complaire Netanyahou et le CRIF, ont criminalisé les partisans du BDS, le boycott d’Israël. La Cour Européenne des Droits de l’Homme vient de les condamner.

 

Dans un rendu à l’unanimité de ses juges, le 11 juin 2020, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) met un formidable coup de pied au cul d’une France qui, entre la liberté républicaine ou la soumission aux désirs de Netanyahou, avait fait de choix du petit monstre. La Cour déclare que les condamnations de la justice française, celles qui ont frappé des militants de la campagne « BDS » (pour Boycott, Désinvestissement, Sanctions), constituent une « violation de leur liberté d’expression ». La lutte a été longue, le chemin douloureux et couteux, mais l’injustice est renvoyée à un enfer qu’elle n’aurait jamais dû quitter. Ceux qui ont mis en œuvre cette politique contre la Palestine sont non seulement les complices de criminels, mais encore des salauds qui trahissent le principe de liberté de la République.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/jugeons-les-gardes-des-sceaux-anti-bds/

 

 

 

 

Procès Assange : le témoignage de Noam Chomsky

 

L. G. S. – 19.11.2020

 

 

 

 

[…] On m’a demandé si le travail et les actions de Julian Assange pouvaient être considérés comme étant « politiques », une question qui, me dit-on, est importante dans le cadre de la demande d’extradition des États-Unis afin que M. Assange soit jugé pour espionnage pour avoir joué un rôle dans la publication d’informations que le gouvernement des États-Unis ne souhaitait pas rendre publiques.

J’ai déjà parlé du sujet sur lequel on me demande maintenant de faire un commentaire en ce qui concerne M. Assange. Les paragraphes suivants constituent mon point de vue. Je confirme mon évaluation selon laquelle les opinions et les actions de M. Assange doivent être appréhendées dans leur relation avec les priorités du gouvernement.

Un professeur de Science du gouvernement de l’université de Harvard, l’éminent politologue libéral et conseiller du gouvernement, Samuel Huntington, a observé que « les stratèges du pouvoir aux États-Unis doivent créer une force qui peut être ressentie mais non vue. Le pouvoir reste fort quand il reste dans l’obscurité. Exposé à la lumière du soleil, il commence à se dissiper ».

Il a donné quelques exemples significatifs concernant la nature réelle de la guerre froide. Il a parlé de l’intervention militaire américaine à l’étranger et il a fait remarquer que « vous devrez peut-être vendre l’intervention ou toute autre action militaire de manière à créer la fausse impression que c’est l’Union soviétique que vous combattez. C’est ce que les États-Unis font depuis la doctrine Truman » et il existe de nombreuses illustrations de ce principe directeur.

Les actions de Julian Assange, qui ont été qualifiées de criminelles, sont des actions qui exposent le pouvoir à la lumière du soleil – des actions qui peuvent provoquer l’évaporation du pouvoir si la population saisit la chance de voir ses citoyens devenir indépendants dans une société libre plutôt que les sujets d’un maître qui opère dans le secret. C’est là un choix et on a compris depuis longtemps que le public a la capacité de faire s’évaporer le pouvoir.

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Source : https://www.legrandsoir.info/proces-assange-le-temoignage-de-noam-chomski.html

 

 

 

 

 

 

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Mais ceci est d’aujourd’hui, et d’un immonde procès en cours à un souhaitable procès à venir, il semble que certains espoirs soient permis :

 

 

La documentation sur les crimes Israëliens est plus lourde que trois chars Merkava.

 

 

Oberlin voit déjà Netanyahou au tribunal.

 

Jacques-Marie-Bourget – L.G.S. – 25.11.2020

 

 

 

 

 

Après avoir publié en 2014 « Le Chemin de la Cour » pour nous convaincre de l’utilité d’un nouvel outil militant capable de faire reculer le non-droit et les crimes commis par Israël -le recours à la Cour Pénale Internationale-, l’admirable et inflexible Christophe Oberlin grimpe à nouveau dans les étagères des libraires. Il nous revient avec une suite à son premier travail, convaincu que l’histoire et la justice ont avancé sur son chemin. Oberlin voit déjà « Les dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale ». Que le ciel, auquel je ne crois qu’en temps de pluie, l’entende. Mais, en effet, pourquoi négliger l’option du droit ? Le rêve d’asseoir Netanyahou à la place de Laurent Gbagbo… C’est ce long voyage, dans le temps et entre les morts, que décrit Christophe Oberlin dans ce livre publié chez Erick Bonnier. Nous avons là une vision depuis les coulisses, le plus souvent à Gaza. Et des leçons de droit qui ne sont pas l’essentiel de l’ouvrage. Dont le grand intérêt est de parler a continuo d’un drame de l’injustice, d’une tragédie de l’abandon. De ces tueries détaillées au ralenti, Oberlin nous convainc de l’urgence, nous malmène quand il décrit les familles en charpie, les immeubles écroulés, la misère, l’enfermement, les massacres. C’est le point incontestable de son livre, la traduction de l’engagement d’une vie.

 

Le 1er janvier 2015, le Gouvernement palestinien dépose une déclaration en vertu de l’article 12-3 du Statut de Rome reconnaissant la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes commis « sur le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est ». Le 20 décembre 2019, la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, annonce « qu’au terme d’un examen préliminaire approfondi, mené en toute indépendance et objectivité, de l’ensemble des renseignements fiables qui sont en la possession de son Bureau, ce dernier est parvenu à la conclusion que tous les critères définis dans le Statut de Rome pour l’ouverture d’une enquête étaient remplis.

Cependant, compte tenu des questions juridiques et factuelles liées à cette situation, conformément à l’article 19.3 du Statut de Rome, le Procureur a demandé à la Chambre préliminaire 1 de se prononcer quant à la portée de la compétence territoriale de la CPI dans la situation en Palestine, conformément à l’article 12 2 a du Statut de Rome. »

Le 28 janvier 2020, la Chambre préliminaire numéro 1 rend une ordonnance fixant la procédure et le calendrier pour la présentation d’observations sur la demande du Procureur en vertu de l’article 19-3 du Statut de Rome, quant à la portée de la compétence territoriale de la Cour dans la situation dans l’État de Palestine. La Chambre préliminaire numéro 1 « prendra ensuite une décision sur cette question en temps voulu ». Vous aurez noté que l’adhésion de Ramallah au Traité de Rome, et par là à la CPI, est déjà vieille de cinq années. Soixante mois de crimes accumulés sous les bombes, missiles, tortures, internements arbitraires… Et rien. A La Haye le sommeil est lourd, surtout que le rude climat de La Haye exige des couettes épaisses. Qui étouffent les cris.

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Source : https://www.legrandsoir.info/oberlin-voit-deja-netanyahou-au-tribunal.html

 

 

 

 

Jekyll & Hyde sont dans un bateau.

Le bateau sombre…

Et les poissons dans tout ça ?

 

 

Trump ou Biden, la question n’est pas là

 

Gilad Atzmon – Entre la plume… – 23.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

 

Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural

Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes

Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes

Il s’agit de Tribal contre Universel

Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains

Il s’agit des minorités contre les Américains

Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique

Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur

Il s’agit de Jérusalem contre Athènes

 

Nous sommes en train de revivre les « derniers jours de la République de Weimar ». 

Tout au long de son histoire, le capitalisme a utilisé différentes tactiques pour réprimer l’opposition.

À un moment donné, c’était le fantasme d’une révolution inévitable. C’est en effet la menace de cet esprit rebelle qui a contribué à l’évolution de l’État-providence, mais la révolution promise ne s’est jamais concrétisée.

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Source : https://plumenclume.org/blog/634-trump-ou-biden-la-question-n-est-pas-la

 

 

 

 

Mais il y a, cette fois, quelqu’un que l’analyse de Gilad Atzmon a fait tiquer et qui le dit :

 

Commentaire de Bruno Drewski


par mail à La Voix de la Libye – 23.11.2020

 

D’abord, contrairement à ce que croit Atzmon, le « communisme » n’était pas « de plus en plus oppressif », mais l’était de moins en moins entre 1930 et 1991… et c’est aussi pour cela qu’il était de moins en moins égalitaire, de moins en moins socialement progressiste et de moins en moins anti-impérialiste, car de moins en moins dictature du prolétariat. C’est la dialectique liberté / égalité entre l’Est et l’Ouest, qui explique la dynamique de développement économique et sociale post-1945, à l’Ouest, à l’Est et au Sud. Avec donc aussi la décolonisation. La fin du camp socialiste a signifié la fin de camp de la paix et, par ricochet, la fin des libertés à l’Ouest car les élites possédantes occidentales n’avaient plus la peur « du bolchevik avec son couteau entre les dents » qui les forçaient à des concessions sociales et à affirmer, comme alternative, la liberté individuelle comme manoeuvre désagrégeante pour la mobilisation unitaire des masses.

 

Par ailleurs, ce qu’Atzmon appelle « la gauche » est une vision occidentalocentrée pour ne pas dire yankocentrée d’une gauche petite-bourgeoise face à une droite régressive… le gros des bataillons de la « gauche », si ce terme a encore un sens, en plus bien sûr des États soclalistes d’Asie ou des Amériques, ce sont les partis communistes ou socialistes indien, japonais, sud-africain, libanais, népalais, russe, chilien, brésilien, grec, portugais, palestinien (FPLP)…  les partis de masse à la marge ou en dehors de l’Occident… car à l’ouest, rien de nouveau !

 

Gilad a peut-être oublié en effet qu’il a lui-même, il y a peu et avec raison, qualifié « la gauche » d’aujourd’hui – et pas qu’aux USA ! – de « zone occupée ».

 

 

 

 

 

Le vote Trump chez Asiatiques et Latinos

 

Brad Griffin – Entre la plume… – 23.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

 

L’élection de 2020, une série de retours de bâton. 

Les Asiatiques et les Hispaniques qui se sont tournés vers Trump ont réagi comme les électeurs blancs de la classe ouvrière l’ont fait par le passé, principalement en raison de la violence et du chaos implantés par Antifa et Black Lives Matter. Ron Unz a évoqué une relation toxique entre les libéraux blancs et les noirs.

 

Cependant, il y a des groupes différents d’électeurs blancs qui se sont prononcés contre Trump pour diverses raisons. Il y a eu le contrecoup de l’offensive sur la « suprématie blanche ». Il y a eu le contrecoup des seniors sur le COVID. Il y a eu un retour de bâton de la part des électeurs blancs ayant fait des études supérieures et qui pensent que Trump est un imbécile. Il y a également eu un contrecoup populiste de la part d’indépendants mécontents.

Le site Politico écrit :

« Donald Trump a perdu la présidence, mais a montré aux républicains un moyen de gagner la guerre des cultures avec les hispaniques de la classe ouvrière.

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Source : https://plumenclume.org/blog/635-le-vote-trump-chez-asiatiques-et-latinos

 

 

 

 

Bien sûr, ce Gulliver-là n’est pas un vrai géant. Ce qui le fait croire…

 

 

 

… c’est la taille des homoncules qui l’ont ligoté. (Et Gen Barrison n’est pas Ben Garrison.)

 

 

 

 

MAIS… bien avant les joyeux candidats de guerre civile, avant même Lyndon Johnson, Nixon, Reagan, les Bush père et fils, la famille Clinton, Barak-le-sémillant-Frère-musulman et quelques autres, il y a eu – le saviez-vous ? – Walt Disney.

 

 

Blanche-Neige et les États-Unis

 

Rosa Llorens – L.G.S. – ,17.11.2020

 

 

 

 

Il est devenu banal de dire que les États-Unis sont aujourd’hui divisés en deux moitiés égales et opposées. Cela vérifie la thèse de Denis Duclos, soutenue déjà dans Le complexe du loup-garou, de 1994 : le thème du double est selon lui fondamental et omniprésent dans la culture anglo-saxonne, et en particulier étasunienne ; dans la plupart des histoires, on retrouve la lutte entre principe du Bien et principe du Mal, mais incarnés dans deux personnages qui sont en fait des doubles, comme Docteur Jekyll et Mister Hyde, Joker et Batman, ou les deux héros de Fight Club ou, aujourd’hui, Biden et Trump. La culture étasunienne nous renvoie ainsi sans cesse de la sauvagerie des meurtres de masse et des guerres interminables à « l’univers gentillet des cartoons ».

 

Même un joli conte comme Blanche-Neige peut s’intégrer à cette logique.

Blanche-Neige est le premier dessin animé long métrage de Walt Disney : il reçut un accueil enthousiaste et on peut le considérer comme son chef d’œuvre. Son sujet même est un grand classique de la mythologie et du folklore, c’est un conte saisonnier. Mais sa date aussi est intéressante : il a été élaboré entre 1934 et 1937, et, resitué dans son contexte, il fait apparaître des aspects surprenants.

En 1934, Walt Disney réalise le court-métrage The Goddess of Spring (La déesse du Printemps, c’est-à-dire Perséphone, qui inspirera le personnage de Blanche-Neige) : Perséphone a été enlevée par Hadès qui l’oblige à vivre dans son royaume, le monde des morts. Sa mère, Déméter, obtient de Zeus qu’elle puisse revenir sur terre pour y passer la moitié de l’année. Déméter est la déesse de la terre et des moissons ; Perséphone est la végétation, qui disparaît en hiver, pour revenir chaque printemps. De même, dans BN, la sorcière est la reine de la nuit hivernale, qui chasse la végétation, BN ; celle-ci va survivre dans le monde souterrain, « au-delà de la septième chute » (ce qui rappelle les sept replis du Styx, fleuve des Enfers), sous la protection des nains, eux aussi créatures souterraines, qui travaillent dans les mines. Elle sera rappelée à la vie par le Prince, le Printemps.

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Source : https://www.legrandsoir.info/blanche-neige-et-les-etats-unis.html

 

 

 

 

 

COVID’ SAGA

 

 

 

 

Macron : Pourquoi soigner le Covid, quand on peut combattre les gens ?

 

Karine Bechet Golovko – Russie Politics – 23.11.2020

 

 

JupiterPanpan et son chat. Noir.  (Tant pis pour vous si vous les croisez.)

 

 

Sans grande surprise, mais dans l’exaspération générale, Macron se prépare à annoncer qu’il ne va pas déconfiner, que les bars et les restaurants resteront fermés jusqu’à extinction, pendant que les « stars de l’expertise » expliquent que la vie d’avant … ne sera plus. Pour autant, les mesures prises ne permettent aucune amélioration, dixit le ministre de la Santé, O. Veran. Et comme ce n’est pas efficace, il faut évidemment continuer, c’est logique. Il faudra même désormais, à chaque poussée virale saisonnière, puisque les virus continuent Ô surprise à exister, remettre une couche de confinement ou de couvre-feu. Certainement jusqu’à décomposition de la société et de l’homme, destruction d’une économie nationale déjà moribonde. Il semblerait que l’on ne sache plus – ou ne veule plus – soigner les gens. On les combat.

 

Je me souviens d’un excellent médecin me disant il y a quelques années, « Je ne soigne pas une maladie, je soigne une personne« . Aujourd’hui, non seulement le virus n’est pas soigné, mais les êtres humains sont combattus, réduits à une vie biologique incertaine, dans la logique effrayante du « pas d’hommes, pas de problèmes ».

Macron annonce une nouvelle allocution et déjà les médias nous préparent à ce qu’il n’annonce pas le déconfinement général, mais un allègement ponctuel et sectoriel – qui ne peut concerner paraît-il les bars ou restos, qui soi-disant attendront jusqu’à février, en tout cas pour les rescapés de l’Ancien Monde qui existeront encore. Quelle importance la vie du pays, puisque l’excuse « sanitaire » est avancée et qu’elle doit être incontestée ?

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/macron-pourquoi-soigner-le-covid-quand.html

 

Attendez !… il paraît qu’il « remonte dans les sondages.

 

 

 

 

 

Quand donc les moutons – de Dindenault ! (on dit toujours de Panurge) – comprendront-ils que quand la grande menace du COVID aura fini de terroriser les niguedouilles terrorisables (et ça fait du monde, hélas) « on » la fera accoucher d’une menace hyper-pandémique encore plus pire, laquelle pondra ensuite une archi-menace qui fera passer pour du pipi de sansonnet la précédente « et lycée de Versailles » vous dirait San Antonio s’il n’avait été victime d’une précédente virée de la Grande Faucheuse…

Ah, Berthe et Bérurier aux prises avec le COVID ! On rêve…

 

 

 

La pandémie d’aujourd’hui, c’est la toute petite, en bas, à l’extrême gauche… Agrippez-vous à vos muselières !

 

 

 

 

 

2022 : offrons une veste à Macron

 

Théophraste R. – L.G.S. – 25.11.2020

 

 

 

 

J’ai écouté Macron le 24 novembre 2020 pour savoir si je pourrai aller (je cite Ruffin) « pisser à plus d’un kilomètre ».

Je me suis réveillé juste au moment où il conseillait de se laver les mains.
Je me suis dit : « Mais comment le chef d’un Etat qui est une des premières puissances du monde peut-il descendre à de pareils détails quand la planète brûle, que notre service de santé est délabré et que le nombre de pauvres atteint 10 millions ? »

Vous imaginez De Gaulle dire : « Mexicanas, Mexicanos, la mano en la mano (1), mais d’abord il faut se les laver » ?

Le constat est qu’en passant de chez Rothschild à l’Elysée, ce gamin a enfilé un costume trop grand pour lui.

Et en plus, il lui manque une épaulette.

Théophraste R. (Tailleur de costar).

 

____________________

Note (1) à 2mn52 d’un discours appris par chœur et prononcé avec un accent acceptable : https://www.youtube.com/watch?v=tnkbkkR0ZP4

 

 

 

 

 

Vaccin contre le Covid-19 : « C’est de la science-fiction ! », assure Didier Raoult

 

Les 7 du Québec – 21.11.2020

 

 

 

https://les7duquebec.net/archives/260091

 

Z’êtes surpris ?

 

 

 

 

 

Manifestations et résistance dans le monde, dont les médias menteurs ne parlent pas

 

Les 7 du Québec – 21.11.2020

 

 

  https://les7duquebec.net/archives/260050

 

 

 

 

 

Selon l’ancien président de la commission Covid du Collège des médecins : « c’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public innocent »

 

Les 7 du Québec – 24.11.2020

 

 

https://les7duquebec.net/archives/260128

 

 

Innocent… innocent… facile à dire !

Vous verrez à quoi vous servira votre innocence quand les bombes commenceront à vous tomber sur la g… comme elles font ailleurs depuis 70 ans pendant que vous touillez dans votre caca covidien pour voir s’il est vert !

 

 

 

 

Plus que jamais : El Abrazo !…

 

Georges Stanechy – À contre-courant – 24.11.2020

 

 

« Les démagogues, les opportunistes, les magiciens ont désormais la tâche difficile.

La praxis qui les a jetées dans un corps à corps désespéré confère aux masses un goût vorace du concret.

L’entreprise de mystification devient, à long terme, pratiquement impossible. »

Frantz Fanon (*)

 

 

Hoy mas que nunca…

Aujourd’hui, plus que jamais…

Dans nos contrées…

Le satanisme ambiant qui nous est imposé, sous la férule d’une oligarchie aussi cynique qu’abyssalement corrompue, ne peut et ne pourra éradiquer le symbole, l’étendard, l’alpha et l’oméga de toute civilisation digne de ce nom : L’Abrazo !…

 

 

 

_____________________   

(*)   Frantz Fanon, Les Damnés de La Terre, Folio – Actuel, 1997, p. 128.

Source : http://stanechy.over-blog.com/2020/11/plus-que-jamais-el-abrazo.html

 

 

 

 

 

Chez ceux que le COVID a si opportunément fait passer à la trappe

 

 

 

 

 

 

Vous le savez que la Syrie est toujours là, et toujours en guerre avec vos z’élus, vos représentants économiques à l’étranger, etc. (« your betters » comme disent les Anglais) ? Que vous ne combattez pas en refusant par exemple de leur payer l’impôt dont ils font si criminel usage.

Nous, ce qu’on en dit…(on est trop vieux pour être Gilets Jaunes, sinon, c’est par là qu’on aurait commencé).

 

 

Lettre ouverte d’un prêtre arabe de Syrie au Président français Emmanuel Macron

 

Elias ZahlaouiArrêt sur info – 16.11.2020

 

 « Le Père Elias est un homme calme et pondéré, mais cela ne l’empêche pas d’être exaspéré par les mensonges répétés, sur la situation au Moyen-Orient et en Syrie en premier lieu. Par ses lettres aux Chefs d’Etats, aux Souverains Pontifs et aux évêques du monde, ainsi que par ses nombreux écrits, il a rappelé l’implacable vérité: la Syrie est attaquée par des hordes barbares islamistes, soutenues ouvertement ou indirectement, par les puissances occidentales, la Turquie voisine et les monarchies du Golfe, qui veulent renverser un gouvernement légal, laïc, qui refuse de se soumettre à leur idéologie ».

[Préface du Colonel Alain Corvez pour l’ouvrage  Guerre et Paix en Syrie,  du Père Elias Zahlaoui, Edition 2019]

 

 

Contrairement à ce que la presse officielle a raconté il n’y a jamais eu de rebelles « modérés » en Syrie

 

 

Père Elias Zahlaoui
Damas, 2 Novembre 2020

 

Monsieur le Président,

Dans le désarroi où vous vous débattez, et où, avec vos deux « géniaux » prédécesseurs, vous avez plongé toute la France, et peut-être bientôt, toute l’Europe, permettez à un vieux prêtre arabe catholique de Syrie, de vous faire part de quelques propos tout simples, mais, hélas, « politiquement incorrects » !

En Président de la République Française, vous vous indignez devant l’assassinat d’un ou de plusieurs français. Les Parlementaires français, à leur tour, protestent un moment, debout, en silence. Et l’Église de France de sonner le glas en tous ses clochers.

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Source : https://arretsurinfo.ch/lettre-ouverte-dun-pretre-arabe-de-syrie-au-president-francais-emmanuel-macron/

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel rapport ? Bin… c’est pas Veolia qui « Arbeit macht frei » ?

Mais pas qu’eux : https://www.bastamag.net/Ces-entreprises-francaises-qui

D’accord, c’est pas en Syrie.

 

 

 

 

 

 

 

Oh, mais, il n’y a pas que nous et les Hexagonaux… Il y a aussi les Suisses :

 

Affaire Crypto : la neutralité suisse écornée

 

Gabriel Galice – Arrêt sur info – 20.11.2020

 

 

 

 

Le scandale Crypto écorne l’image de la Suisse. Pour la commission parlementaire : les services de renseignement savaient, pas les politiques… Si tel est le cas, que signifie le modèle démocratique suisse, tant vanté, où les barbouzes sont incontrôlables ? A moins que les services ne servent de fusibles aux compromissions des politiques.

 

L’industrie suisse (Crypto AG, mais aussi Infoguard) a vendu, des décennies durant, des machines de cryptage dotées d’une « porte cachée » permettant le décodage. En soi, c’est une escroquerie industrielle. Une centaine d’États clients ont été abusés, dont certains (tel l’Iran) étaient dans le viseur des États-Unis. Mais le scandale va plus loin. La CIA et le BND (renseignement allemand) étaient les véritables instigateurs, la CIA acquérant même 100% du capital d’une société-écran basée au Luxembourg.

L’affaire semble sortie d’un roman d’espionnage de John le Carré. Crypto AG (AG = SA en français), est une société de droit suisse fondée en 1952 par le Suédois Boris Hagelin. Celui-ci avait hérité de l’entreprise de Arvid Gerhard Damm qui construisait des machines de chiffrement à partir d’un brevet suédois déposé en 1919. Après la mort de Damm et peu avant la Seconde Guerre mondiale, Hagelin prit sa direction. Durant la guerre, la société est dirigée depuis les États-Unis et à la fin du conflit, les activités sont transférées de la Suède vers la Suisse.

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Source :  https://arretsurinfo.ch/affaire-crypto-la-neutralite-suisse-ecornee/

 

 

 

 

 

La longue guerre de Washington contre la Syrie est loin d’être terminée

 

Stephen Gowans  – Arrêt sur info — 19.11. 2020

Paru le 10 Novembre 2020 sur Le blog de Stephen Gowans

 

 

En 2017, Stephen Gowans sortait son livre La longue guerre de Washington contre la Syrie, disponible en français aux éditions Delga. Une guerre tellement longue qu’elle est à ce jour loin d’être terminée, même si elle n’occupe plus autant les devants de l’actualité. Ce qui s’y passe encore est pourtant extrêmement grave, comme le relève Gowans dans cette mise à jour. Washington est loin d’avoir jeté l’éponge en Syrie et empêche la reconstruction du pays en piétinant une fois de plus les règles les plus élémentaires du droit international.

 

 

 

 

La longue guerre de Washington contre la Syrie n’a pas été tendre pour les citoyens du pays. La guerre a été menée de nombreuses manières au cours de nombreuses décennies, parfois sous forme de guerre chaude, principalement sous forme de guerre froide, tantôt visible, tantôt cachée, tantôt directement, tantôt par procuration, tantôt par des moyens militaires, et souvent par des mesures économiques.

 

La guerre n’a nullement diminué en intensité, bien que le gouvernement syrien l’ait largement emporté, avec l’aide de la Russie, de l’Iran et du Hezbollah, dans sa lutte contre les djihadistes soutenus par l’étranger.

Voici les conséquences de la guerre pour le peuple syrien :

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Source :  https://arretsurinfo.ch/la-longue-guerre- de-washington-contre-la-syrie-est-loin-detre-terminee/

 

 

 

 

Wikileaks et la Russie (il semblerait qu’ils se rapprochent).

 

 

 

 

 

Du côté de chez ceux qui mouillent leur chemise

 

 

Qui sera le successeur de Vladimir Poutine ?

 

Strategika 51 – 24.11.2020

 

 

 

 

Au milieu d’un très grand bouleversement mondial marqué par la somme de tous les dangers possibles, la Russie prépare une nouvelle ère extrêmement délicate. Celle de l’après Poutine.

 

Vladimir Poutine veut s’assurer que la Russie ne retournera jamais à la très désastreuse ère de Boris Eltsine et des oligarques qui l’ont mis en pièces et dépouillée en transformant une grande puissance en un État en faillite. La Russie est non seulement revenue de loin mais a pu concrétiser tous ses vieux rêves géostratégiques comme accès aux mers chaudes, une sanctuarisation sans précédent de son immense territoire, une place de premier choix dans la vente d’armement, une politique influente au Moyen-Orient et en Afrique, une nouvelle doctrine dans l’océan arctique, une alliance stratégique avec la Chine et enfin, un rôle diplomatique de grande puissance.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/qui-sera-le-successeur-de-vladimir-poutine/

 

 

 

 

 

Poutine sur Charlie Hebdo : « Au nom de la liberté d’expression, des provocateurs déchirent durablement la société »

 

https://lecridespeuples.fr/2020/11/24/poutine-sur-charlie-hebdo-au-nom-de-la-liberte-dexpression-des-provocateurs-dechirent-la-societe-pour-des-decennies/

 

 

 

 

 

Retour historique en arrière qui ne concerne pas que l’Hexagone

 

 

Étant bien entendu que Macron n’« oublie » jamais rien, qu’il fait tout exprès.

 

 

Henri Barbusse , « l’oubli » de Macron

 

Antoine Manessis – L.G.S. – 16.11.2020

 

 

 

 

 

Barbusse fut le co-fondateur et le premier président de l’Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) aux côtes de Paul Vaillant-Couturier, Georges Bruyère, Raymond Lefebvre et d’autres militants issus du socialisme, syndicalisme révolutionnaire, de l’anarchie, mouvement de combattants qui déclaraient « la guerre à la guerre ».

Maurice Genevoix est panthéonisé par la volonté du Macronléon-le-très-petit.

Personne n’aurait rien à y redire si la raison invoquée était que l’écrivain était « la » voix des combattants de 1914-1918. Qu’il en fut une voix, personne ne le conteste. Mais il ne fut pas le seul, ni surtout le principal.

Henri Barbusse écrivit en 1916 un ouvrage, Le Feu, qui racontait la guerre et ce livre fut salué et plébiscité par les poilus qui y trouvaient décrit leur souffrance et toute l’horreur de la guerre. L’écrivain reçu des milliers de lettres des soldats le remerciant pour son témoignage. Ce livre obtiendra même le prix Goncourt en 1916 et son succès fut immense.

Barbusse, écrivain de renom à la santé fragile, aurait pu échapper à la guerre. Mais il se porta volontaire et participa aux combats en première ligne. Il fut décoré de la Croix de guerre avec citation. Volontaire car croyant voir dans cette guerre une défense de la République contre les monarchies allemande et austro-hongroise.

Mais comme l’écrivait le grand écrivain progressiste Anatole France « On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ». A partir de son expérience des tranchées, c’est cette prise de conscience de la vérité de cette guerre industrielle qui va motiver Barbusse. Et c’est évidemment la raison pour laquelle Henri Barbusse n’est pas honoré de nos jours par la bourgeoisie et son porte-flingue Macron. Parce que Barbusse s’est engagé politiquement et que son ouvrage a pris une dimension révolutionnaire quand Genevoix était un modéré, issu d’une bourgeoisie provinciale conservatrice.

Barbusse fut le co-fondateur et le premier président de l’Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) aux côtes de Paul Vaillant-Couturier, Georges Bruyère, Raymond Lefebvre et d’autres militants issus du socialisme, syndicalisme révolutionnaire, de l’anarchie, mouvement de combattants qui déclaraient « la guerre à la guerre ».

En 1919 il fonde le mouvement et la revue Clarté, internationaliste, pacifiste et sympathisant avec la révolution russe. Clarté évoluera d’ailleurs « du refus de la guerre à la révolution » (Alain Cuénot).

L’ARAC et Barbusse jouèrent un rôle important dans le courant qui aboutit en 1920, au congrès de Tours du Parti socialiste, à l’adhésion de celui-ci à l’Internationale communiste. Il adhère au Parti communiste, en 1923, et se lie d’amitié avec Lénine et Gorki. Il devient directeur littéraire de l’Humanité. Il fut l’un des instigateurs du mouvement pour la paix dit Amsterdam-Pleyel, dont il devient le président avec Romain Rolland.

Figure emblématique du Front populaire, il est acclamé par la foule lors de la manifestation du 14 juillet 1935.

Il meurt à Moscou le 30 août 1935 lors d’un de ses nombreux voyages en Russie soviétique. Ses funérailles à Paris, le 7 septembre 1935, donnent l’occasion à la population parisienne de lui rendre un immense et dernier hommage.

Le sectarisme de classe de Macron doit nous donner l’occasion de faire connaître Henri Barbusse aux jeunes et de conseiller la lecture de son œuvre et particulièrement Le Feu. Une mise en garde toujours d’actualité, hélas, contre les fauteurs de guerre.

 

 

 

Médaille de l’ARAC avec la Faucille et le Marteau datant de 1919 soit avant que les « outils » ne soient adoptés par la jeune Union Soviétique en 1922.

 

 

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NB – (…)
« S’ils s’obstinent, ces cannibales
À faire de nous des héros
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux. »

 

Source d’origine :

   http://nbh-pour-un-nouveau-bloc-historique.over-blog.com/2020/11/henri…

Notre source /
https://www.legrandsoir.info/henri-barbusse-l-oubli-de-macron.html

 

Mea culpa des G.O.

Dans notre « célébration » de l’armistice de 1918, nous n’avons pas accordé à Henri Barbusse la place qui lui était due. Voilà qui est fait… par Le Grand Soir.

Profitons-en quand même pour rappeler à quel point il est lamentable que, mis à part le seul Jean Jaurès, aucun de ces futurs héros n’a cru devoir accorder aux exhortations de Lénine l’attention qu’elles méritaient. Qui sait combien de millions de morts en moins si on l’avait écouté… sans compter une révolution « de l’Atlantique à l’Oural » peut-être moins bouffeuse de ses enfants. Snif, snif.

Sans compter que, bien sûr, depuis qu’il n’y a plus de service militaire, il n’y a plus de balles pour nos propres généraux ni de fusils pour les tirer.. « Ils » pensent à tout, savez-vous, longtemps à l’avance.

 

 

 

 

Et puisqu’on en est à déplorer, déplorons (parce que, quand même, il ne faudrait pas oublier les causes si tant et inutilement serinées par Vladimir Ilitch)…

 

 

Subventions d’État au grand Capital licencieur, ou le scandale permanent du capitalisme monopoliste d’État à l’heure de la construction européenne

 

Georges Gastaud – L.G.S. – 21.11.2020

(Co-secrétaire national du PRCF)

 

 

 

 

VOUS AVEZ DIT « LIBÉRALISME » ?

Depuis des décennies, on nous rabâche, du collège à l’Université, sur presque tous les médias, et sur tous les tons, que nous vivons dans une société “libérale” et que le “néolibéralisme” est notre lot. Ceux qui sont un peu plus critiques politiquement, mais qui n’en barbotent pas moins dans l’illusion idéologique, parlerons, pour le condamner, de l’« ultralibéralisme » ou du « turbo-capitalisme ». En fait, le Traité de Maastricht, relayé par tous les traités européens qui lui ont succédé, définit l’Union européenne comme une « économie de marché ouverte sur le monde où la concurrence est libre et non faussée ».

 

Au nom de cet article inamovible qui forme le cœur de la “construction” européenne et des constructions politico-économiques analogues sur d’autres continents (ALENA, MERCOSUR, ASEAN…), les États nationaux et leur personnel politique dirigeant s’interdisent de nationaliser les grandes banques et les autres entreprises présentant un caractère stratégique pour leurs nations respectives. Interdiction du même coup de planifier scientifiquement et démocratiquement le développement économique, le déploiement du progrès social, la répartition des « gains de productivité », de stopper les délocalisations industrielles et servicielles ravageuses et, bien entendu, d’interdire les licenciements collectifs relevant de la « loi du marché ».

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Source : https://www.legrandsoir.info/subventions-d-etat-au-grand-capital-licencieur-ou-le-scandale-permanent-du-capitalisme-monopoliste-d-etat-a-l-heure-de-la.html

 

 

 

 

 

Petite manifestation de pessimisme sûr de son fait (meuh non, voyons… c’est nous qui sommes paranos !).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 novembre 2020

 

 

Quand l’Europe croule sous les « bonnes » nouvelles

 

 

 

 

 

 

Quand l’Europe croule sous les « bonnes » nouvelles

 

 

 

 

Biden, la propagande et la censure : contrôle renforcé de l’opinion publique en vue

 

Ben Norton – Entelekheia – 20.11.2020

 

Paru sur Consortium News sous le titre ELECTION 2020: Biden Appointee Advocated Using Propaganda Against Americans et The Grayzone Project sous le titre Biden state media appointee advocated using propaganda against Americans and ‘rethinking’ First Amendment

 

Avec le retour de l’équipe Obama aux affaires après la victoire de son nouvel avatar public, Joe Biden, la propagande et la censure, armes de prédilection du Parti démocrate américain, promettent de faire une progression fulgurante dans toute la zone dominée par les USA, dont bien sûr l’Europe de l’Ouest. À une différence près : cette fois, le mot « propagande » est assumé, et même revendiqué par le nouveau responsable de l’information de l’équipe de transition Biden. L’Amérique post-Trump ne se cache plus.

Nous aurons donc, c’est prévu, encore plus de purges de comptes Facebook et Twitter, de « deplatforming » par Google, de mainmise sur les médias grand public, de « fact-checking » ex cathedra et d’affligeantes crises de paranoïa médiatique de type Russiagate ou « Venezuelaaaaa ! »

Revue de détail.

 

 

Richard Stengel, le principal représentant des médias d’État dans l’équipe de transition du président américain élu Joe Biden, a défendu avec enthousiasme le recours à la propagande contre les Américains.

« Mon ancien poste au Département d’État consistait en ce que les gens appelaient pour rire ‘propagandiste en chef’ », déclarait Stengel en 2018. « Je ne suis pas contre la propagande. Chaque pays en fait, et ils doivent en faire auprès de leur propre population. Et je ne pense pas nécessairement que ce soit si mauvais ».

 

More of the revolving door between mainstream corporate media outlets and the US government:

Three paid analysts on MSNBC have left to join Joe Biden’s administration.

A fourth paid MSNBC contributor helped write Biden’s victory speech.https://t.co/TGhmzVWml7

— Ben Norton (@BenjaminNorton) November 11, 2020

(Tweet : « Encore plus de portes tournantes entre les médias grand public et le gouvernement américain: Trois analystes salariés de MSNBC sont partis rejoindre l’administration de Joe Biden.

Un quatrième collaborateur rémunéré de MSNBC a participé à la rédaction du discours de victoire de Biden. »)

 

One is Richard Stengel, self described former “Chief Propagandist” and supporter of domestic US propaganda pic.twitter.com/pNv1opsKBK https://t.co/LyZCxZaADi

— Max Blumenthal (@MaxBlumenthal) November 11, 2020

(Tweet : L’un est Richard Stengel, qui se décrit comme ancien « chef propagandiste » et se déclare pour la propagande auprès de la population américaine.)

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Source : http://www.entelekheia.fr/2020/11/20/biden-la-propagande-et-la-censure-controle-renforce-de-lopinion-publique-en-vue/

 

 

 

 

Et en effet ça ne traîne pas…

(On pourrait même dire que ça précède.)

 

 

 

 

 

Entretien avec Barack Obama : «Trump a causé beaucoup de torts aux États-Unis et dans le monde»

 

 

 

 

Dans un entretien accordé aux journaux du groupe LéNA, dont fait partie «Le Soir», l’ancien président américain livre ses réflexions sur la période actuelle et la pandémie, les quatre années de Trump au pouvoir, la polarisation de son pays ou encore l’avenir avec Joe Biden à la tête des États-Unis. Sa conclusion est optimiste, même s’il s’agit d’un optimisme prudent

Le Soir – Abonnés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ah, il y a aussi ça (sur la même gazette) ; ils ont plein de fers au feu…

 

 

Sur les sites de crowdfunding, le complot, ça rapporte

 

 

Quoi, vous n’avez pas encore vu HOLD UP ? On vous le met tout à la fin du post.

 

 

 

 

 

 

« Précède » ? Moi, j’ai dit « précède » ?

Oui, cher cousin, vous avez dit « précède ».

 

 

Crise en Biélorussie : la Commission européenne renforce son  ingérence

 

 

Karine Bechet Golovko – Russie politics – 19.11.2020

 

 

 

 

 

 

Alors que les médias occidentaux sont particulièrement discrets sur le sujet, la Commission européenne aurait décidé de financer à hauteur de 24 millions d’euros la société civile biélorusse « pro-démocratie » et « l’indépendance » des médias et blogueurs, afin de favoriser sur le mode ukrainien le démembrement de l’Etat biélorusse en attaquant les régions. En Novlangue, les « pro-démocrates » sont les pro-globalistes, donc anti-Biélorussie et l’indépendance est exclusivement réduite à la soumission à l’idéologie dominante. C’est ce que l’on appelle de l’ingérence. C’est aussi ce que l’on appelle la préparation d’un renversement de pouvoir de l’extérieur par des mercenaires – puisque la professionnalisation et la rémunération des intervenants sont prévues pour 5 ans. Le combat s’installe dans la durée face à la résistance de la Biélorussie, il change de forme.

Selon un article publié sur RT en russe, la Commission européenne prévoit de financer les activistes, les manifestants et les médias ainsi que les blogueurs, les étudiants et les jeunes spécialistes en Biélorussie à hauteur de 24 millions d’euros. Il est vrai que jusqu’à présent, tous les mouvements de foule n’ont mené à rien et même la victime sacrificielle attribuée aux forces de l’ordre biélorusse n’y change rien. Le rapport au temps change, l’ingérence doit s’installer dans la durée. Pour cela il faut former des professionnels et les rémunérer.

Le programme-cadre permettant cette ingérence ouverte de l’Union européenne s’intitule « EU4 Belarus : solidarité avec le peuple du Belarus », qui prévoit des mesures spéciales en Biélorussie. Selon ce document, la chute de l’économie a permis de lancer après les élections un profond mouvement social inédit dans le pays. Il faut quand même souligner que les réformes réalisées ces dernières années sous injonction du FMI ont préparé le terrain. Au-delà des élections présidentielles, dont l’UE ne reconnaît pas les résultats, ce document précise que les deux autres sources de déstabilisation économique sont le problème du pétrole avec la Russie et la crise du Covid, qui rappelons-le, n’a pas fait l’objet en Biélorussie, comme en Suède, de mesures liberticides. Bref, le pacte économique permettant la stabilité sociale a été ébréché et les forces globalistes veulent s’engouffrer dans l’un des derniers pays qui s’occupe encore de son industrie nationale.

L’UE, comme le souligne le document (en possession de RT), a déjà fourni une « aide » à la société civile et aux médias « indépendants », mais comme le mouvement dure, un projet à long terme de 5 ans de financement est envisagé et il sera réalisé à travers des appels d’offres. Le but officiel est de faire comprendre à la population, qu’elle va être soutenue dans le temps dans son combat contre Loukacheko et la Biélorussie. Et donc favoriser ce combat.

La stratégie mise en place ici rappelle l’Ukraine, avec quelques adaptations locales. En Biélorussie également, l’UE joue la carte de la décentralisation du conflit, afin de mettre les parties du territoire en conflit avec le pouvoir étatique central et démembrer l’Etat biélorusse. Pour cela il faut des professionnels de la manifestation et les professionnels, ça se paie. C’est justement ce qui est indiqué noir sur blanc en prévoyant :

« Le financement des citoyens et des organisations locales de la société civile, des groupes sociaux, des activistes des droits de l’homme, qui veulent continuer leur travail dans le cadre des mouvements de contestation et/ou continuer à apporter une aide et des services au public visé par eux »

RT précise par ailleurs qu’il est également prévu dans le document d’apporter une aide psychologique, juridique et médicales aux « victimes de la répression« . Autrement dit, les personnes qui veulent professionnellement se battre contre la Biélorussie seront psychologiquement formées et défendues en cas de problèmes.

Et comme nous vivons dans la société de l’information et que les réseaux sociaux, comme nous l’avons vu avec Nexta, jouent un rôle fondamental dans l’organisation des mouvements de contestations, l’UE est également prête à financer les médias, blogueurs et autres qui s’en occuperont dans les régions. 

Comme dans toute action de combat frontal, peu importe qu’elle soit militaire, diplomatique, politique, etc., il faut un bon prétexte pour ouvertement piétiner la souveraineté d’un Etat et s’ingérer dans ses affaires internes, au point de financer rien de moins qu’un coup d’Etat. L’excuse démocratique comme en Ukraine est ici aussi réchauffée. Et évidemment, selon ce document, tout est fait dans l’intérêt du peuple biélorusse, en tout cas de ceux qui sortent dans la rue, car la majorité paisible n’est manifestement pas digne d’être considérée par l’UE comme partie intégrante de ce peuple biélorusse.

L’on appréciera le silence des médias main stream, qui ne veulent pas gacher la belle image de la révolte populaire spontanée contre le fameux tyran par des considérations financières aussi basses … Parce que professionaliser la contestation, c’est préparer un coup d’État de l’extérieur avec des hommes de mains payés et formés pour cela. Ce qui est beaucoup moins joli.

Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/crise-en-bielorussie-la-commission.html

 

 

 

 

Et comme une « bonne » nouvelle n’arrive jamais seule…

 

Nord Stream 2 : l’Allemagne se tourne vers les États-Unis contre la Russie

 

http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/nord-stream-2-lallemagne-se-tourne-vers.html

 

 

 

 

 

 

 

Théoriquement, ça n’a rien à voir…

 

Il convient de rappeler les ordres de grandeur dans ce débat.

 

Bruno Drweski – 20.11.2020

 

 

 

 

Citée dans la carte blanche de Piketty in Le Monde des 15-16 novembre,

 

Inégalités_WDI_Piketty_Le Monde_15&16-11-2020

 

la base de données mondiale sur les inégalités. Intéressant ! Et révélateur !!!

 

https://wid.world/fr/accueil/

 

Jacques Henno, journaliste nouvelles technologies, auteur de « Tous fichés »: LEMONDE.FR | 25.04.06 | 15h18 • Mis à jour le 03.05.06 | 23h50 : Le courrier électronique est-il discret ou non? Jacques Henno : « Non. Tout courrier électronique qui circule sur Internet peut être intercepté par des tiers qui le veulent. On estime par exemple que la majorité du courrier électronique échangé dans le monde transite par les États-Unis. On est à peu près sûr que la NSA (National Security Agency), l’agence de surveillance électronique américaine, intercepte les courriers électroniques qui transitent par les États-Unis » …Soit l’immense majorité des courriels que nous envoyons.

Reçu par mail de Bruno Drweski

 

 

 

 

 

 

On parie que vous ne saviez pas ça :

(Et que vos merdias ne vous en ont pas parlé)

 

 

Donald Trump ne fait pas que jouer au golf : il purge le Pentagone

 

 

Thierry Meyssan – Réseau Voltaire – 17.11.2020

 

 

En pleine contestation des résultats de l’élection présidentielle, le président Donald Trump a entrepris de purger le Pentagone des chefs de la rébellion. Premier visé, le secrétaire à la Défense, qui n’a cessé de mentir pour cacher les réels objectifs des officiers généraux.

 

 

 

Christopher Miller, nouveau secrétaire US à la Défense. Il a reçu pour mission d’empêcher de nouvelles guerres.

 

 

Une fois l’élection présidentielle terminée, le locataire de la Maison-Blanche n’a plus droit que de gérer les affaires courantes. Mais juste avant la proclamation des résultats du scrutin par la Commission électorale fédérale, le président Donald Trump a commencé une opération de nettoyage sans précédent du Pentagone.

La presse US, toujours occupée à le présenter comme un narcissique incompétent, ne semble pas tenir cela pour important. Elle le présente donc comme jouant au golf.

Pourtant, il a démis :

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Source : https://www.voltairenet.org/article211638.html

 

 

 

 

 

 

La France aussi a une armée divisée.

(dont le public connaît seulement quelques noms)…

 

 

Élections aux USA : lettre du général Delawarde

 

Gal Dominique Delawarde – Réseau Voltaire – 13.11.2020

 

 

 

 

Plutôt que de savoir qui sera finalement déclaré vainqueur de l’élection présidentielle US, le général Delawarde s’étonne de la volonté médiatique de ne pas considérer les fraudes, pourtant évidentes.

 

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quel était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

 

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’État visant à inverser le résultat de l’élection est-elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

 

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.

 

Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

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Source : https://www.voltairenet.org/article211634.html

 

Pour rappel : le Gal Delawarde anime, sur Strategika.fr : « Le point sur le Covid 19 ».

 

 

 

 

 

 

On était en Europe, n’est-ce pas ?

 

Les euromissiles nucléaires reviennent

 

Manlio Dinucci – il manifesto – 20.11.2020

via Réseau Voltaire

 

 

La crise des euromissiles, qui domina la politique européenne à la fin des années 70, va-t-elle se reproduire ? C’est manifestement ce que prépare le Pentagone, quel que soit le locataire de la Maison-Blanche.

 

 

Saint Georges terrassant le dragon. La sculpture a été réalisée à partir de fragments de missiles nucléaires soviétiques SS-20 et américains Pershing.

 

 

Quand, il y a plus de cinq ans, nous avions titré « Les missiles reviennent-ils à Comiso ? » [1], cette hypothèse fut ignorée par l’ensemble de l’arc politique et liquidée par quelque soi-disant expert comme « alarmiste ». L’alarme, malheureusement, était fondée.

 

Il y a quelques jours, le 6 novembre, la société Lockheed Martin (celle-là même qui produit les F-35) a signé un premier contrat de 340 millions de dollars avec l’US Army pour la production de missiles à portée intermédiaire, y compris à tête nucléaire, projetés pour être installés en Europe. Les missiles de cette catégorie (avec base au sol et portée entre 500 et 5 500 km) avaient été interdits par le Traité FNI, signé en 1987 par les présidents Gorbatchev et Reagan : il avait éliminé les missiles balistiques nucléaires Pershing 2, déployés par les États-Unis en Allemagne de l’Ouest, et les missiles nucléaires de croisière Tomahawk, déployés par les États-Unis en Italie (Comiso), Grande-Bretagne, Allemagne de l’Ouest, Belgique et Pays-Bas, et en même temps les missiles balistiques SS-20 déployés par l’Union Soviétique sur son territoire.

En 2014, l’administration Obama accusait la Russie, sans aucune preuve, d’avoir expérimenté un missile de croisière (sigle 9M729) de la catégorie interdite par le Traité et, en 2015, annonçait : « face à la violation du Traité FNI par la Russie, les États-Unis sont en train de considérer le déploiement en Europe de missiles avec base au sol ». Le témoin est ensuite passé à l’administration Trump, qui en 2019 a décidé le retrait des États-Unis du Traité FNI, en accusant la Russie de l’avoir « délibérément violé ».

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Source : https://www.voltairenet.org/article211694.html

 

 

 

 

 

Ça rappellera de joyeux souvenirs à certains…

Heureusement, pas à beaucoup.

 

 Absurdistan :

après un reconfinement ubuesque, la muselière humaine, les attentats sous faux drapeau, la censure, voici venu le temps du Blackout et de l’obscurité

 

Strategika 51– 20.11.2020

 

 

 

 

Après la manipulation du COVID-19, un confinement généralisé des populations, l’imposition forcée d’une muselière humaine, plusieurs attentats sous fausse bannière, une dérive liberticide et totalitaire en filigrane, la France va-t-elle bientôt se retrouver dans le noir?

 

C’est ce qu’un membre du gouvernement a laissé entendre. La menace des phénomènes de pénurie d’énergie électrique et des coupures généralisées ou blackout est donc bien réelle en cette fin d’année 2020.

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Source : https://strategika51.org/2020/11/20/absurdistan-apres-un-reconfinement-ubuesque-la-museliere-humaine-les-attentats-sous-faux-drapeau-la-censure-voici-venu-le-temps-du-blackout-et-de-lobscurite/

 

 

 

 

 

 

Vidéo promise, vidéo due.

 

Tir de barrage contre « Hold-up » : la censure comme objectif

 

Régis de Castelnau – Vu du droit – 13.11.2020

 

Attention ! Nous ne partageons pas – mais alors pas du tout ! – l’engouement de Me de Castelnau pour Front Populaire. Sur son animateur, Michel Onfray, nous partageons totalement le sentiment de M. Jacques-Marie Bourget. La vidéo ci-dessous n’a rien à voir, d’ailleurs, avec les successeurs de BHL & C°. D’autre part, Me de Castelnau fait plus que des réserves sur le site de Mediapart et son animateur Edwy Plenel. Il a sans doute raison et il faut le prendre au sérieux. N’empêche que le site Médiapart héberge les blogs de beaucoup de personnes intéressantes et indépendantes, dont celui de M. Bourget. L.G.O.

 

 

 

 

La diffusion du documentaire « Hold-up » provoque une polémique géante, dans un climat de cacophonie impressionnante, de pulsions liberticides plus qu’inquiétantes, et de désolantes courses à la respectabilité bourgeoise.

Il se trouve que les réalisateurs m’ont sollicité et que j’ai été amené à répondre à leurs questions. Sur le fond je n’ai fait que répéter ce que je dis déjà depuis un moment sur les différentes tribunes qui me sont offertes. C’est-à-dire que la gestion de la pandémie par l’actuel pouvoir politique s’effectue dans un cadre juridique dévoyé.

 

Je ne me suis pas prononcé sur la pertinence des mesures passablement violentes qui sont imposées à un peuple entier. J’estime n’en avoir pas les compétences, même si j’essaie de me forger une conviction en écoutant les avis de ceux qui ont a priori une certaine légitimité et dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils ont du mal à se mettre d’accord. J’ai simplement relevé que le modèle contraignant qui nous est imposé l’était la plupart du temps en violation des règles de l’État de droit qui devrait régner dans notre pays. Qu’outre leur caractère régulièrement illégal, elles ont à peu près systématiquement une dimension essentiellement punitive, et ont tendance à traiter le peuple français comme un ramassis d’enfants irresponsables et méprisables.

Je pense comme beaucoup de commentateurs et d’hommes politiques, par exemple Jean-Luc Mélenchon récemment, que la dérive autoritaire du pouvoir politique dans notre pays est très préoccupante. Je ne considère pas qu’il s’agit là de la mise en œuvre d’une stratégie pensée et organisée très en amont, mais pour le pouvoir macroniste, d’un « effet d’aubaine » qui aggrave la pente naturelle d’un système minoritaire utilisateur régulier des atteintes aux libertés publiques. Et je crains qu’il soit difficile ensuite de revenir en arrière, et de les restaurer dans leur plénitude.

Je pense par conséquent, peut-être à tort, qu’il est difficile de prétendre que je manque de cohérence. Et j’attends de pied ferme dans le cadre d’un débat contradictoire normal dans une démocratie, que l’on réfute ce que j’avance.

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Source : https://www.vududroit.com/2020/11/tir-de-barrage-contre-hold-up-la-censure-comme-objectif/

 

 

 

 

 

 

Et voici la pièce à conviction :

 

 

 

Ou ici :

https://odysee.com/@Honeywellcom:d/HOLD-UP-film-documentaire-:d

 

Ou encore ici :

https://gloria.tv/post/78x7ufjhzMzA1cx13xMYJvpNc

 

 

 

 

 

Tiens, pendant qu’on y est :

 

Symphonie du Nouveau-Monde

 

C’est sur Entre la plume et l’enclume :

https://plumenclume.org/blog/623-symphonie-du-nouveau-monde

 

 

 

 

 

 

Et le COVID dans tout ça ? Euh…

 

 

 

 

Source : E & R – Dessins de la semaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 20.11.2020

 

 

ARMISTICE III/V

 

 

 

 

 

 

 

Gustave Doré  – La barque de Charon assaillie par des vagues de damnés

 

 

 

ARMISTICE

« 11 novembre 1918 »

La mère de tous les leurres

III/V.

 

 

« Le malheur en tout ceci, c’est qu’il n’y a pas de peuple, au sens touchant où vous l’entendez, il n’y a que des exploiteurs et des exploités, et chaque exploité ne demande qu’à devenir exploiteur. Le prolétariat héroïque, égalitaire, n’existe pas. C’est un songe creux, une faribole, d’où l’inutilité, la niaiserie écœurante de toutes ces imageries imbéciles, le prolétaire en cotte bleue, le héros de demain et le méchant capitaliste repu à chaîne d’or. Ils sont aussi fumiers l’un que l’autre. Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus, rien de moins. »

Céline, Lettre à Élie Faure de juillet 1935

 

 

 

 

La bataille du Styx

ou les guerres de Céline

 

Théroigne – 11.11.2020

 

 

L’actualité farceuse ou, si on veut, la sinistre répétition ad infinitum de l’histoire, a poussé M. Nicolas Bonnal à citer longuement, en octobre dernier (comme le temps passe !), Maurice Joly, auteur français du XIXe siècle, dont on sait quel rôle involontaire il a joué dans un pamphlet calomniateur des juifs mitonné dans un think tank d’époque./1

J’estime que ce n’est pas perdre mon temps que de le citer à mon tour, apparemment hors de propos :

 

 

« Voilà, c’est reparti comme en quatorze. On invoque Charlie, on coupe des têtes, on enferme tout le monde, et on ruine un pays comme à la parade. Le peuple bientôt vacciné et parqué se jette tout content dans les bras de la dictature pour la énième fois. Cela mérite une observation peu démocratique : certains voient dans le peuple une victime, alors que c’est toujours lui, nous explique Platon, qui réclame la tyrannie (République, livre VIII). C’est lui qui a peur du virus invisible, qui veut du test, du masque et de la police et du chômage et de la confiscation. Cinq ans après le Bataclan, on prend les mêmes et on recommence. »

Nicolas Bonnal – Maurice Joly et le gouvernement par le chaos 1864 à 2020

 

 

 

Cent-six ans après août 1914, Populo, n’a rien appris, en est resté au même point.

Et, oui, je le sais, que « la guerre 14 » en France, ce n’est pas seulement Céline, et que « Céline et les juifs », ce n’est pas la guerre 14, c’est la suivante. Mais n’oublions pas une fois pour toutes que la suivante n’en fut que la continuation, de même d’ailleurs que toutes celles qui leur ont succédé et leur succèdent sur la planète. C’est du ventre de la première qu’elles continuent de sortir.

Et si on peut dire que la France est sans doute le pays qui a eu le plus d’écrivains-soldats dans la Première Mondiale, il en est peu qui ont été aussi marqués par les deux conflits que celui qui les a, à son tour, marquées de son sceau unique. C’est pourquoi je me contente de rappeler, en annexe, seulement les plus célèbres d’entre ceux qui ont combattu et témoigné, dont j’imagine que l’enseignement new look fait peu de cas, et soyons même sûrs, qu’il les redoute. C’est la meilleure des raisons pour les lire.

Céline est ici arbitrairement choisi, de même que Malaparte l’a été pour évoquer la guerre des Italiens. Comme lui, quoique de deux ans plus âgé etd eux ans avant lui, Céline s’est engagé tête baissée dans l’empoignade, comme l’ont fait des multitudes de jeunes hommes du peuple ou petit-bourgeois de l’Europe entière, semblablement chauffés à blanc par l’arme de destruction massive plus efficace que n’importe quelle bombe A qu’est la propagande élevée au rang des beaux-arts, grosso modo depuis la défaite de 70. On n’a jamais vu, à aucune autre époque de l’histoire humaine, un engouffrement aussi enthousiaste de toute une génération dans la mort.

Et si Malaparte a eu le triste privilège d’assister à la sinistre farce du Traité de Versailles, Céline a, lui, vu de l’intérieur, les non moins sinistres pitreries de la Société des Nations, digne prélude à celles du Machin.

 

 

 

 

Céline à 20 ans. Il s’est engagé à 18, en 1912

 

 

 

Pour mémoire :

C’est en 1912, à 18 ans, que, devançant l’appel, il s’engage pour trois ans et entre au 12e régiment de cuirassiers, stationné à Rambouillet.

En août 1914, envoyé en Flandre orientale, ce régiment participe aux tout premiers engagements de la guerre. Le maréchal des logis Destouches, pas encore Céline, y est grièvement blessé au bras. Il sera opéré deux fois à trois mois d’intervalle et décoré de la médaille militaire, puis de la Croix de guerre avec étoile d’argent.

Déclaré inapte, il est affecté au service des visas du consulat français de Londres : c’est le début de son voyage au bout de la nuit. Il sera par la suite déclaré invalide à 70% et réformé.

Le reste est de l’histoire connue ou devrait l’être. MAIS…

 

 

 

 

Un des deux plus grands écrivains français de tous les temps sera tenu très soigneusement hors de portée de plusieurs générations de ses compatriotes, par la convergence de deux groupes d’intérêts fallacieusement confondus : d’une part : l’activisme sioniste qui se servira de lui pour promouvoir sa propre imposture : la transformation de l’extermination d’un très grand nombre de juifs par le nazisme en événement unique et insurpassable, absolument distinct de tous les autres massacres de l’Histoire ; d’autre part, les gens-z-au pouvoir dans tous les domaines (politique, économique, intellectuel, artistique et n’oublions pas les merdias encore peu reconnus comme tels) auxquels cette mise au pilori permettra d’occulter-bâillonner durablement et absolument le gêneur qui a osé appeler un chat un chat et qui l’a fait avec génie.

Toute généralisation étant idiote et Céline ayant été loin de l’être, il faut bien admettre que ses éructations anti-juives (puis anti-chinoises) dans la forme apparemment incontrôlable qu’elles ont prise, ont relevé de manière ou d’autre de la maladie. Psychique. La vertueuse indignation qu’elles continuent de susciter chez les plus ignares, pourries et corrompues tartuficques zélites hexagonales a fait en sorte que l’arbre de ses opinions cache depuis 70 ans la forêt de son dégoût, de sa rage, de son désespoir de Jérémie-Cassandre. Si ce désespoir est sans bornes, c’est que sa lucidité ne lui a rien épargné : ce ne sont pas seulement les fausses valeurs tyranniques au pouvoir qui sont à déplorer, ce sont aussi leurs victimes non moins abjectes, hélas, qu’à force de coups et d’imprécations, il a essayé de faire sursauter. En vain (avant lui, Baudelaire, déjà…).

Il faut dire, pour être juste, que le constat d’abjection générale ne  concerne pas que le peuple français. À tel point que d’autres écrivains contemporains de Céline sont allés jusqu’à appeler de leurs vœux l’annihilation totale de l’espèce humaine, laquelle aurait selon eux le mérite de donner une chance à quelques autres, animales et végétales. N’en citons que deux : à l’époque de la trilogie allemande et de Féérie pour une autre fois, John Cowper Powys écrivait Spectres réels, et un peu plus tard, Kurt Vonnegut Jr – l’immortel auteur d’Abattoir 5, qui a préfacé l’édition américaine de la trilogie de l’exil – faisait de même dans Galapagos. Mais voilà, ils l’ont fait sous une forme plus facile à ignorer.  Un autre vient de le faire aujourd’hui, à sa manière, pian-piano, dans la dernière page tragique d’un livre très drôle : Andrea Camilleri, dans Riccardino (encore inédit en français, on attend Quadruppani).

 

 

Cuirassier chargeant – Dessin de L.-F. Céline

 

­­­­­­­­­­­­­­­­­­_______________________   

1/ On sait que ce pamphlet, écrit sous Badinguet contre les Bonaparte et publié d’abord – prudemment – sans nom d’auteur, à Bruxelles, a servi de patron à la police tsariste pour fabriquer un faux – le Protocole des Sages de Sion  –  qu’elle attribua « aux juifs », dont on peut supposer par là qu’ils étaient nombreux dans les rangs de l’opposition.

On sait moins que le pot aux roses fut découvert par un Anglais, tombé un jour, si ma mémoire ne me joue pas des tours, chez un bouquiniste en plein vent d’Istanboul, sur un exemplaire très abîmé du livre de Maurice Joly, dont certains passages le frappèrent aussitôt par leur ressemblance avec le fameux Protocole, qu’il venait justement de lire. Il lui fallut un certain temps pour arriver à identifier le modèle, car l’exemplaire qu’il s’était empressé d’acheter était en mauvais état, sans page de titre et – on l’a vu – sans nom d’auteur. Il finit par y arriver cependant.

Faut-il attribuer à l’humour noir des dieux ou aux sarcasmes de l’Histoire le fait que les sionistes d’aujourd’hui donnent a posteriori raison aux faussaires ? Ou bien faut-il plus simplement admettre que tous les tyrans usurpateurs reproduisent les méfaits de la famille Bonaparte, elle-même les ayant copiés de ses prédécesseurs ?

 

 

 

 

 

 

Les opinions émises et les livres écrits sur Céline sont innombrables, la plupart à charge. Nous ne retiendrons ici que quelques-uns de ceux qui ont essayé de comprendre sans juger.

Au premier rang desquels Henri Guillemin, dès 1966 :

 

 

Le Céline d’Henri Guillemin

 

 

 

 

 

 

Celui de Jean-Louis Bory

 

« Céline, notre Rabelais pour temps d’Apocalypse »

in Céline, Les Cahiers de l’Herne, 1968

 

 

 

 

Parmi ceux qui ont eu la chance de l’entendre, qui ne se souvient de Jean-Louis Bory, fougueux critique de cinéma, et de ses mémorables empoignades au Masque et la Plume  avec Georges Charensol ? Mais Bory était encore quelque chose d’autre : un des rares à avoir compris tout jeune homme qui était exactement Céline, jusqu’à faire le pèlerinage de Copenhague  pour l’aller voir dans sa prison danoise ; un des rares aussi, à savoir qui fut exactement Rabelais et de quelle nature est leur importance à tous deux, bien au-delà des seules lettres françaises.

Ce n’est pas par coïncidence que Rabelais et Céline furent médecins (comme le fut André Breton). Médecins des corps, certes, mais surtout des âmes. On pourrait les croire aux antipodes l’un de l’autre, l’un invinciblement optimiste (mais le fut-il vraiment ?) l’autre, au contraire, « triste, failli, plus noir que meure ». Qu’importe, puisqu’ils sont aussi incompris l’un que l’autre, le premier depuis pas loin de cinq siècles, le second depuis les trois-quarts d’un seul. Car, si la postérité n’a pas emboîté le pas à l’Inquisition et aux ennemis que Maître François eut de son vivant, bien peu d’hommes ont fait l’effort d’ouvrir la boîte à Silène dont l’apparence ne devait pas leur faire croire « de vessies que sont lanternes » mais leur révéler des choses d’extrême importance, pour peu qu’ils eussent la curiosité de l’ouvrir. En règle générale (quelques exceptions… pas beaucoup) ils ne l’ont pas eue. Même Victor Hugo n’a pas été, à son propos, le visionnaire qu’il fut ailleurs quelquefois : ce qu’il en dit dans son William Shakespeare prouve que, s’il l’a lu, il ne l’a pas compris.

François Rabelais et Louis-Ferdinand Céline, qui diagnostiquèrent pourtant les mêmes maux aux mêmes hordes de patients rétifs, se rencontreront-ils un jour ? Tout fait craindre que non, mais le premier n’a-t-il pas dit que les antipodes étaient faits pour se rencontrer et prophétisé que :

 

« Taprobana a veu Lappia, Java a veu les monts Riphées ; Phebol voyra Thélème ; les Islandoys et Engronelands boyroint Euphrate. […] Boréas a veu le manoir de Auster ; Eurus a visité Zéphire. Etc. etc. » ?

 

Touchons du bois.

 

 

 

 

 

Céline vu d’Italie

 

 

L’angoisse de Céline se fait style

 

Pierluigi Pellini  –  il manifesto  –  26.4.2020

 

Traduction : Les Grosses Orchades

 

 

Gen Paul – Montmartre, Paris

 

 

Classiques du XXe siècle. Le réprouvé reparaît en librairie en 1952 avec Féerie pour une autre fois. C’est un fiasco. Et la raison pour laquelle Gallimard changera en Normance le titre du second volume. Aujourd’hui, voilà qu’en Italie aussi, les deux livres sont réunis. Par Einaudi.

 

S’il est vrai que l’objectif invoqué – et probablement, du moins en partie, sincèrement poursuivi – par les pamphlets racistes de Céline et par son militantisme collaborationniste fut celui, noblement pacifiste, d’éviter à tout prix un nouveau carnage (« je voulais empêcher le massacre ! ») des simples soldats, orchestré par les pouvoirs économiques et politiques, identifiés par les légendes noires du nationalisme le plus cru à la finance hébraïque, et s’il est vrai que 1915 avec ses massacres et 1917 avec ses fusillés pour l’exemple reviennent de façon obsessionnelle jusqu’à dans ses romans de la IIe Guerre mondiale, il est vrai aussi que l’abjection sans limites de l’homme Céline ne peut plus être mise en doute après le réquisitoire d’Annick Duraffour et Pierre-André Taguieff :  Céline, la race, le Juif. Légende littéraire et vérité historique (Fayard, Paris 2017):, gros pavé assez déplaisant à lire pour son indifférence ostentatoire à la qualité esthétique et à la complexité du verbe littéraire, mais entreprise probatoire hyper-documentée et glaçante. Bref, il serait temps, en Italie aussi, de ne plus prendre pour argent comptant des biographies dépassées, vaguement apologétiques, telles que celle de François Gibault (1985)

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Mais j’avais dit « Bataille du Styx »…

 

 

Céline et Dante

 

Philippe Di Maria – Stalker – 2018

 

 

Gustave Doré – Illustration pour L’ENFER de Dante

 

 

Rappeler l’intérêt de Céline pour l’œuvre de Dante n’est certes pas une nouvelle sensationnelle tant les allusions faites à la Divine Comédie, et surtout celles que l’on peut relever dans D’un château l’autre, sont connues, mais il est intéressant de chercher ce que l’auteur de Voyage au bout de la nuit a extrait du célèbre poème dantesque pour l’insérer dans son œuvre. Du Divin Triptyque d’il sommo poeta, Céline n’a retenu que la première partie : l’Enfer ! L’enfer que Céline a traversé, et dont il a miraculeusement réchappé, avait pris la forme de déluges de fer et de feu, d’abord en automne 1914 et puis de 1944 à 1951. C’est cet enfer de la guerre, instillé dans ses derniers livres d’un « suc cohobé » de folie meurtrière, qu’on peut l’apercevoir parfois vêtu des habits de l’autre Enfer, celui du Dante. C’est pourquoi il est possible d’appréhender, à ces points précis d’éruption, les éléments qu’il a choisis dans l’Enfer dantesque pour les transposer dans ses ouvrages post-bellum, et surtout dans ce qu’on appelle communément la « Trilogie allemande » : D’un château l’autre, Nord et Rigodon.

 

 

On sait que Céline avait projeté de commencer Féerie par une adresse à Charon (voir « Romans », volume IV, Pléiade 1993, pages 594-595) :

 

– [Essais de titre] :

 La Barque aux Maudits

Le premier titre envisagé fait évidemment référence à la barque de Charon.- [Essais d’ouverture] :

Godillez <là> un peu autour, Caron ce ne sera plus long.

Un peu plus loin :

Reste-là Caron ! Godille un peu autour <J’en ai pour une minute> — c’est une minute

Et encore :

Ô Caron, godille encore un petit moment et arrête, je suis à toi.

 

Dans ces courtes recherches de titre ou de rythme de phrase, Céline a bien à l’esprit le Chant III de l’Enfer qui débute par le célèbre avertissement gravé sur la porte : « Vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dès l’automne 1945, il a décidé que son prochain livre racontera tout ce qu’il a vu de la guerre : les bombes qui tombent du ciel comme une pluie de mort et le désir de meurtre de la horde humaine.

Redoutant par ailleurs que l’Enfer littéraire (ou mystique) ne l’attende pas plus que le bourreau n’attendit la du Barry, malgré sa prière1, il demande à son tour d’avoir « encore une minute » pour chroniquer cette traversée polémologique. Il abandonne assez rapidement ce projet d’introduction dantesque prévu pour Féerie I et remet à plus tard la présence récurrente de Charon et du Styx dans son roman. Ce ne sera qu’à partir du premier volume de la Trilogie, c’est-à-dire, D’un château l’autre, que les références précises à l’Enfer de Dante apparaîtront de manière récurrente

 

La bataille du Styx/Achéron

Le fleuve Styx n’est cité que quatre fois dans les derniers romans : une fois dans Féerie I, deux fois dans D’un château l’autre, et une fois dans Nord. Le nom de Dante, lui, n’apparaît pas une seule fois dans les huit romans. La seule référence patronymique au poète florentin se trouve dans Féerie I où il est surnommé Dantus :

Pétrarque, Dantus ! Homère ! Prout Prout ! bout bout !2

Par ailleurs, le titre « La bataille du Styx » envisagé dès septembre 1945 par Céline pour sa chronique de la guerre3, ne correspond pas avec les références dantesques introduites dans l’ouverture de D’un château l’autre; et pour cause, Charon/Caron n’est pas le passeur du Styx !

Le Styx est le deuxième fleuve de l’Enfer, celui qui entoure Dité, la Cité de Pluton où « le feu éternel brûle à l’intérieur ». Dité, c’est la cité de douleur, la ville rouge aux murailles de fer, interdite à Dante par « plus de mille diables au-dessus des portes », mais dans laquelle pourront finalement pénétrer les deux poètes grâce à « quelqu’un par qui la ville sera ouverte »4. Dité, c’est la cité où brûlent les hérétiques pour l’éternité. Dité, c’est l’écriture, pour Céline.

Quant au Styx, Dante nous précise que c’est un  marais, boueux, hideux et fuligineux dans lequel sont plongés les coléreux afin qu’ils y subissent leur damnation éternelle. Le Styx serpente autour de l’enclos qui, par-delà ses murailles et entrailles, mène au réel début du voyage du poète jusqu’au centre du monde. Ce voyage, du bout de la nuit de l’Enfer jusqu’au Paradis, est celui que ne fera jamais Céline, bloqué au fond du 9e cercle.  L’arrivée au Styx racontée par Dante :

 

Nous recoupâmes le cercle vers l’autre rive

au-dessus d’une source qui bout et se reverse

par un canal qui dérive d’elle.

L’eau était noire plutôt que perse,

et nous, en compagnie de son flot trouble,

nous entrâmes plus bas par une voie étrange.

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Source : http://www.juanasensio.com/media/00/00/248636137.pdf

 

 

 

 

 

La bataille du Styx ou la fin du voyage célinien : notes sur les passages dans Rigodon

 

 

Roger Bastrios-Kuhlmann – Presses universitaires de Perpignan – 2002

 

 

 

 

« Lili ma petite fille il faut passer, n’importe comment !1 »

 

Toute l’œuvre de Céline est placée sous le signe du mouvement, du départ, du transit comme si les personnages, refusant une fixité qu’ils savent d’avance mortifère, s’étaient voués à une errance infinie. Et lorsque le héros croit entrevoir une lueur de tendresse et de bienveillance dans cet univers désespérément hostile, une irrépressible inquiétude le pousse à nouveau sur les routes. La belle et admirable Molly, prostituée au grand cœur, rare figure positive du Voyage, en fait la triste expérience : elle échoue à retenir Bardamu et celui-ci, la mort dans l’âme, cédera finalement à son « vice, cette envie de (s)’enfuir de partout, à la recherche de je ne sais quoi2 ». Cet appel de l’ailleurs interdit tout confort affectif, tout repos prolongé, il expose au contraire le héros à de nouveaux périls auxquels il lui faudra échapper, conférant par là-même à l’imagination célinienne un caractère cyclique qui constitue, comme nous le rappelle Henri Godard, tout à la fois son unité et son rythme :

.

Ferdinand n’est pas de ceux qui trouvent leur bonheur à seulement vivre (…) La vie ne peut le satisfaire aussi longtemps qu’elle reste, précisément « sans histoires ». Il ne la possède que lorsqu’elle est en danger et au besoin il la risque. Son histoire (…) trouve son unité dans cette menace de tous les instants et son rythme dans ce retour périodique de l’apocalypse3.

 

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Source : https://books.openedition.org/pupvd/157?lang=fr

 

 

 

 

 

La mort de « Lily »

 

 

 

 

 

On sait que Lucette Almansor, la ballerine épouse de Céline, avait 107 ans, quand elle s’est éteinte le 8 novembre 2019 à Meudon. Elle était née à Paris, le 20 juillet 2012, alors que son futur époux entrait sous les armes.

Lucette Destouches est inséparable de l’œuvre de son mari, où elle tient une place importante, tant dans la trilogie allemande que dans les deux Féeries.

Certains pensent, sans doute avec raison, que, sans elle, Céline ne se serait peut-être pas remis à écrire après la guerre.

Quoi qu’il en soit, elle repose aujourd’hui à ses côtés, sous la pierre tombale où elle avait fait graver, en 1961 :

 

 

« LUCIE DESTOUCHES
NÉE ALMANSOR
1912-19.. »

 

 

 

 

 

sans se douter qu’elle n’y descendrait qu’au bout de 58 ans.

 

 

Plusieurs livres lui ont été consacrés :

Pol Vandromme, Du côté de Céline, Lili, Bruxelles, La Revue célinienne, 1983, 152 p. (notice BnF no FRBNF34824928) (lire en ligne [archive])

Marc-Édouard Nabe, Lucette : roman, Paris, Gallimard, coll. « Blanche », 1995 (réimpr. 2012), 348 p

David Alliot (dir.), Madame Céline : route des Gardes, Paris, Pierre-Guillaume de Roux, 2012, 139 p.  (rééd. 2018, Tallandier)

Véronique Robert-Chovin, Lucette Destouches, épouse Céline, Paris, Grasset, 2017.

David Alliot, Madame Céline, Paris, Tallandier, 2018, 429 p

 

 

 

 

 

 

Céline : Faut-il republier les pamphlets ?

 

Théroigne  – 11.11.2020

 

 

 

 

 

Rien que poser la question est méprisable !

Qu’il s’agisse des écrits de Céline ou de n’importe qui. Qu’il s’agisse de politique, de religion ou de littérature. Vouloir contrôler/régenter les lectures de ses semblables est de la part de quiconque d’une insurpassable outrecuidance. À plus forte raison dans l’état actuel des pouvoirs qui sévissent en Europe (laissons les autres continents s’occuper de leurs affaires).

C’est une question de principe : le principe qui veut que chacun soit libre, maître et responsable de soi. Mais comme l’a dit George Bernard Shaw – et dieusait qu’il avait raison ! – la liberté implique des responsabilités, c’est pour ça que tout le monde la réclame et que personne n’en veut. Et comme personne n’en veut, il y a des présomptueux qui la raflent à leur profit, comme ils s’administrent de la chloroquine avant de l’interdire à tout le monde, et qui se permettent de vous dire ce que vous pouvez faire et pas faire.

Soyons sérieux.

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Pour le principe…

 

Un petit bout de pamphlet pour la route…

 

Céline chez les Soviets

 

 

     Et puis voilà…

     Nathalie, mon interprète, elle était tout à fait dévouée… parfaitement instruite, très régulière au boulot… Elle m’a montré tout ce qu’elle savait, tous les châteaux, tous les musées, les plus beaux sites… les plus renommés sanctuaires… les plus étonnantes perspectives… les anciens parcs… les Iles… Elle savait très bien toutes ses leçons… pour chaque circonstance… pour chaque moment… le petit laïus persuasif, la petite allusion politique… Elle était encore bien jeune, mais elle avait l’expérience des tourmentes révolutionnaires… des transbordements sociaux… des mondes en fusion… Elle avait appris toute petite…

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Les écrivains français de la Grande guerre

 

 

 

 

 

Comme je l’ai dit, ils sont nombreux, au premier rang desquels Cendrars, qui a laissé un bras dans la mêlée, le second, Apollinaire, qui n’en a réchappé – blessé – que pour mourir aussitôt.

Rappelons que Cendrars et son bras jouent un certain rôle dans le roman d’Aleksandar Gatalika, À la guerre comme à la guerre, évoqué dans notre Armistice I.

 

Liste des écrivains-soldats français de la Première Guerre mondiale

 

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Dont :

Apollinaire et Cendrars

Apollinaire et Léautaud

 

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ARMISTICE 11/11/1918

(la mère de tous les leurres)

 

Serbie : I/V  – À la guerre comme à la guerre – Gatalika

Italie-France II/V – Viva Caporetto ! – Malaparte

France – III/V – La bataille du Styx – Céline

Angleterre – IV/V – Àdieu à tout ça ! – Graves, Sassoon, Thomas

D’ici et d’ailleurs – V/V – Quelques-uns des autres

 

 

 

 

 

9-11 novembre 2020

Mis en ligne en retard le vendredi 13

 

 

 

 

ANNIVERSAIRE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ANNIVERSAIRE

 

 

 

Il y a 45 ans, le 2 novembre 1975, le poète Pier Paolo Pasolini était assassiné à l’Idroscalo d’Ostie.

Nous vous proposons la version française – par Marie-Ange Patrizio – d’un texte qu’Ascanio Celestini, acteur et conteur de récits, a écrit ce 2 novembre pour il manifesto.

 

 

« Pays, je vais en terre

par un sentier sans violettes

et je lègue au coeur des enfants 

les printemps à venir ».

(« Le premier vol du chardonneret », in La nouvelle jeunessePoèmes frioulans 1941-1974, Maurice Nadeau éditeur, 1979, Paris)

 

 

Le corps du poète dans les lieux qu’il aimait vivant

 

Ascanio Celestini  –  il manifesto  –  3.11.2020 

 

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio, avec l’aimable autorisation de l’auteur et son aide pour la bibliographie. Toutes les notes sont de la traductrice.

 

 

 

 

 

 

Anniversaire. 2 novembre 1975. Pier Paolo Pasolini était tué à l’Idroscalo d’Ostie

Une dame élégante et blonde accueille Pasolini à l’aéroport de Stockholm persuadée qu’il sera le prochain compatriote à avoir le Nobel après Montale. Et qui sait s’il aurait été d’accord. Sartre l’avait refusé quelques années plus tôt, disant que l’écrivain ne doit pas « se laisser transformer en institution, même si cela a lieu sous les formes les plus honorables ».

Quand on demande à Pasolini ce qu’il pense de la célèbre reconnaissance attribuée à Montale, il répond qu’on aurait mieux fait de la donner à Sandro Penna « destiné à être continuellement un poète marginalisé »(1).

Le 31 octobre, il s’envole vers Paris pour y suivre le doublage de Salò et le jour suivant il est en Italie.

Les dernières choses qu’il fait en vie ont souvent été racontées. Un dîner chez Pommidoro avec Ninetto Davoli et sa famille. Pasolini commande un steak frites, les autres : saucisses et fruit. Il paye onze mille lires avec un chèque de la Caisse d’Épargne de Rome, agence de via Giacinto Carini à Monteverde Vecchio. Le jour suivant la table est encore appareillée. « Je vis les verres qui étaient encore là sur la table comme je les avais laissés. Et quand je vis dans la poêle l’huile que j’avais utilisée pour frire ses pommes de terre, je me mis à pleurer » dit Anna, la patronne de la trattoria.

Pasolini s’arrête au square de la gare Termini. Dans l’Alfa Romeo 2000 GT à peine lavée par sa cousine Graziella, monte Pino Pelosi, dit La Rana (la Grenouille). Ils prennent l’Ostiense. Ils s’arrêtent au Buono Tevere où le jeune prend entrée et plat du jour. Puis ils s’en vont vers l’Idroscalo.

Quand Anna débarrasse la table de Pommidoro tout est déjà consommé.

« Hier matin, 2 novembre 2020, le soleil s’est levé à 6h 41 ».

Le 2 novembre 1975, il aura pointé son nez à peu près à la même heure. Ou peut-être faisait-il tellement sombre et pluvieux que l’aube a dû être à vomir. Dans ces cages à poules qui donnent sur un terrain de foot à deux pas de la mer habite une femme de quarante-six ans, Lollobrigida Maria Teresa épouse de Principessa Alfredo, maçon de deux ans plus âgé. Ils ont deux enfants : Gianfranco et Mimma de 27 et 23 ans. Ils viennent juste d’arriver d’une autre banlieue de la ville. Ils habitent vers la Tangenziale à la hauteur de Tor de’ Schiavi. Ils ont une « casetta », disent-ils, dans cette zone de baraquements devant la mer. Dans la déposition d’Alfredo est rapportée la phrase de sa femme qui la première voit le corps du poète : au moment où on descendait de voiture ma femme s’exclama : « Sur cette route ils jettent toujours des bordilles ».

De la Suède des Nobel, en passant par la Ville Lumière pour aller mourir à l’Idroscalo d’Ostie ce serait un voyage impensable pour un poète à lauriers qui évolue parmi les buis troènes ou acanthes, mais c’est étrange aussi pour ceux qui se contentent de l’odeur des citrons (2). Pasolini n’appartenait à aucune des deux catégories.

Trois jours plus tard Rossana Rossanda prédisait sans trop d’effort qu’on lui dédierait rapidement des rues et que chacun essayerait de le récupérer. Les communistes allaient le faire, avec lesquels il discuta dès l’époque où ils lui tuèrent son frère, même si lui, cohérent et têtu, déclara toujours son vote pour le PCI. Les intellectuels allaient le faire, « prudents distillateurs de mots et positions, paisibles bénéficiaires de la séparation entre littérature et vie »(3). Même les commentateurs les plus conservateurs allaient y gagner quelque chose, jusqu’à ceux de droite lisant à tort et à travers ses paroles sur ’68 et sur l’avortement. Et à ce saccage s’unissent encore aujourd’hui inévitablement les amants du mystère et du complot. Tout faux et en même temps tout vrai ou, peut-être, tout un mélange de traces effacées par la pluie de cette nuit-là et recouvertes par les restes d’une histoire qui depuis des siècles n’a donné que des valets.

Le corps du poète a été retrouvé sur la terre fangeuse devant la mer de l’Idroscalo parce qu’il fréquentait ces « lieux sans limites où tu crois que la ville s’arrête, et où au contraire elle recommence »(4). D’autres sont morts dans leur lit parce que, inévitablement, nous allons mourir dans ces lieux mêmes que nous fréquentions vivants. Et Pasolini parcourait toute cette belle ville infinie pour sombrer dans sa déchirante beauté au risque chaque nuit de ne pas refaire surface vivant. « Mieux la mort qu’y renoncer ! »(5), écrivait-il. Mais sans condamner qui mêlait l’homicide à cette vitalité désespérée.

Dans son article en première page, sur il manifesto du 4 novembre, Rossanda écrivit un peu plus qu’une prophétie facile. Elle déclara que probablement « s’il en était sorti vivant, il serait aujourd’hui du côté du jeune de dix-sept ans qui le massacrait de coups. En le maudissant, mais avec lui »(6).

Et ainsi est-il mort faisant un avec le monde dans lequel il se plongeait. En annulant la distance entre les mots et les choses.

Aujourd’hui, tant d’années et tant de bavardages après cette aube-là, il y aurait à répondre à madame Lollobrigida : « C’est vrai, Md’ame ! Sur cette route ils jettent toujours des bordilles ».

 

 

Édition de mardi 3 novembre 2020 d’il manifesto

https://ilmanifesto.it/il-corpo-del-poeta-nei-luoghi-che-amava-da-vivo/     

____________________    

Notes pour la version française :

(1) enregistrement d’une intervention à l’Institut Italien de Stockholm le 30 octobre 1975, in Pasolini Requiem, Barth David Schwarz, 1992, University Chicago Press (USA). Référence communiquée par Ascanio Celestini pour la version française de l’article.

(2) « Ascoltami, i poeti laureati

si muovono soltanto fra le piante

dai nomi poco usati: bossi ligustri o acanti.

lo, per me, amo le strade che riescono agli erbosi

fossi dove in pozzanghere

mezzo seccate agguantanoi ragazzi

qualche sparuta anguilla:

le viuzze che seguono i ciglioni,

discendono tra i ciuffi delle canne

e mettono negli orti, tra gli alberi dei limoni […] ».

I limoni, Eugenio Montale, in Ossi di seppia,1925, Piero Gobetti Editore, Turin.

Et https://www.libriantichionline.com/divagazioni/eugenio_montale_limoni_1925

(3) « In morte di Pasolini », Rossana Rossanda, il manifesto 4 novembre 1975  http://www.centrostudipierpaolopasolinicasarsa.it/testimonianze/in-morte-di-pasolini-il-ricordo-di-rossana-rossanda-1975/

(4) […] Nascono potenze e nobiltà,

feroci, nei mucchi di tuguri,

nei luoghi sconfinati dove credi

che la città finisca, e dove invece

ricomincia, nemica, ricomincia

per migliaia di volte, con ponti

e labirinti, cantieri e sterri,

dietro mareggiate di grattacieli,

che coprono interi orizzonti.[…]

Sesso, consolazione della miseria, in La religione del mio tempo, Pier Paolo Pasolini, 1961, Garzanti Editore, Milan. Et  http://www.pierpaolopasolini.it/sesso_consolazione_della_miseria.htm

(5) « […] Per loro, i miei coetanei, i figli, in squadre

meravigliose sparsi per pianure

e colli, per vicoli e piazzali, arde

in me solo la carne. Eppure, a volte,

mi sembra che nulla abbia la stupenda

purezza di questo sentimento. Meglio la morte

che rinunciarvi! Io devo difendere

questa enormità di disperata tenerezza

che, pari al mondo, ho avuto nascendo […] ».

La realtà, in Poesia in forma di rosa, Pier Paolo Pasolini, 1964, Garzanti Editore, Milan.

Et :http://www.centrostudipierpaolopasolinicasarsa.it/molteniblog/pasolini-tra-eros-e-agape-di-beatrice-da-vela/

« […] Pourtant, parfois,

il me semble que rien n’ait la superbe

pureté de ce sentiment. Mieux la mort

Qu’y renoncer ! Je dois défendre

cette énormité de tendresse désespérée

qu’avec le monde j’ai reçue en naissant ». [Notre traduction]

(6)  In morte di Pasolini, Rossana Rossanda, id. 

 

 

 

 

 

 

 

Farce U.S.

 

 

 

 

 « Hegel fait quelque part cette remarque que tous les grands événements et personnages historiques se produisent pour ainsi dire deux fois. Il a oublié d’ajouter : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce. »

Karl Marx, Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte (1852)

 

 

Rallies Trump c/ Rallies Biden

 

 

 

 

 

 

 

 

Petits échantillons de démocratie postmoderne :

 

Élections américaines : Biden importe les technologies des révolutions de couleur et met fin à la légitimité électorale

 

Karine Bechet Golovko – Russie Politics – 5.11.2020

 

 

http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/elections-americaines-biden-importe-les.html

 

 

 

 

 

 

 

Vous avez dit « merdias » ?

 

Au sommaire du quotidien Le Soir de Bruxelles, le 7 novembre 2020

 

 

 

Les médias américains ont proclamé ce samedi le démocrate vainqueur de l’élection qui a tenu les Etats-Unis et le monde entier en haleine.

Joe Biden sera le 46e président des Etats-Unis

 

 

Le démocrate a été déclaré vainqueur de l’élection aux Etats-Unis par la plupart des médias américains. Joe Biden a déjà  promis d’être «le président de tous les Américains».

 

 

       

Portrait: Joe Biden, le combat d’une vie

 

            

Kamala Harris, la première femme à devenir vice-présidente des Etats-Unis

 

LE JOURNAL DU JOUR

 

 

L’ÉDITO

        

Donald Trump: l’entêtement sans issue d’un mauvais perdant    Philippe De Boeck

LE KROLL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La foule afflue vers la Maison-Blanche après la victoire de Joe Biden

 

Alors que la situation relative au coronavirus est très mauvaise aux Etats-Unis, des milliers de personnes se rassemblent autour de la Maison Blanche pour fêter l’élection du nouveau président.

 

 

             

Présidentielle américaine: Donald Trump refuse de reconnaître sa défaite

 

Etc. etc. etc.

Et c’est ainsi depuis des jours, et ce sera ainsi pendant des jours encore. Pour celui-là et pour des milliers d’autres.

On le sait qu’ils bouffent tous aux deux rateliers, mais il est à remarquer qu’avec un ensemble parfait tous ont choisi, cette fois, de soutenir un de leurs deux bailleurs de fonds contre l’autre.

Comme la corde soutient le pendu ? À suivre…

 

 

 

 

 

 

 

Banana Follies : la mère de toutes les révolutions de couleur

 

Pepe Escobar – Asia Times – 7.11.2020

via Strategika 51 

 

 

                       

 

 

Dans ce jeu, le Président en exercice, Bouffon, était peint en rouge ; son adversaire, Cadavre, en bleu.

Un exercice de jeu de la révolution de couleur parfaite et indigène, nom de code Bleu, a été divulgué par un important groupe de réflexion établi dans les terres impériales qui a inventé le concept de révolution de couleur.

Toutes les informations divulguées ici sur le jeu Bleu n’ont pas été déclassifiées. Cela pourrait bien susciter une réaction sévère de la part de l’État Profond, même si un scénario similaire a été réalisé par un groupe appelé Transition Integrity Project.

Les deux scénarios devraient être considérés comme des programmes prédictifs – l’État Profond préparant le grand public, à l’avance, à la façon dont les choses vont se dérouler.

 

Les règles standard de la révolution de couleur commencent généralement dans la capitale de l’État-nation X, au cours d’un cycle électoral, avec des « rebelles » luttant pour la liberté et bénéficiant du soutien total des médias nationaux et internationaux.

Bleu concerne une élection présidentielle chez l’Hégémon. Dans le jeu exercice, le Président sortant, dont le nom de code est Bouffon, a été peint en rouge. Le challenger, dont le nom de code est Cadavre, a été peint en bleu.

Bleu – l’exercice – est monté d’un cran car, par rapport à ses prédécesseurs, le point de départ n’était pas une simple insurrection, mais une pandémie. Pas n’importe quelle pandémie, mais une rude pandémie mondiale très grave, avec un taux de mortalité explosif de moins de 1%.

Par une heureuse coïncidence, la pandémie mortelle a permis aux opérateurs bleus de promouvoir les bulletins de vote par correspondance comme la procédure de vote la plus sûre permettant la distance sociale.

Cela a renvoyé à une série de sondages prédisant une victoire presque inévitable du Bleu aux élections, et même à une « vague bleue ».

Le principe est simple : faire chuter l’économie et décrédibiliser un Président en exercice dont la mission déclarée est de stimuler une économie en plein essor. En parallèle, il faut convaincre l’opinion publique que le fait de se rendre aux urnes constitue un risque pour la santé.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/12424-2/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une guerre civile hybride durable aux États-Unis

 

Strategika 51 – 8.11.2020

 

 

 

 

Le grand cirque électoral US cachait à peine une variante de révolution colorée en tant qu’instrument de guerre hybride que l’État profond utilisait contre des régimes adverses ou classés hostiles à l’étranger. Cette fois-ci et par une certaine ironie du sort, elle a été appliquée à l’intérieur des États-Unis d’Amérique pour se débarrasser au plus vite d’un Donald Trump jugé fort encombrant. Comme lors des révolutions de couleur survenues dans des pays d’Europe de l’Est ou dans le monde Arabe, ce sont les médias qui annoncent « la démission », « la fuite » ou « la chute » du Chef d’État ciblé.

 

Pour Trump, la propagande à plein régime a passé sous silence une fraude électorale massive durant laquelle des millions de personnes décédées et des migrants sans papier ont voté par correspondance (par voie postale). C’est du déjà vu pour les médias MSM aussi bien US que ceux des pays vassaux des États-Unis comme l’Allemagne ou la France. D’ailleurs les Chefs d’Etat de ces pays se sont précipités tels des demeurés à féliciter le gérontocrate désigné par le système US via son appareil de propagande.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/une-guerre-civile-hybride-durable-aux-etats-unis/

 

 

 

 

 

 

Et pendant ce temps-là :

 

La Chine lance le premier satellite pour l’essai de la technologie 6G dans l’espace

 

Strategika 51 – 7.11.2020

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 8 novembre 2020

 

 

 

Deux Saker d’un coup !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux « SAKER » d’un coup !

 

On s’était juré « Plus rien avant l’onze novembre ! » et on  a failli se tenir parole, mais il se trouve que le Saker, les Gilets Jaunes et M. Luc Ferry nous ont fait changer d’avis.

 

 

 

 

 

Quand l’empire anglo-sioniste s’est-il effondré ? 

 

The Saker – Le Saker francophone – 26.10.2020

Source The Saker Blog

 

 

 

 

 

Je me souviens qu’un soir de l’année 1991, j’étais assis avec quelques amis à la cafétéria du SAIS et que je discutais de l’avenir des États-Unis avec quelques étudiants très intelligents, dont un colonel de l’armée pakistanaise, un capitaine américain ayant servi sur des porte-avions et un diplomate espagnol : nous étions tous d’accord pour dire que « le système » était parfait, pour ainsi dire, et que les États-Unis ne s’effondreraient que si un fort choc extérieur le frappait de plein fouet. Nous étions tous d’accord sur le fait que la combinaison de la meilleure machine de propagande de l’histoire, de la stupidité résultant de nombreuses heures quotidiennes passées à regarder l’Idiot Tube et, par-dessus tout, d’un appareil de répression très efficace, avait donné naissance à une dictature quasi parfaite : celle qui ne donne que l’illusion d’une démocratie et d’un pouvoir populaire.

 

Des années plus tard, en 2017, j’ai lu le brillant livre de J.M. Greer « Twilight’s Last Gleaming » que j’ai ensuite passé en revue ici. Je dirais que ce livre est l’un des meilleurs essais sur le thème d’un futur effondrement des États-Unis, même s’il s’agit d’un livre de fiction (très bien écrit) car il illustre brillamment le type d’état d’esprit qui peut mettre une supposée superpuissance dans une très mauvaise situation.

Pour moi, tout cela était parfaitement logique, mais seulement parce que mes amis de la SAIS et moi-même n’avions jamais envisagé la possibilité que la Nomenklatura américaine commettrait un suicide au niveau national et, ce faisant, mette l’Empire anglo-sioniste à bas.

Pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé.

Alors quand tout cela a-t-il commencé ?

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Source : https://lesakerfrancophone.fr/quand-lempire-anglo-sioniste-sest-il-effondre

 

 

 

 

 

Qui profite de la situation chaotique en France ?

 

The Saker – Le Saker francophone – 29.10.2020

Source The Saker

 

 

 

 

 

Je ne prendrai même pas la peine de tout répéter ici, ceux qui s’intéressent à mon point de vue sur tout ce canard autour de Charlie Hebdo peuvent lire mon article «Je ne suis PAS Charlie» 

 

Non, ce que je veux faire, c’est poser une question simple : pensez-vous que les dirigeants français sont simplement stupides, suicidaires ou naïfs ? Je soutiens qu’ils ne sont ni stupides, ni suicidaires, ni naïfs. En fait, ils utilisent une technique bien rodée qui tourne avec certaines variantes autour de ceci :

    • Infiltrez un gang pseudo-islamique de coupeurs de gorges – littéralement !
    • Gardez-les sous surveillance étroite, apparemment à des fins de lutte contre le terrorisme
    • Au sein du groupe, essayez de promouvoir vos informateurs confidentiels
    • Demandez à vos analystes du renseignement de travailler sur la question suivante : « Comment pourrions-nous pousser ces crétins à commettre un acte terroriste sanglant ? »
    • Une fois le plan décidé, exécutez-le simplement, par exemple en organisant la publication de caricatures scandaleusement offensantes
    • Une fois que les coupeurs de gorge ont frappé, blâmez l’islam et doublez la mise
    • D’ici là, vous avez exaspéré la plupart de l’immense monde musulman et vous pouvez être assuré que le processus est lancé et se poursuivra tout seul. Vous pouvez maintenant vous détendre et prendre votre digestif
    • Demandez à votre machine de propagande de déclarer que l’islam est incompatible avec la civilisation occidentale – peu importe sa signification en 2020, entre Descartes et Conchita Wurst je suppose …
    • Versez des larmes de crocodile lorsque les coupe-gorges assassinent un badaud chrétien complètement innocent
    • Et annoncez une nouvelle croisade contre «l’islamisme», encore un terme vague et, franchement, dénué de sens ! Et réprimez les véritables communautés et idées musulmanes tout en continuant à armer, former, financer et diriger affectueusement les «bons terroristes» qui sont maintenant devenus vos propres troupes de coupeurs de gorges.

 

Cui bono ?

Quiconque sait quelque chose des réalités politiques en France saura immédiatement dans l’intérêt de qui tout cela est manigancé et qui est derrière cela.

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Source : https://lesakerfrancophone.fr/qui-profite-de-la-situation-chaotique-en-france

 

 

 

 

 

 

 

La confirmation était-elle bien nécessaire ?

 

 

Autriche : l’attentat terroriste sous faux drapeaux de Vienne commandité par les services spéciaux français

Strategika 51 – 3.11.2020

 

 

https://strategika51.org/2020/11/03/autriche-lattentat-terroriste-sous-faux-drapeaux-de-vienne-commandite-par-les-services-speciaux-francais/

 

 

 

 

 

 

 

On n’est pas des admirateurs inconditionnels de M. Luc Ferry, philosophe et ex-ministre. Là, il remonte dans notre estime.

 

 

Caricatures de Mahomet :

« On n’est pas obligé, pour enseigner la liberté d’expression, de montrer des caricatures qui sont à la limite de la pornographie », estime Luc Ferry

 

Gilles Munier – France-Irak Actualités – 2.11.2020

 

 

Luc Ferry, ancien ministre de l’Education, de la Jeunesse et de la Recherche

 

 

En ce lundi de rentrée après les vacances de la Toussaint, un hommage spécial est rendu dans les établissements scolaires à Samuel Paty, ce professeur d’histoire-géographie de 47 ans, sauvagement assassiné en pleine rue le 16 octobre dernier par un jeune radicalisé d’origine tchétchène pour avoir montré les caricatures de Mahomet à ses élèves lors d’un cours sur la liberté d’expression, à Conflans-Saint-Honorine, dans les Yvelines.

 

« On n’est pas obligé, pour enseigner la liberté d’expression, de montrer des caricatures qui sont à la limite de la pornographie », réagit sur franceinfo Luc Ferry, ancien ministre de l’Éducation. « Si je devais aujourd’hui, dans une classe de terminale, faire un cours sur les caricatures et la liberté d’expression, je partirais éventuellement de Louis Philippe, [le dernier roi de France], transformé en poire », déclare l’ancien professeur de philosophie. Ça a fait scandale à l’époque. »

 

Des caricatures « quand même ignobles », selon Luc Ferry

 

« Je montrerais les caricatures, éventuellement celles de Charlie, mais qui mettent en scène aussi bien Jésus, Moïse et Mahomet. Mais on n’est pas obligé de montrer pour autant des caricatures qui sont à la limite de la pornographie et qui sont quand même ignobles », insiste-t-il. « On n’est pas obligé d’insulter les gens pour défendre la liberté d’expression. »

 

Source : http://www.france-irak-actualite.com/2020/11/caricatures-de-mahomet-on-n-est-pas-oblige-pour-enseigner-la-liberte-d-expression-de-montrer-des-caricatures-qui-sont-a-la-limite-de

Source d’origine  : France Info

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Belgique : un enseignant suspendu pour avoir montré une caricature de Mahomet

 

Un enseignant a été suspendu cette semaine à Bruxelles pour avoir montré à ses élèves de 10-11 ans une caricature publiée par Charlie Hebdo.

 

LCI – 30.10.2020

 

 

 

 

Suspendu pour avoir montré à ses élèves une caricature issue de Charlie Hebdo. C’est la sanction dont a écopé un enseignant cette semaine à Bruxelles, en raison du caractère « obscène » du dessins selon sa direction. La caricature montrait le prophète Mahomet, nu à quatre pattes.

L’information, révélée par le quotidien La Libre Belgique, a été confirmée à l’AFP par le porte-parole de la bourgmestre de Molenbeek, la commune bruxelloise où se sont produits les faits.

 

« Si ça n’avait pas été le prophète on aurait pris exactement la même décision »

 

Lire la suite…

Source : https://www.lci.fr/amp/international/belgique-un-enseignant-suspendu-pour-avoir-montre-une-caricature-de-mahomet-a-ses-eleves-2168648.html

 

 

En somme, ce ministre et ces enseignants sont du même avis que Norman Finkelstein … et nous, et le Saker, et… et…

 

 

 

 

 

 

 

Et pour finir, ici aussi « last mais pas least » :

 

 

COMMUNIQUÉ DES GILETS JAUNES DE CANNES

 

3.11.2020

 

 

 

Amis de France, Françaises, Français. Ce système républicain, ce gouvernement républicain, cette meute républicaine bancaire et de francs-maçons, cette médiocre élite corrompue politique et sanitaire nous veut du bien.

Oui, du bien, car pour cette caste inhumaine cela se traduit pour nous Humains EN MAL !

Ils mentent, ils volent, ils violent, ils tuent la France mais tout cela enrobé dans leur torchon de démocratie de Pinocchio. Valeurs de la république, démocratie, justice voilà ce que ces lâches éructent sur les médias des milliardaires, proxénètes du journalisme !

Nos votes sont le passeport de notre mise en esclavage et la hyène du haut, de l’ombre, utilise cet artifice pour mieux nous asservir et nous diviser.

Toi Véran le médecin de caniveau, toi Buzyn la perverse, toi Attali le marchand de la vie, toi Rothschild le marchand du temple et notre petite soumise de Macron alias le père de la Nation bancaire. Clique de vautours et d’assassins votre sort est désormais fixé. Le compte à rebours est enclenché ! Les patriotes se lèvent aux quatre coins du globe.

Votre combat contre la vie, contre la lumière, contre nos enfants, contre notre droit de vivre libre, contre nos anciens, contre notre France, tout simplement contre le Bien est dans sa phase de mort terminale.

Attali la France ne sera jamais un hôtel car d’ici comme tu le fus d’Algérie tu seras chassé et puni !

La France pays des Lumières, Fille aînée de Jésus, Peuple noble à l’intelligence universelle, jamais non JAMAIS nous ne laisserons une tribu de psychopathes arrogants la détruire. Nous mourrons debout pour nos anciens, pour nos enfants, pour notre dignité car jamais nous ne vivrons à genoux face à votre idéologie de mafieux dégénérés !

Peuple de France, ces minables, traîtres à la Nation, à la vie, à la Justice seront éradiqués à jamais pour qu’ENFIN l’Amour, la Paix, l’Unité naissent pour grandir dans le BIEN COMMUN universel !

Africains, Arabes, Maghrébins, Gaulois, Asiatiques nous ne sommes qu’un, nous ne sommes que l’Humanité et ensemble nous leur répondons NON A LA DIVISION.

A chaque coin de la terre ils volent, violent, tuent, escroquent. A chaque coin de la Terre nous partagerons telle est notre réponse définitive !

Banque de malheur, politiciens corrompus, médecins corrompus, l’humanité se passera de vous et avant tout nos enfants qui subissent la pédocriminalité organisée partout dans le monde. Pédophiles, tremblez, votre heure approche au galop !

Un grand vent de Vérité et de Liberté s’annonce sur notre planète. La vie et la nature reprendrons leurs droits, tous leurs droits. Le Peuple est Souverain et rien n’arrêtera sa victoire, RIEN !

Françaises, Français, amis de la Terre, amis de toutes confessions nos prières se réalisent, la Lumière a gagné.

 

VIVENT LES PEUPLES DU MONDE !

VIVE LA FRANCE LIBRE !

 

 

 

 

 

 

 

Et parce qu’on vient d se faire remonter les bretelles par Robert Bibeau, lisez aussi Les 7 du Québec (ceci et le reste) :

 

Musulmans, victimes expiatoires de l’ensauvagement de l’économie capitaliste française

 

Khider Mesloub   2.11.2020

 

 

 

https://les7duquebec.net/archives/259485

 

 

On vous avait déjà mis sous les lunettes François-Marie Bourget, Norman Filkenstein et Gilad Atzmon. Ceux-ci sont les autres et sans doute pas les seuls. Il y a de sérieux combattants à gauche (la vraie, pas la zone occupée).

 

 

 

 

 

 

 

Quant à l’élection U.S. que nous ne suivrons que de loin…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 4 novembre 2020

 

 

 

Parce qu’il nous est parvenu en retard (merci à Palestine Solidarité) mais qu’il est important, nous l’ajoutons ici en retard :

 

 

Charlie remis en selle

 

Israel Adam Shamir – Entre la plume… – 2.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

 

Le président français a marché sur un râteau pour la deuxième fois, et il a dûment pris le manche dans la tronche. Les produits français ont disparu des rayons des magasins arabes et turcs ; il y a des têtes coupées en pleine pandémie ; beaucoup d’animosité, de colère, un parfum de  guerre civile. Vous l’avez voulu, c’est vous qui l’aurez voulu, Emmanuel Macron ! Nous avions eu les évènements de 2015, pourquoi avez-vous appuyé sur « Replay » ? Tout le monde peut poser le pied sur un râteau une fois, mais répéter cette erreur ? Ce n’est pas un signe d’intelligence, à moins que ce qui s’en est suivi ne soit exactement ce qu’il voulait.

 

Macron est certainement un homme intelligent. Il avait quelques bonnes raisons pratiques de provoquer les musulmans français. Ce n’est pas un idéologue, il voulait voler l’électorat de droite à Mme Le Pen. Ces électeurs sont connus pour détester les étrangers, et en premier lieu l’importante population musulmane de la république. Les musulmans ne correspondent pas à l’image que les  Français se font d’eux-mêmes, comme autant de silhouettes minces avec béret, gabardine et baguette sous le bras. Il n’était pas difficile de mettre cette population musulmane en colère, puis de brandir la poigne de fer d’un Macron pour la remettre au pas, et voilà ! les électeurs nationalistes sont dans la poche du président français. 

Charlie Hebdo avait remis le couvert. Ce petit journal satirique de faible teneur artistique publie généralement des dessins de mauvais goût et dignes de décorer les murs des toilettes publiques. Il ne survivrait pas s’il n’y avait en arrière-plan des donateurs et des aides gouvernementales. Il est si minable qu’on ne le remarquerait même pas, si les médias grand public ne colportaient pas son message jusque dans la dernière banlieue d’immigrants. Aujourd’hui, ils ont republié de très vilaines caricatures du prophète Mahomet. Les immigrants et leurs enfants n’ont pas apprécié cette insulte préméditée à leur foi. Essayez de rire de l’Holocauste en présence d’un juif et vous comprendrez. Même les gens pacifiques et placides n’aiment pas qu’on les offense. Cependant, la publication n’avait eu que peu d’écho, contrairement au soutien public et bien relayé que lui a apporté  Macron. Il a positivement célébré cette publication, en ajoutant quelques phrases bien choisies et offensantes contre l’Islam. C’est lui qui a déclenché les hostilités. 

Tartufe serait fier de ce Macron qui a déclaré que Charlie Hebdo était le véritable porteur de l’esprit républicain français et de son amour pour la liberté d’expression débridée. Ce serait déjà assez saumâtre si c’était vrai, mais ce n’est pas le cas.

 

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/charlie-remis-en-selle/

 

 

 

 

 

 

Mis à jour le 5 novembre 2020

 

 

 

 

Caricatures, Censure, Confinement, Couvre-feu, Covid, et autres microbes en C

 

 

 

 

 

 

Abdelghani Dahdouh – Coronavirus et puissance militaire

 

 

Caricatures,

Censure,

Confinement,

Couvre-feu,

Covid,

et autres microbes en C

 

 

 

On y est, non ?

 

 

 

 

Et en plus, c’est Halloween !

 

 

 

 

 

 

aricatures

 

 

Terrorisme de Conflans

 

Et si l’on publiait des caricatures blasphémant la Shoah ?

 

do kalachnikov – mai68.org – 17.10.2020

 

 

 

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

 

On parle de liberté d’expression. On nous dit que publier des caricatures de Mahomet n’est absolument pas raciste. Mais, Charlie Hebdo a publié combien de caricatures blasphémant la Shoah ?

 

Cet « attentat terroriste » tombe pile après l’ignoble couvre-feu décrété par le dictateur Macron. On parlera de l’attentat et le couvre-feu passera à l’as ! C’est cool, pas vrai ?

Comment j’ai pas le droit de faire ce genre de sous-entendu ? Et la liberté d’expression alors ?

Article complet : http://mai68.org/spip2/spip.php?article7083

Bien à vous,
do
http://mai68.org/spip2

 

 

 

 

 

Pour le cas où quelqu’un chercherait des crosses à do pour notre image…

 

Norman Finkelstein : les négationnistes doivent jouir de la liberté d’expression

 

 

 

  

POURQUOI NOUS DEVRIONS NOUS RÉJOUIR DE L’EXISTENCE DE NÉGATIONNISTES DE L’HOLOCAUSTE PLUTÔT QUE LES CENSURER

Une réponse au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, et au PDG de Twitter, Jack Dorsey.

 

Norman G. Finkelstein – 2110.2020

Source : normanfinkelstein.com

Traduction : lecridespeuples.fr

 

Facebook et Twitter ont annoncé qu’ils interdiraient la négation de l’Holocauste sur leurs plateformes. Dans un livre à paraître, intitulé La Culture de la Censure, la liberté académique et moi, Norman Finkelstein soutient que la négation de l’Holocauste devrait être enseignée à l’université, et de préférence par un négationniste de l’Holocauste. Des considérations de haut vol aux antipodes de l’hystérie islamophobe et pornographe actuelle, qui prétend faire du pays de la loi Gayssot, le dernier de la classe, un modèle en matière de liberté d’expression. Voici un extrait de son manuscrit.

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Source : https://lecridespeuples.fr/2020/10/22/norman-finkelstein-les-negationnistes-ne-doivent-pas-etre-prives-de-liberte-dexpression/

 

Et pendant que vous y serez (z’êtes pas confinés ?) lisez tout, car, croyez-nous, tout est à lire.

 

 

https://lecridespeuples.fr/

 

 

 

 

 

 

 

Le diabolique plan du Mossad 

 

Pars Today – 30.10.2020

 

 

 

 

 

En caricaturant Emmanuel Macron en diable, le journaliste du journal iranien Javan n’aurait pas uniquement cherché à exprimer son indignation de musulman outragé par tout ce qui se passe en France. Il aurait voulu sans aucun doute faire passer un message a une société française soumise à des décennies de propagande pro-sioniste, société qui, à l’heure qu’il est, est totalement terrorisée.

 

Personne n’a cherché a décoder l’attaque de Nice, une attaque commise contre une église. Qu’à Nice une église soit prise pour cible d’un terroriste supposément armé de couteau, que l’intéressé ôte la vie à deux fidèles voilà un acte totalement inouï. Ville conservatrice Nice a été en 2016 le théâtre d’une attaque au camion fou sur sa promenade des Anglais, mais c’est la première fois qu’un lieu religieux est offensé. Enfin presque. Puisqu’en 2019 et au plus fort du mouvement des Gilets jaunes, Notre Dame de Paris est partie en fumée dans des circonstances bien étranges et faisant dire aux experts qu’aucun hasard n’aurait pu provoquer un tel incendie. On n’ avait pas encore vu le terroriste s’en prendre ainsi à la foi chrétienne. Aussi quand un ex-agent du Mossad en parle, il convient de s’y intéresser.

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Source : https://parstoday.com/fr/news/world-i90812-le_diabolique_plan_du_mossad

 

 

 

 

 

Après l’ayatollah Ali Khamenei, le président Ramzan Kadyrov de Tchétchénie, le président Arif Alvi et le Premier ministre Imre Khan du Pakistan…

 

Nasrallah rejette le discours français sur l’islam

 

Pars Today – 30.10.2020

 

 

 

 

Le secrétaire général du Hezbollah libanais Seyyed Hassan Nasrallah a prononcé un discours, ce vendredi 30 octobre, à l’occasion de l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammad (PSL) et de son petit-fils, Imam Sadeq (béni soit-il).

 

« Les musulmans ne peuvent tolérer aucune offense dirigée contre le grand messager de Dieu et considèrent la défense de la dignité de leur prophète contre tout abus comme la plus haute priorité », a souligné le secrétaire général du Hezbollah libanais.

En allusion aux propos anti-islamiques du président français, le secrétaire général du Hezbollah libanais a déclaré que les dirigeants politiques français sont à l’origine des récents problèmes survenus dans ce pays, sans manquer de dire qu’il cherchait à contribuer au règlement de ce problème, pas à l’aggraver. Le secrétaire général du Hezbollah libanais a condamné l’attaque de jeudi matin dans la ville de Nice, affirmant que l’islam et les groupes islamiques condamnaient cette attaque ainsi que toute action similaire dans le passé et à l’avenir, et que de telles attaques sont rejetées par l’islam. Il a déclaré que les autorités françaises n’avaient pas le droit de tenir la religion et les sympathisants d’une religion, pour responsables de tels actes, et que de telles actions étaient répréhensibles, immorales et illégales. Nasrallah a aussi et surtout affirmé que les responsables français n’avaient pas le droit d’utiliser des termes comme « terrorisme islamiste ».

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Source : https://parstoday.com/fr/news/middle_east-i90810-nasrallah_rejette_le_discours_fran%C3%A7ais_sur_l’islam

 

 

 

 

 

 

Et parce que ceux qui prétendent lutter contre le racisme sont les mêmes que ceux qui le pratiquent à tours de bras en combattant « l’islamisme » comme Der Stürmer combattait « die Juden »…

 

…nous nous permettons de recommander à nos jeunes lecteurs qui n’en ont peut-être jamais entendu parler, un des tout premiers et peut-être le meilleur des films jamais tournés sur le racisme :

 

 

 

Joseph L. MANCKIEWICZ

NO WAY OUT  (Sans issue)

Génialement traduit en français : La porte s’ouvre.

20th Century Fox – 1950

Linda Darnell, Stephen McNally, Sidney Poitier, Mildred Joanne Smith, Richard Widmark

DVD – 9 €

 

… alors que commençaient les cinq ans du MacCarthysme, et qui faillit néanmoins recevoir l’Oscar du meilleur scenario original en 1951.

En grand artiste, Manckiewicz a essayé de comprendre, pas de juger, si bien qu’aucun de ses personnages n’est « facile à haïr », pas même le raciste en chef – Richard Widmark dans un de ses plus grands rôles –.

 

 

 

 

 

 

Plus ça change et plus c’est la même chose…

 

 

 

 

 

 

 

 

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Un article sur Joe et Hunter Biden vient d’être censuré par The Intercept

 

 

Il était grand temps que Glenn Greenwald démissionne de The Intercept

 

 

 

Moon of Alabama – 30 .10.2020

traduit par Le Saker francophone – 1.11.2020

 

 

Hier, Glenn Greenwald a démissionné du site d’information The Intercept.

Les éditeurs de ce site, dont Greenwald était un cofondateur, ont tenté de censurer un article récent qu’il avait écrit sur la corruption de Joe Biden et sur l’effort concerté des médias pour supprimer cette histoire. Le contrat de Greenwald avec The Intercept lui garantissait l’indépendance éditoriale. Avec sa volonté de censure, The Intercept a rompu ce contrat.

 

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Source : https://lesakerfrancophone.fr/il-etait-grand-temps-que-glenn-greenwald-demissionne-de-the-intercept

 

 

 

 

 

 

Ma démission de The Intercept

 

Glenn Greenwald – L.G.S. – 31.10.2020

 

 

 

 

Les mêmes tendances à la répression, à la censure et à l’homogénéité idéologique qui frappent la presse nationale en général, ont englouti l’organe de presse que j’ai cofondé, avec pour point culminant la censure de mes propres articles.

 

Aujourd’hui, j’ai fait part de mon intention de démissionner de The Intercept, le média que j’ai cofondé en 2013 avec Jeremy Scahill et Laura Poitras, ainsi que de sa société mère First Look Media.

La dernière cause, déterminante, est que les rédacteurs de The Intercept, en violation de mon droit contractuel à la liberté éditoriale, ont censuré un article que j’ai écrit cette semaine, refusant de le publier à moins que je ne supprime toutes les sections critiques à l’égard du candidat démocrate à la présidence Joe Biden, le candidat soutenu avec véhémence par tous les rédacteurs de The Intercept basés à New-York qui participent à cet effort de censure.

L’article censuré, basé sur des courriels et des témoignages récemment révélés, a soulevé des questions critiques sur la conduite de Biden. Non contents de simplement empêcher la publication de cet article dans le média que j’ai cofondé, ces rédacteurs d’Intercept ont également exigé que je m’abstienne d’exercer un droit contractuel distinct de publier cet article dans toute autre publication.

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Source : https://www.legrandsoir.info/ma-demission-de-the-intercept.html

 

 

 

 

 

 

En prime

 

Glenn Greenwald interviewé par Tucker Carlson pour Fox News

 

(Audio et sous-titres en anglais)

 

 

 

 

 

 

 

onfinement(s)

 

 

Et parce qu’on ne parle plus de Meng Wanzhou, depuis deux ans qu’elle est au trou, mais nous on ne voit pas pourquoi

Oui, c’est en anglais. Mieux que rien…

 

Situons un tout petit peu pour ceux qui ne le lisent pas du tout :  À l’occasion du deuxième anniversaire de l’arrestation au Canada, pour le compte des USA, de Meng Wanzhou (PDG de Huawei), qui croupit toujours dans sa geôle canadienne, Jeff J. Brown (The Greanville Post) revient sur cette affaire et, du même coup, sur celle de Frédéric Pierucci (ex-cadre supérieur d’Alstom), dont l’arrestation et la détention identiques ont coûté à la France 772 millions de $ et permis le « rachat », par General Electric, d’un des joyaux de l’industrie française, à un « prix » défiant toute concurrence.

D’où il ressort que l’industrie de pointe des USA – la seule qui reste ? – semble bien être le kidnapping de cadres supérieurs de grandes entreprises étrangères, aux fins de juteux rackets.

Alstom, Huawei… deux cas parmi bien d’autres

 

 

Exclusive : Huawei Sting Operation Exposed

 

Jeff J. BrownCovert Action Magazine – 30.10.2020

 

 

Pictured above: Meng Wanzhou and Huawei, two huge bull’s-eyes in the U.S.’s ever-increasing campaign to decouple China, especially its high-tech juggernaut, from global trade and commerce. Left is a CCTV video capture of Meng’s apprehension at Vancouver Airport on December 1, 2018, and right is her employer, Huawei, the world’s biggest, most successful ICT company and 5G behemoth sans pareil. Based on this exposé, that is Meng in front on the left, followed by the Royal Canadian Mounted Police (RCMP) Mandarin interpreter and in back, RCMP Constable Dawn But, who filled out Meng’s arrest report [Source: scmp.com]

 

 

December 1, 2020 is the second anniversary of Huawei CFO Meng Wanzhou’s arrest—or kidnapping, depending on your point of view—in Vancouver, Canada.

 

If you work for the U.S.’s Departments of Justice, Treasury and State, with the CIA/NSA cheering from the galleries, it is just a simple extradition request to “carry out the law.”

If, however, you are company executive Frédéric Pierucci, Meng was kidnapped by the U.S., just as he was in 2013, whereupon he was imprisoned for two years on similar—he would say trumped-up—charges. His seizure was used to extort France’s flagship Alstom Corporation to pay $772 million in fines (ransom according to Pierucci) and sell off its most valuable portfolios to General Electric (GE), its U.S. competitor—all to gain his release. Pierucci survived his maximum-security incarceration and wrote a book about it, The American Trap: My battle to expose America’s secret economic war against the rest of the world.

 

 

Frédéric Pierucci and his book,The American Trap : My battle to expose America’s secret economic war against the rest of the world. [Source: https://midtifleisen.wordpress.com/2019/09/04/the-us-economic-war-on-france/]

 

 

The booty collected by the U.S. Treasury Department was the largest fine ever assessed, and enabled GE to seize key assets from and weaken one of its biggest global competitors. In Meng’s case, former assistant U.S. attorney in New York, Nick Akerman, who was a Watergate prosecutor, and Joseph Campbell, director of Navigant Consulting and an FBI agent, believe the U.S.’s goal is to get her to sing about Huawei’s internal operations and to name names—in other words, extort information out of her.

We can also add that her seizure is just one more in a long list of anti-China “maximum pressure” measures that the Trump administration has been ratcheting up since 2017.

Pierucci and Meng are two headline catchers, but they are not alone. Eight foreign executives had already been arrested by 2007, using the U.S.’s sweeping antitrust laws. There are now many others, including executives from Abraaj Group, Martinair Cargo, and Parker ITR Srl.

Read more…

Source : https://covertactionmagazine.com/2020/10/30/exclusive-huawei-sting-operation-exposed/

 

 

 

 

 

 

Confinés ? Lisez !

 

 

Frédéric PIERUCCI et Matthieu ARON

Le piège américain : l’otage de la plus grande entreprise de déstabilisation économique raconte.

JC Lattès (16 janvier 2019)

480 pages

Broché – 22 €

 

Et quand vous aurez fini, il y a :

 

 

Jean-Michel QUATREPOINT

Alstom, scandale d’État

Fayard (9 septembre 2015

216 pages

Broché – 17 €

 

 

 

Ali LAÏDI

Le droit, nouvelle arme de guerre économique

Actes-Sud (7 octobre 2020)

335 pages

Poche – 8,80 €

 

 

Vincent DESPORTES

Le piège américain

Economica (22 mars 2010)

320 pages

Broché – 19 €

 

Vous pouvez aussi regarder/écouter :

 

Alstom : la France vendue à la découpe

Vidéo – 2:14:49’

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Soyons justes… n’y a pas que les Zuniens

 

 

Abdelghani Dahdouh  – Françafrique

 

 

 

 

 

 

 

ouvre-feu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La Belgique est un des pays les plus touchés au monde par le fléau… dixeunt « les autorités » (et les merdias)…

 

Belgique, à la recherche de la seconde vague

 

Philippe Huysmans – Le vilain petit canard – 30.10.2020

 

 

 

 

Saurez-vous aider Médor à trouver la deuxième vague dans les méandres des données officielles mises à disposition par StatBel ? C’est le jeu que je me propose de vous offrir alors même que les zotorités (qui elles, l’ont bien vue, la deuxième vague) se préparent à nous incarcérer de nouveau à domicile.

 

Oui, parce qu’au-delà des déclarations toujours plus anxiogènes et d’une sérieuse épidémie de « cas » provoquée par une testôse[1] frénétique, vous admettrez que le seul indicateur valable d’une épidémie grave reste le nombre de personnes qu’elle tue chaque jour, et pour cela, quoi de mieux que d’utiliser les chiffres de mortalité « toutes causes confondues » et de comparer la période de la « deuxième vague » avec les autres années ?

Lire la suite…

Source : https://www.levilainpetitcanard.be/belgique-a-la-recherche-de-la-seconde-vague/

 

 

 

 

 

 

Zut, on en avait oublié un !

 

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Docteur Deep et Mister State 

 

Observatus Geopoliticus – Chroniques du Grand jeu – 2.11.2020

 

 

 

 

Faire de la recherche, et c’est le cas de votre serviteur qui y passe de longues heures chaque jour, est un pur moment de bonheur. On enquête, on trouve, on analyse ; parfois, tel un Sherlock Holmes de la chose géopolitique, on met en relation de petits faits apparemment étrangers l’un à l’autre pour en tirer la substantifique moelle venant confirmer ce que l’on sait déjà…

 

Avant d’y venir, rappelons ce que nous avons montré à plusieurs reprises sur ce blog. Auparavant d’un seul tenant, le Deep State américain a fini par se fractionner en différents courants se crêpant parfois sérieusement le chignon. C’est d’ailleurs ce que j’évoquais dans une récente interview :

Qui est George Soros ? Un Bernard Henri-Lévy milliardaire ?

Lire la suite…

Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2020/11/docteur-deep-et-mister-state.html

 

 

 

 

 

 

Et last mais pas du tout least !

 

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Corbyn et la tyrannie du politiquement correct

 

Gilad Atzmon – Unz Review – 30.10.2020

Traduction : Les Grosses Orchades

 

 

 

 

Le cinéaste libéral Michael Moore, qui en 2016 avait prédit la victoire électorale de Trump, apporte cette fois encore un bémol à la célébration prématurée de la victoire de Biden.

 

Hier, cinq jours tout juste avant l’élection, Moore a tiré la sonnette d’alarme, en affirmant avec force que les sondages qui donnent à Biden une confortable avance sur Trump, ne correspondent pas à la réalité.

Dans une récente interview télévisée, Moore a dit :

 

« Le vote en faveur de Trump est toujours sous-évalué par les instituts de sondage. Quand ils vont interroger les gens qui votent pour Trump, les gens qui votent pour Trump se méfient d’eux et se disent que c’est le Deep State qui vient les trouver pour essayer de savoir pour qui ils vont voter. »

 

Moore est catastrophé à l’idée que Trump puisse résider encore quatre ans à la même adresse, mais cela n’affecte pas l’acuité de son jugement. 

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/12334-2/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

P.S. : Robert Fisk et Sean Connery sont morts.

 

 

Mis en ligne le 2 novembre 2020

 

 

Grandissime article de Jacques-Marie Bourget

 

 

 

 

 

Le Vice-amiral Koulakov en Méditerranée

 

 

Grandissime article de Jacques-Marie Bourget

 

(Clair comme du Robespierre)

 

Tous les élèves du secondaire devraient l’apprendre par cœur pour ne pas vieillir idiots.

 

 

Ce sera là toute notre contribution pour ce soir à l’actualité bouillante et pas toujours désespérante, quoique coupante, confinante, tyrannique et cerveaulavante.

La suite… dès demain si possible, à ce même endroit. L.G.O.

 

 

 

 

Les tueurs et leurs maîtres assis sous les plafonds dorés de royaumes ou de républiques.

 

L’amour fou de la France et du djihad, sanglant boomerang.

 

Jacques-Marie Bourget – Le Grand Soir – 25.10.2020

 

 

 

 

 

 

C’est durant la Seconde guerre mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des nazis : instrumentaliser les communautés des États « musulmans » de l’URSS afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs, Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.

 

Ian Johnson, un journaliste américain récompensé par un Prix Pulitzer, a pioché dans des milliers de documents pour découvrir cette vérité scellée d’une croix gammée. Lumière d’histoire sombre qu’il a révélée dans un livre, « Une mosquée à Munich. Les nazis, la CIA et la montée des Frères musulmans en Occident », ouvrage publié chez JC Lattès. Dix années plus tard, une aussi bonne idée ne peut que séduire les Américains qui cajolent les Frères Musulmans comme des amis rares, et utiles. En juillet 1953, la photo est sur Internet, on peut voir une délégation des « Frères » au côté de Dwight Eisenhower, l’US président. Le document comporte même un bonus, la présence de Saïd, le fils de Hassan al-Banna le fondateur de la secte musulmane. Un personnage, agent de la CIA, qui est aussi le père de Tarik Ramadan.

La reprise, par Washington, de cette idée née sous le IIIe Reich, a deux objectifs, utiliser les musulmans pour abattre l’URSS et fournir des gouvernants convenables pour mettre à la tête des pays Arabes, puisque les Etats-Unis dont le sceau est « In god we trust », sont convaincus que ces « Frères » seront d’indéfectibles amis. En effet, tous les leaders laïques du Moyen et Proche Orient sont combattus, diffamés, encerclés, assassinés. En pays musulmans Washington combat les Lumières. Mossadegh, premier ministre iranien qui tente d’instaurer la démocratie et l’indépendance face aux empires coloniaux, en matière de pétrole par exemple, est renversé en août 1953 par un coup d’Etat américain qui réinstalle le Shah pour le remplacer en 1979 par le si religieux -et supposé bon partenaire- l’imam Khomeiny. Nasser, le président égyptien restera un cauchemar constant pour les anglo-américains, lui qui combattait les Frères Musulmans et refusait de voiler les femmes de son pays (1). Un à un, tous ceux qui refusent la gouvernance sous le parapluie d’Allah disparaissent. Kadhafi sera le dernier à être détrôné, faute pour l’Occident d’avoir avoir eu la peau de Bachar Al-Assad.

Si les assassinats politiques sont une première arme, la seconde est strictement militaire puisqu’elle mobilise, dans toute la Oumma, des hommes prêts au djihad contre les infidèles et les mécréants. L’offensive commence en Afghanistan, c’est-à-dire aux marches de l’URSS. Le plan américain utilise toutes les forces, tribus et milices, capables de mettre à bas le régime, qualifié de « communiste », qui gouverne à Kaboul. Washington va choisir et former les pires moudjahidines, fous du Prophète (affirment-ils) pour atteindre leur but. L’horreur est programmée dans ce qu’elle connait de pire : assassinat, torture, viol, famine organisée, déplacement de population. Oussama Ben Laden est déjà le chef des « croyants », un patron de guerre riche (il est très fortuné et a le soutien de son pays l’Arabie Saoudite). Pour Washington et la presse US, Oussama est un héros, un vaillant qui mérite la collection complète de la « Distinghished Service Cross ». Son groupe de « résistants » porte déjà un nom qui deviendra célèbre : « al Qaïda », « La Base ». Le rêve étatsunien va mettre dix ans à se réaliser, usée par cette guerre afghane l’URSS disparait en 1989 (2).

Les tanks-penseurs de Washington savent très bien que, même si l’œil de Moscou s’est fermé, de tels alliés islamistes sont trop utiles pour être « démobilisés ». L’Amérique feint de croire qu’elle a fait naître et entretenu des combattants de la démocratie, des « freedom fighters », selon Donald Reagan. L’URSS disparue, la première cible désignée aux djihadistes par l’impérialisme US, à l’islam radical au wahhabisme ou salafisme, c’est l’Algérie. Pour les enfants perdus de la Révolution algérienne, ceux qui se sont engagés dans la guerre afghane, sans qu’Alger ne les en empêche, c’est le moment du retour au pays. Ils y reviennent avec une consigne dans leurs valises : transformer l’Algérie Démocratique et Populaire en une République Islamique. Vont naitre alors le GIA, le Groupe Islamique Armé qui, avec ses 20 000 hommes, est une métastase de « al Qaïda », et d’autres groupes moins connus, tous barbares et défenseurs du rêve exporté de l’Amérique.

Analysée par les droits-de-l’hommistes français, cette guerre « islamique » en Algérie est décrite comme un leurre, un vaste règlement de comptes entre clans militaires. En réalité, sous cet épouvantable titre, celui du « Qui tue qui ? » -de Mitterrand l’ancien guillotineur de la Guerre d’Algérie, à ces intellectuels qui se commercialisent en humanistes exemplaires- la France rigole des crimes commis dans son ancienne colonie. « Le qui tue qui ? » autrement dit la guerre faite par le GIA à son peuple, devient dans la doxa une invention des généraux qui, par le moyen du chaos, entendent conserver le pouvoir. On ne parle pas de guerre, mais une nouvelle fois dans l’histoire de ce pays, « d’évènements ». Ne notez qu’aucun de ces thuriféraires du djihad algérien n’a aujourd’hui présenté d’excuses à un peuple qui fût martyrisé. Au contraire, ces droits-de-l’hommistes, toujours à l’abri dans les fourgons de l’OTAN, tentent de remettre le couvert avec leur soutien apporté au « Hirak ».

Oubliant que sur une révolte légitime peut se greffer une mécanique étrangère, comme celle qui a étouffé les « Printemps Arabes », tous sponsorisés par Washington pressé de mettre en place la gouvernance des Frères Musulmans. Sur le vrai visage de ces « Printemps » et de cet « Hirak », la lecture de l’enquête d’Ahmed Bensaada « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien » publiée aux éditions APIC à Alger, est indispensable. S’il en était besoin, les dernières dépêches, injonctions expédiées au Qatar par la Secrétaire d’Etat, Hillary Clinton qui viennent d’être révélées en font preuve. Tous ces télégrammes diplomatiques somment Doha d’aider les « Printemps » de tout le poids de son argent et celui de son puissant outil de propagande et de désinformation, « al Jazira ». En Algérie ce n’est pas la main de Moscou mais celle de Washington qui entend gouverner le dernier pays Arabe à se montrer rebelle aux délices d’un Etat Coca Cola.

Lire la suite…

Source : https://www.legrandsoir.info/l-amour-fou-de-la-france-et-du-djihad-sanglant-boomerang.html

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 octobre 2020

 

 

 

La suite ici demain (touchons du bois) :

 

 

 

 

 

 

C’est le genre de petite info…

 

Observatus Geopoliticus – Les chronqiues du Grand jeu – 24.10.2020

 

 

 

 

 

… passée totalement inaperçue mais qui vaut son pesant de cacahuètes.

La Méditerranée orientale est à la mode. Les analyses plus ou moins valables fleurissent, mélangeant allègrement le vrai et le moins vrai : impérialisme néo-ottoman, compétition des puissances régionales, réserves gazières (exagérées).

Un fait ô combien significatif n’a pourtant pas eu l’heur de faire les gros titres : la semaine dernière, la marine russe a escorté un tanker iranien à destination des côtes syriennes. Pour l’US Navy Institute, seul à rapporter l’information, le nouveau rôle de Moscou pourrait changer la dynamique de la région.

On se rappelle que :

 

Début juillet [2019, ndlr], les Britanniques avaient saisi un pétrolier iranien au large de Gibraltar, symbolisant à merveille l’une des principales problématiques du Grand jeu : la nécessaire intégration de l’Eurasie continentale face au harcèlement naval de la thalassocratie anglo-saxonne.

Réponse du berger perse à la bergère anglaise. Deux semaines après l’acte de piraterie de la perfide Albion et quelques minutes après que la justice de Gibraltar ait décidé de prolonger d’un mois l’immobilisation du bateau, les Gardiens de la révolution viennent d’arraisonner un tanker british près du détroit d’Ormuz. Et, à l’heure où nous parlons, il se peut même qu’un second pétrolier ait été stoppé et prenne la direction des côtes iraniennes.

 

Le prétexte officiel de Londres reposait sur les sanctions européennes prises à l’encontre de Damas. De fait, comme pour le Venezuela, chaque voyage d’un tanker iranien à destination de la Syrie comporte son lot d’incertitudes et de pressions en tout genre. Va-t-il arriver ? Sera-t-il intercepté ? Si oui, Téhéran va-t-il répondre dans le Golfe persique ? Il semble maintenant que l’ours ait décidé de taper du poing sur la table.

La semaine dernière, le Samah est entré en Méditerranée, via le Canal de Suez cette fois. Presque immédiatement, deux navires russes, dont un militaire, sont venus à sa rencontre. Les trois compères ont ensuite fait voile vers le terminal pétrolier syrien de Baniyas où le Samah a déchargé sa cargaison d’or noir très attendue.

 

 

Le Vice-Amiral Koulakov, qui  a escorté le Samah et son pétrole iranien jusqu’en Syrie

 

 

Ce petit périple escorté est un pied de nez direct à Washington et à son Caesar Act, que le Kremlin avait de toute façon annoncé vouloir contourner. Plus généralement, Moscou commence à se poser en patron de la sécurité en Méditerranée orientale, ambitionnant d’assurer « la libre circulation des bateaux civils ». La marine russe vient d’ailleurs de procéder à un exercice en ce sens, incluant même l’attaque simulée par un sous-marin.

Cette petite sauterie, médiatisée comme il convient et intervenant juste après la livraison du Samah, le message n’a échappé à personne : ne touchez plus aux pétroliers iraniens. La balle est dans le camp de l’empire…

Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2020/10/c-est-le-genre-de-petite-info.html

 

 

 

 

 

 

 

Vous reprendrez bien un peu de pandémie ?

 

 

Est-ce à cause du coronavirus que nos hôpitaux sont saturés en 2020 ?

 

(avec les vidéos !)

 

Do – mai 68.org  – 26.10.2020

 

 

 

 http://mai68.org/spip2/spip.php?article7127

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

En cette période, nos hôpitaux sont saturés depuis des années. Voici une vidéo qui le prouve. Elle est constituée de reportages passés à la télé les années précédentes. Il y a un reportage télé pour 2019, un pour 2018, un pour 2017, un pour 2016 et un pour 2015. Ces reportages sont précédés par une présentation qui explique comment l’hôpital a été sacrifié sur l’autel du dieu argent. Cela donne au total une vidéo de 6’05. Cette vidéo prouve donc ce n’est pas le coronavirus qui est coupable, mais le système capitaliste.

    Bien à vous,
    do

    http://mai68.org/spip2

 

 

 

Les urgences débordent ?!… Les soins de santé sont à l’agonie selon les professionnels

 

Robert Bibeau – Les 7 du Québec – 26.10.2020

 

 

 

 

Les urgences débordent ?!… les soins de santé sont à l’agonie selon les professionnels de la santé. Ne l’étaient-ils pas depuis nombre d’années ?

 

Le terrorisme d’État se poursuit. Les « héros » éphémères d’hier… les infirmières, et autres personnels de la santé sont devenus les responsables de l’effondrement des services de santé face à la « pandémie » patentée dans laquelle un certain nombre de gouvernements sont empêtrés ne sachant plus à quel saint se vouer.

Les gouvernements tétanisés se retournent soudain contre leurs alliés – les médecins, urgentologues, spécialistes, professionnels et autres personnels de la santé – à qui les larbins politiciens et leurs sous-fifres médiatiques servent maintenant le slogan démagogique du printemps: « La santé avant l’économie ! »  Entendez ici: « Il n’y a plus d’argent pour augmenter vos salaires et pour améliorer vos conditions de vie et de travail. Continuez à vous dévouer – à vous épuiser – à la tâche au service de la patrie » et nous organiserons à l’occasion « Le jour des applaudissements au personnel soignant »

Lire la suite…

Source : https://les7duquebec.net/archives/259317

 

 

 

 

 

 

 

Une petite merveille de wishful thinking

(Nous l’avons reçue de M. Jean-Michel Vernochet )

 

 

#renversementdugouvernementfrancais

<https://www.youtube.com/results?search_query=%23renversementdugouvernementfrancais>

 

 

Si cela pouvait être vrai… !!


Annonce du renversement du gouvernement français

 

 

 

 

N’y manque rien… que l’acquiescement et le concours des « masses »…

 

 

 

 

 

 

 

European Hypocrisy : Empty Words for Palestine, Deadly Weapons for Israel

 

Ramzy Baroud – I.C.H. – 25.10.2020

 

 

 

In theory, Europe and the United States stand on completely opposite sides when it comes to the Israeli occupation of Palestine. While the US government has fully embraced the tragic status quo created by 53 years of Israeli military occupation, the EU continues to advocate a negotiated settlement that is predicated on respect for international law.

In practice, however, despite the seeming rift between Washington and Brussels, the outcome is, essentially, the same. The US and Europe are Israel’s largest trade partners, weapon suppliers and political advocates.

Read more…

Source : http://www.informationclearinghouse.info/55770.htm

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/european-hypocrisy-empty-words-for-palestine-deadly-weapons-for-israel/

 

 

 

 

 

 

 

L’ennemi commun des peuples

 

L’Amérique bascule dans la folie russe

 

Israël Adam Shamir – Entre la plume… – 25.10.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

Les Russes sont stupéfaits par les vagues de folie qui déferlent sur les États-Unis. Les récentes émeutes, les pillages, la destruction de monuments commémoratifs, le match électoral féroce et les rumeurs de guerre civile imminente ne correspondent pas à l’image que les Russes se font des États-Unis. Un pays d’Amérique latine, disons la Colombie ou le Guatemala, peut-être, mais pas les États-Unis. Le pays qu’ils admiraient tant n’est plus, disent-ils. Et ils le regrettent au lieu de jubiler, comme on aurait pu s’y attendre.

 

Loin de ressentir de l’hostilité, pendant de nombreuses années (au moins depuis le début des années 60), les Russes ont considéré les États-Unis comme un modèle à suivre. Nikita Khrouchtchev, le puissant dirigeant (1953-1964) qui a abandonné Staline et retiré ses restes du mausolée de la Place Rouge, était fasciné par les États-Unis. Il importait du maïs américain et considérait cet aliment de base américain comme la clé de la prospérité soviétique. C’est à cette époque que la Russie a découvert le jazz. Les jeunes les plus brillants de la Russie se sont mis au diapason de la mode américaine, comme le rappelle la pièce de l’époque Stilyagi (The Hipsters) de 2008. Sous le « socialisme mature » de Brejnev, cette fascination pour les choses américaines est devenue plus sédentaire, mais elle est restée un élément important de la contre-culture et a permis la capitulation rapide de l’Union soviétique face aux États-Unis à l’époque de Gorbatchev. L’amour de l’Amérique est resté une marque de fabrique des élites russes, mais il a maintenant été supplanté par la perplexité. Ils ne peuvent pas comprendre pourquoi cette grande civilisation se suicide ; mais de fait, qui le pourrait ?

Lire la suite…

Source : https://plumenclume.org/blog/619-l-amerique-bascule-dans-la-folie-russe

 

Lire aussi :  https://plumenclume.org/blog

Où l’on trouve, entre autres, la version en français de l’article d’Israël Shamir « Wikipedia contre ma véritable biographie », que nous vous annoncions il y a peu.

 

 

 

 

 

 

Le grain de sel des Grosses Orchades

 

Nous trouvons qu’il y a cette fois à boire et à manger dans l’analyse d’Israël Shamir. Mais qui sommes-nous pour comprendre différemment les Russes alors qu’il est aux premières loges et que nous sommes si loin ?

Contentons-nous donc de rappeler en passant notre conviction politique d’observateurs de l’autre bout de l’Europe, car… nous prenons le XXe Congrès du PCUS (et le Rapport Khrouchtchev) non pas pour un lâchage de Staline, mais pour le Thermidor de l’URSS. Que Nikita en ait été le Tallien, le Barras ou le Barère… peu importe, mais le traître en chef et les vrais contre-révolutionnaires, ce sont bien lui et ses complices, que Gorbatchev n’a fait que suivre et imiter, comme le Directoire a nécessairement suivi Thermidor.

Ce que n’a jamais eu la Russie – sa très grande chance ! – c’est qu’elle n’a pas couvé de Napoléon ni, donc, d’aventure impérialiste, de transformation du peuple russe en peuple prédateur, comme ce fut malheureusement le sort des Français.

C’est pourquoi la Russie actuelle n’est pas non plus comparable aux États-Unis d’Amérique, dont l’impérialisme ne succède pas à une Révolution vaincue.

Il nous semble qu’on peut observer des ressemblances de comportement entre les Russes actuels – du moins certains d’entre eux – et les citoyens US, UE et quelques autres, mais ces comportements (mimétisme dû à l’hyper-dilatation de la communication ?) ne relèvent pas, comme aux USA de la putréfaction d’une société que rien n’a protégé de ses pseudo-élites, lesquelles ne font qu’aller au bout de leur logique.

Nous nous permettons à ce propos de rappeler les analyses si claires, si précises et si pertinentes de Straight Bat (sur le site du Saker.is) dont nous déplorions il y a peu et déplorons toujours l’inexistence en français. Dans quelque langue que ce soit, on ne les citera jamais trop :

 

Greatest ‘sin’ of Lenin and Stalin

Bridging China’s past with humanity’s future – Part 1

                                                                             Part 2

                                                                             Part 3

 

Autre chose :

Israël Shamir est croyant. Il est donc normal qu’il prenne le Nouveau testament pour parole d’évangile et Judas Iscariote pour le prototype du salaud traître à son meilleur ami. Il existe cependant des mécréants – dont nous sommes – qui savent, car c’est de l’histoire, pas du mythe, que les faussaires qui en sont les auteurs ont cru malin de choisir, pour jouer ce rôle, un ancien dieu matriarcal, Judas de Kerioth, dieu consort (un des) de la déesse Q’R, mère des dieux et des hommes et, accessoirement, des Quoraïchites, tribu où est né, pour servir son épiphanie de pierre noire tombée du ciel – la Dame Noire de Pessinonte – ce qui deviendra le voile islamique.

Et la déesse Q’R, entre autres nombreux avatars, deviendra rien de moins que Carmenta (Car la Sage) déesse-mère des immigrés cariens du Latium futurs Romains, « qui a inventé l’alphabet latin ».

Mais pour savoir tout cela, il faut avoir lu Robert Graves :

            La Déesse Blanche

            Le Dictionnaire des mythes grecs

            Le Dictionnaire des mythes hébreux

Pourquoi ne pas laisser dormir en paix le malheureux Judas ? Il n’y a qu’à dire « traître comme un Khrouchtchev » ou « comme un Gorbatchev ». Cela ne devrait-il pas suffire ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les nouvelles internationales mises à jour jusqu’au 25.10.2020

 

https://secoursrouge.org/

 

 

 

 

 

 

Quant aux Belges…

cobayes enthousiastes de toutes les inventions liberticides :

 

 

 

 

 

 

Mis à jour le 26 octobre 2020

 

 

« Procès » de Julian Assange

 

 

 

 

 

 

 

 

« Procès » de Julian Assange

(en anglais en attendant mieux)

 

 

Dès qu’on en voit une traduction, on vous la poste ici.

 

 

 

 

“They are still killing the children”

The Trial of Julian Assange

 

 By John Pilger, Ray McGovern Roger Waters and Miko Peled

I.C.H.  – 18.10.2020

 

 

 

 

Julian Assange disclosed atrocities committed by the U.S. and other governments. We have rewarded Julian’s courage by allowing our governments to torture him, so that his pain and suffering may be a warning to others who may choose to share any facts, which would inform the public that those we have elected are corrupt, dishonest killers.

They hide behind a mask, which we allow them to wear so as to avoid our own guilt for the destruction and carnage they inflict on our brothers, our children, and the very future of our species.

 

 

Subscribe to Miko’s Youtube channel

Miko Peled

Recently, U.S. prosecutors indicted WikiLeaks founder, Julian Assange on seventeen espionage charges stemming from the disclosure of atrocities committed by the U.S. armed forces in Iraq and Afghanistan. With global consequences directly affecting the freedom of the press, Assange stands to be extradited from the UK to trial to the U.S. under the Espionage Act. In this upcoming online event, author and activist, Miko Peled, speaks with three prominent activists who have persistently advocated for Assange’s release and freedom.

Roger Waters – Cofounder of Pink Floyd, Songwriter & Musician, Activist

John Pilger – Journalist, Documentary Filmmaker

Ray McGovern – Ex-CIA Presidential Briefer, Writer, Activist

Miko Peled — Author, Speaker, Human Rights Activist

Watch Miko Pele’s webinar series — https://mikopeled.com/webinar-archive

Pick up a copy of Miko Peled’s books — https://mikopeled.com/books/

See COMMENTS https://www.youtube.com/watch?v=yWvdhrZSm8c&feature=youtu.be 

 

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Where Is My Final Assange Report ?

 

 

 

By Craig Murray

 

 

October 17, 2020 “Information Clearing House” — Julian Assange disclosed atrocities committed by the U.S. and other governments.

Numerous people have contacted me in various ways to ask where is my promised report on the final day of the Assange hearing, to complete the account ?

It is difficult to explain this to you. When I was in London it was extremely intense. This was my daily routine. I would attend court at 10am, take 25 to 30 pages of handwritten notes, and leave around 5. In court I was always with Julian’s dad John, and usually for lunch too. After court I would thank supporters outside the courtroom, occasionally do some media and often meet with the Wikileaks crew to discuss developments and tactics. I would then get back to my hotel room, have a bite to eat and go to bed around 6.30pm to 7pm. I would awake between 11pm and midnight, shower and shave, read my notes and do any research needed. About 3am I would start to write. I would finish writing around 8.30am and proofread. Then I would get dressed. About 9.30am I would make any last changes and press publish. Then I would walk to the Old Bailey and start again.

Apart from being exhausting, I was totally immersed in a bubble, and buoyed by the support of others close to Julian, who were also inside that bubble.

But in that courtroom, you were in the presence of evil. With a civilised veneer, a pretence at process, and even displays of bonhommie, the entire destruction of a human being was in process. Julian was being destroyed as a person before my eyes. For the crime of publishing the truth. He had to sit there listening to days of calm discussion as to the incredible torture that would await him in a US supermax prison, deprived of all meaningful human contact for years on end, in solitary in a cell just fifty square feet.

Fifty square feet. Mark that out yourself now. Three paces by two. Of all the terrible things I heard, Warden Baird explaining that the single hour a day allowed out of the cell is alone in another, absolutely identical cell called the “recreation cell” was perhaps the most chilling. That and the foul government “expert” Dr Blackwood describing how Julian might be sufficiently medicated and physically deprived of the means of suicide to keep him alive for years of this.

I encountered evil in Uzbekistan when the mother brought me the photos of her son tortured to death by immersion in boiling liquid. The US government was also implicated in that, through the CIA cooperation with the Uzbek Security Services; it happened just outside the US military base at Karshi-Khanabad. Here was that same evil paraded in the centre of London, under the panoply of Crown justice.

Having left the bubble, my courage keeps failing me to return to the evil and write up the last day. I know that sounds either pathetic or precious. I know the mainstream journalists who revel in portraying me as mentally unstable will delight to mock. But this last few days I can’t even bring myself to look at my notes. I feel physically ill when I try. Of course I will complete the series, but I may need a little time.

 

 

Subscriptions to keep Craig’s blog going are gratefully received. Visit his website – https://www.craigmurray.org.uk/

 

 

 

 

They Thought They Were Free

The Germans, 1933-45

 

Excerpt from pages 166-73 of « They Thought They Were Free » First published in 1955

 

By Milton Mayer

 

“What happened here was the gradual habituation of the people, little by little, to being governed by surprise; to receiving decisions deliberated in secret; to believing that the situation was so complicated that the government had to act on information which the people could not understand, or so dangerous that, even if the people could understand it, it could not be released because of national security. And their sense of identification with Hitler, their trust in him, made it easier to widen this gap and reassured those who would otherwise have worried about it.

Continue

Source : http://www.informationclearinghouse.info/55729.htm

 

 

 

 

S’il n’y avait pas Le Grand Soir…

 

« C’est un incroyable échec du journalisme. »

(Exberliner)

 

Stefania Maurizi – L.G.S. 16.10.2020

 

 

 

 

La journaliste italienne Stefania Maurizi a travaillé pour certaines des plus grandes publications du pays, dont la Repubblica, l’Espresso et, maintenant, Il Fatto Quotidiano. En 2009, elle a commencé à travailler avec Julian Assange et WikiLeaks sur des dossiers secrets concernant la guerre en Afghanistan, les câbles de la diplomatie américaine et les détenus de Guantanamo. Elle a également enquêté sur des dossiers top-secrets divulgués par le dénonciateur Edward Snowden, révélant entre autres des cas graves de pollution environnementale en Italie et d’exploitation de travailleurs pakistanais dans une usine exploitée par une société italienne.

Maurizi a été témoin lors des audiences d’extradition d’Assange le mois dernier. Alors qu’un juge londonien réfléchit à l’opportunité d’extrader le fondateur de WikiLeaks vers les États-Unis, nous lui avons parlé de son expérience de se faire de puissants ennemis, de ce qu’elle décrit comme des campagnes de diffamation contre WikiLeaks et ceux qui travaillent avec eux – et pourquoi Assange n’aurait jamais dû quitter Berlin.

Lire la suite…

Source : https://www.legrandsoir.info/c-est-un-incroyable-echec-du-journalisme-exberliner.html

 

 

 

 

 

Sept milliards d’individus,

Pas une douzaine d’assez déterminés pour s’armer et aller arracher cet homme à son cul de basse fosse !

Si Julian Assange avait été un chien, il aurait trouvé d’autres animaux de son espèce pour lui porter secours.

 

 

 

 

Mis en ligne le 18 octobre 2020

 

 

 

Deuxième vague

 

 

 

 

 

 

 

 

Deuxième vague

(On n’ose même pas dire seconde !)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais … first things first !

 

 

Lettre de Nicolas Maduro aux peuples du monde 

 

Venezuela infos – 11 octobre 2020

 

 

 

 

 

 

Lire la suite …

Source : https://venezuelainfos.wordpress.com/2020/10/11/lettre-de-nicolas-maduro-aux-peuples-du-monde/

 

 

 

 

La politisation de la science sonne-t-elle son glas ?

 

Norman Lewis – Entelekheia – 9 octobre 2020

 

Paru sur RT sous le titre The death knell of science is being sounded, not by politicians but by partisan scientists themselves

 

 

 

 

Aux USA, une frange de scientifiques armés de « faits » se lancent en politique. Est-ce une bonne idée ? Faut-il la reproduire en France ? Quel en serait le prix pour la démocratie et le pays ?

 

La campagne visant à élire des scientifiques à des postes politiques aux États-Unis peut bien remporter des victoires rapides, mais elle est dangereusement illusoire car elle dépolitise la politique tout en politisant la science – ce qui sape totalement son autorité.

Pendant la pandémie de Covid-19, les rôles des scientifiques et des politiciens se sont imbriqués comme jamais auparavant. L’élévation des épidémiologistes au niveau des présidents et des premiers ministres dans les médias a attiré une énorme attention sur le rôle des experts et leur relation avec la prise de décision politique.

Suivre « la science » et être dirigé par des experts sont devenus des mantras, une nouvelle vérité du 21e siècle que peu d’entre nous osent remettre en question ou critiquer. Et lorsqu’ils le font, comme l’a fait Trump non seulement sur le Covid-19 et le port de masques, par exemple, mais surtout sur le changement climatique, la colère et la fureur de l’élite politique et médiatique sont dignes du Vésuve.

Lire la suite…

Source : http://www.entelekheia.fr/2020/10/09/la-politisation-de-la-science-sonne-t-elle-son-glas/

 

 

 

 

Allemagne…

 

SUR :

 

Covid 19 & tests PCR : rapport d’enquête par le docteur Reiner Fuellmich (Allemagne)

(Vidéo STF mise en ligne par Fils de Pangolin)

 

Transcription : Elo & Zerah

Traduction : Zerah

 

 

 

 

Transcription :

Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona.

Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent.

Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée “scandale du Corona”. Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du code pénal international.

Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes :

 

1/ Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?

2/ Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger, afin qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

Et 3/ Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

 

Fils de Pangolin  :

Pour ceux qui arrivent suite à l’article de « fact-checking » de cet organe de propagande qu’est l’AFP , je vous invite à regarder mon tout dernier doublage, vous pourrez justement y voir et entendre Kary Mullis, l’inventeur même du PCR et prix Nobel de chimie, donner un tout autre son de cloche sur cette histoire de PCR, qui est son invention, tout de même 😗

Écoutez Kary Mullis au sujet de la PCR : https://www.youtube.com/watch?v=57YQjM5_30E

Article AFP : https://factuel.afp.com/attention-cette-video-denoncant-une-fraude-corona-et-des-crimes-contre-lhumanite-comporte-plusieurs

 

Pendant que vous y êtes, cliquez donc ici : #FilsDePangolin #coronavirus

 

Et tout le reste

 

https://les7duquebec.net/

 

 

 

 

 

La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus

 

Peter Koenig – Mondialisation.ca – 9.10.2020

 

 

 

 

 

L’Allemagne est à nouveau en première ligne dans la lutte contre les mesures relatives au Coronavirus, qui sont dévastatrices, injustifiées, illégales, destructrices pour l’économie, affadissantes pour les personnes et carrément génocidaires. La commission d’enquête extra-parlementaire allemande COVID-19 (en allemand : ACU, acronyme allemand de Ausserparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss) prévoit de lancer un recours collectif non seulement contre les gouvernements et les fonctionnaires, mais aussi et surtout contre les fabricants du fameux test PCR. Le PCR – Polymerase Chain Reaction (photo en vedette) – est une technique utilisée pour « amplifier » de petits segments d’ADN qui, selon de réputés virologues du monde entier, est absolument inadapté pour  dépister la COVID-19. En fait, l’Allemagne n’a même pas été autorisée à effectuer de tels tests.

 

Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS – et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin. C’est le Dr Christian Drosten, directeur de l’Institut de virologie de la Charité, qui a fait la promotion de ce test. Le PCR a finalement été adopté par les autorités gouvernementales et sanitaires allemandes qui en ont fait une véritable solution miracle pour tester et compter les « cas » – principalement pour manipuler les statistiques.  Les médias utilisent ensuite le nombre de « cas » pour effrayer la population.

Lire la suite…

Source : https://www.mondialisation.ca/la-commission-denquete-extra-parlementaire-allemande-sur-la-covid-19-lance-un-recours-collectif-contre-les-criminels-de-la-corona/5649906

 

 

 

 

 

Grande Bretagne…

Et alors ?

 

 

 

 

 

 

Hexagone…

 

Didier Raoult à Morandini : « Vous avez assisté à la plus grande escroquerie que j’aie vue de ma vie ! »

 

d’après Moutons rebelles – 14.10.2020

 

« Vous avez assisté à la plus grande escroquerie que j’aie vue de ma vie, avec la toxicité de l’hydroxychloroquine », s’est exclamé, sur l’antenne de CNews le professeur Didier Raoult. Une imposture qui conduit l’infectiologue marseillais à s’alarmer de la fabrique étatique du mensonge. [C’est nous qui soulignons. NdGO]

 

« Ça devrait vous faire vous poser la question de savoir, mais attendez, est-ce qu’on me ment ? Est-ce qu’il n’y a que là-dessus qu’on me roule dans la farine ? Je suis sidéré qu’on ne se la pose pas! Ça n’est jamais arrivé, un truc pareil ! Jamais ! »

[…]

« Vous vous rendez compte, il y a des gens […] qui ont réussi à faire croire à des gouvernements et à l’OMS, qu’un médicament qui a 70 ans, qui est un des deux médicaments les plus prescrits de l’Histoire de l’Humanité, tuait 10% des gens à qui on le donnait »

[…]

« Comment un journal comme le Lancet, qui devait avoir trois ou quatre éditeurs, cinq rewiers, a-t-il pu laisser passer un truc pareil est quelque chose qui doit amener à réfléchir sur l’état de notre société »

 

 

 

Source : https://lesmoutonsrebelles.com/video-le-professeur-raoult-denonce-la-plus-grande-escroquerie-quil-a-jamais-vue-de-sa-vie/

 

 

 

 

 

N’oubliez pas :

 

Aux ConVidiot(e)s de la Terre qui attendent LE vaccin…

 

Jo Busta Lally – jbl 1960 –

 

 

 

Pardon aux innocentes pécores qui n’ont pas de libre-arbitre, elles ! LGO

 

https://jbl1960blog.wordpress.com/2020/08/31/aux-convidiotes-de-la-terre-qui-attendent-le-vaccin/

 

 

Et tout le reste

 

https://jbl1960blog.wordpress.com/

 

 

 

 

 

« Un pays qui se tient sage » : un documentaire nécessaire mais trop sage

 

Rosa Llorens – LGS – 14.10.2020

 

 

 

 

 

Le film de David Dufresne fait alterner les images de violence policière captées par les smartphones des Gilets Jaunes avec les témoignages de victimes de ces violences et les réflexions de divers intellectuels, journalistes ou spécialistes du droit. Pour le premier aspect, le but du réalisateur était de rassembler et construire des images qu’on n’avait vues que de façon ponctuelle pour en faire un document historique. Curieusement, la situation française fait ainsi apparaître la même nécessité que celle du Chili : le film de Patricio Guzmán, La Cordillère des songes, donnait aussi la parole à un vidéaste qui s’était fixé comme mission de filmer les violences policières lors des manifestations qui se sont succédé à Santiago depuis le retour d’un certain ordre démocratique au Chili. Mais le deuxième aspect, théorique, apparaît assez faible en regard des images.

 

On voit donc une anthologie des images qui ont marqué l’année et demie d’actions massives des GJ : le rassemblement autour de l’Arc de Triomphe, les vitres brisées du Fouquet’s, le « Gitan de Massy », Christophe Dettinger, qui boxe (à mains nues) le bouclier d’un gendarme, les collégiens agenouillés, mains sur la tête, de Mantes la Jolie, avec le commentaire du policier qui, très fier, a filmé et diffusé ce haut fait, et donne son titre au film (« Voilà une classe qui se tient sage »), et les images, tristement caractéristiques du mouvement des GJ, de lanceurs de LBD et de mains arrachées et d’éborgnages. Bien que Dufresne soit très sobre, ces images sanglantes sont si fortes, de même que les témoignages de victimes, que les discours que les intellectuels plaquent dessus, accumulant les termes d’un jargon abstrait, ne leur apportent pas grand-chose ; loin de changer le monde, ces ratiocinations ne l’expliquent même pas, elles le déréalisent.

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Source : https://www.legrandsoir.info/un-pays-qui-se-tient-sage-un-documentaire-necessaire-mais-trop-sage.html

 

 

 

 

 

Deux coup sur coup ? Festin.

 

La grippe au temps d’Agatha Christie… et aujourd’hui

 

Rosa Llorens – LGS – 12.10.2020

 

 

 

 

On nous a convaincus que le Covid 19 était une maladie sui generis, et que cette épidémie était quelque chose d’inouï. Pourtant, en relisant, pour se détendre un peu, Agatha Christie, on reconnaît ici et là des notations familières.

 

La grippe revient souvent dans ses romans, et il y a à cela de bonnes raisons : elle-même en a souffert, et elle a été contemporaine de la plus terrible épidémie de grippe qui ait frappé l’Europe depuis le Moyen-Age, cette grippe « espagnole » qui fit, à travers le monde, de 50 à 100 millions de morts.

C’est ainsi qu’on lit dans son Autobiographie : « cette année-là [1915-16], j’attrapai une mauvaise grippe, qui tourna en congestion pulmonaire et me tint éloignée de l’hôpital [où elle travaillait comme infirmière volontaire] pendant trois semaines ou un mois ». Ou bien, dans La Maison du péril, la victime potentielle raconte que son père « a été blessé pendant la guerre et rapatrié, puis il a attrapé une pneumonie et il est mort en 1919 » : même si Agatha Christie ne la nomme pas, c’est bien là cette grippe « espagnole », qui tua de la même façon le poète Apollinaire.

Après l’épidémie, la grippe – bien que sous des formes moins virulentes – continue à sévir, en tout cas dans l’œuvre de notre auteur. Ainsi, dans Drame en trois actes, de 1935, on peut lire : « Tollie avait eu une mauvaise grippe au printemps dernier. Son goût et son odorat s’en sont trouvés amoindris » : c’est déjà cette agueusie-anosmie dont on a voulu faire la marque du Covid19 ! (dans l’histoire, elle vient compliquer l’enquête, car même si on avait mis de la nicotine pure dans sa boisson, il aurait pu ne pas en détecter l’amertume).

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Source : https://www.legrandsoir.info/la-grippe-au-temps-d-agatha-christie-et-aujourd-hui.html

 

 

 

 

Vous souvient-il du temps pas si lointain où les notables d’Arras venaient déverser des pots de peinture sanguinolente au pied du buste de l’Incorruptible, offert par la Société des études robespierristes que présidait alors le grand Albert Soboul, et où quiconque souhaitait voir et photographier ce buste planqué au fond de l’Hôtel de Ville se voyait opposer une pateline fin de non-recevoir ?

 

 

À Arras, dans sa ville natale, Robespierre aura (enfin ?!) son musée

Jacques Kmieciak – LGS – 13.10.2020

 

 

 

 

La municipalité d’Arras (Pas-de-Calais) projette, à l’horizon 2026, l’ouverture d’un musée consacré à Maximilien Robespierre (1758 – 1794). Il s’agit d’une revendication trentenaire de l’association Les Amis de Robespierre pour le bicentenaire de la Révolution française.

 

Pourfendeur des guerres d’agression et de l’inégalité des races, favorable à l’abolition de l’esclavage, au suffrage universel, rousseauiste dans l’âme, Maximilien Robespierre est l’une des figures de proue de la Révolution française de 1789. Membre du Comité de salut public dès la fin juillet 1793, il y militera, avec le soutien du peuple de Paris, pour l’abolition des droits féodaux, une juste répartition des richesses, et mènera une lutte acharnée contre la Réaction, jusqu’à son exécution le 28 juillet 1794. Personnage emblématique de la Révolution, mais aussi son incarnation la plus controversée, Maximilien Robespierre est né en mai 1758, à Arras destiné à devenir le chef-lieu du département du Pas-de-Calais. Après des études de droit à Paris, il revient en Artois pour y exercer la profession d’avocat.

 

Un engagement trahi par la social-démocratie

En 1990, sous l’impulsion de Marcel Roger, un dirigeant du PCF local, la municipalité fait l’acquisition de la modeste maison où vécut Robespierre avec sa sœur Charlotte et son frère Augustin, de 1787 à avril 1789 et son départ aux États-Généraux à Versailles. Elle se situe dans l’actuelle rue Robespierre, près du théâtre en centre-ville. L’association Les Amis de Robespierre pour le bicentenaire de la Révolution française (ARBR) réitère sa proposition d’un lieu consacré à l’Incorruptible dans sa ville natale. Elle imagine alors obtenir rapidement gain de cause. D’autant que la Ville a acheté cette demeure « en vue de la création d’un musée » ! Léon Fatoux, le maire (PS), trahira pourtant son engagement. Il préfèrera louer ce lieu en piteux état aux Compagnons du tour de France. Certes, ceux-ci procèderont à sa restauration, mais cet espace ne sera que parcimonieusement ouvert au public. De surcroît, « seuls quelques objets évoqueront Robespierre au grand dam des touristes », rappelle Alcide Carton, le président de l’ARBR. Au départ des Compagnons en 2016, l’ARBR est plus que jamais convaincue que l’ « inventeur avec d’autres de la République, méritait, ici, un endroit qui évoque sa vie et son action ». À cette époque, Alcide Carton soumet au maire Frédéric Leturque une pétition en ce sens, riche de 7 000 signatures.

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Source : https://www.legrandsoir.info/a-arras-dans-sa-ville-natale-robespierre-aura-son-musee.html

 

 

 

 

Pendant qu’on y est…

 

 

 

 

FREXIT, Belarus, Bolivie, Arménie-Azerbaïdjan, Enthoven… tout est à lire !

 

C’est là :

https://www.initiative-communiste.fr/  

 

 

 

 

 

Belgique…

 

 

 

 

 

 

 

 

Orbis Terrae…

 

 

 

 

Toutes les formes d’emprisonnement politique recensées au jour le jour

 

https://secoursrouge.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 14 octobre 2020